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charlie hamilton
hello darkness my old friend


Identité
Nom et Prénom : son identité n'a plus d'importance. ce qu'elle était avant n'est plus que poussière, défunt cadavre. elle a laissé les charognes derrière elle. les cris encombrent son esprit et la succube se délecte de ce vieux refrain qui se répète dans sa tête. charlotte dolores morrigan. si faible, si dépourvue de force. charlotte a changé. charlie résonne dans les cris et hamilton brille. elle scintille dans le ciel étoilé, spectateur de la faucheuse. Alias : charlie a succombé aux abysses. l'homme à lunette a gagné et helmut peut compter sur l'un de ces nouveaux bijoux au doux nom d'éris. ce nom qui caresse vos lippes, si sensuel et démoniaque à la fois. éris n'est autre que la douce mélodie des ténèbres, révèle vos douleurs avec la plus grande des méprises. elle aime vous voir souffrir, elle aime vous torturer. elle se délecte du chaos et des échos du silence. elle est le monstre de zemo, le pantin désarticulé dont il s'amuse à jouer avec les cordes. Âge : ils ont dis qu'elle était trop jeune, trop faible. que ça la briserait, qu'on ne peut pas recoller les morceaux. elle avait l'âme trop douce, trop frêle. pourtant elle a choisi la mort plutôt que la vie. elle a tenté le tout pour le tout, parce qu'on ne répare pas les damnés du paradis. elle s'est offert un enfer d'ivresse. chaque blessure lui rappelle son quart d'année. vingt-cinq ans sur les papiers, vingt-cinq ans qu'elle recrache vulgairement l'air qui embrume ses poumons.  Lieu de naissance & nationalité : elle a tout de l'américaine puriste. son regard patriotique et ses cheveux blonds comme le blé du far west. elle aime jouer les origines, les nationalités. elle n'est autre que juive née dans un quartier malfamé du bronx. la seule petite blanche qu'il disait. aujourd'hui les langues ont été arrachées et les mots ne sont plus que des vilaines pensées. Métier : elle est cette bête que l'on ne peut entendre. ce sbire nocturne qui ricane à s'en ouvrir le torse. des papillons noirs dans le regard, la lame qui s'aiguise. et elle rit à s'en arracher les poumons la gamine, quand elle les entend crier. officiellement ce n'est qu'une moins que rien, une petite blonde bien trop farouche. elle n'est autre qu'une agent active de l'hydra, gagnant le rôle de garde du corps d'helmut zemo. elle est sa plus belle création, son bijou rare, et il compte bien la briser encore plus qu'elle ne l'est déjà. Statut civil : il était beau comme le soleil. l'homme parfait, roméo qui sort juliette de la détresse. il était riche et charismatique. charnel et pourtant un mystère. l'homme de ses nuées, celui qui hante ses pensées. ils ont fuis, dans le plus grand interdit. sans le dire à mamie et à pas de bruit, ils ont fabriqués ce paradis. ce jardin d'den où les pouvoirs qu'ils auraient acquis ensemble serait le plus délicieux des endroits. et puis il la hait. tabassé. martyrisé la gamine déjà abîmé. elle n'y a vu que du feu, et puis c'est sorti tout seul. la colère qui engourdissait son ventre est surgit, ça a rugit. on a entendu ses cris. on a vu le sang coulé. elle la tué. lui son amour de toujours. elle a bousillé son coeur en morceaux, se délectant de sa peine. elle a tué le soleil menteur. elle se veut célibataire mais se considère veuve. son coeur est mort et ne peut être ramené à la vie. son corps est toujours libre et elle laisse des offres pour certaines missions, mais le coeur de charlie n'a plus vraiment le sens de l'amour. il n'a plus le goût de ces baisers chauds, il n'a plus le goût de battre correctement pour mieux vivre. c'est un suave désert, inerte qui bat contre sa cage thoracique. Orientation sexuelle : la gamine ne voit pas par le genre, mais par le plaisir que cela peut lui accorder. homme, femme, peu importe. elle ne réfléchit pas tellement à cela, tant que le charme y est et que la personne ose attirer l'attention de la poupée, elle ne se pose pas réellement de question. Particularités : on lui a dit qu'elle pouvait faire mal. très mal quand elle le voulait. suite à un sérum injecté dans ses veines, la morveuse a du se battre pour rester humaine, mais les dommages étaient trop tard. le poison a envahie ses veines et elle est devenue indolore. physique ou moral, les coups ne lui font pas tellement de mal. elle savoure même avec sadisme ce qu'elle est capable de créer, dans un regard et l'amplifier d'un toucher. la dolorokinésie est devenue sa nouvelle arme. capable de créer des douleurs mentales, elle savoure à détruire le cerveau d'image incessante, se délectant du plaisir sournois des cris. elle rigole la gorgone, parce qu'elle pense que plus rien ne peut l'atteindre à part la mort. et rien ne l'effraie la gamine, quand elle a vue sa misère d'autrefois et le luxe d'aujourd'hui. également entraînée jour et nuit pendant plus de cinq ans, hydra a su faire d'hamilton une vraie barbare. bien plus à l'aise les mains nues qu'avec une arme, elle adore les armes blanches qui lui permettent de défouler sa colère. helmut l'a bien compris rapidement et préfère garder ce spécimen pour son propre plaisir. elle est sa création, la éris de ses désirs. Affiliation : heil hydra! qu'elle sourit. hydra qui a su prendre soin d'elle, s'occuper de sa santé. on lui a enlevé les jolies petits souvenirs pour lui rappeler qu'hydra a été là lorsqu'elle était perdue. grâce à eux, elle se sent plus forte. et parfois, s'il lui arrive de douter un instant, elle se rappelle ce qu'elle est devenue. bien plus forte, bien plus terrifiante. les regards qui s'abaissent sur son passage et la terreur. elle n'est plus faible, et elle le doit à hydra.


