MISSION # WHO KILLED THE WORLD?

WHO KILLED THE WORLD?

Phillip Coulson, Vega Fawley, Mary-Jane Watson, Shane Waters.

Vous.

Savez.

Que.

Quelque.

Chose.

Ne.

Va.

Pas.

C'est un changement dans l'air. Votre coeur qui s'arrête un instant, un quart de seconde, le temps d'un rien.

Le monde s'arrête autour de vous et pendant un battement de coeur, tout est rigoureusement immobile, comme un jardin de statues enchantées. Dans le petit centre commercial de Manhattan où vous vaquez à vos occupations, tout le monde s'arrête de bouger, en même temps.

Et puis tombe face contre terre.

Vous êtes seuls, au milieu d'une mer de corps inconscients. Leurs coeurs battent, si ça vous intéresse, mais ils ne réagissent plus à rien. Aux murs, les horloges sont arrêtées. Quelque part, une télévision diffuse toujours les informations. Le silence est total, vous enveloppe: pendant un instant, vous êtes seul au monde, un fantôme parmi les morts.

Et puis tout d'un coup quelqu'un d'autre se met à bouger. Vous n'êtes pas si seul, finalement.

Mais est-ce une bonne chose?

Quand vous vous êtes rapproché des trois autres personnes que vous avez trouvé dans cet étage du centre commercial, soudainement, vous figez. Un cri résonne à l'étage supérieur.

Et il ne s'arrête pas.

explications

◙ Vous vous trouvez dans un centre commercial lambda, en train de faire vos affaires. Tout le monde s'évanouit autour de vous. Impossible de sortir de l'endroit, impossible de réveiller quiconque; vous n'êtes que tous les quatre, plus un autre homme qui dit s'appeler Joey.
◙ Le temps s'est arrêté. Vos téléphones sont inutilisables. Toute communication avec l'extérieur est impossible. De plus, vos dons vous sont impossibles à utiliser.
◙ Le cri qui résonne à l'étage supérieur n'a rien d'humain. À vrai dire, il est même carrément effrayant et votre instinct vous dit qu'y aller ne serait certainement pas une bonne idée.
◙ Vous pouvez vous sentir nauséeux ou vaguement malade.

◙ Le PNJ repostera en temps et en heure, promis. :faint:

Pour l'instant, faites gentiment connaissance et prenez la décision de faire les choses à votre manière, à vous d'en subir les conséquences. :hahaha:

◙ Vous gagnerez, au terme de cette mission, des points qui seront jugés par le staff sur les critères BPO: BADASS, PUNCHLINE, ORIGINALITÉ. MISSION # WHO KILLED THE WORLD? 2258591103

MISSION # WHO KILLED THE WORLD? 2258591103

◙ Votre sujet de flood se trouve ici. N'hésitez pas à y passer pour discuter quoi faire, les tours de posts, etc. :shon:

◙ À la moindre question, ask fitz!

THE NEW AGE

Invité it's a revolution, i suppose Invité

Who Killed The World

Feat Vega, Shane, Mary Jane et Philip

Vega faisait ses courses tranquillement, August avait besoin d'affaire pour les combats et sa fille devait acheter des livres. C'était son jour de congé alors forcément, elle en profitait un maximum. La jolie rousse allait rentrer acheter des livres quand elle eut l'impression que son cours s’était arête un petit instant sans comprendre pourquoi, tout autour d'elle s'était arrêtée. Elle avait peur, Vega n'aimait pas se sentir enfermée au milieu de ces statues. Puis, sans comprendre, ils tombèrent tous et là, elle sut que quelque chose n'allait pas. Comment était ce possible ? Vega ne se sentait pas bien, elle essaya d’appeler August pour qu'il vienne la chercher, mais son téléphone ne marchait plus. Elle respira un bon coup en se disant qu'il fallait se calmer que cela ne servait à rien de perdre son sang-froid, elle se décidât à aller voir plus loin.

Vega vit quatre autres personnes qui pouvaient encore bouger. Elle n'aimait pas les situations inconnues avec beaucoup de variables à prendre en compte. En mettant la main dans sa poche, elle sentit son pistolet, cela pouvait toujours servir, on ne sait jamais ce qui peut se passer. Vega s'approcha un peu mieux des personnes, elle pensait que la fille pouvait être une alliée plus que les garçons.

Qui êtes vous ?

