Nom et Prénom : Son premier nom, du temps de sa simple vie humaine fut Appius Maenius Valerius. Les siècles, puis les millénaires étant passés, l'homme dut emprunter de nombreux noms, mais son dernier, de l'époque où il vivait dans ce qu'il appelait Britania, garda sa préférence : Lachlan d'Ayr. Cependant, l'humanité entière le connut sous deux noms bien différents, Arès, ou encore Mars, selon la religion, avant d'être puni par son père.Alias : Arès Âge : Son enveloppe humaine dépasse les 2000 ans, mais son essence est bien plus vieille que cela. A vrai dire, peu de monde serait capable d'évaluer précisément son âge. Lieu de naissance & nationalité : Il est né à Carthage, il y a bien longtemps de cela. Quant à sa nationalité, il en a tellement arboré, qu'il ne saurait pas vraiment quoi dire si on venait à lui demander. Métier : Maître d'armes de la légion romaine, il fut tour à tour gladiateur, mercenaire, soldat avant de tout simplement traquer les forces du mal durant des siècles, avant de rejoindre les rangs du Shield récemment. Son poste de Dieu de la Guerre fut abandonné il y a bien longtemps de cela, en guise de punition. Cependant, son attrait pour les batailles de se dissipa jamais. Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétéro Particularités : Ancien dieu de la guerre à la fois des romains et des grecs, Appius disposait de grands pouvoirs, qui furent bridés par Zeus en l'exilant sur Terre, dans une enveloppe humaine. Malgré sa condition qui fut pour lui des plus humiliantes, l'ancien dieu dispose de jolis restes. Durant son errance sans fin, il lui arriva d'avoir quelques « flashs » de son ancienne existence, lui octroyant de nombreux savoir, principalement martiaux. Il a une maîtrise innée de n'importe quelle arme terrestre, doublé d'un tacticien sans égal. Du temps de son apogée, l'on racontait que personne ne disposait d'une telle maîtrise des armes que lui. Bien qu'il ait une préférence pour les armes blanches archaïques telles les épées, les lances ou les haches, il n'en demeure pas moins un excellent archer, ou lanceur de couteaux (et de n'importe quelle arme de jets), tout en étant capable de comprendre aisément le fonctionnement des nouvelles armes technologiques. Il est aussi un excellent combattant à mains nues, bien qu'ayant une préférence pour les arts anciens et particulièrement pour la façon de combattre grecque ou romaine, il connaît une grande partie des arts-martiaux terrestres. Outre son savoir, son corps humain finit par muter de part la grâce divine qui l'habitait. En effet, son corps surpassa le potentiel humain lui octroyant vitesse, force, résistance ou encore des réflexes dépassant l'entendement. Certes, ces derniers n'égalisent en rien ses véritables capacités, mais cela fait de lui un guerrier exceptionnel. Contre toute attente, sa perfection martiale est à la fois une bénédiction et une malédiction. En effet, pour punir son fils de son arrogance, Zeus, lorsqu'il l'envoya sur Terre, le maudit. En tant qu'humain, il serait immortel, doté d'une régénération exceptionnelle et, ni la maladie, ni le poison n'aurait un quelconque effet sur lui. Sa seule porte de sortie était de mourir honorablement, dans un combat honorable. Là était l'unique condition pour que l'Homme ne redevienne dieu. Enfin, de part ses voyages à travers le globe, il connaître de très nombreuses langues et dialectes. Certes, il en parle quelques uns dans une forme ancienne, mais il les parle quand même.Affiliation : SHIELD

