Nom et Prénom : Charlie Alanna Johnsons. Ce sont ses véritables nom et prénoms. Elle était orpheline quand elle a été kidnappée par l'HYDRA et donc personne ne s'est inquiété de son sort. Elle avait aussi très peu d'amis, étant donné qu'elle est un peu "spéciale".   Alias : La goudou mais ça, c'est uniquement Braiden qui la surnomme comme ça. Même si elle ne s'en souvient pas, elle avait fini par s'y habituer mais pour se venger l'appelait Pinocchio. Mais il l'appelait aussi GodMother, en référence au Parrain, et c'est un surnom qui est resté. Elle a toujours aimé ça et s'en amuse. Âge : 32 ans. Lieu de naissance & nationalité : Los Angeles, américaine. Métier : Journaliste à CNN de base mais elle est aussi un agent dormant de l'HYDRA. Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Homosexuelle Particularités : - Elle a le pouvoir de Suggestion. En gros, elle peut influencer l'esprit d'un tiers, lui implanter des souvenirs ou des idées, et avec assez d'expérience, contrôler son esprit.
- Elle a aussi un petit problème : elle est à la limite de l'hyperactivité Affiliation : HYDRA, même si ça ne va pas durer. Elle est un agent dormant à la Bucky Barnes qui ne peut être activée uniquement par Braiden. Il a été son mentor durant toutes ses années à l'agence et seul lui connaît les mots qui peuvent la faire réagir.

Êtes-vous pour ou contre la Loi de Recensement des Mutants ? Pourquoi ? Si vous êtes un Mutant, avez-vous décidé de vous recenser ?  Franchement ? Charlie ne se sent pas concernée. Elle sait être une mutante (elle n'est pas au courant que c'est HYDRA qui a déclenché ses pouvoirs) mais ne veut pas faire partie de ceux qui se recensent. Son pouvoir est un atout dans son job et elle compte bien garder sa capacité cachée. Cependant, toute cette histoire est bonne pour les journalistes. Elle compte s'y intéresser uniquement pour ses articles.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Sérieusement ? Les superhéros sont une mine d'or pour elle ! Un petit pétage d'immeuble par-ci, la veuve et l'orphelin à sauver par-là... Ces mecs sont des articles ambulant. Il suffit qu'ils pointent le bout de leur nez pour que la populace veuille un article. Les gens sont curieux et intarissables à leur sujet et c'est bon pour le business.
Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? (pour les deus ex machina) Selon les souvenirs factices de Charlie, ses pouvoirs se sont révélés alors qu'elle n'avait que quatorze. Elle a poussé ses parents adoptifs de l'époque à avoir tout ce qu'elle voulait le jour de son anniversaire, quitte à s'endetter (c'est d'ailleurs à cause de ça qu'ils ont arrêté le processus de l'adoption). Mais la vérité est tout autre. Elle était quelqu'un de normal avant d'être kidnappée par HYDRA : une petite étudiante orpheline qui trimait pour payer ses études en faisant des jobs à la con (le travail de femme-sandwich était son boulot de prédilection). Mais ils l'ont torturée afin de développer les gênes mutants présents dans son organisme. Ils ont d'ailleurs été très satisfaits quand ils ont découvert qu'elle possédait le pouvoir de Suggestion.
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? (si votre personnage a une identité secrète) Tout comme sa vraie nature, Charlie n'est pas du tout au courant de son identité secrète. Ceux qui sont au courant pour son identité ont tout fait pour qu'elle oublie tout afin de pouvoir la déclencher quand le temps sera venu...
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Avec la mutation qu'elle possède, ce boulot est parfait pour elle. Elle l'adore ! Elle a des entrées privées pour n'importe quel évènement, juste en montrant ce petit badge magique réservé aux journalistes. Franchement, si c'est pas le pieds ça ? Alors, ouais, elle adooooore son travail !

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Eyzekielle/25/F Fréquence de connexion ; Quand je peux Que pensez-vous du forum? ; Comment l'avez-vous découvert ? J'suis l'une de ses mômans dans ce couple que nous formons à 8 Célébrité choisie ; Zooey Deschanel Credits (avatar, icon etc.) ; Tumbler; Bazzart.

