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 AMADEUS → the crying light.

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MessageSujet: AMADEUS → the crying light.   AMADEUS → the crying light. Icon_minitimeDim 9 Aoû - 19:42

amadeus jaëger
the crying light


Identité
Nom et Prénom : Amadeus Jaëger. Alias : Ses proches le surnomment Ama, mais il n'a jamais voulu se trouver d'autre surnom, n'en voyant pas l'utilité. Âge : 27 ans. Lieu de naissance & nationalité : Il a vu le jour à New-York, il est américain. Métier : Inspecteur de police à la Franklin Station. Statut civil : Célibataire. Orientation sexuelle : Homosexuel. Particularités : Il a un don d'empathie particulièrement puissant qu'il maîtrise malheureusement très peu, ce qui ne rend pas son existence aisée. A vrai dire, Amadeus a souvent l'impression qu'il s'agit d'une malédiction. Affiliation : Neutre.

Interview
Avez-vous peur des Mutants ? En toute honnêteté, oui, Amadeus a peur des Mutants. Tout d’abord, son propre don le terrifie, car c’est une véritable plaie, au quotidien. Ensuite, il sait désormais qu’il n’est pas le seul à être différent et que d’autres possèdent des pouvoirs bien plus puissants et destructeurs que le sien. Il est flic, son rôle est de protéger la population, mais comment est-il censé accomplir cela lorsque des êtres surhumains se retrouvent face à lui ? Il ressent les émotions des autres, il n’est pas capable de faire voler des objets par la pensée ou de congeler quelqu’un. Il n’a que son arme et son intelligence pour lutter contre des Mutants décidés à semer la pagaille, autant dire qu’il n’a rien. Alors oui, Amadeus les craint et s’en méfie. Ce n’est pas pour autant qu’il soutient les groupes anti-mutants comme les Watchers, qui massacrent des gens sans se poser de questions. Si l’on devait éradiquer toute personne ayant le potentiel d’être dangereuse alors le bon américain de base, propriétaire d’une arme, devrait lui aussi se retrouver derrière les barreaux. Ce n’est pas comme ça que la société fonctionne, on punit un crime, pas la possibilité d’en commettre un.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Ah, les Superhéros… beaucoup de collègues d’Amadeus considèrent qu’ils agissent sans se préoccuper des lois, ce qui n’est pas totalement faux, et qu’ils leur piquent leur boulot. Il n’est pas d’accord là-dessus. Quand des extra-terrestres ont envahi New-York, quand un lézard géant a tenté de transformer tous les habitants de la ville à son image, la police s’est retrouvée complètement dépassée. Amadeus était là, il a bien tenté d’aider, mais sans Spider-Man et les Avengers pour arrêter tout cela, il est convaincu qu’ils n’auraient jamais pu s’en sortir. Alors certes, ils ne respectent pas toujours les lois, mais Amadeus aussi est du genre à faire quelques entorses lorsque ça s’avère nécessaire. Cette armure et ces armes dont Iron Man dispose, la force et l’agilité de Spider-Man, ils ont besoin de ça pour lutter contre des ennemis qui possèdent la même puissance. Amadeus n’est pas du genre à baisser les bras, mais il est suffisamment intelligent pour admettre lorsqu’il est dépassé. Alors oui, selon lui, les Superhéros sont une bonne chose.
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime ? Amadeus a vu le jour dans le Bronx, le quartier le plus pauvre et le moins bien fréquenté de New-York. Il a très vite appris à faire profil bas, à courir à l’opposé des coups de feu. Il a appris à éviter les gangs, que l’injustice faisait partie de ce monde et que personne n’en avait rien à foutre des gens comme lui. Que son père était un fichu alcoolique, violent et stupide. Qu’il ne pouvait compter que sur lui-même, alors qu’il n’était qu’un gosse. Il faisait partie de ces gamins qui n’avaient pas d’avenir, dans un tel quartier. Il aurait pu se résigner et accepter son destin, mais Amadeus a décidé de lui dire d’aller se faire foutre. Il a décidé de se dresser contre l’injustice. Il est devenu flic, pour prouver qu’il pouvait faire mieux que ça dans un premier temps, mais aussi pour défendre ceux qui ne pouvaient pas le faire. C’est parce qu’il a avant tout été la victime, qu’Amadeus a décidé de se dresser contre les bourreaux.
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? Autant dire qu’Amadeus a découvert qu’il était un Mutant très tard. Il avait déjà vingt-et-un ans et commencé une carrière dans la police. Son don d’empathie s’est manifesté tardivement, alors qu’il avait seize ou dix-sept ans. Il avait toujours été un garçon plutôt sensible aux émotions de son entourage et ce qu’il éprouvait alors ne relevait pas de l’impossible. C’était parfois pénible, mais il décida de ne pas s’en préoccuper. Il était déjà suffisamment à part, pas besoin d’en rajouter une couche. Mais son don s’est amplifié, de plus en plus. Jusqu’à devenir insoutenable, incontrôlable. C’est là qu’il a été abordé par le Professeur Xavier, qui lui a assuré qu’il pouvait apprendre à se contrôler, s’il le souhaitait. S’il acceptait de se rendre à la X-Mansion, pour apprendre. Amadeus avait vingt-et-un ans et il venait de commencer à travailler. Autant dire que tout planter pour apprendre quoi… des tours de magie ? Ne l’a pas tellement enchanté. Alors il a assuré à ce brave Professeur X qu’il pouvait se débrouiller tout seul. Dans son entourage, personne sait ce qu’il est et c’est très bien comme ça.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Amadeus a trimé dur pour faire ce job. Il a dû faire ses preuves à plusieurs reprises et ce n’est pas toujours facile. S’il n’a jamais souhaité abandonner, ce n’est pas pour autant qu’il est toujours rentré chez lui avec le sourire, satisfait de sa journée. C’est même plutôt l’inverse. Mais Amadeus aime ce qu’il fait et il a bien l’intention de continuer sur cette voie, de prouver que les choses peuvent changer. Il n’apprécie pas toujours ses collègues, c’est même souvent qu’il se dispute avec eux, parce qu’ils sont beaucoup à avoir abandonné, à faire leur boulot parce que ça paye et point barre. Mais il ne changerait de taf pour rien au monde.