Vega était directe, mais peu lui importait tant qu'elle sortait vivante de cette affaire quitte à tuer les autres. Elle se dit que rien ne servait à courir, que tout s’arrenterait. Vega se sentait encore un peu nauséeuse, mais la situation ne pouvait empirer. Alors, qu'elle se disait cela, un cri terrifiant résonna, il venait d'un étage supérieur et cela n'avait rien d'humain. Vega n'aimait pas que la situation soit tellement bizarre, heureusement, elle était une stratège et elle savait qu'il ne fallait pas monter là-haut.

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Shane n'avait jamais été un grand amoureux des centres commerciaux, bien au contraire. Il n'avait jamais été à l'aise dans la foule, toujours sur ses gardes, de crainte que qui que ce soit ne vienne plonger ses mains dans ses poches dans un moment d’inattention. D'autant plus que ceux présents dans le Nouveau-Monde étaient bien plus imposants, bien plus remplis, bien plus pullulant. Il fallait aussi avouer que notre ami n'aimait guère les gens en général, la plupart étaient considérés comme des gros cons, ce qui avait le don de l'énerver plus ou moins subtilement. Malgré cette sainte horreur de ces galeries marchandes, il lui arrivait de s'y rendre, rarement, mais de s'y rendre quand même. Les raisons étaient toujours sensiblement les mêmes : pour sa très chère fille. Rien au monde ne l'empêcherait de lui faire plaisir, pas même une armée d'inconnus qui mériteraient tous des claques à répétitions, ni même les allées interminables de magasins qui ne cessaient de plus se ressembler les uns que les autres. La raison qui l'avait poussé par cette belle journée à se rendre dans cet enfer ? L'anniversaire imminent de sa petite princesse. N'ayant guère personne pour l'accompagner dans son périple, en grand héros, l'irlandais s'était rendu seul face à ses maints dangers. A vrai dire, il ne s'était lié qu'à peu de personnes depuis son arrivée à New York, si ce n'est peut-être la petite Bambi, mais, hors de question de l'amener dans ce genre de lieu où elle serait bousculée sans cesse dans tous les sens. Ce qui se finirait globalement dans un bain de sang, qui ne serait ni le sien, ni celui de la petite biche. Même s'il savait garder son calme, de temps à autres, il ne lui en fallait que trop peu pour vriller.

Ainsi, enfermé dans ce purgatoire depuis bien deux heures, un événement bien étrange vint déranger sa douce journée. Tous les gens autour de lui finirent par se figer bien étrangement avant de, quelques secondes plus tard, tomber tous au sol, offrant au père attentionné une scène digne des plus grands films de guerre; des corps sans vie éparpillé de partout sur le sol. Ne sachant guère quoi faire dans cette situation, le quarantenaire, dans sa grande tendresse, s’accroupit devant un des hommes pour lui coller une petite série de claques bien sèches dans l'espoir de le voir s'éveiller. Malheureusement cela n'eut aucun effet. Le malheureux ne se réveillerait, si tant est qu'il vienne à se réveiller un jour, qu'avec une vive douleur sur la joue. C'est alors que quelque chose frappa notre cher ami. Le silence. Tout semblait si silencieux, comme si … Rien autour d'eux n'existait. L'heure de son téléphone ne semblait guère avancer, et la ville tout autour d'eux semblait tout aussi morte que ce lieu. C'est alors qu'un petit groupe sembla se former, non loin de lui et qu'une rouquine qui semblait avoir son âge prit la parole, demandant qui ils étaient. Shane se gratta nerveusement la mâchoire, faisant grincer une petite barbe de trois jours.

« On s'en fout d'qui on est. On a l'air d'être dans la merde. J'sais pas s'qu'il s'passe dans s'bordel, mais là ça pue du cul violent. Les gars là, sont pas morts, mais ils réagissent pas. J'ai fillé quelques bonnes claques dans la tête d'un mec, aucune réaction. Sinon, une idée de pourquoi nous, on est épargnés ? »

Shane finit par détailler le petit groupe, une gamine, un gars semblant avoir son âge aussi, calme et sérieux portant un costume qui semblait hors de prix et … Un petit jeune qui semblait complètement perdu. Pas forcément la meilleure équipe possible. Après un bref moment, un cri horrible se fit entendre. Quelque chose de pas humain du tout du tout selon notre ami. Chose qui, de fait, était sans aucun doutes la cause de tout ce truc. En temps normal, n'importe qui se serait dit qu'aller vers le cri semblait une mauvaise idée, mais pas Shane non. Lui était bien trop … Simplet si on peut dire, pour penser si rationnellement. Rappelons qu'il était du genre à foncer tête baissée et après, peut-être, réfléchir un petit peu. Malgré tout, la situation semblait relativement claire pour lui. Titillant ses deux lames cachées dans son dos, il était prêt à en découdre avant d'annoncer fièrement sa fabuleuse idée, heureux et souriant.