Interview

Avez-vous peur des Mutants ?  peur ... c'est un bien grand mot quand on connait le monstre. si c'était le cas, elle vous regarderait avant d'exploser de rire, comme si cela était une blague hilarante. elle n'a pas peur des mutants, c'est elle qui les effraie. charlie n'a peur de personne, elle est programmée pour détruire. c'est elle qui propage la peur avant que celle-ci ne se propage d'elle. charlie n'a plus peur, elle dévore les âmes avec ses canines acérées et se délecte de l'effroi.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? ça fait beaucoup plus de gens à exterminer. beaucoup plus de douleur à soumettre. charlie, elle aime avoir des ennemis, un champ de bataille. elle aime imposer sa loi, son règne. alors non, elle ne pense pas vraiment qu'il soit une bonne chose. dans le fond de son esprit, la petite charlotte remercie les superhéros d'agir et d'empêcher les gens comme elle de toujours gagner. mais ce n'est qu'une partie infime, inerte, morte qui le pense.
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? elle ne sait pas vraiment. sûrement parce qu'elle n'avait pas de repère. et que personne n'est venu la sauver de son enfer. au lieu de devenir victime, elle est devenue bourreau. cette force ça la renforce dans le fond de son esprit. elle se sent beaucoup plus forte, puissante. et elle savoure avec plaisir la puissance qu'elle en tire. personne ne veut fuir la louve avant qu'elle ne vous dévore. elle n'a plus ses habits de pouilleuse, sait se défendre. elle se réconforte en voyant ce que l'avenir lui prédit. alors elle torture et bafoue les honores comme on lui demande, sans chercher à trouver la lumière.  Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? ils étaient deux. l'âme-soeur de l'un, la moitié du coeur de l'autre. unis ensemble à tout jamais, les lèvres collées et la volonté de se surpasser. il la jalousé, il la détesté. elle est restée seule dans ce néant, seule dans l'impasse. grâce au sérum de l'hydra, ils se sont portés cobaye. ils ont voulu être des expériences avec le rêve de finir comme steve roger, mais en mieux. malheureusement, son pouvoir a dominé celui de l'homme. et la douleur fut mortelle pour les deux, si forte que l'un dévorait l'âme et l'autre martyrisait son corps. il est mort, elle est vivante. beaucoup plus forte, beaucoup plus folle. elle la gagné, elle la battu. et la vie a fait de lui un être déchu.  
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? satisfaction est un grand mot qu'elle s'amuse à décortiquer avec le regard des plus habiles. le regard de la démoniaque créature qui brise l'écho de votre voix dans le lieu sombre. elle ne se satisfait pas tellement, mais elle s'amuse, oh oui, beaucoup. elle calme sa folie dans les cris et les démesures, et son patron se satisfait de ses services. sa beauté ensorcelante lui permet de rester au bon endroit, avec la bonne personne. elle sait ce qu'elle doit faire, quand il faut. alors elle calcule le temps qui passe en cherchant la vraie raison, le bon murmure, pour que le silence se brise et que ses démons se calment.



IRL
Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; amortentia alias morgane, seize ans au compteur. Fréquence de connexion ; 4j/7 Que pensez-vous du forum? ; toujours aussi beau.  I love you   Comment l'avez-vous découvert ? je suis anciennement liz allen avec emma watson.  :ému: j'aimais trop ce forum pour ne pas revenir en sachant que j'ai toujours eu envie de lancer ma petite charlie.  :ému:  I love you    Célébrité choisie ; holland roden Credits (avatar, icon etc.) ; tumblr.