IRL
Pseudo/âge/sexe ; MOONY/22 ANS/F. Fréquence de connexion ; Tous les jours, j'ai pas d'vie. Que pensez-vous du forum? ; Il est si beau, si doux, si teeeendre. Comment l'avez-vous découvert ? Au détour d'une ruelle sombre, il m'attendait, prêt à ruiner ma vie. Célébrité choisie ; Max HOLY SHIT WHY U SO HOT ? Riemelt Credits (avatar, icon etc.) ; bazzart, tumblr, voir profil pour les détails.



Dernière édition par Amadeus Jaëger le Lun 10 Aoû - 14:46, édité 1 fois
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chapitre I

Somethings wrong, shut the light
Heavy thoughts tonight
And they aren't of Snow White
Dreams of war, dreams of liars
Dreams of dragon's fire
And of things that will bite
Le gosse relève fièrement la tête, défie son père du regard. Ses grands yeux bleus luisent de larmes qu’il refuse de verser. Sa mâchoire est horriblement douloureuse, il veut juste se rouler en boule dans un coin et prier pour que ça s’arrête. Il devrait le faire, d’ailleurs. Ce serait plus malin que de défier cet homme. Mais il ne peut pas s’en empêcher, il a besoin de lui tenir tête, de lui prouver qu’il n’est pas faible, contrairement à ce qu’il dit. L’autre le toise d’un air mauvais, comme s’il était une sorte de monstre. La quantité d’alcool qu’il a ingurgitée se calcule dans son haleine fétide, se lit dans ses yeux brillants. Ce soir, c’est beaucoup, mais pas assez pour s’étaler raide mort dans un coin de leur appartement. C’est suffisamment pour trouver quelque chose à lui reprocher, un prétexte pour lui cogner dessus. C’est quoi, cette fois ? Ah, oui, son « bordel » dans le salon, qu’il n’a pas rangé. Le gamin l’a toisé avant de lui répliquer que le bordel, c’était lui qui l’avait foutu. Alors forcément, l’autre lui a collé une mandale.