Avez-vous peur des Mutants ?  Peur ? Pourquoi aurais-je peur de ces êtres ? C'est comme si l'on vous demandait si vous aviez peur des chiens parce que, un jour, quelque part, un des leurs a bouffé le visage d'un homme. C'est insensé. Ne jamais mettre les individus dans le même panier. Il ne faut pas avoir peur de ces … Mutants. Ceux qui sont dangereux, ce sont les cons. Donnez une arme, quelle qu'elle soit à un con, ça finira fatalement par vriller. Alors, donnez des pouvoirs à un con, je vous laisse imaginer le résultat. Les mutants peuvent être bons ou mauvais, ils peuvent servir une nation ou l'humanité, comme tenter de la détruire, comme n'importe quel humain. De mon point de vue, je n'ai pas grand chose à perdre. Mieux, si l'un d'entre eux se montre capable de me tuer, je retrouverais mon statut divin. Pourquoi en avoir peur ?
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Je … Suppose que oui. Il y aura toujours de ces fameux cons dont je vous ai parlé pour essayer de menacer l'humanité. En fait, que ce soit un con ou une quelconque créature sortie d'on ne sait où. Un cyclope serait capable de faire des ravages insensés dans une ville comme celle-ci, sans personnes dotées de capacités exceptionnelles. Ces … Super-héros peuvent être utiles, ils l'ont déjà montrés lorsque Loki a complètement vrillé et a attaqué avec des aliens ou je sais pas quoi. Cependant, certains ont peut-être une sérieuse tendance à prendre la tête, j'en soupçonne même de ne faire ça que pour bien se faire voir, ne cherchant là que la renommée et le prestige. Sans aucun doutes qu'il faudrait mater ceux-là, je me porte même bien volontiers volontaire.
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ?Je ne sais pas vraiment, ça a toujours été dans ma nature je dirais. Je suis loin d'être une blanche colombe et, lorsque j'avais une mission, s'il fallait couper des têtes pour l'accomplir, je les coupais sans même réellement réfléchir. Cependant, lorsque je voyais une nation en danger, je me sentais obligé d'intervenir. Peut-être est-ce un des nombreux « cadeaux » de mon paternel pour me forcer à mieux comprendre les Hommes mais … Au final, je ne m'en plains pas plus que ça. J'ai assisté à d’innombrables batailles, j'ai affronté de grands guerriers et j'ai parcouru l'Histoire de l'Homme en intervenant à droite et à gauche, pourquoi m'en plaindre ? Mieux, depuis que je suis au SHIELD, j'interviens de partout sur la planète, je continue à voyager, à découvrir des lieux, des cultures et même des saloperies à détruire, je fais sûrement ce que j'ai de mieux à faire.
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? En y repensant, je crois que … La femme que je servais à l'époque et qui m'a sorti de la misère, l'avait toujours soupçonné. Elle me disait souvent que j'étais plus qu'un simple homme et qu'aucun autre ne pourrait me battre. Elle … Elle ne savait pas à quel point elle avait raison. Ainsi, lorsqu'elle me vit envoyer valser trois soldats d'un simple coups de lance, elle comprit que je n'avais plus rien d'humain. Pourtant, jamais elle n'eut peur de moi, bien au contraire. A ses côtés, elle ne craignait rien ni personne. C'est d'ailleurs après avoir vécu de très nombreuses années qu'elle nous quitta, le sourire aux lèvres. Quant à moi, ce fut … Étrange. Ce n'était que des souvenirs qui me revenaient encore et encore. Bien qu'au début je trouvais cela étrange d'avoir une telle force ou de telles connaissances … L'explication me vint d'un des flash en compagnie de mon père, lorsqu'il m'exila. Même si je trouvais cela absurde dans les premiers temps … La vérité finit rapidement par me frapper en plein visage et … Cette explication, même grotesque était la seule possible.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Cela peut paraître étrange à dire, mais je pense que de tous les rôles que j'ai endossé, ce travail est sans aucun doutes un de ceux que j’apprécie le plus. Peut-être est-ce aussi l'époque qui fait ça, avec les technologies, les chauffages, la télé ou encore les ordinateurs qui font que l'on ne manque de rien mais … Mon travail au SHIELD me plaît réellement. L'on me consulte sur de nombreuses choses, sur des artefacts, des créatures, des traces de combats, j'ai … L'impression de servir à quelque chose. Je ne suis pas le plus haut gradé de l'agence, de toute façon je n'accepterai jamais un tel poste mais, j'ai fini par grimper les échelons pour me retrouver assez haut sur l'échelle. Pour la première fois depuis des siècles, j'ai l'impression d'être vraiment quelqu'un. Cette flamme que j'ai perdue jadis s'est revigorée petit à petit et … Ça fait le plus grand bien. En plus de cela, je suis régulièrement sur le terrain et je voyage beaucoup, chose qui m'a toujours plu. Je … Je ne pense pas qu'un job puisse mieux m'aller.