Dernière édition par Charlie Hamilton le Lun 8 Fév - 21:47, édité 12 fois
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mad hatter

can you hear the silence
who is the control ≈ charlie Tumblr_inline_nkbma1uNun1sky790 Elle crève la dalle. Son estomac vide grogne. Les lèvres asséchés et son regard assoiffé qui cherche le petit poison qui pourra la faire tenir quelques jours de plus. Encore viré. Et viré. Les sous manquent. Et grand-mère qui lui dit qu’elle est incapable. Grand-mère qui oublie la petite Charlotte. Assise sur son trottoir, cigarette à la bouche, elle regarde avec un air farouche les passants. Ils sont tous beaux, avec des costumes bien droits, une vie bien rangée, un air rapide à ne pas profiter de la beauté. Et elle rigole toute seule, à s’imaginer la vie de certains. Deux flics sortent d’un café avec des bagels, obèses compulsifs. Un homme sourit devant son téléphone, sûrement avec le sexto de sa maîtresse qu’il s’empresse de retrouver au coin d’une autre rue. Une maniaco-dépressive avec le tailleur droit. Une alcoolique qui cache son penchant à sa petite famille bien rangée. Elle doit savoir que son fils est gay, ou bien que sa fille aime rouler des joints avec les noirs du quartier. Et elle sourit de nouveau, Charlotte. Parce que la plus belle chose dans ce monde, c’est son sourire de sale gosse orpheline et heureuse. Ce petit regard malin qui marque votre esprit. Parce que Charlotte est plus belle dans la douleur, dans la peine. Elle se fait un monde, elle se fait une vie, sans travers, sans soucis. Et puis il passe, lui. Un joli petit costume droit, comme tous les autres hommes. La peau parfaitement rasée, les yeux égales à l’ébène et quelques mèches rebelles sur sa chevelure plate. Des lèvres fines qu’elle dévore du regard. Et son petit portefeuille apparaît. La beauté de l’ange disparaît face à l’appel à la faim, l’argent et le besoin de survivre. Lentement, elle se relève avec attention pour ne pas être trop brusque. Elle ne veut pas faire partie du quotidien envahissant de la rue, ce quotidien qui les dévore. Alors la louve, avance, suit sa cible, change de rue, puis une autre pour se retrouver en face de lui et continuer sa marche droite. Les mètres se rapprochent, puis les centimètres et voilà que celle-ci attrape la pitance avec agilité, puis part en courant instinctivement, se planquer dans les fast food les plus macabres pour compter sa fortune.

« Belle pioche aujourd’hui. » La voix glace la jeune-fille qui était installé dans un coin, face à une table vide avec l’argent sous ses yeux. Elle n’était à peine qu’à la moitié devant les autres billets qu’elle pouvait déjà s’offrir un bon repas dans un restaurent de qualité. C’est quand elle reconnaît la silhouette que sa tête se refroidie, son corps se glace et elle cherche instinctivement une sortie de secours. « Redonnez-moi ce qui m’appartient mademoiselle. » « Je l’ai trouvé par terre et … » L’homme pouffe avant de s’asseoir face à elle. Une serveuse dépose un burger à la table de derrière et s’approche d’eux pour prendre une commande. Le vendre de Charlotte explose et gargouille à l’odeur des frites voisines qui remontent à ses narines. « Nous prendrons deux burger. » Un regard interrogateur de la part du garçon et Charlotte hoche rapidement la tête avec des yeux affamés. Celle-ci repart aussitôt et Charlotte fixe le sol sous le regard mystérieux du garçon. « Qui êtes-vous ? » La voix de Charlotte se bloque, elle ne sait pas vraiment qui elle est. Comment se présenter, se définir. La seule blanche de son quartier. La seule gamine incapable de taper, la seule gamine qui souffre dans sa solitude. Et quand on tente de l’amadouer, on se perd dans son filée mystique. Parce que Charlotte n’est pas de ce monde, elle est bien plus que ça, mystique. C’est une créature qu’on veut tenter de dompter, mais qui est toujours libre. Quoi qu’on y fasse, son âme est déjà noire et la lumière est bien loin d’elle. « Je ne suis qu’une piètre voleuse. Et vous ? » L’homme lâche un ricanement face à la gamine qui attend la nourriture. Celle-ci arrive et Charlotte s’empresse de prendre le burger dans ses doigts avant de croquer dedans avec un mouvement hargneux. L’homme observe d’ailleurs le festin de la jeune fille en sirotant un verre de coca. « Vous ne mangez pas votre burger ? » L’homme repousse l’assiette et la met à côté de celle Charlotte. « Je n’aime pas vraiment les burgers, régalez-vous donc. » Charlotte s’empiffre et la jeune-fille oublie un instant la présence du garçon pour dévorer et remplir son estomac vide. Une fois terminée, celle-ci prend soin de s’essuyer avec grâce, comme pour s’excuser de son comportement légèrement ... brutal. « Merci. Et désolé pour votre portefeuille … » L’homme ricane légèrement avec un sourire rassurant. « Ce n’est pas grave, ça arrive à tout le monde d’être dans une mauvaise passe. D’ailleurs vous ne vous êtes toujours pas présenté. » Un homme de caractère qui aime garder le mystère sur lui-même et en savoir plus sur ces victimes. Un malade, psychorigide et fou à lier. Et le pire dans tout cela, c’est qu’elle s’empoisonne l’esprit à le dénigrer, pour le dévorer du regard. « Mon nom c’est Charlie. » La main du garçon vient baiser celle de la jeune-femme avec un sourire, il se relève et se présenter pour l’aider. « Enchantée Charlie. J’espère pouvoir recroiser votre chemin un de ces quatre. » L’inconnu salue la jeune femme avant de sortir avec élégance de l’endroit. Charlie se retrouve donc pleine, le ventre à craquer à devoir rentrer chez elle et affronter sa grand-mère.