« Bon, z'allez pas aimer mon idée. Mais j'dirais qu'aller vers le machin qu'a beuglé ça a pas l'air trop con comme idée. Ça a pas l'air du tout du tout humain c'est forcément ce machin qu'a causé tout ce bordel. J'y vais, j'la bousille et on rentre chez nous. Si vous vous faites chier, z'avez qu'à m'suivre. Une grosse baston, s'toujours mieux à plusieurs. »

Disons surtout que, de son point de vue, il y avait plus de chance de survie à quatre ou cinq qu'à un. D'autant plus qu'il ne savait pas où il allait, ni ce qui l'attendait. Et n'ayant aucun pouvoir d'actif, cela risquait d'être très très compliqué.

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Ne me dites pas que vous êtes le genre de gars, qui dans les films d’horreur, trouve que la meilleure idée du monde est d’aller vers ce qui risque de le tuer ?

Un cri qui dur aussi longtemps n’est pas humain et vous voulez vraiment vous rendre là-bas et nous mettre aussi en danger ?

who killed the world?

Mary-Jane n'était pas l'assistante des Avengers, elle était leur responsable de communication (bien qu'officiellement, elle officie pour Stark Industries). Mais ça ne l'empêchait pas de se retrouver de temps en temps dans les centres commerciaux de Manhattan, à la recherche de nouvelles fringues pour Steve (avec qui elle essayait de travailler le sens de la mode), de smoothies ou de douzaines de donuts qu'elle ramenait ensuite avec elle à la tour Avengers. Elle n'était pas obligée de faire tout ça, on ne le lui demandait pas. Mais elle était comme ça, Mary-Jane. Elle savait que leur quotidien était déjà bien compliqué, alors elle avait toujours envie de leur rendre la vie plus facile, plus douce. Certains oubliaient parfois de s'accorder des moments pour eux, de prendre des moments pour se détendre et profiter. Alors elle essayait de les pousser à le faire. Elle était la seule personne normale à cet étage de la tour. Elle était donc la mieux placée pour leur rappeler de temps en temps ce que c'était, une vie normale. Aujourd'hui, elle était en quête de décorations pour le bureau que Stark lui avait donné, qui lui faisait aussi office de chambre de temps en temps, quand les choses se compliquaient, ou qu'on avait besoin d'elle. Au final, elle passait presque plus de temps dans son bureau que dans son appartement. Et on ne pouvait pas dire que ça la dérangeait grandement. Au moins, elle était là en cas de problème. Elle avait aussi pour idée de ramener des viennoiseries aux héros, comme d'habitude. Il y avait dans ce centre commercial une boulangerie tenue par deux français qui était juste divine. Mais comme d'habitude dans la vie de Mary-Jane, les choses ne se passaient pas comme prévu.