Il sait qu’il doit se taire, acquiescer et se dépêcher de ranger, s’il veut s’en tirer sans rien de plus qu’un coup de pied au cul. Mais non, il a ouvert sa grande gueule et maintenant, la face de l’autre se tord d’une grimace. Le gosse sert les dents, il ne ferme même pas les yeux en anticipant la douleur, il la regarde fixement, prêt à l’encaisser. Le deuxième coup l’atteint en pleine mâchoire, il sent la peau fragile de sa joue craquer, imagine la chair exposée et déjà sanguinolente. Il tombe en arrière bien sûr, il n’est qu’un pauvre gosse, il ne peut pas résister à sa force. L’autre en profite, il est à terre, immobile, il ne peut pas courir et déguerpir, ça ce serait emmerdant, trop chiant, il ne le suivrait pas. Il s’avance, l’attrape par sa tignasse blonde pour le relever et le troisième coup, en plein dans l’estomac, fait danser des points blancs devant ses yeux.

Le souffle coupé, Amadeus préfère sombrer dans l’inconscience.
____________________

L’adolescent est appuyé contre la grille de métal qui entoure le lycée miteux qu’il quittera pour de bon à la fin de l’année. Son jean est tellement large que ça en devient ridicule, mais ce n’est pas comme s’il avait assez de thunes pour se payer autre chose. Son tee-shirt à l’effigie des Led Zeppelin a vu de meilleurs jours, de même pour la chemise qu’il porte par-dessus, à laquelle il manque quelques boutons. Il a bien essayé de les recoudre, mais ça n’a pas tenu et il les a perdus. Il porte sa cigarette à ses lèvres, tire longuement dessus et l’observe d’un coup d’œil avant de la jeter par terre. Il écrase le mégot de son talon et se décide à rentrer. Mais alors qu’il se redresse pour s’en aller, une fille passe à côté de lui, frôlant son épaule. Elle s’éloigne rapidement et finit par s’arrêter, un peu plus loin. Etrangement, il n’a pas besoin de la regarder pour savoir qu’elle pleure. Non, c’est pire que ça, elle est en sanglots et sa peine est presque palpable dans l’air.

Il se fige, incapable de bouger. Il a l’impression qu’une poigne de fer enserre sa gorge et il regarde la fille, comme hypnotisé. Elle est assise par terre, les genoux ramenés contre elle, le visage enfoui au creux de ses bras. Il ne sait même pas pourquoi elle pleure comme ça, à la sortie du lycée. Tout ce qu’il sait, c’est que sa peine est en train de l’étouffer, lui. Alors il réalise qu’il s’est avancé, comme pour aller la réconforter. Il ne la connaît même pas, il préfère éviter tout le monde, dans ce bahut de merde. Mais c’est plus fort que lui, il a cette envie de la réconforter. Non, ce n’est pas ça. Il a besoin que ses sanglots cessent. Que sa peine s’envole.

Le garçon ramène la main qu’il avait tendue dans la direction de la fille vers lui et veut passer une main sur son visage pour se remettre les idées en place. Ses doigts entrent en contact avec quelque chose d’humide et il fronce les sourcils avant de comprendre que ce sont des larmes. Qu’il pleure lui aussi, planté là à la regarder. Ses lèvres s’entrouvrent et un hoquet pathétique lui échappe, à l’image de ceux qui émanent de la silhouette recroquevillée devant lui. Ses yeux s’écarquillent d’horreur et il plaque une main sur sa bouche avant de se détourner de la fille. « T’es vraiment une fiotte, » qu’il grogne dans un souffle et il avance.

Amadeus court. Vite, le plus loin possible.