Elle fume la dernière cigarette de son paquet allègrement, observant la vue dégradante des immeubles piteux. Elle souffle cette fumée comme elle souffle lacement le souffle de sa vie. L'ennuie et l'indifférence bercent ses rêves. Elle n'entend pas les cris de sa grand-mère et les coups qu'elle assène contre sa porte. « Bordel Charlotte, enlève l'énorme casque sur ta tête ! Y'a un homme friqué qui t'attend devant la porte. » Elle a pas le temps de finir, parce que Charlie laisse tomber sa clope et son casque trop grand. Parce qu'elle la pousse contre la porte et fait voler sa chevelure rousse emmêlée. Elle ouvre délicatement la porte, comme bercée d'illusion, tentant de se rendre séduisante. Il se tient là, devant elle. Un bouquet de fleur à la main. Un sourire olympien, un charme athlétique. Un dieu, une perfection. Ces deux yeux océans qui sont à l'origine de sa dérive, de sa noyade. « Tu viens manger un burger petite rousse ? » Et elle ferme la porte derrière elle. Elle attrape son bras et ne revient plus jamais. Charlie, elle mérite pas la crasse sur son vieux jean, ni-même les regards indolores d'une grand-mère qui se fiche d'elle. Elle a besoin que de ses bras, son corps, son visage, ses mots. Elle a besoin de lui pour découvrir la vie.


who is the control ≈ charlie Tumblr_nq0pl0kH8k1qdu06uo5_400 « Tu sais, ce que je t'ai dit. Toi, moi, contre le reste du monde. On peut le faire, on peut vivre comme ça. Je t'ai promis le paradis et je vais t'offrir le ciel ma beauté. Toi et moi, maître de ce monde. » Il caresse ses doigts avant de glisser une main sur son front pour repousser les mèches rebelles qui pendent sur son visage juvénile. Alors elle attrape sa main avec la plus grande des innocences. Elle a le regard pur, celui qu'on utilise pour dévoiler l'amour et la dévotion. Il lui offre tout, elle lui donne rien. Elle n'a que son âme et la plus grande des puretés. Une gamine qui aime sans réellement savoir. Alors elle relève la tête avec le plus de sérieux possible, masquant le bonheur éclatant. « Jeremiah, tu me rends heureuse de jour en jour. Maintenant c'est à mon tour de te faire ce cadeau. » Alors, en un soupir, en un délicat baiser, elle fixe le téléphone et compose le numéro. Juste un interlocuteur, juste un contacte, l'un des nombreux cous qui mènent à la tête. Et dans cette poignet d'amour, ils croient aux bonheurs de l'un et de l'autre. Ils s'aiment à la folie comme des enfants futiles qui croient au Père Noël. Ils ont l'espoir d'un soir, l'amour du jour.

