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it's a revolution, i suppose Invité | | | Alexander “Alex” Summers « Sins like skeletons are so very hard to hide » Reclusion, Anberlin identité Nom et Prénom : Alexander, dit Alex, Summers Alias : Havok. Sans équivoque et tout à fait parlant. C'est tout lui, tout simplement. Âge : 29 ans Lieu de naissance & nationalité : Honolulu, Hawaii. Il est donc américain. Métier : X-man à temps plein. Pour le moment. Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétérosexuel Particularités : Alex a un pouvoir terriblement dangereux, qu’il a découvert bien plus tard que son frère aîné et qu’il apprend encore à canaliser, bien qu’il ait déjà parcouru un bon bout de chemin, depuis. Au départ, le déclenchement se faisait sous l’effet de la tension mal gérée (colère, haine, peur, toute forme d’émotions non maîtrisées, en somme), ce qui a causé de nombreux dégâts. En effet, Havok a la faculté innée d’ absorber l’énergie cosmique ambiante (notamment la lumière des étoiles – qui est un ensemble de réactions des étoiles aux fusions nucléaires qui les fait irradier, les rayons lunaires, solaires, X ou encore les rayons gamma) et de la conserver dans son organisme jusqu’à un point de saturation, où il est obligé de la laisser s’échapper, au risque d’imploser. Quand cela se produit, son corps rejette l’énergie sous forme d’infimes particules, ce qui fait sensiblement grimper la température de son corps et celle alentours, sans toutefois provoquer de dégâts. Emmagasiner l’énergie se fait de manière permanente et inconsciente, pour le moment. Il la stock dans chaque cellule de son corps, à l’instar d’une véritable bombe humaine, sous tension continue. Il est capable d’ expulser l’énergie sous forme de vagues de chaleur qui, en contact avec l’atmosphère, se transforment instantanément en rafales de plasma, généralement de formes circulaires et de couleur bleu clair, tirant sur le blanc – frottement des molécules si rapide qu’il rappelle la couleur des étincelles. Lors de sa rencontre avec un objet, la vague de chaleur plasmique provoque un saut brutal de la température initiale de ce dernier, qui se désintègre aussitôt, parfois dans une explosion, parfois non, selon ses composants moléculaires. Avant de parvenir à les contrôler un minimum, les rafales s’échappaient de son corps tout entier, dans des directions parfaitement aléatoires. Il a appris à les diriger, depuis, et on a surtout réussi à lui mettre au point un costume qui facilite la redirection des rafales de plasma, qui l’aide à canaliser l’énergie qui s’échappe et son intensité – bien qu’il travaille encore là-dessus. C’est généralement de son torse qu’il expulse les plus puissantes ondes d’énergie, mais il peut également utiliser ses bras comme catalyseurs directionnels, ou, d’ailleurs, n’importe quelle autre partie de son corps. Du fait de ses capacités, Havok est immunisé à la plupart des formes de chaleur et leurs températures élevées, ainsi qu’à tous les types de rayonnements et radiations, qu’il absorbera d’instinct. Sa propre température corporelle est toujours un peu plus élevée que la moyenne, résultat du stockage continuel d’énergie. Ce détail n’a désormais plus d’importance mais Alex était immunisé aux pouvoirs de son frère aîné, Scott, et vice versa. Affiliation : X-Mansion interview ÊTES-VOUS POUR OU CONTRE LA LOI DE RECENSEMENT DES MUTANTS ? POURQUOI ? SI VOUS ÊTES UN MUTANT, AVEZ-VOUS DÉCIDÉ DE VOUS RECENSER ? « Chacun doit être libre de se montrer, ou non, sous son véritable jour. Il y a des mutants qui vivent déjà très mal leurs pouvoirs, qui tentent de se dissimuler aux yeux de tous, simple question de survie psychologique. On n’a aucun droit de les forcer à se déclarer, de les étiqueter comme de vulgaires morceaux de viande dont on aura tôt fait d’essayer de se débarrasser. Protéger les humains, protéger le pays. Mais, humains, vous