C'est dans la région de Carthage qu'Appius Maenius vit le jour en l'an 58 avant notre ère. De père légionnaire et d'une mère peu préoccupée, son destin semblait tout tracé. L'enfant allait faire tout comme son paternel. Notre ami ne connut que peu sa mère, tant et si bien, qu'à peine avait-il deux ans, celle-ci disparu de la cité, et jamais plus il n'en entendit parler. La vérité, il ne la sut que bien plus tard. Son père, devenu dépendant des jeux dilapidait la fortune familiale. Ainsi, après avoir posé un ultimatum, celle-ci décampa sans le moindre remord. Dès qu'il fut en âge, l'enfant entra à l'école où il y passa de très nombreuses années. Ses journées étaient consacrées à l'étude de l'Histoire, à écrire, lire, mais aussi de la philosophie. Son père, quant à lui, voulant à tout prix que son enfant prenne sa succession, lui enseigna les diverses manœuvres et, plus en profondeur les combats. Chose pour laquelle Appius était relativement doué. Pour ne rien vous cacher, le reste ne l’intéressait pas vraiment, et était même relativement moyen dans ces domaines. Pour le combat en revanche, le garçon était même des plus doués. Relativement grand et costaud en comparaison des enfants de son âge, cela lui donna, pendant dès son plus jeune âge, un soutien important. N'allez cependant pas croire qu'il était du genre à se reposer sur ses lauriers non, chaque jour, il s'entraînait plus dur que n'importe qui. Conscient rapidement de ses lacunes dans les autres domaines, l'aspirant eut l'idée de se concentrer sur la chose martiale, dans l'espoir de devenir un jour soldat à part entière.

C'est donc à ses 16 ans qu'Appius devint officiellement légionnaire et fut muté en Asie, devant suivre le grand Marcus Antonius dans ses voyages à travers la Grèce et l'Asie entière. De ce que le jeune soldat savait, le général était en quête de richesses pour monter une armée. Au plus bas de l'échelle, notre ami n'avait accès qu'à peu d'informations, se contentant seulement de devoir suivre les ordres, et de s'entraîner chaque jour, encore, et encore. Durant ses voyages, et grâce à ses compétences martiales se montrant quelques peu au dessus des autres bleus de son bataillon, Appius obtint sa première promotion. Il eut aussi la chance de découvrir plus en détail l'armement oriental, qui était si différent de ce qu'il avait pu voir jusqu'ici. Oh, certes, quelques armes lui rappelaient sans grand problème les armes utilisés par certains gladiateurs, mais, la plupart d'entre elles lui étaient grandement inconnues. Durant son temps libre, le légionnaire se perdit à vouloir essayer d'en manier quelques unes, se disant qu'apprendre à connaître les armes de ses adversaires lui permettrait peut-être de mieux les comprendre. Finalement, il finit par se découvrir une certaine « passion » pour l'armée qu'ils appelaient cimeterre. Large lame recourbée, celle-ci semblait capable de faire des ravages dans les rangs. Alors, discrètement, Appius emporta l'une d'entre elles.