You're a bad, baaad girl !
Il y avait des gens qui n'avaient pas de chance. C'était comme ça, ils n'y pouvaient rien. Ils avaient juste une poisse d'enfer. Et Charlie faisait partie de ces gens-là. Elle avait commencé sa vie - ou en tout cas, les premiers souvenirs qu'elle avait - en étant abandonnée. Elle était orpheline à présent, qu'ils disaient. Elle n'avait aucun souvenir de ses parents. Selon les bonnes sœurs qui s'occupaient de l'orphelinat où elle était, elles l'avaient trouvé devant leur porte alors qu'elle n'avait que cinq ans. Elle n'avait pas été maltraité. Elle était même en bonne condition physique. Elle était juste là, une lettre dans la poche avec son prénom marqué dessus - Charlie Alanna - demandant aux personnes qui la récupéreraient de prendre bien soin d'elle. Et on ne pouvait pas dire que les bonnes sœurs avaient respectées cette engagement.

Le règlement était simple à l'orphelinat : tiens toi bien - "Pas d'insolence, Mademoiselle Johnsons !"- , fais tes corvées et tu n'auras pas de réprimandes. Vous connaissez ces caricatures de bonnes sœurs acariâtres qui aimaient limite maltraiter les enfants dans les films ? Eh ben, pour cette orphelinat, ce n'était pas une caricature mais bien la réalité et quand on est une petite fille limite hyperactive, ça ne se passe pas forcément bien. Et puis, soyons clair, Charlie adorait foutre la merde, surtout pour faire rire ses petits camarades, - elle adore toujours autant soit dit en passant - mais à l'époque c'était pire - si, si, je vous assure. Les femmes avaient essayé de la "mater", comme elle le disaient si bien. Quelques petits coups de règles par-ci, l'enfermer dans un placard pendant quelques heures par-là... C'était pas la grand joie à l'orphelinat mais ça n'empêchait jamais Charlie de recommencer, bien au contraire. Elle avait déjà un caractère rebelle à l'époque et s'en amusait.

Bref, être hyperactive associé au fait qu'elle n'était pas dans les bonnes grâces des mégères qui peignaient un portrait d'elle peu flatteur aux adoptants, ne l'aidait pas à trouver des parents. Elle a d'ailleurs passer toute son enfance à l'orphelinat au grand damne des bonnes sœurs - qui étaient assez stupides pour l'empêcher d'être adoptée - et au grand plaisir de ses camarades qui ne se lassaient pas de ses pitreries. Mais Charlie, elle, souffrait de cette situation malgré son sourire de façade. Elle ne se pensait pas assez bien pour être adoptée. Après tout, ses propres parents l'avaient abandonnés : pourquoi des étrangers voudraient d'elle comme enfant ? Elle en avait souffert mais avait fini par en faire une force. Elle s'était endurcie, devenant celle qu'elle voulait être, sans penser à l'avis des autres. Quand on voyait la folle dingue qu'elle était devenue... On se dit qu'elle aurait mieux fait d'être adoptée, celle-là.

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Freedom but not so much
Elle avait fini par quitter l'orphelinat, sans regret, à l'âge de dix-huit ans. Peu importe combien elle s'était amusé à faire tourner en bourriques ces vieilles biques : sentir le vent de la liberté faisait vibrer son corps. Elle avait pris le peu d'affaires qu'elle avait accumulé le long des années et était partie sans un regard en arrière. Bon, elle avait peut-être lâcher une phrase aux bonnes soeurs, rien de grave, juste histoire de les emmerder jusqu'au bout. « Allez, adieu les vieilles biques ! Ça a été un vrai déplaisir de vous côtoyer ! » Elle avait vraiment cru que la tête de la reine mère allait exploser alors qu'elle prononçait cette phrase. La délicatesse n'avait jamais été le fort de cette jeune fille.

Elle passa quelques mois en tant que femme sandwich à distribuer des prospectus dans la rue. Elle avait réussi à trouver un petit studio en ville : rien de bien folichon mais ça lui suffisait car c'était à elle. Elle ne devait tout ça uniquement grâce à elle et n'avait plus besoin de personne pour s'en sortir. Elle comptait économiser assez pour faire des études, elle ne savait pas encore lesquelles mais elle le voulait et puis, franchement, aller à la fac et faire la fête avait l'air franchement super cool ! Mais tout ne se passa pas comme prévu.