Au début, ce fut comme un coup au cœur. Un petit étourdissement qu'elle n'expliquait pas. Elle sentit une lourdeur sur sa poitrine et son cœur s'emballa. Sa première pensée fut plutôt alarmante : Peut-être qu'elle était en train de faire une crise cardiaque, figée au milieu de la foule, ses sacs sur les bras. Elle savait que ça pouvait arriver, même aux jeunes. Mais sa crainte se dissipa rapidement quand elle releva les yeux. Tous autour d'elle semblaient figés. Elle fronça les sourcils. Quand ils tombèrent tous à terre, elle eut un mouvement de recul. Son visage se décomposa, littéralement. La jeune femme laissa tomber les sacs qu'elle avait dans les main sur le sol, et lança des regards paniqués autour d'elle. Merde. Qu'est-ce que c'était que ça encore? Elle était encore sous le choc quand une femme rousse l'interpella, en lui demandant qui elle était. Mary-Jane ne répondit pas tout de suite, encore légèrement déboussolée par la situation. Depuis qu'elle savait que Peter était Spider-Man, elle en avait vu des vertes et des pas mures, et encore plus depuis qu'elle travaillait pour les Avengers mais… Elle ne s'y habituait définitivement pas. Un autre homme du même âge que la femme les rejoignit et commença à répondre à cette dernière, ce qui arrangea la petite rousse qui ne se sentait pas d'attaque à se lancer dans un débat. C'est à ce moment qu'ils entendirent le cri, glaçant, terrible. La jeune femme sentit ses poils se hérisser. Ils n'étaient pas en bonne posture et surtout, elle ne comprenait toujours pas pourquoi ils n'étaient pas eux aussi face contre terre. Elle n'osait même pas s'approcher des corps des victimes, incertaine de vouloir savoir s'ils étaient morts ou encore vivants. « Bon, z'allez pas aimer mon idée. Mais j'dirais qu'aller vers le machin qu'a beuglé ça a pas l'air trop con comme idée. Ça a pas l'air du tout du tout humain c'est forcément ce machin qu'a causé tout ce bordel. J'y vais, j'la bousille et on rentre chez nous. Si vous vous faites chier, z'avez qu'à m'suivre. Une grosse baston, s'toujours mieux à plusieurs. » Mary-Jane se tourna vers lui avec un air affolé sur le visage. Comment pouvait-il dire quelque chose de la sorte ? Pour qui bon dieu se prenait-il ? Dans d'autres circonstances, elle lui aurait sûrement ri au nez. Peter, Thor et Stark étaient les rois de ce genre de blagues, mais l'homme en face d'elle semblait le dire avec tant de sérieux que ça prenait une toute autre signification. Qui était-il pour se penser si invincible ? Heureusement, un autre homme mis son grain de sel dans l'équation, un homme que Mary-Jane jurait avoir déjà vu quelque part… « Ne me dites pas que vous êtes le genre de gars, qui dans les films d’horreur, trouve que la meilleure idée du monde est d’aller vers ce qui risque de le tuer ? Un cri qui dure aussi longtemps n’est pas humain et vous voulez vraiment vous rendre là-bas et nous mettre aussi en danger ? » La jeune femme hocha la tête, fermement d'accord avec lui. « Personnellement, je préfère ne pas me lancer dans la gueule du loup. » Elle l'avait déjà assez fait dans le passé, et Spider-Man ne serait pas toujours là pour l'aider à s'en sortir. « Ce cri n'était pas vraiment humain, j'ai l'impression qu'il venait plus d'un agresseur que d'une victime. Je propose donc que nous restions ici, en essayant d'éviter que cette… chose nous trouve. » En tous cas, c'était ce qu'elle allait faire elle. « S'il se passe vraiment quelque chose, la police devrait être là d'une minute à l'autre. Ou quelqu'un qui pourra nous aider, en tous cas. » Elle baissa les yeux légèrement. Elle savait que tous ne croyaient pas en les bonnes intentions des héros ou des mutants.

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« On s'en fout d'qui on est. On a l'air d'être dans la merde. J'sais pas s'qu'il s'passe dans s'bordel, mais là ça pue du cul violent. Les gars là, sont pas morts, mais ils réagissent pas. J'ai fillé quelques bonnes claques dans la tête d'un mec, aucune réaction. Sinon, une idée de pourquoi nous, on est épargnés ? Bon, z'allez pas aimer mon idée. Mais j'dirais qu'aller vers le machin qu'a beuglé ça a pas l'air trop con comme idée. Ça a pas l'air du tout du tout humain c'est forcément ce machin qu'a causé tout ce bordel. J'y vais, j'la bousille et on rentre chez nous. Si vous vous faites chier, z'avez qu'à m'suivre. Une grosse baston, s'toujours mieux à plusieurs. »

Vega n'aimait pas du tout cet homme qui semblait se foutre totalement de la survie de chacun. En même temps, Vega se demandait ce que ce bruit suspect pouvait être. Un homme prit la parole, il semblait beaucoup plus sensé et avait l'habitude de diriger des troupes cela se sentait. La jeune rousse semblait plus une personne lambda et il y avait le cinquième gars qui n'avait pas parlé juste qui semblait effrayé, Vega suspecta vite quelque chose de vraiment louche.

Bon, nous sommes au premier étage, le cri vient des étages au-dessus, soit on reste ici en prenant le risque que l'origine du cri vienne ou bien on peut descendre.

Vega ne savait si elle pouvait montrer son pistolet à des inconnus, mais bons c’était toujours bien d'avoir une arme dans un groupe. Le cinquième était louche de même que celui qui était suicidaire, les deux autres pourraient l'aider à raisonner. Attendre des secours, Vega, doutait qu'ils puissent venir. Les gens autour étaient encore vivants donc peut-être qu'il était allé à un endroit où elle et les autres n'étaient pas allés. En réfléchissant, elle se dit que des boissons et de la nourriture peuvent être facilement empoisonnées. Mais cela n'expliquerait pas ce cri inhumain.