Quelques années passèrent, et, notre ami revint en poste, non loin de chez lui, en Égypte, où, grâce à certains faits d'armes, et l'appui de son paternel, le soldat acquis le grade de Hatiliarius. Doué pour le combat, et intéressé par les techniques ennemies, notre ami avait tapé dans l’œil de son général, qui finit par lui accorder cette promotion que le vieil homme lui demandait tant. Grâce à cela, le carthaginois put se consacrer pleinement au maniement des armes exotiques, et préparer ses camarades à les affronter. Prenant grand plaisir à cela, Appius devint peu à peu un grand guerrier, connu, et reconnu dans sa légion, tant pour sa force que pour sa technique. Lorsque Marcus partit d’Égypte, lui, y resta encore une poignée d'années, avant d'être envoyé à Pompéi, où son père perdit mystérieusement la vie, quelques semaines plus tard. L'orphelin comprit très vite la raison de ce décès, grâce aux bousculades de quelques hommes de mains venu lui rendre une petite visite de courtoisie. Malgré le départ de son épouse, le centurion ne s'arrêta jamais de jouer, et, dans cette nouvelle cité, ce dernier avait décidé de jouer avec les mauvaises personnes, et avait perdu énormément d'argent. Argent que le joueur ne possédait évidemment pas. La somme étant astronomique, le légionnaire n'eut d'autres choix que de s'engager dans un ludus pendant quatre longues années, afin d'éponger ses dettes. 

Pour tout vous dire, le jeune homme semblait confiant. Ancien maître d'armes de la légion et ayant traversé quelques batailles, il se pensait au dessus de la plupart des gladiateurs. Il déchanta très vite aux entraînements, où il se fit massacrer. Ces hommes combattaient d'une façon qui lui était parfaitement inconnue, et, de ne pas avoir son équipement habituel le perturba grandement. Il fallut bien deux mois au guerrier pour rattraper son retard, et apprendre cet art du spectacle des plus étranges, obtenant enfin son premier combat dans l'arène, qu'il remporta vaillamment . C'est après ce premier affrontement qu'Appius commença à se poser des questions. Avait-il fait le bon choix ? N'était-ce pas moins dangereux que d'affronter ces hommes et leurs maître ? Sans aucun doute. Mais, il était déjà trop tard. De provocator, le jeune homme devint mirmillon, style qui semblait correspondre parfaitement à sa carrure. Dès lors, les combats devinrent plus facile, lui permettant d'enchaîner les victoires et de rentrer chez lui, en vie. Malheureusement, son chez lui n'existait plus. Sa région natale était trop lointaine, revenir dans la légion semblait compliqué, et Pompéi semblait ne pas vouloir de lui.

Alors que tout semblait perdu, une jeune femme sembla lui sauver la vie. Une jeune femme dotée d'une rare beauté, une femme qui, à première vue semblait blanche comme une colombe, mais, qui, au final, semblait tremper dans quelques affaires étranges et dont les compétences d'un homme comme lui pourraient lui être utile. La belle se disait fervente admiratrice des combats de gladiateurs, et, il avait fini par l'impressionner, tout comme une bonne partie de la cité. Ses prérogatives étaient simples, la protéger, et, de temps à autres, rendre visite à quelques personnes dérangeantes, ou de mauvaise foi, afin de les bousculer un peu, dans l'espoir de leur faire peur. Malgré un rang social nettement supérieur au sien, cette sauveuse ne se montra jamais hautaine envers son homme de main, et se montrait même plutôt agréable envers lui. Avec le temps, Appius finit par obtenir un de ces fameux cimeterres qui lui avait tan plu. Ce fut à ce moment là que sa vie commença à devenir des plus étranges. En effet, à peine avait-il passé la trentaine qu'il commença à se sentir bien plus vif, plus puissant, plus prompt à réagir et ses blessures cicatrisaient à une vitesse exceptionnelle. Cela effrayait grandement notre ami, qui n'était absolument pas en mesure de comprendre ce qu'il se passait. Le plus étrange restait ces connaissances qu'il avait, sans vraiment savoir d'où celles-ci lui venaient. Pour garder l'exemple du cimeterre qu'il avait réussi à obtenir grâce aux contacts de celle qu'il servait, à peine l'avait-il pris dans ses mains que … Le maniement de cette arme lui fut si naturelle qu'on aurait pu croire qu'il s'était entraîné des dizaines d'années avec. Sa maîtrise de cette arme presque inconnue égalait celle qu'il avait de la spatha. Mieux, elle surpassait celle des guerriers qu'il avait vu la manier.