____________________

Il jette ses clés sur le meuble de l’entrée et grimace lorsqu’une odeur nauséabonde lui agresse les narines. Ça fait quelques jours qu’il n’est pas rentré, créchant ici et là pour ne pas retourner à la maison. Il se doute que l’autre a certainement foutu un sacré bordel. Il soupire et s’avance pour se figer en voyant ce qui l’attend dans le salon. Il est étalé là, à même le sol, immobile. L’adolescent lâche son sac et contourne son père. Cette pauvre merde a la tronche étalée dans son propre vomi, mais ce n’est pas ce qui retient son attention. La couleur de sa peau, son visage boursoufflé et l’odeur putain, l’odeur. Ça ne pue pas seulement le vomi dans ce putain de salon, ça sent aussi la mort. Oh bordel.

Amadeus chancèle et recule de quelques pas. Ça fait combien de temps qu’il est crevé ? A le voir ainsi, trônant dans ses propres déjections, l’adolescent trouve que son père n’a jamais été autant à sa place. Alors il rit. C’est nerveux, il ne sait pas trop d’où ça sort, mais il rit tellement qu’il est obligé de se laisser tomber sur le canapé miteux derrière lui. Il rit jusqu’à ce que ce soit douloureux, il rit aux larmes et finit par sangloter. Il n’est pas triste, putain non, il n’est plus le gosse qui recherchait la reconnaissance de son père, il a très vite cessé de l’être.

Il pleure parce qu’il est libre. Il pleure parce que ce putain de salopard est enfin crevé. Quand il n’a plus de larmes, il rit encore, un son rauque, presque plaintif. Il rit parce que pendant que le cadavre de son géniteur pourrissait là, il se tapait un mec en priant pour qu’il ne le découvre jamais. Parce qu’il l’aurait tué, putain oui il l’aurait tué.

Mais il ne le découvrira pas. Il ne le découvrira jamais. Ce putain de con est mort. « Jusqu’au bout— » Il hoquète, essuie ses joues humides du revers de sa manche. « Jusqu’au bout t’auras été qu’une pauvre merde. » Il se redresse, toise le cadavre d’un œil mauvais. « Ci-git un con, à sa juste place, » murmure-t-il avant de se décider à appeler les secours. Un dernier rire lui échappe à cette pensée. Y a plus rien à sauver et c’est pas plus mal.
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Dernière édition par Amadeus Jaëger le Mer 12 Aoû - 1:06, édité 8 fois
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chapitre II

Somethings wrong, shut the light
Heavy thoughts tonight
And they aren't of Snow White
Dreams of war, dreams of liars
Dreams of dragon's fire
And of things that will bite
Amadeus a toujours fait de son mieux pour séparer son boulot et sa vie privée. D’abord parce que ça ne regarde personne, ensuite parce qu’il n’est pas assez con pour jouer au flic pédé dans un commissariat du Bronx. Mais ça devait bien arriver un jour. New-York est une ville immense, se perdre dans la foule et disparaître est aisé, mais il a tellement de chance qu’il a fallu qu’il croise un de ses collègues au bras d’un mec. Il n’a même pas espéré que l’autre se taise, quand il a vu sa gueule d’empaffé, ses yeux écarquillés, il a très bien compris que tout le monde serait au courant le lendemain. Mais il s’est levé, il est venu bosser et il a encaissé, toute la journée. Les regards, les murmures, les bousculades. Mais pas seulement ça. La surprise, le dégoût, l’incompréhension. Il a ressenti ça toute la journée, soufflant lorsqu’il tombait enfin sur l’indifférence, juste un tout petit peu d’indifférence.

Amadeus bénit les gens qui s’en branlent. Mais ils sont peu nombreux, ici. Il a choisi l’ignorance, la meilleure défense contre les abrutis. Il a résisté toute la journée, mais Jones a ouvert sa grande gueule une fois de trop. Alors il a finalement répliqué, espérant lui fermer son clapet. Ca n’a pas fonctionné, ça ne fonctionne jamais. Jones est une merde, mais il cogne fort. Amadeus se prend son poing en plein visage et il entend presque son nez craquer, en revanche, il sent le sang qui s’écoule abondamment sur sa bouche et son menton. Il ne cherche même pas à l’essuyer, prêt à rendre la monnaie de sa pièce à ce pauvre con. Mais il se fige en voyant Delacroix se planter entre eux et écarquille les yeux lorsqu’elle colle la beigne du siècle à Jones qui couine comme une fillette. Elle ne s’arrête pas là, non, elle s’assure qu’il en prenne plein la gueule. Elle ne se fige que lorsqu’il lui gueule d’arrêter et le toise d’un air mauvais. « C’est qui la pédale, maintenant ? » dit-elle d’un ton mordant.