Avez mangé où but quelque chose, cela pourrait expliquer que l'on n'a pas été touché. Je pense qu'il vaut mieux descendre, on pourra, peut-être, trouver un moyen de sortir ou de se cacher.

Vega pensait vraiment à leur dire qu'elle était armée mais ,elle préférait gardé cela secret sinon ils se méfieraient. Elle aimerait bien aussi savoir pourquoi le cinquième gars n'avait pas parlé.

Et toi qui es tu ? Je m'appelle Joey, madame, je sais pas comment ça se fait, je ne me suis pas évanoui comme vous.
Vega haussa les sourcils en pensant que ce petit pourrait être un bon appât, enfin d’ailleurs à cause du suicidaire, elle était à l'aveugle pour savoir qui est qui à part Joey.
Je réitère la question, qui êtes vous ? Car le suicidaire m'a coupée la parole.

Vega pensait à sa fille qui devait vraiment s’inquiéter, mais son téléphone était toujours hors course. Elle inspira fortement et réfléchit, ce qu'elle avait dit pouvait être une bonne stratégie pourtant, des détails semblaient vraiment aberrants. Le suicidaire et Joey seront forcement des problèmes ce qu'il fallait surveiller. Un autre cri se fit entendre avec une grande force, elle sursauta comme si le cri venait de derrière, mais pas du tout. Il fallait faire vite, s'ils ne voulaient pas mourir. Vega était toujours un peu mal, mais elle passait outre, sa santé n'était pas trop importante face à sa survie.

Je m’appelle Vega Fawley et on est tous dans la même galère donc autant trouvé des solutions ensembles et non pas en solitaire. On est trois à trouver ton idée bête, le suicidaire donc majorité et si Joey parle ça servira à rien. Il faut qu'on essaye de survivre d'accord ?

who killed the world?

« Bon, nous sommes au premier étage, le cri vient des étages au-dessus, soit on reste ici en prenant le risque que l'origine du cri vienne ou bien on peut descendre. » résuma la femme rousse. Mary-Jane avait beau travailler avec des héros et des personnalités particulièrement courageuses… Elle ne pouvait pas autant en dire d'elle-même. Elle n'était pas habituée à aller au devant du danger comme ça. « Avez vous mangé où bu quelque chose, cela pourrait expliquer que l'on n'a pas été touché. Je pense qu'il vaut mieux descendre, on pourra, peut-être, trouver un moyen de sortir ou de se cacher. » La rousse pinça les lèvres avant de déclarer : « Impossible que ce soit les boissons ou la nourriture… J'ai consommé les deux et pourtant je suis bien là. L'explication doit être autre... » Puis elle fronça les sourcils, tentant de trouver une explication à cette mascarade. Mais elle n'était pas une pro du surnaturel, elle n'était même experte en rien, alors difficile de trouver une explication à cette situation étrange et particulièrement angoissante. Bon, au moins, deux des adultes semblaient savoir ce qu'ils faisaient, c'était un bon point. Et elle jurait avoir vu l'homme en costume une fois. Elle se demanda s'il n'avait pas un quelconque lien avec les personnes qu'elle côtoyait tous les jours. La femme rousse interrogea le garçon, qui avait à peu près l'âge de Mary-Jane. Il semblait vraiment angoissé, et la jeune responsable en communication pouvait le comprendre, aisément. Une nouvelle fois, elle essaya de toucher à son portable mais celui-ci ne répondait pas. Qu'est-ce qu'elle aurait donné, là tout de suite, pour pouvoir appeler Peter.