Il lui fallut attendre un peu plus d'un an pour avoir un début d'explication à tout cela. C'est donc après avoir durement travaillé pour cette noble femme et après avoir fait des travaux tous plus horribles les uns que les autres, que la belle lui confia des missions de plus en plus épineuses, demandant tant de la force de persuasion qu'un minimum de sens tactique et de réflexion. L'une de ces fameuses missions changea sa vie à jamais. Il était question d'une ferme, non loin de la cité,  non loin du Vésuve, servant autant à rapporter légalement de l'argent grâce aux ventes, qu'illégalement en servant de recel de toutes sortes de choses. Cette fameuse ferme n'avait plus donné de nouvelles depuis une dizaine de jours et, les esclaves qu'elle avait envoyé sur place n'étaient jamais revenus. C'est après avoir fait part de son inquiétude à Appius, que le guerrier partit en direction de ce lieu, solidement armé et protégé. Ce qu'il trouva sur place dépassa tout ce qu'il avait pu penser et imaginer. Des harpies avaient attaqués la ferme et continuaient à dévorer leur victimes. Ces êtres qu'il ne croyait qu'issues de de mythes étaient bel et bien en face de lui. A moitié femme, à moitié oiseau. Ce fut à ce moment là que l'homme eut son premier flash. Il se vit en armure complète, semblable à l'une de celle qu'il portait à la légion, mais dans un matériau et une couleur différente., armé de deux grandes haches de batailles, en train de charger seul, face à une gigantesque armée de ces créatures, sans la moindre hésitation, sans la moindre peur. Cette charge héroïque fut si violente qu'en à peine un coup horizontal, des lignes entières tombèrent. Le combat sembla durer, mais lui seul resta debout à la fin, loin d'être essoufflé, rougit par le sang de ses victimes et décoré de quelques plumes. Cette scène qui sembla être des plus longues, ne dura qu'une fraction de seconde dans sa réalité. Stupéfait devant ce qu'il venait de se passer, Appius ne put réellement comprendre l'étendu de ce qu'il venait de se passer. Encore sous le choc, l'homme fut attaqué par surprise par l'une de ses créatures qui l'attaqua simplement de face. Alors qu'il aurait dû être effrayé, comme n'importe quel être humain, l'homme de main, lui, au contraire, se sentait plutôt en confiance. Il sentit un calme apaisant s'emparer de lui, sans vraiment comprendre ce qu'il se passait, il se lança dans l'affrontement après avoir esquivé instinctivement ce coup sournois. Un seul coup suffit à abattre cette créature sortie des légendes les plus anciennes, en lui arrachant la tête.

Le cri de cette créature alerta ses homologues qui arrivèrent en trombe, semblant partiellement énervés par ce qu'il venait de se passer. Une fois de plus, les affrontements ses déroulèrent si bien et se finirent si rapidement que la bataille ne dura qu'une poignée de minutes. Étrangement, à chaque victime, notre ami fut victime d'un nouveau flash, se mettant la plupart du temps en scène dans des combats exceptionnels, ou encore entouré de dieux qu'il reconnut aisément. L'un de ceux-là, alors en présence de Jupiter, le marqua plus que les autres. Il était question de punition et d'exil pour son arrogance, ou encore son plaisir malsain à faire combattre les humains. Il parla de vie immortelle dans le monde des Hommes et que tant qu'il ne serait pas mort dans un combat honorable, d'un guerrier honorable, il ne pourrait redevenir divin.

