Nom et Prénom : Charlotte Levinson. Alias : Charlotte-les-poings-serrés. Âge : vingt-cinq ans. Lieu de naissance & nationalité : née à Londres, le treize novembre. Métier : maquilleuse effets-spéciaux. Statut civil : farouche. Orientation sexuelle : bisexuelle. Particularités : La blonde a la capacité d’insuffler la vie aux objets inanimés. Elle en modifie les molécules pour les rendre vivantes et soumet ses nouveaux sujets à sa volonté. En revanche, elle tente de garder le secret pour mener une vie humaine et normale. Au delà de cette mutation, elle n'est pas méchante, mais qu'est-ce qu'elle est chiante. Charlie est une teigne, une boxeuse née, une colérique. Handicapée des sentiments, égoïste et abandonnique. Son caractère est très masculin, à l'image de son père. Bourru, violente et susceptible. De plus, elle cultive un intérêt bien spécifique pour l'univers sanglant des films d'horreur.  Affiliation : Aucune, Charlotte est neutre. A vrai dire, elle est pessimiste quant à l'issue des conflits qui tiraillent le monde. Pour l'instant, le seul intérêt qu'elle défende demeure le sien.  

Avez-vous peur des Mutants ?  D'une certaine manière, oui, Charlotte a peur. Mais, ce qu'elle redoute, c'est le changement plutôt que le danger. La nouveauté est quelque chose de particulièrement bouleversant à son sens. Le monde était déjà bien assez violent avant,  mais maintenant, c'est pire. Plus personne ne peut réellement savoir à quoi s'attendre, et, la raison ne fait plus foi. Néanmoins, la jeune femme se mure dans une indifférence sans faille, quoi que, parfois teintée d'agressivité.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Charlotte reconnait que leurs intentions sont bonnes, mais elle ne nourrit que peu d'espoir quant à l'avenir de l'humanité. Depuis très jeune, elle est persuadée que la nature de l'homme ne tend qu'à détruire.  Alors, si ce ne sont pas des aliens, ou une guerre au sein de l'univers, elle est certaine que les humains trouveront bien une manière de s'exterminer. Maintenant que la folie du monde n'est plus bridée par la condition physique des hommes, le chaos éclatera. D'une manière ou d'une autre, avec ou sans suer-héros.
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? (si votre personnage a choisi un camp) Si elle est pessimiste et relativement misanthrope, Charlie ne souhaite pourtant pas prendre part au conflit. Malgré son indifférence, il n'y a qu'avec les humains qu'elle se trouve des points communs. Son cœur n'est cependant pas assez loyal pour prendre les armes. Les seuls combats qu'elle livre sont les siens, ceux de chaque jour. Ceux d'une humaine qui devient mutante. L'univers peut bien s'occuper du reste.
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? (si votre personnage est un mutant) L'appartement n'était pas vide, mais, fort heureusement, Charlotte était seule dans le salon. Affalée sur le sofa, elle pestait d'avoir laissé son joint un peu plus loin. Contrariée à souhaits, elle-même s'étonnait de se trouver si agacée. Et, lorsqu'elle s'était levée en fusillant le cône des yeux, ce dernier avait finalement bougé de son propre chef. Tout seul, ni vent, ni aide. Il avait roulé sur la table puis au sol, jusqu'à ses pieds. Et, quand il s'était heurté contre elle, la blonde avait même échapper un hurlement de terreur. Pour sur, ce fut une de ses plus grosses frayeurs. Son cœur s'était rarement emballé avec une telle ferveur. D'abord, elle avait pensé perdre la tête, jusqu'à ce que l'opération se répété avec d'autres objets.
Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? (pour les deus ex machina) En tant que maquilleuse effets-spéciaux, Charlotte est régulièrement amenée à se déplacer pour des shoots. C'est ce qui est arrivé il y a quelques jours, alors qu'une séance photo se déroulait dans un entrepôt désaffecté. Pendant une pause, elle avait profité de l'occasion pour s'éloigner du groupe et vagabonder. Elle ne pensait trouver que de la tôle vieillit et de vieux débris, au milieu d'un royaume de poussière. Mais, c'est un scintillement étrange qui avait attiré son attention. Entre quelques planches miteuses, un minuscule objet flottait de façon surréaliste. Elle était restée plusieurs instants immobile, à simplement observer. Il n'y avait rien de normal, ni la forme, ni le mouvement. La texture, elle n'avait pu la sentir qu'un instant. Au moment précis où sa peau avait touché l'objet, un courant froid et douloureux avait parcouru son bras. Ses muscles étaient restés tendus de longues heures. Mais, ce n'est que le lendemain qu'elle a compris ce qui avait réellement changé. 
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? (si votre personnage a une identité secrète) Charlotte n'a toujours pas digéré sa mutation, alors elle tente de nager à contre-courant. Elle ne souhaite pas voir son existence et ses habitudes chamboulées. Elle se mure dans la routine qui s'était établie avant la découverte de son pouvoir. De cette façon, elle se sent plus rassurée. La seule personne au parfum est son colocataire, Mervi. Le manque de contrôle ne lui a pas permis de garder le secret bien longtemps. En revanche, il n'est pas question d'identité secrète. Tout ce qu'elle souhaite, c'est être normale. Du moins, autant qu'elle peut l'être en tant qu'humaine.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Si il est une chose dont elle est fière et satisfaite, c'est sa vie professionnelle. Après de nombreuses années à batailler, elle touche enfin son but. Et, son imagination morbide a tout le loisir de s'y épanouir. Entre visages malades ou inhumains, plaies béantes et os fracturés, elle est dans son élément. Le maquillage effets-spéciaux, c'est une passion, au delà d'une profession. Mais, dans ce nouveau monde, y a-t-il vraiment de la place pour ça?