Amadeus a la bouche ouverte, il réalise seulement en sentant le goût cuivré du sang dans sa bouche. Alors il la referme pour ne pas avoir l’air stupide et regarde Delacroix qui se tourne vers lui. « Viens, je t’emmène à l’hosto. » Il ne cherche même pas à répliquer. D’abord parce qu’il est incapable de dire quoi que ce soit, ensuite parce que son nez lui fait vraiment un mal de chien. Alors il la suit, bêtement, un peu fébrile.

____________________

Ses voisins se foutent sur la gueule depuis deux heures. Pour une fois, ils ont fermé leurs fenêtres alors il ne les entend pas. Mais il le sait. Il le sent. Il a la rage au ventre, les tripes qui se tordent sous la colère et l’envie d’exploser quelque chose, sans raison. Ces émotions ne sont pas les siennes, ce ne sont jamais les siennes. A vrai dire, Amadeus ne sait plus discerner ce qu’il éprouve de ce que les autres ressentent. Il ne sait plus si c’est lui qui est heureux de rentrer à la maison après une journée fatigante, ou si c’est sa voisine d’à côté qui bosse au supermarché du coin. Il est tenté de s’enfermer dans un coin et de ne plus voir personne, juste pour avoir la paix, rien qu’une minute, une poignée de secondes. Amadeus plaque ses mains sur ses oreilles, comme s’il entendait les cris du couple et voulait les étouffer. Mais il n’entend rien, c’est juste ce qu’il ressent, putain, il…

Son poing rencontre le mur le plus proche. Ses chairs s’ouvrent, un paquet de poussière et de plâtre se détache et tombe sur le sol, mais il inspire, expire, il souffle, c’est rauque, plaintif. Les émotions négatives le transpercent, lui font perdre l’esprit. Il ne parvient pas à les maîtriser et il se came avec le bonheur des autres, c’est pathétique. Souvent, il sort, se rend en boîte, là où les gens sont heureux, insouciants. Où ils sont beaux et séduisants. Où les corps se pressent les uns contre les autres, se cherchent et se trouvent parfois pour se mêler quelques minutes. Il se plante là, en plein milieu de la foule et il se laisse complètement submerger. Les pupilles dilatées, les joues douloureuses à force de sourire, il rit à gorge déployée, il a l’air d’un malade, mais la musique est trop forte et les gens sont trop heureux pour le voir et l’entendre. C’est mieux qu’un rail de coke, mieux qu’une soirée passée à picoler. Il oublie tout, se sent heureux, juste heureux. Il est addict, sa came est différente mais ça n’en reste pas moins une forme de drogue.

Au final, il est juste comme son salaud de père, incapable de fabriquer son propre bonheur, obligé de le trouver chez les autres, comme l’autre le cherchait désespérément dans le fond d’une bouteille.
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félicitations !

tu es validé mon brave
Bienvenue chez les HOMO SUPERIOR.

toi et ton zizi allemand :excited:

time to have fun. Maintenant que tu es validé, tu peux commencer par aller recenser différentes choses, comme ton métier ou ton pouvoir si tu en as un. Tu peux aussi te chercher des copains sur le forum, c'est à dire poster ta fiche de liens. Si ton personnage est du genre à passer son temps sur son téléphone ou sur le net, tu peux aussi te rendre sur la webosphère.
Nous t'encourageons fortement à te rendre dans la chat box pour y faire la rencontre des autres membres, si tu le souhaites ! Sinon, tu peux aussi aller te créer un scénario. Quoi qu'il arrive, n'hésite pas à te faire ton trou par chez nous, on te souhaite bien des RPs et une belle et longue aventure sur TNA !

ENJOY !
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