« Plus fort ton coup droit Humphrey ! » La voix de l'homme résonne dans la salle. Jeremiah il enchaîne les coups contre le garçon en face de lui alors que Charlie les observe. Elle a peur, pour lui. Parce qu'il est impulsif, Jeremiah. Il aime pas les ordres, il ne connaît que le pouvoir et la richesse. Et face à sa folie, Charlotte la gamine des rues elle ne sait pas trop quoi lui dire. Alors, quand il est en colère le soir, parce que ce connard d'Aziz lui a foutu une raclée, il tente de trouver un bon moyen pour le planter. Ce genre de folie qui se dégrade et enclenche cette génétique de mauvais garçon qu'on aime tant. « Et toi Hamilton, t'es pas encore passé sur le tapis ? » Une tape dans le dos. Non, elle n'aime pas ça. Elle n'aime pas se retrouver entre Moriarty et Holgersen. Elle aime pas qu'on la ridiculise, elle aime pas ces regards rieurs qui la fusille. Mais quand elle voit le regard de Jeremiah et la honte qu'il porte à sa relation avec elle, elle ne peut s'empêcher d'enfiler ses gants et de monter sur le ring. Cette fois, c'est Holgersen, un mètre 77 et plus de 75kilos. La petite Charlie, elle entend les acclamations. Elle sent le regard de Jeremiah sur sa peau, lui qui dévore son corps du regard et détruit son âme à coup de "t'es trop faible charlie", "en fait c'est pas pour toi ici" ou encore "t'aurais jamais du venir", "tu me pourris la vie", "dégage parce que j'te jure que j'aurai pas de mal à érafler ta petite gueule de connasse". Elle se prend un coup. Dans le ventre en plus. Et ça lui fait mal. Bordel que ça lui fait mal au point de lui déchirer les tripes. Elle crache un instant avant de regarder cette jeune-fille. Elle n'imagine pas sa tête, mais celle de Jeremiah. Et ça fuse dans l'air. Sa jambe vient se lever et fouetter son visage avec un high kick, puis le temps d'un battement pour recaler sa garde, elle se baisse pour enchaîner deux coups droits et un uppercut. Elle calcule pas, elle calcule plus. Tout s'enchaîne, et malgré les coups qu'elle peut recevoir parce qu'elle n'est pas aussi rapide, sa rage la pousse à renverser la gamine et cogner son visage. Elle l'insulte, elle crie. Le seul bémol, c'est que c'est un "il" et pas un "elle". Alors il a compris, et elle est démunie. Alors, Andersen ordonne qu'on écarte les gamines, et qu'il s'occupe de la petite rouquine, la petite Charlie. On veut sa beauté, sa divinité, son coeur et sa noirceur. On veut la pourrir autant que l'aimer. Et Jeremiah qui la regarde, Jeremiah qui la déteste. Parce qu'il attend ça depuis des mois, parce qu'elle débarque et lui pique son vaccin.

« Monsieur, je pense qu'on a trouvé un patient pour le projet n°63. » L'homme se tient droit dans le bureau alors que l'autre personne présente ne relève la tête avec attention. « Elle n'est pas grand chose, monsieur. Ce n'est qu'une épave, personne ne va la chercher. Il y a juste son idiot de chien qui la suit - et qui attend à recevoir lui aussi le projet n°63 -. Je suis sûr qu'elle peut vous plaire. » Il semble certain. Il croit en ses paroles et en ce qu'il dit face à l'homme imposant. Il veut lui offrir ce cadeau d'anniversaire. « Elle ? Comme c'est intéressant, j'ai toujours rêvé d'avoir une fleur pour ce projet. Je vous fait confiance Monsieur Finnigan, je suis sûr que vous pourrez trouver une occupation à ce malheureux garçon. » L'homme hoche la tête et sort de la pièce d'un pas rapide. Il sait ce qu'il doit faire, et il ordonne à des soldats et des scientifiques qu'on sorte Humphrey et Hamilton de la pièce.

« Charlotte, je t'aime. Et je te promets qu'après ça, je ferai de cette planète ton royaume. » Et il sourit, l'hypocrite. Il attend sagement le vaccin, sagement qu'on lui accorde ces capacités dont il a temps rêvé. Une larme glisse sur la joue de Charlie qui est dans la même position que lui. Elle a peur, elle tremble, elle refuse. Elle veut retrouver son Bronx merdique et les corps des charognes dans les ruelles macabres. « Souris Charlotte, notre heure de gloire approche. Regarde-moi. » Le médecin s'approche du garçon avec le vaccin. « Une fois que je changerai, j'irai tuer tout ceux qui t'ont détruire, en commençant par ta grand-mère. » L'aiguille s'incruste dans sa peau alors qu'il écarte les lèvres, surpris de la douleur. Charlie, elle tourne la tête vers l'homme qui approche et elle tend son bras. Et le contact parcourt son corps, on perfore son bras et son hémoglobine se diffuse au côté du nouveau liquide. Elle préfère s'endormir sous les paroles fougueuses de son amant. Elle préfère s'endormir et ne plus penser à lui, à ce qu'il, à ce qu'il fait.