ROUND ONE - sept ans. Ce soir, tu veux pas dormir avant que ton père ne soit rentré. La voisine vient vérifier toutes les trente minutes si tu es bien dans ton lit, mais le reste du temps, t'es pendue à une radio clandestine. Les commentateurs parlent trop vite pour tu ne comprennes tout, mais la situation est plutôt claire : il va se faire rétamer. Ce soir, il rentrerait encore défiguré, et, ton cœur se serre.
La clef tourne dans la serrure, cette fois-ci, tu es sûre que c'est lui. Alors tu sautes hors du lit et tu cours jusqu'au salon. Il a mauvaise mine, des tâches de sang souillent ses vêtements de ville. Si tu n'avais pas eu l'habitude, sans doute ne l'aurais-tu pas reconnu. " T'es pas encore endormie, toi ? " T'oses pas répondre, tu secoues juste la tête. " Je vais aller me nettoyer ... " Et, il file dans la salle de bain. Forcément, toi aussi. T'aimes pas voir ses blessures. Des fois, elles te donnent même la nausée, mais il te dit tout le temps de pas faire la fillette, alors tu serres les dents. Le rouge inonde rapidement le lavabo. Sa lèvres est tranchée, nette, comme un coup de rasoir. En revanche, la plaie de son arcade est moins jolie. Elle est gonflée, la peau s'est mâchée contre l'os alors qu'un œdème se dessine. Tu frissonnes. " Moi aussi, j'aurais du sang partout ? " Finis-tu par demander en grimaçant. Il se retourne, étouffe un rire douloureux. " Pas si tu es meilleure que ton père ! " S'amuse-t-il tendrement. Sa main vient frotter ton épaule, c'est réconfortant. " Viens m'aider, il va falloir que tu t'habitues si tu veux vraiment faire de la boxe... " Souffle-t-il en te tendant une compresse imbibée de désinfectant. Il fait ça pour que tu renonces, mais tu t'entêtes. Ta main tremble, mais elle vient éponger les blessures de ton père. Le pire, c'est d'avoir l'impression de lui faire mal.