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« Venez chez Alli's burger ! Promotion en ce moment : deux burgers achetés, un offert !  » Elle gigota dans tous les sens dans son costume d'hamburger. Sa tête dépassait à peine du costume et on pouvait voir sa franche se balancer au rythme de ses pas chassés, poursuivant les pauvres passants qui n'en demandaient pas tant. « Alli's burger, le roi du burger saura régaler vos papilles ! » - si vous ne vomissez pas vos tripes à cause d'une intoxication alimentaire !, pensa-t-elle avec un petit rire presque sadique. Jamais, elle n'aurait mangé dans ce maudit bouiboui. L'extérieur était sympa, l'intérieur chaleureux mais si on allait dans les cuisines... Cela devait faire un moment que les services d'hygiène n'y avaient pas mis les pieds - ou se faisaient salement graisser la patte pour fermer les yeux.

Un homme la bouscula, ramenant son attention sur son travail. L'homme grogna avant de se retourner vers elle. « Putain, tu peux pas faire attention, connasse ! » Charlie leva un sourcil avant qu'un petit rire ne lui échappe. « Mon gars, t'as clairement pas les idées claires car c'est ton gros fessier qui a bousculé le mien ! » Elle s'approcha de lui et pinça son cul avec un sourire. « Mais dis donc, y'a pas que du muscle, là ! Faut travailler tout ça ! » L'homme rougit et se recula de quelques pas alors que ses amis commençaient à rigoler. « Putain de cinglée... » Il reprit son chemin comme si tout cela n'était pas arrivé. Charlie lâcha un rire et envoya quelques prospectus dans sa direction. « N'oubliez pas d'aller chez Alli's Burger, le roi du burger ! » Elle leur fit un signe de main, comme pour les saluer.

Elle reprit son boulot sans faire attention aux paires d'yeux qui suivaient chacun de ses gestes. « C'est... elle la cible ? » Le premier agent d'HYDRA semblait perplexe. Pourquoi cette fille ? Elle avait l'air complètement cinglée et, franchement, pas dans le bon sens du terme, dans le sens énervant du terme. « Oui. Prédisposition génétique à révéler des pouvoirs. Orpheline avec très peu d'amis : elle ne manquera à personne et personne ne la recherchera. » marmonna le deuxième agent alors qu'il amenait le café à ses lèvres, en buvant une gorgée salvatrice, tandis que le premier acquiesçait. Ils surveillaient cette gamine depuis une semaine maintenant et on ne pouvait pas dire qu'elle était du genre calme : elle dormait peu, remuait beaucoup - selon son dossier, elle était à la limite de l'hyperactivité - et, en plus de tout ça, était accro à la caféine empirant son problème de bougeotte. Ils n'avaient tous les deux qu'une hâte après qu'ils aient envoyé leur rapport quelques heures plus tôt : que cette foutue mission se termine. Justement, l'agent, la tasse toujours aux lèvres, reçut un sms sur son téléphone crypté : « Message bien reçu. Réceptionnez le colis. » L'agent eut un sourire avant de relever son visage vers son collègue qui lui répondit. « C'est parti » La vraie mission pouvait enfin commencer.

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Power needs sacrifices
Charlie se réveilla groggy et la bouche pâteuse. Elle ouvrit et ferma la bouche deux ou trois fois avant de murmurer. « Oh putain, me dîtes pas que je me tape une gueule de bois d'enfer ! Qu'est-ce que j'ai foutu hier ? J'suis sûre que c'est ce connard de Marcus qui m'a refilé des amphet' dans mon verre... » Elle voulut relever la main afin de la passer dans ses cheveux mais elle ne le put pas. Elle ouvrit les yeux d'un coup, sentant enfin les sangles bloquant ses gestes. « Aaaah, la belle au bois dormant se réveille enfin. » Charlie haussa en sourcil en entendant l'accent allemand de l'homme en face de lui habillé d'une blouse blanche. « Attendez, c'est une blague ? Vous êtes quoi ? Un scientifique fou ? Et puis, l'accent allemand ? Sérieusement ? C'est pas un peu too much, même carrément cliché, tout ce cinéma ? » Elle devrait fermer sa gueule pour son propre bien mais ce n'était pas vraiment son genre. Sa bouche parlait plus vite que son cerveau ne pensait - s'il arrivait à penser.