Une mission, un acte. Effrayé la bête avant de la tuer. Damné les démons pour chercher le noir. Elle ne comprend pas tellement pourquoi on attend grand chose d'elle. On aurait pu la laisser mourir sous un camion, la crever. Mais non, on la saigne et on rit de ses blessures. Parce qu'elle semble spéciale, bien plus spéciale que son idiot de compagnon. Parce qu'elle cache des choses qu'elle seule peut réellement comprendre. « J'crois que ça marche. J'me sens plus fort depuis ce jour, je suis sûr que je peux démolir cette base avec un simple touché. » Assise et recroquevillée sur le sol de la cellule, elle le regarde tourner en rond face à elle. « Avec tout le respect que j'ai pour toi, je ne vois pas ce que tu fais ici. Tu fais rien, ne dis jamais rien, tu parles plus et je crois même que tu n'as rien. C'est con la vie. Très franchement Charlie, j'ai de la peine pour toi. » Et il sifflote son air de vieux jazz avec la plus grande des joies. Il vient même se coller contre le barreau voisin pour réveiller l'homme qui semble être dans l'ombre. « Bah alors petit farceur, tu dors ? J'espère que je te réveille pas, ça serait dommage. Tu as quoi toi ? J'suis sûre t'es aussi inutile que l'autre là, assise. Tu veux du pain, j'peux t'en passer si tu veux. Rho fais pas la gueule, j'essaie juste de faire la conversation. » Et il tourne la tête vers Charlie, d'un air outré et sarcastique. « Les gens de nos jours, qu'ils sont futiles et inutiles. » Il vise le monde avec ses mots. Et il se balade sans crainte du loup qui mort, de la bête noire qui se profile. Et le corps de Charlie qui glisse lentement pour se rapprocher de la cellule voisine. Et de sa voix légère qui sort de sa bouche. Ses cheveux roux qui pendent le long de son dos. Toute la beauté des rues qui renaît dans ce regard médiocre et observateur. « Il ment. Ne te laisse pas abattre par ce gamin et bats-toi. Tu as sûrement du connaître pire ... »
Et les jours qui passent, les paroles qui s'allongent. Charlie, elle parle beaucoup plus, parce qu'elle a envie de parler, elle a pas envie de se taire et de l'écouter. Ca grandit au fond d'elle, cette chose-là. Ces choses qu'on contrôle pas, ses choses démoniaques. « Charlie ferme-là ! » La gamine tourne la tête un instant pour le fixer avant de recommencer à rassurer son voisin. Elle ne supporte plus sa cage. Ses rares sorties, et la vision continuelle de ce petit ami incessant et violent. Alors, elle recommence avec la plus grande indifférence à parler, comme si le monde ne tournait plus autour de lui, mais bien d'elle. « Putain mais ta gueule ! » Il tape contre le mur, mais rien ne se passe. Il n'est rien qu'une bête sans réel intérêt. Un mouton que l'on garde pour la laine. Et elle fait partie des loups, au fond d'elle, elle le sent. Ses lippes s'étirent et le temps d'écarter de nouveau ses lippes, sa main frappe sa tête pour la cogner contre le barreau. « Je t'ai dis de te taire, tu dois m'écouter ! » La gamine qui touche son front avec douceur se sent encore plus prête, elle a ça dans le sang. « Non, c'est toi qui m'écoute. Tu la fermes Jeremiah. » Elle a ce ton clair et distinct que l'on respecte, la force et la puissance d'un calme plat. Pourtant, son sang bouillonne intérieurement d'un plaisir malsain. « Mais pour qui tu te prends sale pute ? J'aurais du te laisser pourrir dans ta merde ! » La parole de trop. Les coups qui fusent. Charlie, à terre. Son visage en sang et lui qui frappe, sans avoir peur de la tuer. Elle est son démon. Un instant, elle tourne la tête. Un instant, elle ferme les yeux. Mourir aussi misérablement qu'elle a pu vivre. Elle n'est pas aussi faible que Fantine, pas aussi insoumise que n'importe qui. Alors, alors ce geste. Alors, son bras qui se tend malgré la douleur. Sa main qui attrape son cou, et son regard qui la croise. Le cri plaintif. Ses iris qui brillent. Le cri qui s'accentue, si fort qu'il devient lunaire. Et la faiblesse, la perte de force. Elle ne lâche pas l'emprise, elle ne lâche rien. Il ne voit que la douleur, il la ressent au plus profond de son âme. C'est dans ce moment précise qu'elle bascule sur lui, épuisant ses forces à l'aide de ce produit qui lui a été injecté. « Je ne» Le premier coup qui part, malgré sa propre douleur. « suis pas » L'autre coup qui fuse. « une faible.» Ses deux mains qui arrêtent de cogner et qui viennent entourer son cou. Ses cris qui résonnent et de nouveau les iris verts qui brillent avec éclat. Il suffoque, il ne peut plus respirer. Elle le tue mentalement avec les images, elle le tue physiquement avec ses doigts. Et plus il meurt, plus elle devient forte. Et elle comprend un instant, pourquoi la caméra n'a cessée de la fixer, pourquoi elle était incapable de se libérer. Parce que la tempête est plus forte que le petit éclair. Parce qu'en un mouvement, elle change sa vie.