ROUND TWO - douze ans. " C'est ton père qui t'a appris à boxer ? " Tu sais qu'il aime pas que tu poses trop de question sur sa famille, mais tu essaies. Après tout, c'est aussi la tienne. Depuis près de deux heures, ton père te fais travailler ta défense. Tu commences à te lasser.  " Tiens ta garde. Tu es distraite. " Il ignore ta question, comme à chaque fois. Tu remontes tes poings devant ton visage, marque tes appuis. " J'ai le droit de savoir aussi. Tu me dis jamais rien ... " Râles-tu. Mais il reste insensible. Toi, t'es plus dedans. Tu soupires. Peut-être finit-il par comprendre; il laisse tomber ses poings. S'avance doucement. " C'est parce qu'il n'y a pas grand chose à dire. On n'a jamais rien eu en commun et je n'suis pas fier de l'homme que j'étais. " Il est mal à l'aise, c'est évident, il prend sur lui. " Mais, si je m'en sors bien aujourd'hui, c'est grâce à toi uniquement." Sa voix traîne un instant. " Alors, c'est juste toi et moi. On n'a pas besoin de parler du reste. " C'est pas grand chose, mais c'est un début. Pour une première, tu t'en satisfait. Ca te donne de quoi réfléchir. Aujourd'hui, c'est un homme un peu brusque et l'argent qu'il gagne vient majoritairement de combats illégaux. Il est maladroit souvent ,et un peu acariâtre, mais c'est quelqu'un de bien. Que pouvait-il s'être passé avant?

ROUND THREE - dix-huit ans. Tu es supposée changer le pansement de ton paternel, mais ce que tu entends t'interpelle. C'est insensé. En passant derrière le sofa, tu perçois le son du journal télévisé. Un mutant revendique la tentative d'assassinat du Président des Etats-Unis d'Amérique. Un mutant. Tu t'arrêtes net, ton père aussi. Il semble rester interdit un instant avant de reprendre la face. " Quoi, elle raconte quoi? "Demandes-tu nerveusement. Il hausse les épaules, ne décolle pas de l'écran. " J'sais pas. T'as entendu comme moi. " Alors, tu oublies le désinfectant et les compresses dans tes mains. Tu viens t'asseoir à ses côtés et tu écoutes. T'en reviens pas. Les journalistes n'ont pas l'air rassurés, ils font remonter tout un tas de questions. Combien sont-ils? Où? Comment? Puis, brusquement, ton père éteint le téléviseur. Il grimace. " Des mutants ! " Ironise-t-il. " Espérons qu'ils soient moins cons que nous. " Tu as l'impression que ça lui passe au dessus, alors que, toi, tu es encore soufflée. Tu n'sais même pas quoi dire. Tu as l'impression d'être sonnée. C'est pas possible.
 
ROUND FOUR - dix neuf ans. Tu lui avais dis, tu lui avais dis un million de fois au moins. Boxer, c'était plus de son âge. Il aurait pu se trouver un job ordinaire, quelque chose qui risque pas de le tuer. " Je monterais sur le ring jusqu'à mon dernier souffle ! " qu'il avait l'habitude de répéter. Putain, il savait pas à quel point ce serait vrai. Maintenant, il n'est plus que l'ombre de lui-même, allongé sur un lit d’hôpital. Ton père est inconscient, relié à des machines. T'as envie de crier, de tout casser. C'est finit, brisé, gâché. Les médecins disent qu'on n'est jamais à l'abris d'un miracle, mais tu sais bien que c'est faux. Ils disent ça pour pas que tu t'effondres. Tu sais que c'est un légume maintenant. Il est plus là. Il sera plus jamais là. T'es toute seule et tu peux rien y faire. Paradoxalement, tu rencontres enfin tes grands parents. Ils sont étranges, et très vieux. Tu ne les aime déjà pas. Pendant quelques secondes, tu supposes qu'ils font peut-être partie de ces mutations maléfiques. Ils se sont jamais inquiétés pour vous, mais c'est eux qui décident de son sort. C'est injuste. Il mérite d'être en paix maintenant. " Vous ne pouvez pas le laisser comme ça. Il voudrait pas ça ... " Ta voix se brise, l'émotion serre ta gorge. Non, tu ne pleureras pas. Pas devant eux. Après.  