êtes une menace à part entière, pour vous-même, avant tout. C’est de vous, qu’il faudrait vous protéger. Triste réalité. Vivez donc dans le déni. Crachez donc sur l’aide que l’on vous fournit gracieusement en nous battant contre des dangers qui vous dépassent. Jugez comme bon vous semble, puisque vous ne savez faire que ça. Et allez-y, recensez. Vous ne précipiterez qu’un peu plus vite votre perte. Vous croyez que noter minutieusement, que classer nos pouvoirs, vous permettra de mieux nous contrer ? Vous vous trompez lourdement… mais l’aveuglement est propre à l’humanité, n’est-ce pas ? Vous faites une belle bande d’ingrats… » Alex est fondamentalement contre cette idée de recensement. Ce n’est, pour lui, qu’une tentative pathétique de gérer un problème qui n’en est pas un, à ses yeux, et qui dépasse les humains. Il n’a pas toujours pensé ainsi et, il y a quelques années, il se serait peut-être recensé si on le lui avait demandé. Plus aujourd’hui. Il s’y refuse. Pensez-vous que les super-héros soient une bonne chose ? « Une bonne chose… Mouais. On peut dire ça. Kind of. C’est un peu vite dit, quand on sait que certains peuvent détruire une ville d’un claquement de doigts. Mais pour avoir moi-même un pouvoir dangereux, je suis assez mal placé pour les blâmer. Alors, une bonne chose, c’est quoi, exactement ? Et ce terme… Un super-héros. Avouez, c’est ironique. Qu’est-ce qui définit la limite entre un super-héros et un simple mutant ? Est-ce qu’il y en a vraiment une ? Est-ce que ça a la moindre importance ? On n’est peut-être qu’un maillon, ridicule, dans une immense chaîne. Notre avis ne compte peut-être même pas et, si, des fois, ce serait quand même le cas, qu’on pense qu’ils soient “une bonne chose” ou non ne les fera pas disparaître. La vraie question est de savoir de quel côté on se place. Pensez-vous faire le poids contre eux ? » Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? « Hum… C’est compliqué. Mon frère y est certainement pour beaucoup. Et… j’sais pas, mon enfance aussi, peut-être. Un savant cocktail psychologique, avec un brin d’espoir qui se casse la gueule, petit à petit, depuis… Les bonnes intentions qui motivent au départ et le doute qui s’insinue ensuite. OK, j’ai jamais été très clair, pas plus avec moi-même, c’pas aujourd’hui que ça va commencer, j’imagine. Alors ouais, j’sais pas exactement c’que j’fais ou pas, en fait. J’suis dans l’flou. Y’a beaucoup d’choses qui m’emmerdent. Vraiment. Et j’gère mal. Forcément, quand on mélange tout ça, ça donne d’la merde. De là à dire que j’fais le bien ou le mal… J’y crois pas à cette dichotomie puérile, de toute manière. Les gars, faut se réveiller. Tout n’est pas blanc ou noir. » Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? « Comment j’ai réagi ? Vous voulez dire, avant ou après avoir fait explosé la voiture et envoyé mes parents adoptifs à l’hôpital ? Avant ou après qu’on m’ait enfermé dans une putain de cellule pour mener toutes sortes d’expérimentations malsaines ? J’en passe… En fait, le fameux passage où le mutant se rend compte de ses pouvoirs, j’l’ai pas vécu normalement. C’était comme une ellipse, pour moi. J’ai à peine eu le temps de réaliser ce qu’y se passait que j’étais déjà plus tout à fait moi-même. Ils se sont déclenchés tard, en plus, mes pouvoirs. Dans d’autres circonstances, j’aurais peut-être pu le vivre autrement. Mais là, j’en sais rien. J’peux pas dire que je suis désolé pour mes parents. A l’époque, j’pouvais même pas dire que j’étais heureux qu’on m’ait sorti de là. J’étais juste un ado paumé. Ma vie est un gigantesque puzzle, il manque certaines pièces, encore, j’ai l’impression. Bref, mon entourage a changé à plusieurs reprises. C’est vite devenu mon frère, une fois que je l’ai retrouvé. J’me suis calqué sur ses repères, le temps d’apprendre à nous reconstruire. Et c’est seulement à ce moment que j’ai pu prendre pleinement