who is the control ≈ charlie Tumblr_nq0pl0kH8k1qdu06uo8_400 Elle entend le plateau de nourriture qu'on lui tend. Elle voit les visages. Sent l'odeur de la purée. La froideur du carrelage à son touché et le goût des patates aplaties. Pourtant elle ne touche à rien. Parce qu'elle n'a pas faim, parce qu'elle n'a pas envie. Alors elle baisse la tête, encore et encore. Elle a pas tellement de force, voir presque plus. Elle finit toujours par s'allonger en boule et laisser une larme glissée le long de ses joues. Pas de sanglot, pas de larmes houleuses. Juste une longue douleur horrifiante qui coule le long de son visage. Elle ne fait plus attention au remarque des soldats, aux iris des gens. Il n'y a que le reflet d'un monstre dans son miroir, le monstre. Celui qui se cache sous le lit des enfants. Charlie dévore Charlotte, consume sa douceur à petit feu.
« Comment se passe le projet Monsieur Finnigan ? » La voix glaciale de l'homme résonne dans l'observateur qui surveille les moindres faits et gestes de la délicieuse gamine. « Elle a effectué son premier meurtre monsieur. Vous pouvez être fier d'elle, je vous assure ! Il n'y a que les conséquences de ... » Il ne termine pas sa phrase, sa voix s'abaisse. Le silence lui tord ses cordes vocales et il se force à baisser la tête. Seulement le regard instant de l'autre homme le pousse à continuer. « Et bien, sa victime c'était justement le garçon inutile ... Elle est sans vie, inerte. Comme si sa folie l'a détruite ... » Un instant, l'homme ne sourit plus. Un instant, le mécréant n'a pas l'air de s'amuser. Mais ses lippes s'étirent, petit à petit, pour laisser place à l'horreur et les paumes de sa main se collent pour applaudir. « Mais tout cela est parfait ! Je ne pouvais pas rêver mieux que les remords de ce volcan. Je vous laisse la salle n°13 pour la remettre sur pied, je vous attend là-bas dans trente minutes. » « La salle n°13, maintenant ?! Mais monsieur, c'est bien trop tôt, elle n'est pas encore prête à tout cela. » L'homme s'arrête dans sa marche. La détermination qui brûle son visage s'accentue et ce sourire carnassier étire toujours ses fines lèvres. « Oh que si, je sais très bien ce que je fais monsieur Finnigan. Ne remettez pas mes ordres en question ou vous pourrez finir dans la salle à ses côtés. Dépêchez-vous. » Et sur un air enjoué, il quitte la pièce.

« Est-ce que vous êtes bien attachée ? » Le silence. Le désordre. Ses cheveux crasseux qui tombent lamentablement sur son visage. Et ce regard vide dans le néant. Elle a envie de leur dire de fuir maintenant, pas avant que la machine s'enclenche. Tout ce qu'elle a appris ses derniers mois, se contrôler soi-même, vivre avec ses démons et son désordre mental, tout ça n'est que du passé. Elle est incontrôlable la gamine, démoniaque. On ne peut plus arrêter la machine. Alors elle fixe le sol. Elle ose pas croiser les regards des autres, comme pour se décoller de son monde. Elle s'invente une belle vie, une belle fin. Vous pouvez y aller. » Le médecin appuie sur son oreillette et tourne la tête pour fixer la vitre. Ils ne sont pas seuls. Elle ne peut pas tout sortir, pas maintenant. Elle ne peut pas exploser. Elle ne sait même plus de quoi elle est réellement capable. « Ca vous fera légèrement mal. » Elle ne dit pas non, elle ne dit pas oui. Elle ne peut pas avoir autant mal que maintenant. Alors la décharge traverse les fils et rejoignes son épiderme. Ses poings se serrent, un instant. Alors on relance, un peu plus fort. Toujours la même sensation. Ca augmente, elle crispe les dents. Puis les yeux. Elle ne veut pas regarder. « Augmentez encore ! » Qu'il gueule de sa voix roc. « Monsieur, vous allez lui faire vraiment mal ! » « J'ai dis d'augmenter ! » Son regard ne se fixe pas même un instant sur l'assistant. Il dévore du regard la beauté suave qui enchaîne décharge sur décharge. Parfois des cris, parfois des battements de lippes. Et la douleur monte, de plus en plus. Elle veut mourir Charlie. Elle qui a tant souffert, elle veut en crever. Mais y a un truc qui va pas. Son ventre, ça lui fait mal. Ca tambourine avec des pieds, ça la force à résister. Alors elle ouvre les yeux. Ses iris vertes scintillent et elle dévore le médecin du regard. Elle déguste son âme à l'aide de ses dents, croque sa peau, si bien que les hurlement ne sont plus féminins mais masculin. Elle repousse les câbles avec le plus de force avant d'attraper le corps avec force et de le lancer contre la fenêtre. Ce n'est qu'une fois, et qu'une seule fois la victime bien amochée que la bête se retire, allongeant son corps sur le sol et en fermant les yeux. Elle ne sait pas si c'est un malaise ou la mort.