Dès lors, sa vie commença a radicalement changer. Devenant de plus en plus fort, il dépassa rapidement l'entendement humain, tant et si bien qu'aucun adversaire ne put représenter une quelconque menace pour lui et sa maîtresse. Il compris ainsi bien vite que, retrouver son statut divin ne serait en aucun cas facile. Outre ses capacités physiques exceptionnelles, son incapacité à vieillir fut un fardeau. Là où de nombreux hommes auraient pu voir une bénédiction de pouvoir traverser les âges et où d'autres n'auraient fait que de rêver à cela toute leur vie, Appius lui, ne fit qu'en souffrir. Souffrir que de voir les gens auxquels il tenait perdre la vie, emporté par la maladie ou la vieillesse. Sans aucun doutes que Jupiter voulait lui montrer que ces créatures qu'il considérait comme des insectes avaient autant d'esprit, de cœur et de raison de vivre que lui, ou n'importe quel être de l'Olympe.

C'est donc sans réel but que notre ami erra durant des siècles, de très nombreux siècles sur notre bonne vieille Terre, l'espoir de trouver enfin un adversaire capable de le défaire. A de nombreux lieux, en de nombreuses époques différentes, l'homme marqua l'histoire. On le nomma Yvain, Ragnar ou encore Altaïr. Il fut aussi maître d'armes de grandes personnes comme Guillaume le conquérant ou encore Charlemagne. Qu'importe les batailles qu'il traversa, son savoir, son sens tactique ou encore ses capacités physiques et martiales changèrent la donne, à chaque fois. Lorsqu'il n'était pas engagé dans une quelconque bataille, l'immortel trouvait ce qu'il pouvait pour s'occuper, parfois en tant que mercenaire, d'autre fois en tant que chasseur. N'imaginez pas qu'il chassait de simples cerfs ou sangliers non, notre ami s'occupait de créatures bien plus terrifiantes que seul un héros de l'antiquité semblait être capable de terrasser. D’innommables bestioles tout droit sorties d'endroits qui n'étaient en aucun native de la Terre. Géants, trolls, harpies, skavens, chimères, centaures, sphinx ou encore des gamaryun. Aucuns d'entre eux ne réussit à le blesser suffisamment pour mettre terme à son errance. Si, de nos jours, ce genre de créatures n'existent plus ou, si leur nombre est si petit, c'est en grande partie grâce à l'ancien dieu de la guerre.

C'est au vingtième siècle que sa vie prit une tournure différente. Que sa vit prit enfin une espèce de sens auquel il pouvait se raccrocher. Alors en Écosse, pays qu'il appréciait tout particulièrement et dont il avait été seigneur, des siècles auparavant, il fit la rencontre d'une agence particulière, le SHIELD. Ces agents étaient aux prise d'un humain doté de capacité extraordinaires, semblant manier les flammes, tout en étant capable de voler. Sans vraiment se poser de questions, celui qui se nommait à l'époque Lachlan d'Ayr -nom qu'il portait à l'époque où il fut seigneur, mais qu'il appréciait tout particulièrement – intervint et mit rapidement fin au combat. Ce fut à partir de ce moment que l'olympien intégra cette organisation, que son savoir les aida d'une certaine façon, tout comme sa puissance. Il servit autant d'agent de terrain que de tête pensante dans cette organisation, montant peu à peu les échelons, trouvant ainsi une place dans ce monde. Monde qu'il n'était pas encore prêt à quitter, semblait-il.

Pseudo/âge/sexe ; Zendel, 26 ans, masculin Fréquence de connexion ; trois ou quatre jours par semaine. Que pensez-vous du forum? ; J'adore marvel, j'adore le graph et la communauté a l'air sympathique, alors c'est que du bonheur. Comment l'avez-vous découvert ? Honnêtement, ça fait longtemps que je l'ai dans mes favoris, du coup il y a de grandes chances que ce soit par PRD ou Bazzart.   Célébrité choisie ; Kellan Lutz Credits (avatar, icon etc.) ; Fandango