L'homme en face d'elle resta impassible alors que le sourire présent sur ses lèvres restait bien en place. « Les agents qui vous ont amenés m'ont prévenu que vous aviez un caractère... sauvage et qu'il fallait vous mâter. » Charlie haussa un sourcil. Okay, ce mec était définitivement malade. « Écoute mon gars, les bonnes sœurs ont pas réussi alors ça va pas être un cinglé qui va y arriver. Mais merci, c'était sympa comme expérience. » Elle observa les alentours et vit qu'elle se trouvait dans une pièce très bien éclairée : des instruments médicaux se trouvaient sur une table à côté. Tout avait l'air presque... aseptisé. Elle tourna son regard vers ses mains attachées par des sangles en cuir alors qu'une perfusion était présente sur son bras droit. Elle bougea ses poignets avant de retourner son attention sur l'homme. « Bon, euh... J'aimerais pas foutre ta fête en l'air mon gars mais ça te dirait de me détacher ? » Puis, d'un coup, ça fit tilt dans sa tête. Elle se souvenait vaguement de deux mecs l'abordant alors qu'elle rentrait chez elle en costume de Hamburger. Elle baissa le regard sur son corps et vit qu'elle n'était plus vêtue que d'un débardeur et un short. « Hé ! Putain ! Il est où mon costume d'hamburger ?! Vous savez combien ça va me coûter si je l'abîme ?! Mon patron est un vrai radin, m... » Un court jus la traversa de part en part et pas la petite dose qu'on se prenait quand on touchait un fil électrique, non, celle qui vous faisait hurler bien comme il fallait. La jeune femme lâcha un cri alors que la douleur s'arrêtait. « J'espère que vous comprendrez que, contrairement aux bonnes soeurs », il eut un petit rire sarcastique, « nous utilisons des méthodes plus, dirons-nous, musclées. » Charlie serra les dents avant de lui jeter un regard noir. « Rapprochez-vous juste un peu et je vais vous montrer mes méthodes musclées. » Le scientifique lui sourit sadiquement et pencha la tête sur le côté. Il ne prit pas le temps de réagir à sa petit pique et se dirigea vers le plateau présent non loin de lui. « Vous savez, vos gènes sont très intéressants. Ils possèdent une particularité... unique ! » La jeune femme l'écouta, les dents serrées. « Ah ben vous m'en apprenez de belles ! Moi je connais même pas mes parents alors mon code génétique... » Elle prit la parole mais il continua de l'ignorer, appuyant juste sur un petit bouton qui lui renvoya une décharge électrique, juste le temps de quelques secondes mais ce fut suffisant. « Vous pourriez diminuer l'intensité ? Ça commence doucement à piquer... » Nouvelle décharge. Nouveau cri. Charlie avait la respiration haletante. Elle ferma les yeux quelques instants, juste le temps de reprendre ses esprits.

Elle entendit la voix du scientifique se rapprocher alors elle releva la tête, l'observant arriver avec une seringue dans les mains. « Je m'appelle le Dr Richthofen. Je suis chargée de m'occuper des cas comme le vôtre. Je vais vous aider, Mademoiselle Johnsons. » Un petit rire échappa à la jeune femme. « Bizarrement, c'est pas l'impression que ça donne ! » Il se rapprocha un peu plus de la perfusion et l'utilisa afin de faire rentrer le liquide dans son organisme. Elle put le voir voyager dans les tuyaux transparents avant qu'il n'atteigne ses veines. « Rassurez-vous, Mademoiselle. Bientôt, vous verrez mon travail. Il faudra du temps, de la patience, et plusieurs doses de mon petit cocktail explosif » il désigna la seringue d'un mouvement fier « mais vous me remercierez après. Oh oui, vous me remercierez. » Charlie n'entendit pas la suite. Elle pouvait sentir ses veines commencer à bouillir au contact du produit. Elle commença à crier, à hurler. Elle n'avait jamais ressenti une telle douleur. Son corps... était comme de la lave en fusion. Elle avait l'impression que jamais la douleur ne s'arrêterait. Je vais mourir ! Je vais mourir !, pensa-t-elle avec panique. Non. Elle ne voulait pas ! Elle était enfin libre. Elle avait à peine commencé sa nouvelle vie : elle n'était pas prête à dire au revoir à tout ça. Pas maintenant. Pas aujourd'hui. Un dernier cri et elle s'évanouit sous le coup de la douleur insupportable.