conscience de mes pouvoirs. Jusque là, j’en n’avais eu que de brefs aperçus dévastateurs. Et c’était pas la grande joie, pour tout dire. Vous réagiriez comment, vous, en réalisant avoir des pouvoirs meurtriers qui vous échappent complètement ? » Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? « C’est la question qui tourne en boucle dans ma tête, ces derniers mois. Est-ce que ma vie me convient… A l’époque, faire partie des X-Men était un but. Une motivation qui me poussait à aller de l’avant, à apprendre, à prendre sur moi. Une sorte de suite logique. L’envie de rejoindre Scott, de pouvoir contribuer aux idéaux du Professeur, de ressembler, au moins un peu, à cet aîné que je découvrais seulement. Un besoin de pallier au manque, aussi, peut-être. Me rapprocher de lui. Et je peux même dire m’être fait des amis. Moi qui étais toujours si solitaire, parmi les humains, moi qui avais du mal à me sentir à ma place ; j’ai découvert un tout autre univers une fois à l’Institut. Mais les événements récents posent le doute, qui gronde un peu plus fort chaque jour. Est-ce que je suis vraiment à ma place, parmi eux ? Est-ce que les humains valent vraiment la peine qu’on se batte pour eux ? C’est l’océan qui se déchaîne, dans mon cerveau. Des vagues d’incertitudes, contrées par un remord palpable. Mais j’peux pas m’empêcher de ressasser et de me demander si je ne ferais pas mieux de partir… » biographie Chapter 1: Who we are [APRIL 1994 – SCOTT (12) & ALEX (7)]Le lit grince quand le gamin y grimpe. Il essaie d’être discret, les sœurs n’apprécieraient pas de le voir encore partager le lit de son petit frère, surtout au beau milieu de la nuit, où ils sont tous censés dormir à poings fermés. Mais il se moque bien de leurs règles. Alex pleure et c’est tout ce qui lui importe. Il faut qu’il le réconforte. Il faut qu’il lui dise qu’il est là pour lui, quoiqu’il arrive, qu’il sera toujours là pour lui. Il ne voit pas grand-chose mais il parvient à se glisser sous la couverture, à attraper le petit corps recroquevillé du plus jeune et à le presser fort contre lui. Son cœur saigne de voir son frère dans un tel état. Il refuse de manger, depuis des jours. Et il provoque la colère des sœurs, il prend des coups de bâton que Scott ne peut pas toujours prendre à sa place. Le dos du petiot est déjà mutilé et quand ses mains touchent, involontairement, les plaies encore ouvertes, il provoque un geignement qui lui fait serrer les dents. « Alex… Ne pleure pas. » L’enfant niche son nez contre le torse de son aîné. Il tremble, sans doute de la peur d’une journée de plus à passer dans un environnement qui lui semble tellement hostile. Ou de ne plus la passer ici, au contraire. On leur a annoncé qu’Alex partirait dans une famille, demain, il y a un peu moins d’une semaine, maintenant. Cette pensée les hante depuis. « Il faut que tu sois fort, tu sais. » Le petiot secoue la tête. Il serre ses minuscules poings, retient un sanglot, comme il peut, pas très bien, il n’en veut pas et pourtant la réalité s’impose. Et Scott qui se veut rassurant mais qui ne parvient à rien de concret. Il se résout à le tenir contre lui, en silence. « On ne sera pas séparés longtemps, Alex. » « Ne me laisse pas. » La voix se brise. Un millier de lames percent le cœur du plus grand. Une larme roule sur sa joue tandis qu’il ferme les yeux. Si seulement il pouvait lui mentir. Lui promettre que tout irait bien. Mais il ne peut pas. « Ecoute-moi, petit frère. » Il encercle son visage de ses mains et lève les yeux bleus pour qu’ils fixent les siens, même s’ils ne voient rien dans le noir. C’est peut-être la dernière chance qu’il a de lui dire. « Je te retrouverai. Quoiqu’il arrive, je finirai par te retrouver. Je ne cesserai jamais de te chercher, tu m’entends ? Alors tu es brave, tu manges, tu obéis et tu restes en vie et en bonne santé. C’est compris ? » Mais le petit agite la tête, de gauche