Un nouveau cri les fit tous sursauter. « Je m’appelle Vega Fawley et on est tous dans la même galère donc autant trouver des solutions ensembles et non pas en solitaire. On est trois à trouver ton idée bête, le suicidaire donc majorité et si Joey parle ça servira à rien. Il faut qu'on essaye de survivre d'accord ? » Mary-Jane, malgré son angoisse, leva les yeux au ciel devant l'audace et le franc parler de la femme. Eh bien, celle là, elle n'hésitait pas à dire ce qu'elle pensait, au moins. La jeune femme était incapable de dire si ça la rassurait ou si ça la terrifiait. Mais bon, elle n'avait pas beaucoup d'options, alors elle préférait autant rester avec des personnes comme elle qui semblaient plus ou moins avoir une idée de comment agir en situation de crise. « J'avoue que je préférerais qu'on essaie de bien se cacher. » lança MJ, assumant totalement le fait de ne pas être la plus courageuse des femmes sur terre. « Comment est-ce qu'on pourrait combattre quelqu'un, nous n'avons pas d'armes, pas de super-pouvoirs… » Soudain, elle sentit son téléphone chauffer dans sa main. Elle fronça les sourcils, et soudain, il se mit à vibrer de manière très étrange. Et là, elle ne comprit pas vraiment ce qui se passait, mais différentes couches de métal se déployèrent pour former un espèce de bâton, qui ressemblait étrangement à une batte de baseball. Elle resta bouche bée, comprenant que tout ça était une combine de Stark. Elle releva les yeux vers les autres. Comment allait-elle expliquer ça ? « Bon.. Hum.. Je suppose qu'on a une arme, maintenant… »

who killed the world ?

Harry n’a rien remarqué, au début. Les yeux rivés sur son téléphone, un café dans la main, il n’a même pas vu que les gens avaient cessé de bouger, autour de lui. Puis il a entendu un bruit sourd. Et un autre. Et encore un autre. Alors il a enfin daigné lever le nez de son écran pour constater que tous les gens autour de lui avaient comme cessé de vivre, tout d’un coup. Il s’est arrêté, le cœur battant la chamade, se demandant s’il n’allait pas lui aussi tomber raide mort. Les secondes se sont étirées et quand il s’est rendu compte qu’il ne subirait visiblement pas le même sort, Harry s’est penché vers une femme pour glisser deux doigts dans son cou. Un battement de cœur régulier lui a répondu et il s’est redressé, reportant son attention sur son téléphone. La page internet qu’il consultait s’est figée. Les sourcils froncés, il a tenté de la relancer, de l’éteindre, impossible. Avec un soupir, il a plongé son téléphone dans sa poche et a délaissé son café sur un rebord pour s’avancer parmi les corps.
Est-ce qu’il est entièrement seul ? Et bon sang, que s’est-il passé ? Il pense d’abord à un gaz toxique, cela lui apparaît comme la seule chose capable de plonger autant de personnes dans l’inconscience d’un coup. Et ça explique pourquoi il est toujours debout. Mais il n’a rien senti et en levant les yeux vers l’immense horloge devant lui, Harry constate que l’aiguille s’est arrêtée.

Alors quoi, de la magie ? Il ne se pense pas insensible à cela. Harry fronce les sourcils et compte ses doigts. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix. En guise de seconde vérification, il attrape un flyers qui dépasse de la main d’un type écroulé au sol et le lit. D’accord, il ne rêve pas. Il est tenté d’ouvrir la bouche et de crier, pour savoir s’il est vraiment le seul encore éveillé, mais il se ravise bien vite. Se faire remarquer n’est peut-être pas une très bonne idée. Alors il continue d’avancer. Sortir d’ici est encore la meilleure chose à faire. « Du coup… rouge bourgogne ou rouge bordeaux ? Les deux se marient très bien avec le beige, après tout. Mais mes murs sont bleu anthracite. Oui, je sais ce que vous vous dites, rouge et bleu, ça fait très Spider-Man tout ça. Et bien figurez-vous que… Allo ? Vous m’écoutez ? Ah ben, me v’là bien. » Harry se fige et se tourne vers l’origine de la voix. Un type en costume rouge et noir dans un magasin d’arts et déco, les bras chargés de rideaux rouges.
Il a déjà vu ce mec, lors du transfert de mutants et il est incapable de savoir si c’est une bonne ou une mauvaise chose de le retrouver ici. « Elle est inconsciente. Ou endormie. Comme tous les autres, » fait Harry et le mec en costume lève la tête vers lui. Il parcourt le magasin et l’allée du regard et pousse un soupir. « Ça m’rappelle de mauvais souvenirs, » fait l’autre mec. « Du coup, rouge bourgogne ou rouge bordeaux ? » demande-t-il et Harry lui lance un regard sombre. Alors il hausse les épaules et passe par-dessus le comptoir pour attraper un sac dans lequel il fourre ses deux bouts de tissus.