« Une pure merveille Finnigan ! » L'homme observe le corps allongé de la jeune-femme dans le lit douillé. Une déesse endormie qui semble si paisible. Finnigan redresse les lunettes sur son museau avant d'observer son patron avec appréhension. « Monsieur, il y a un problème. » Il ne détache pas son regard de sa victime, savourant avec délice les grains dorés de sa peau. « Mademoiselle Hamilton est enceinte. » La tension qui retombe. L'homme ne peut s'empêcher de glisser son regard sur le ventre de la jeune-femme. « L'enfant du projet n°63 .. Si mon père voyait cela ... Vous pouvez être fière de vous Finnigan. Je compte sur vous pour bien vous occuper de mademoiselle Hamilton pendant les neuf mois à venir. » L'homme se relève et prend de nouveau un air sérieux, fermant son joli costume. « Bien, mais que fait-on de l'enfant une fois née ? » Finnigan observe un instant le ventre de la jeune-femme avec désolation avant de croiser la folie dans le regard de son interlocuteur. « Je ne sais pas si mademoiselle Hamilton voudra poursuivre son aventure avec nous à son réveil. Nous devons lui rappeler que cet enfant est né avec nous et qu'il est le fruit de l'évolution. Je pense qu'un petit bambin à garder ne vous fera pas de mal. A mon retour, je veux que mademoiselle Hamilton soit en état de travailler. »


who is the control ≈ charlie Tumblr_inline_nkbmk72qA91sky790 mission massacre dans un village pour récupérer un homme. légende de la némésis guidée par sa colère.

discussion avec helmut à propos de son parcours, de ses missions et de ce qu'elle est pour lui. mission massacre dans un village pour récupérer un homme. légende de la némésis guidée par sa colère.


Dernière édition par Charlie Hamilton le Jeu 11 Fév - 22:54, édité 19 fois
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Victor E. Wagner
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I've come to talk with you again...

Re-bienvenue alors, bon courage pour la rédaction de ta fiche bel oiseau :hé:
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Evelyn S. St John
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Rebienvenue dans ce cas :kiss:
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victor - so, i'm waiting for you. :hé:
merci beau gosse tatoué. :hé: I love you
evelyn - merci ma belle. I love you
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Bon courage pour ce que tu entreprends , bois un verre à ma santé quand tu en auras fini !
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Mais qu'elle est jolie cette petite psychopathe who is the control ≈ charlie 2258591103

Bienvenue en tout cas et bon courage pour ta p'tite fiche ^^
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Bienvenue parmi nous =)
Je te souhaite bon courage pour ta semaine de BAC blanc :)
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Ouh mais quel excellent choix d'avatar :hahaha:

Hellcome back à la maison :whaaat:

Bon courage pour la suite de ta fiche : hâte de lire tout ça :hé:
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Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche I love you
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Tu es revenue :hysteric: :hysteric:
J'ai hâte de lire cette nouvelle fiche et de découvrir ton personnage :ému:
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ray - merci mon beau, je ne manquerai pas de trinquer pour toi. I love you
lachlan - un joli agent du shield. who is the control ≈ charlie 2258591103 (hâte de te faire bobo :hé: ) merci. :hysteric:
warren - robbie kay :hysteric: merci. I love you
gabriel - je ne peux que te retourner le compliment. :bave: I love you merci. :beat:
matthew - merci. I love you
sharon - ouiiiiii :hysteric: :hysteric: ça fait tellement plaisir d'être là. I love you merci. :inlove:
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HELLO I love you
c'est cool de te revoir, j'espère que ce personnage sera le bon pour toi :cute: tu connais la maison, oublie pas de réserver ton avatar, et tu nous harcèles à la moindre question who is the control ≈ charlie 2258591103 en tout cas Charlie elle gère bien, j'ai hâte de lire le reste :hé: welcome home :keur:
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Moi je ne te connais pas du tout, mais je te souhaite quand même un "bon retour" ! who is the control ≈ charlie 3172871409
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Bienvenue jeune membre de l'HYDRA !

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