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Elle ne savait pas depuis combien de temps elle se trouvait dans cette pièce, ni combien de coup de jus elle s'était pris pour son insolence et pour déclencher ses soit disant "pouvoirs" mais ce qu'elle savait en revanche c'est qu'elle était fatiguée. Elle voulait que cela cesse. Le scientifique de releva la table afin que Charlie se tienne presque droite mais la tête de celle-ci tomba sur sa poitrine. Elle essaya vainement de la redresser afin de montrer qu'elle ne se laisserait pas faire mais seul son regard se releva vers l'homme afin de plonger un regard provoquant dans celui-ci de son vis-à-vis. Un faible sourire naquit sur ses lèvres tandis qu'elle prenait la parole. « Alors, doc... » Une inspiration laborieuse. « Vous êtes déjà— » Une autre. « —fatigué ? Moi, je peux continuer...  » Encore une. « —toute la journée s'il le faut. » Le Dr Richthofen lui lança un sourire ironique, satisfait de la voir si faible malgré son comportement irrespectueux. D'un geste, il lui envoya une nouvelle décharge, observant avec un plaisir presque malsain son visage se crisper. « Vous savez, Mademoiselle Johnsons— » Il se rapprocha d'elle, une seringue à la main. « —je ne fais pas tout ça de gaité de cœur, bien au contraire je—  »« C'est fou comme on dirait pas... » balança à travers ses dents serrées la jeune femme mais le scientifique l'ignora. « —fais ça pour vous. Je veux révéler votre plein potentiel et vous offrir une chance dans la vie, après tout vous n'en avez pas vraiment eu depuis le début. » Elle serra les dents, se retenant de l'envoyer chier proprement, mais arriva à rester de marbre. « Mais vos gênes montrent quelques... résistances. Alors j'ai décidé de forcer un peu les doses et surtout— » Le Dr Richthofen s'approcha, abaissa l’ersatz de lit et planta l'aiguille directement dans le cou de Charlie. « —d'envoyer le sérum directement à la source, sans utiliser d'intraveineuse. » Ses veines brûlèrent d'un coup et elle ouvrit la bouche, lâchant un cri alors que son corps se tendait formant un arc de cercle.

Sans qu'elle s'en rende compte, ses yeux s'écarquillèrent et elle hurla des supplications. « STOP ! Arrêtez ! Stop ! » Sa respiration se fit haletante et elle pria, mit toute sa volonté dans ses paroles. Elle voulait que la souffrance cesse enfin. Et, comme si de rient n'était, les brûlures s'apaisèrent. Elle reprit difficilement son souffle avant de tourner un regard fatigué et perdu vers le Dr Richthofen qui la regardait hagard, une seringue de morphine à la main. « Qu'est-ce que... » Les yeux du scientifique s'illuminèrent avant qu'un sourire ne naisse sur ses lèvres. « Enfin... »

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Always two there are, no more, no less. A master and an apprentice.
Les électrochocs avaient fini par s'arrêter. On lui fait passer de nombreux tests psychologiques durant plusieurs semaines avant de décider qu'elle était prête à se battre pour la cause, comme ils le disaient si bien. Mais, elle allait d'abord rencontrer la personne qui allait s'occuper de son entraînement, un certain Braiden. Charlie ne savait pas pourquoi mais quelques uns des soldats avaient eu l'air presque désolé pour elle quand leur chef avait annoncé ça. La jeune femme avait haussé un sourcil sceptique avant de suivre le Dr Richthofen jusqu'à la salle d'entraînement. Là, se trouvait un homme qui buvait un verre de whisky et bougeait sa main au rythme de la musique classique qui sortait des enceintes présentes sur la table à côté de lui. Charlie leva à nouveau un sourcil sceptique face au spectacle qui se déroulait devant ses yeux : des hommes dansaient en rythme avec la musique, faisant des portées digne des plus grands ballets. Le scientifique soupira avant de faire remarquer sa présence par un raclement de gorge, gardant les mains croisées derrière son dos. L'homme au whisky — sûrement le certain Braiden — releva la tête, remarquant enfin leur présence. Un grand sourire naquit sur ses lèvres alors qu'il se levait d'un air majestueux, s'approchant avec empressement d'eux. Arrivé à leur niveau, il prit Charlie dans ses bras qui grogna de mécontentement alors qu'elle sentait un peu de whisky sur son épaule et dans ses cheveux. « Agent Richardson, je vous présente votre nouvelle élève, Ch— » « CHARLIIIIIIIE ! » Braiden l'interrompit, brisant les tympans de celle-ci qui leva les bras avant de repousser brutalement l'agent qui se laissa faire, clairement, car vu sa carrure il n'aurait eu aucun mal à la retenir.