« Il faut encore que j’sauve le monde, c’est ça ? » fait le costumé en sortant de la boutique d’un pas assuré. Harry arque un sourcil et le toise de bas en haut, l’air guère convaincu. « Sûrement, ouais. Bon courage pour ça, » dit-il avant de lui tourner le dos pour continuer d’avancer. Il n’a pas l’intention de rester plus longtemps avec ce type. Mais il ne tarde pas à comprendre que l’autre le suit et soupire. C’est alors qu’un cri résonne. Interminable, presque inhumain, Harry se fige et sent son sang se glacer dans ses veines. « Sacré coffre ! » s’exclame le mec en costume avant de le dépasser, visiblement intrigué et prêt à aller à la rencontre de la personne – ou de la chose – qui hurle ainsi. « Att— » Il n’a pas le temps de finir sa phrase, le mec détale et Osborn pousse un juron avant de le suivre au pas de course. Il arrive au bout du couloir, évite les corps par terre et tourne sur sa droite, pour se figer en voyant plusieurs personnes en train de discuter vivement. Un type en costard, une vieille rouquine, un autre gars et… « Mary-Jane ! » Il se fige, le cœur battant la chamade. Puis il s’élance à nouveau pour arriver à leur hauteur. « MJ, tu vas bien ? Qu’est-ce qu’il se passe ici, c’est… » Il s’interrompt, fronce les sourcils. « Une batte de baseball ? » — « Super arme contre les zombies, mais j’préfère ça, » fait le mec en costume rouge et noire en dégainant les katanas qu’il a dans le dos. Harry ne prend même pas le temps de se demander comment il a fait pour entrer ici avec des armes sur lui. « Mais y a pas de zombies, en fait. » Osborn serre les dents et se retient à peine de lui dire de la fermer. Se retrouver seul avec cet espèce de taré dans un centre commercial, c’est une chose. Retrouver MJ ici, alors qu’ils sont peut-être en danger, c’en est une autre…

WHO KILLED THE WORLD?

Phillip Coulson, Vega Fawley, Mary-Jane Watson, Harry Osborn, Wade Wilson.

Le cri s'arrête.

Ça laisse un immense silence derrière, quelque chose de lourd et de gênant, qui emplit les oreilles de neige et embue les yeux. Vous vous regardez sans comprendre, momentanément sourds, momentanément muets, jusqu'à ce que l'impression étrange d'avoir vous-mêmes été immobilisés pendant un instant s'estompe.

“ Aidez-moi! ” vous parvient la voix. “ Aidez-moi! ”

C'est la voix du hurlement, éraillée, provenant toujours de l'étage supérieur. Pourtant, la voix semble... dédoublée, comme si ce n'était pas une mais deux mais cinq mais dix personnes qui hurlaient en même temps. “ Woah, mec, su-per, ça donne envie! ” commence discrètement Deadpool en faisant tournoyer ses lames. “ Bon je sais pas vous mes donzelles mais moi, les demoiselles en détresse, j'aime pas les laisser en détresse! ” Aucune punchline. Le regard que vous adresse Harry Osborn parle pour lui: l'étrange homme costumé de noir et de rouge est insupportable, que ce soit le temps d'une réplique ou d'une longue conversation.

Le premier coup de feu vous fait sursauter comme des fous et Joey, l'homme qui s'est immiscé dans votre groupe en premier lieu, dégaine une arme de service en prenant une expression fermée. “ Je vais vous demander de rester tous en arrière, ” vous dit-il d'un ton très sérieux de celui habitué à ce qu'on lui obéisse. “ Je crois que nous avons affaire à une attaque extra-terrestre. Ou tout du moins... inhumaine. ”

Le cri, effectivement, n'a rien d'humain quand il recommence.

explications

◙ Le cri s'est momentanément arrêté, avant de se transformer en appels à l'aide désespérés. Il a repris maintenant, un cri de douleur intense, impossible à complètement ignorer.
◙ Joey a sorti une arme de service — policier déguisé en civil — et vous pouvez voir son insigne de la NYPD à sa hanche. Il n'a pas l'air d'en mener large, mais s'approche déjà des escalators en panne pour aller à l'étage.
◙ Shane Waters est maintenant PNJisé, vous pouvez le faire agir comme bon vous semble. Toujours est-il qu'il est le premier à suivre Joey vers les escalators.