ROUND FIVE - dix-neuf ans. Le destin s'acharne, son sens de l'humour est vraiment à chier. D'abord des mutants, maintenant, c'est ton père. Il est mort, mais il l'est pas vraiment puisque son corps vit toujours. Sauf qu'il existe plus vraiment. T'es toute seule dans un monde qui ne répond plus à aucune logique. Mais là non plus, tu peux pas vraiment te débrouiller toute seule. Sinon, faudrait renoncer à tes études. Alors la seule option, c'est ta mère. Quand t'étais petite, tu croyais ton père quand il t'expliquait qu'elle t'aimait, mais différemment. Aujourd'hui, tu sais qu'elle aimait simplement plus l'argent. Elle avait mit les voiles en comprenant que la carrière de ton père ne décollerait jamais. T'avais deux ans. Aujourd'hui, elle est avec un de ses privilégiés qui pensent pouvoir s’acheter le monde. Mr Windsor, de la famille royale. Y penser, ça suffit à te glacer le sang. Tu les détestes, tous les deux. Ils ne sont pas de ton monde, tout chez eux n'est qu'artifice. Toi, tu as grandi simplement, sans beaucoup de moyens. Ton père s'est toujours battu pour joindre les deux bouts, littéralement. Eux, ils n'ont conscience de rien, ils te donner envie de vomir. Mais tu devrais vivre avec, y a personne d'autre. " Pour que ce soit clair : je suis là parce que j'ai pas le choix. Et je vous déteste. Tous les deux, vraiment. " Avais-tu siffler dès ton arrivée, tel le monstre de rancœur que tu étais.

ROUND SIX - vingt ans. Ça n'fait qu'un an. Pourtant, tu jurerais que l'éternité a eu raison de toi. La situation empire, et, les conflits qui tiraillent l'univers s'avèrent bien compliqués. Toi, petite humaine, ne peut rien de plus que tenter de mener une existence normale. Seulement, rien n'a plus les mêmes saveurs. Tes batailles personnelles te fatiguent. T'as beau essayer de te sentir vivre, tu sais que ça sonne faux. T'es plus la même qu'avant. Ton cœur ne bat que pour s'énerver. Même tes amis te suivent plus vraiment. Ils te trouvent bizarre, disent que t'es flippante. Cet après-midi, t'es avec Ben. Lui, il skate, toi tu fumes en le regardant. T'aimes pas vraiment ça, mais ça te permet de sortir du manoir de l'horreur. En quelques secondes, la situation bascule. Un bruit sourd claque, rapidement suivit par un hurlement de douleur. D'un bond, tu te lèves et le rejoins. Un petit attroupement se dessine autour de vous. Il y a du sang qui coule, il est tout pâle. Son articulation est démise, un morceau d'os est même venu percer sa chair. " Putain, Charlie tu fais quoi ! Appelle les pompiers Bordel ! " Rage-t-il. " La ferme Ben, c'est une photo, ça fera pas plus mal. " Siffle-t-elle avec indifférence. Au lieu de téléphoner au secours directement, ton premier réflexe c'est de prendre une photo. Une fracture ouverte, c'est complètement dingue. Avec une trace, tu pourrais recréer la blessure sur un modèle. Tu jubiles, ce serait plus vrai que nature. Néanmoins, tu ne peux se laisser souffrir éternellement, alors tu enregistres la photo puis appelle les urgences.