« Je vois que tu l'attendais avec... Impatience. » Le scientifique faisait une moue presque dégoûtée devant ce "câlin". Il se tourna vers l'agent avant de reprendre sa position droite, gardant ses mains dans le dos tandis que les soldats derrière continuaient de danser au rythme de la musique. « Tu t'occuperas de tous les entraînements et pas de la même manière que tu viens de le faire avec eux. » Il désigna d'une main les hommes derrière lui et Braiden leur jeta un regard avant de rigoler et, d'un geste de la main comme s'il balayait une poussière, les fit arrêter. Les agents reprirent leur souffle, jetant des regards paniqués au Richardson. « Alooors euh... C'est pas de ma faute. Je voulais juste leur faire faire quelques étirements. Puis une chose en entrainant une autre... » Le Dr Richthofen fit rouler ses yeux avant de soupirer. « Peu importe... l'agent Johnsons n'a aucun entraînement militaire et commence à peine à découvrir son pouvoir qui est la suggestion. Votre mission est de la préparer pour des opérations sur le terrain. Nous comptons sur vous, agent Richardson. », dit-il avant de donner le dossier de la jeune femme à l'homme qui le prit en faisant un aller-retour du regard entre l'objet et le scientifique. « Est-ce que le dossier va s'auto-détruire dans trente secondes aussi ? » Le Dr Richthofen ne répondit même pas et partit d'un pas pressé avant de se retourner une dernière fois. « Ah, et laissez partir ces soldats. Ils seront plus utiles autre part plutôt qu'à vous amuser. » Braiden claqua des talons, redressant le dos avant de porter sa main à sa tempe dans un salut militaire. « Sir, ! Yes, sir ! », et d'un bel ensemble tous les hommes présents derrière lui partir en faisant une marche militaire forcée par le Richardson.

Charlie observa le spectacle avec un sourcil haussé avant de tourner son attention vers son "maître" qui souriait de toutes ses dents. « Je sens qu'on va devenir super potes, toi et moi ! » Il la reprit dans ses bras avant qu'elle ne le repousse à nouveau. « Bon, j'vais être clair, "mon pote". Toi et moi ? Not Happening. Je ne suis pas trop portée sur le service trois-pièces si tu vois ce que je veux dire. » Braiden eut l'air interloqué pendant quelques instants avant qu'un grand sourire ne naisse sur ses lèvres à nouveau et qu'il se jette sur Charlie. « Tu pouvais pas mieux tomber !  J'ai toujours voulu avoir une amie goudou ! On va pouvoir aller chasser la gueuse ensemble ! » « Euh... Okay, dude... » Elle s'écarta à nouveau avant de voir le regard sérieux du Richardson. « Okay, jeune padawan, let's the show begin. »

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« NON ! » Charlie tournait autour de la table. Elle s'arrêta, observant Braiden qui se trouvait en face d'elle et essayait de l'attraper. « Charlie... » « J'ai dit non, Pinocchio ! Tu ne vas pas m'effacer la mémoire ! » Braiden grogna à l'entende du surnom que lui attribuait souvent son apprentie. Il attrapa la table et fit une esquive sur le côté avant de partir de l'autre pour contourner le meuble mais Charlie l'anticipa et partie dans l'autre sens. L'homme soupire avant de lever les bras et de les laisser retomber le long de son corps. « Bon, on va pas jouer au chat et à la souris toute la journée alors sois une gentille petite goudou et laisse toi faire. » La jeune femme haussa un sourcil sceptique avant d'envoyer une chaise dans la tronche de son ami qui l'esquiva facilement. « Oh ! Le mobilier, merde ! Un peu de respect pour mon sens du design ! » Mais elle ne l'écouta pas et lui en envoya une autre qu'il se prit dans l'épaule. « Putain, la goudou tu fais chier ! Mon physique de rêve, merde ! » « Tu parles d'un physique de rêve : tu ressembles à un clodo avec ta vieille barbe ! » Un rictus vint aux lèvres de Braiden avant qu'il ne réplique. « Soyons honnête deux minutes. Franchement, si t'étais pas lesbienne : avoue que je serais ton homme idéal. » Il tenta de se rapprocher d'elle alors qu'il parlait mais elle remarqua son manège et suivit son mouvement. « Non, Braiden. La réponse à cette question que tu me pose tout le temps est toujours non. » Le jeune homme fit une moue avant de baisser les bras et de prendre un regard sérieux. « Bon, on a assez joué. » Charlie écarquilla les yeux et sentit son corps se figer avant de se diriger vers le marionnettiste. « Braiden ! Non ! Lâche— » Mais elle fut interrompu quand il bloqua sa mâchoire à l'aide de son pouvoir. Elle le fusilla du regard, exprimant toute sa colère à travers ses yeux. Braiden se rapprocha d'un pas guilleret avant de remuer l'index de gauche à droite avant de faire claquer sa langue plusieurs fois, comme s'il réprimandait une enfant. « Oh, voyons, c'est très mal poli de vouloir forcer quelqu'un à l'aide de son pouvoir de suggestion. » Charlie lui lança un regard équivoque avant de le regarder de bas en haut. « Oui, bon, certes je le fais là mais c'est pour la bonne cause. » Il se rapprocha d'elle avant de la faire asseoir sur une chaise. Il l'observa quelques instants avant de lui sourire. « Ne t'inquiètes pas, on se reverra très bientôt, Charlie. »