à droite, brusquement. Il est parcouru de spasmes. Il n’en veut pas. Il n’en veut pas ! Scott raffermit sa prise, lui fait un peu mal, sans le vouloir, mais c’est tout ce qui permet au calme de revenir. « Ne pleure plus. » Pour la dernière fois, ils s’endorment l’un contre l’autre, dans l’austérité de l’orphelinat où ils ont atterri après le décès de leurs parents, quelques six mois auparavant. Chapter 2: Closer to the edge [JUNE 2003 – ALEX (16) & OLLIE (14)]La porte de la chambre claque, l’encadrement tremble un instant et le jeune homme se retient de ne pas foncer littéralement sur l’adolescente. Il colle son dos à la porte, que son crâne rencontre presque brutalement, sous le coup de la colère. Inspire. Expire. Il rouvre les yeux sur la blondinette, en boule, dans le coin de la pièce. Les décorations enfantines, les posters, les peluches, lui semblent parfaitement risibles, maintenant qu’il a compris. « Combien de temps, Ollie ? » Elle ne pleure pas et, quelque part, ça lui fait plus peur encore. Elle ne répond pas non plus. Elle reste immobile tandis qu’il finit par s’avancer. Il s’agenouille, pose une main sur son genou. Elle relève enfin les yeux, vides, qu’elle plante dans les siens. « Combien de temps ? » La famille parfaite n’existe pas. Il le sentait bien. Ce n’était que du vent. Toutes ces années. Des mensonges. Pour qu’on ne les soupçonne de rien. Pour que les services sociaux qui s’occupaient du placement d’Alex leur fichent la paix. Et pendant tout ce temps, le silence sur une vérité cruelle, sur des plaies invisibles qui pourtant existent bien. La main du jeune homme tremble. L’impuissance, la colère qu’il ressent, notamment envers lui-même, l’empêche de raisonner clairement. Elle lui souffle de respirer et il s’exécute. « Je ne sais plus exactement. Longtemps. » Le bleu des yeux se glace. Il l’attire contre lui, sans douceur, avec empressement, et ils restent dans cette position de longues minutes avant qu’Alex ne brise le silence de la chambre. « Tu ne restes plus seule dans cette maison. » C’est un ordre qu’elle ne s’amusera pas à contredire. De toute manière, il y a quelques années, déjà, qu’Alex se montre particulièrement caractériel. Adolescence difficile, dit-on. Tendrement, pourtant, les doigts masculins glissent dans la chevelure dorée. « J'vais le briser. » « N’y pense pas, ce serait bien trop flagrant. Et je ne veux pas faire de mal à maman. » « Alors on s'casse. » « On ne peut pas, Alex. On n’a nulle part où aller. » Il semble réfléchir un instant, mais rien ne vient, tout est vide. Elle a raison et il ne veut pas la mettre en danger. Le poing s’abat contre le mur, rapprochent les corps plus qu’ils ne le sont déjà, battements de myocardes qui se retrouvent à se calquer l’un sur l’autre. Qui apaisent enfin, lentement. Chapter 3: Radioactive [DECEMBER 2004 – ALEX (17)]Dans la tête, un bourdonnement incessant. Le blanc immaculé irrite les yeux qui s’ouvrent, lentement, sur la pièce. La bouche est sèche, la tête tourne, et le jeune homme doit retenir le haut le cœur qui lui vient presque aussitôt. Ce n’est qu’après quelques longues minutes de blanc qu’il semble réellement revenir à lui. Le fil qui relie la pochette de liquide transparent à son bras l’y aide. Alex déglutit, se relève un peu, pose le haut de son dos contre le cadre du lit d’hôpital. Et les images lui reviennent en mémoire. Quelques bribes, des sensations, surtout. Le cœur s’emballe quand il se rappelle la colère, le regard triste d’Ollie ; quand il se souvient la perte de contrôle, le grondement des sentiments, dévastateur. Et la minute d’après, la voiture a explosé. Littéralement. « Ollie ! » Pas une pensée pour ses parents, juste sa sœur. Sa petite sœur. Qu’il a juré de protéger. Sur le coup de l’impulsion, il arrache la perfusion, faisant fi du filet de sang qui macule son bras, et se traîne hors du lit. Épaule contre le mur, pour la