ROUND SEVEN - vingt-deux ans. La situation est intenable, les crises de nerfs sont monnaie courante. Tu deviens folle entre ces murs. Rien ne te ressemble, tout est brillant, neuf, luxueux. Chacun des sourires de ta mère te donne envie de l'étrangler. Elle n'est qu'un rôle, une femme vénale et perfide. Si tu pouvais, tu mettrais les voiles, mais c'est bien beau de rêver. En réalité, t'es coincée ici. Avec eux, avec lui. Mr Windsor. Pourtant, il a essayé d’acheter ton calme avec de beaux cadeaux. Malheureusement, il n'a fait qu'alimenter ta fureur. Si ça continuait ainsi, la ville toute entière finirait par exploser. " Donc, vous me proposez d'aller finir mes études à Cambridge ? " Tu es perplexe. " Vous me laissez vivre comme je l'entends à condition que je ne gâche pas votre belle image de famille parfaite ? " C'est vraiment trop beau pour être vrai. Serait-il finalement capable d'avoir une bonne idée? " J'ai l'intention d'épouser ta mère, Charlotte. Et tu ne gâcheras pas tout. " De toute façon, tu ne voudrais assister à ça pour rien au monde. Plutôt crever. " Oh, vous en faites pas. Ça me ferait plaisir de me casser avant. " Si tu pouvais, tu partirais même dans la seconde. 

ROUND EIGHT - vingt-cinq ans. Il n'y a que Mervi pour aborder de tels sujets en demeurant si indifférent. " Ton père pourrait être mieux soigné. Et, tu sais que je rentre à New York le mois prochain. Ma mère connait du monde la bas, j'aurais aucun mal à le faire admettre dans une clinique privée, à mes frais bien sur. " Tu restes immobile. T'as du mal à croire ce qu'il te raconte. Au fond, tu le suspectes même de se payer une nouvelle fois ta tête. " Prends moi pour un(...)" T'as pas le temps de finir, il te coupe la parole. " Fais pas cette tête là, on sait tous les deux que la proposition t'intéresse. Et puis ce serait l'occasion de te faire des contacts professionnels aussi. Le marché du travail de New-York est bien plus riche que celui d'Angleterre. " Il énumère ses arguments, et, tu devines qu'il est sérieux. Tu n'envisages pas la chose, tu n'y as jamais pensé. " En somme, tu devrais partir avec moi. ça me parait très clair. " C'est plus fort que toi, un rire nerveux siffle entre tes lèvres. A l'entendre, tout est déjà parfaitement prévu. C'est du Mervi dans tout son art. Loin d'un véritable refus, raisonné et réfléchi, tu sens ta fierté se froisser. Tu ne veux pas de sa charité. " Ouais, ouais. Va te faire exploser la tronche par des extraterrestres tout seul. Je reste ici. " Tu hausses les épaules, c'est invraisemblable. " Fais moi fumer, au lieu de raconter des conneries. "
Une fois seule, le point de vue est différent. La perspective change. Maintenant que tu as terminé tes études, rien ne te retient réellement à ton pays natal. Alors, partir, ça pourrait-être une bonne idée, la solution de quelques problèmes. Et, si ce n'est pas Mervi, qui supporterait tes éclats de colère. Sans lui, l'Angleterre serait bien fade. Tes vraies attaches sont humaines, et, bien que ça te coûte de l'admettre, il est ton humain le plus solide. Ces trois dernières années, vous avez trouvé un équilibre fragile et singulier, piégés entre affection et provocation. Si le soleil ne brille pas toujours, même lorsque tu le détestes, tu ne voudrais haïr personne d'autre dans cette mesure. Tu le connais assez pour savoir qu'il reviendrait à la charge. Cette fois-ci, peut-être serais tu plus intéressée, juste un peu plus.

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; bulle bizarre, 23 ans. Fréquence de connexion ; 5j/7. Que pensez-vous du forum? ; que du bien, sinon je ne serais pas là Merci Riley, de m'avoir éclairée!   Comment l'avez-vous découvert ? Mervi le moche .   Célébrité choisie ; Cailin Russo. Credits (avatar, icon etc.) ; répondre