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Love at first sight
Elle était... parfaite. Tout simplement parfaite. Quand Adamska l'avait traîné de force à cette conférence de presse qu'elle jugeait inutile, Charlie avait grogné, bataillé mais s'était laissé faire. Elle s'était dit qu'elle le faisait suffisamment souffrir comme ça sans le laisser gagner de temps en temps. Alors, elle était venue, en traînant les pieds, certes, mais elle était venue. La conférence avait commencé mais elle n'y faisait pas attention au début et puis, elle avait tourné son visage vers l'estrade et elle l'avait vu : Meryl Hope Ferguson, la nouvelle directrice du département de l'armement militaire chez Oscorp. Et... wahou ! Cette femme était parfaite et Charlie la voulait.

Elle posa quelques questions afin d'avoir son attention — questions plus ou moins logiques d'ailleurs. Avec une moue déçue de la journaliste, la conférence de presse se termina mais quand elle sortit dehors, Meryl était là, une cigarette aux lèvres. C'était sa chance et elle le savait. Elle se tourna vers Adamska, les yeux brillants. « Il faut que j'aille lui parler. C'est la femme de ma vie, je le sais. » Son ami tourna un regard sceptique vers elle. Il mena sa main vers son visage avant de se maintenir l'arrête du nez quelques instants. « Mais de qui tu parles, bon sang ? » L'homme était fatigué par Charlie. Il l'aimait bien, c'était son ami mais elle était vraiment... excentrique ! « Mais elle, voyons ! » La jeune femme attrapa la manche d'Adamska pour attirer son attention et pointa du doigt Meryl qui fumait tranquillement sa cigarette. Le jeune homme écarquilla les yeux avant de froncer les sourcils. « Oh, non ! Non, non, non, non ! Charlie tu vas pas faire— » « S'il vous plaiiiiiiiit ! » « —ça... » L'homme soupira avant de courir après son amie qui ne l'avait pas écouté et commencé à courir vers Meryl en l'interpellant.

Adamska ne pouvait pas dire qu'il s'ennuyait avec Charlie et cette rencontre allait sûrement être épique...

Bienvenue chez les HOMO SUPERIOR.

Ce personnage de l'amour absolu Charlie est trop parfaite, je l'adore, j'adore sa relation avec Braiden et j'ai hâte de voir ce que ça va donner avec Meryl. J'ai hâte de faire Wyatt et qu'on se trouve un lien de geudin, jtm, jnm voilà

time to have fun. Maintenant que tu es validé, tu peux commencer par aller recenser différentes choses, comme ton métier ou ton pouvoir si tu en as un. Tu peux aussi te chercher des copains sur le forum, c'est à dire poster ta fiche de liens. Si ton personnage est du genre à passer son temps sur son téléphone ou sur le net, tu peux aussi te rendre sur la webosphère.
Nous t'encourageons fortement à te rendre dans la chat box pour y faire la rencontre des autres membres, si tu le souhaites ! Sinon, tu peux aussi aller te créer un scénario. Quoi qu'il arrive, n'hésite pas à te faire ton trou par chez nous, on te souhaite bien des RPs et une belle et longue aventure sur TNA !

ENJOY !