stabilité, car le monde vacille, autour de lui. Il ne sait trop comment il tient debout, ni même comment il arrive à parcourir le couloir bondé avant qu’on l’interpelle. « Jeune homme ! Qu’est-ce que vous faites là ? Vous ne pouvez pas sortir comment ça. » « Je veux voir ma sœur. » L’infirmière le dévisage, alors, il ajoute : « Olivia Thompson. » Elle soupire, lui fait signe de la suivre. Il peine à la rejoindre mais se traîne, comme il peut. Quelques clics plus tard, elle lui confie qu’Ollie est au bloc opératoire suite à des blessures graves, que son état était critique en arrivant et qu’ils opèrent certainement encore actuellement. Peut-être est-ce le ton, ou le visage de la femme qui se referme, mais Alex comprend soudain que rien de bon n’en ressortira. Parce qu’au cours d’une vie, le monde s’écroule plus d’une fois… Chapter 4: Reclusion [JULY 2006 – ALEX (19)]Il n’est plus dans cette minuscule cellule mais c’est presque tout comme. Il se sent terriblement isolé, paumé, il a mis les pieds dans un univers qu’il ne comprend pas, qui lui fait peur. Combien de temps avant qu’on l’ait sorti de là ? Combien d’aiguilles qui ont transpercé sa peau ? Combien d’heures de confinement ? Combien de décharges électriques pour provoquer la douleur et déclencher… déclencher le chaos ? Le forcer à le déclencher. Malgré lui. Sous les manipulations malsaines, sous la peur, la contrainte, la douleur. Alex se prend la tête entre les mains. Des bribes de conversation lui parviennent. « Il est d’une extrême puissance. » « Mais il ne contrôle rien. » « Il apprendra. » Il apprendra, en effet. Mais pour l’heure, il voudrait juste revenir en arrière, retourner dans son univers, retrouver Zach, Chris et les autres. Finalement, dealer et risquer la prison, ce n’était plus si effrayant. Il avait connu un sort bien plus terrible, ces derniers mois. Son corps souffrait encore des mutilations. « … comprends pas bien. » Il a envie de gerber. Et de se barrer. Mais il a vu de quoi ils étaient capables. Privé de tout contact, il ne pouvait pas savoir ne pas être le seul sur qui on expérimentait. S’il a compris qu’il avait quelque chose de différent, de dangereux, de spécial, il ignorait ne pas être un cas isolé. Et quand les piliers se sont mis en mouvement, quand les barreaux ont cédé, que ces inconnus sont venus le chercher, le sortir de son confinement, il a cru comprendre. « Comme des vagues de chaleur… » « … Il faut se méfier, il pourrait vite devenir dévastateur. » « C’est tout l’intérêt, justement… La Confrérie y trouverait forcément son avantage. Et lui aussi. » Chapter 5: Bleeding out [OCTOBER 2010 – ALEX (23) & SCOTT (28)] « Tu restes là. » Il n’a pas changé. Il a toujours été celui qui prenait les décisions, qui donnait les directives. Pas étonnant qu’il fasse figure de référence parmi les X-Men. Alex s’accoude à la porte, un sourire en coin. Il pense le lui faire remarquer mais c’est inutile. Comme s’il lisait dans son esprit. Il proteste, pourtant, le plus jeune : « Allez, vous pourriez avoir besoin de moi. » « J’ai dit non, Alex. » « Je contrôle de mieux en mieux, pourtant. » « Pas assez », rétorque Scott. Soupire entendu. Il ne protestera pas plus. Une tape dans le dos, un mot. Sans le savoir, le dernier. Une main compatissante sur l’épaule, qu’il ne relève même pas. « Je suis vraiment navré, Alex. » Encore un. Un de plus. Un de trop. Il est vidé. Vidé de toute son énergie, éreinté, ailleurs. « C’est une perte immense. » Pas besoin de le lui répéter. Il est le premier à en souffrir, même si, quelque part, il a peut-être moins bien connu son frère que certains élèves et professeurs, ici. Ce constat le brise, un peu plus, déchire ce qui vient de se construire, le tue à petit feu. S’il n’avait pas déjà explosé, il y a deux heures de cela, il aurait recommencé. Mais l’énergie lui manque. Littéralement. Affaissé sur un banc, les yeux dans le vague. Il n’est plus bon à rien. Il n’a plus goût à rien. On vient de lui arracher le peu de joie de vivre qu’il s’était doucement approprié, de nouveau. Tout vole en éclats, part en fumée. Et lui, il reste. Comme d’habitude, c’est lui qui reste. Comme avec Ollie. Comme avant. Mais là, c’est Scott et, cette fois, il ne s’en remettra pas. Il le sait. Chapter 6: Wake me up [MAY 2013 – ALEX (26)]Parce que tout finit par changer, à un moment ou à un autre. Même quand il s’agit du désespoir. Même quand on croit ne jamais pouvoir se relever. Il vient toujours un moment où on redresse la tête et on tente un pas en avant. Ce moment où l’on prend conscience qu’en fait, on ne s’écroule pas, malgré ce qu’on en avait pensé pendant tout ce temps. Les doigts glissent sur la pierre tombale. Trois ans. Et tourner la page avait été d’une telle difficulté. Il se reprochait tant de choses et, pourtant, savait n’être responsable de rien. Un sourire triste sur le bord des lèvres quand il murmure : « Ça y est, Scotty. J’suis un vrai X-Man, maintenant. » irl Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Moi, c’est Plumeria, demoiselle de 24 ans. Fréquence de connexion ; Autant que possible, plusieurs fois par semaine. Que pensez-vous du forum? ; Il est démoniaque. Voilà. Comment l'avez-vous découvert ? A force de stalker les bonhommes de neige. Tout ça, c'est de la faute de Snow... Célébrité choisie ; Garrett Hedlund Credits (avatar, icon etc.) ; Gifs sur Tumblr, images disséminées sur le net et retouchées par mes soins.
Dernière édition par Alexander Summers le Dim 3 Juil - 19:51, édité 10 fois |
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it's a revolution, i suppose Purifiers • set them on fire | | | Havok... Garrett... hm je t'aime ? xD
Bienvenue ♥ |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Merci, Jer ! Mais tu peux pas vraiment m'aimer, tu sais, tout ça, c'est dans ta tête. |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue sur le forum, amuse-toi bien parmi nous |
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it's a revolution, i suppose x-resistance + never back down! | | | |
it's a revolution, i suppose Purifiers • set them on fire | | | - Alexander Summers a écrit:
- Merci, Jer !
Mais tu peux pas vraiment m'aimer, tu sais, tout ça, c'est dans ta tête. Mais non c'est dans mon petit coeur, Parce que... si, je t'aime, nomého ! |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | |
it's a revolution, i suppose Invité | | | Merci Grant ! Kitty, OMG, merci pour ton accueil. Haha, le combo Garrett/Havok fait sensation, j'me disais bien que ça pouvait pas être mon imagination ! Gah, Shailene, ce coup de cœur C'est absolument quand tu veux, pour un lien, petit chat ! T'manière, j'vais v'nir te harceler, alors bon. Puis c'pas comme si on vivait au même endroit, haha ! Jer, azy, trop d'amûr, comment veux-tu que je résiste ? Bobby, arrête de faire genre, j'sais que tu kiffes, au fond Merciiii |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue camarade mutant même si tu es avec roulette |
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it's a revolution, i suppose x-resistance • never back down! | | | |
it's a revolution, i suppose Invité | | | |
it's a revolution, i suppose Invité | | | Oh dear.. t'es sexy toi aussi Stalke pas ma vie amoureuse, sinon j'vais te punir Amuse-toi bien dans le coin, avant que je ne te gèle l'arrière-train |
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it's a revolution, i suppose not affiliated • leave me alone | | | |
it's a revolution, i suppose x-resistance + never back down! | | | J'AI HÂTE POUR CE LIEN ET POUR CE HARCÈLEMENT ALORS |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue et bon courage pour ta fiche Super choix de personnage |
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it's a revolution, i suppose | | | | |
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