◙ Le PNJ repostera en temps et en heure, promis. :faint:

Pour l'instant, faites gentiment connaissance et prenez la décision de faire les choses à votre manière, à vous d'en subir les conséquences. :hahaha:

◙ Vous gagnerez, au terme de cette mission, des points qui seront jugés par le staff sur les critères BPO: BADASS, PUNCHLINE, ORIGINALITÉ. MISSION # WHO KILLED THE WORLD? 2258591103

◙ Votre sujet de flood se trouve ici. N'hésitez pas à y passer pour discuter quoi faire, les tours de posts, etc. :shon:

◙ À la moindre question, ask fitz!

THE NEW AGE

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Vega fut contente que la petite rousse soit d'accord avec elle. Elle continuait de réfléchir quand une arme en forme de batte de baseball se matérialisa. Vega fronça les sourcils, cette situation était vraiment bizarre. Bon elle avait aussi une arme mais un pistolet ne fera pas un grand mal à de cette bestiole. Alors qu'elle pensait que c'était finie deux hommes arrivèrent, un mec en rouge et noir qu'elle identifia comme Deadpool et un jeune qui connaissant la petite rousse. Le cris s’arrête, j'essaie de parler mais mes sens sont vraiment dérangés et cela revient sans explication. Vega en avait beaucoup vue mais là cela commençait à bien faire. Un personne crie à l'aide en haut et l'homme en rouge sort une connerie vraiment déplacée avant qu'elle puisse parler Joey montre son vrai visage de flics et croit pouvoir avoir la situation en main et part avec le suicidaire.

Vraiment débile comme si on avait pas compris que c'était pas humain bravo monsieur le flic c'était fantastique comme idée. On peut vous applaudir. Monsieur Deadpool vous voulez sauvez des Donzelles comme vous dites mais elle est déjà morte, faut pas perdre notre temps et cachons nous. Laissons les deux suicidaires y aller.

Vega commençait vraiment à être fatiguée et cela faisait du bien de pouvoir lancer un bon coup de gueule aux autres. Maintenant elle pouvait montrer qu'elle était armée. Elle sortit son pistolet et décida de trouver une bonne cachette en descendant dans les étages inférieur. Et puis si c’était extraterrestre que pouvaient ils faire?

Oui j'ai un flingue mais pour nous défendre. Venez allons nous cachez, on va pas mourir bêtement en essayant de sauver cette personne.

Vega Fawley était une femme pragmatique qui essayait toujours de trouver les meilleures solutions. Et puis, elle était importante pour Hydra et sa famille. Il fallait qu'elle trouve une solution et commença à descendre. Le cri de douleur qu'ils écoutaient était horrible et donnait vraiment mal à la tête.
Les deux suicidaires revenez vous allez mourir si vous montez là haut.

D'accord, c'était un flic mais elle pouvait lui faire peur non ? Elle tira à coté des deux hommes qui la regardèrent avec horreur.
Vous avez essayer de tirer sur les forces de l'ordre ça va pas.
Oh si, elle allait très bien mais ça commençait vraiment à l’énerver cette situation. Elle invita tout le monde à la suivre en bas tout en faisant un geste pas sympathique aux suicidaires. Vega commença à descendre tout doucement d'un étage mais vit que les autres hésitaient à la suivre.

Vous hésitez vous avez trois choix, rester ici, aller vous suicider ou venir se cacher en bas pour survivre. C'est pas compliqué ? Si ? Deadpool vous êtes super héros donc faites comme vos semblables, essayez de nous sauver sans trop de pertes enfin ça c'est plus compliqué.

Vega avait presque crier sa dernière phrase. Elle espérait vraiment s'en sortir comme tous les autres. Ses enfants étaient déjà orphelin de père alors évitons la mère.
Si vous avez d'autres idées, n'hésitez tant que ce n'est pas suicidaire.

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Stark Industries ?

J’ai une proposition à faire et j’aimerai que vous écoutiez avant de vous tirer dessus les uns les autres.

Vous deux, vous allez aller avec Vega en bas. Mettez-vous à l’abri et attendez qu’on revienne.

Deadpool, Joey, le … suicidaire et moi allons voir à l’étage.

Oh et Joey ? Rangez votre arme, elle ne vous servira à rien.

who killed the world?

Bien sûr, une partie d'elle était plutôt reconnaissante, parce qu'une arme ne serait sûrement pas de trop dans la situation actuelle, bien qu'elle ne soit sûrement pas la mieux placée pour l'utiliser. Mais il allait vraiment falloir qu'elle ait une discussion avec Stark sur le fait de cacher des armes dans ses affaires. Il aurait au moins pu la prévenir, pour éviter ce genre de surprises. Mais bon, c'était bien le genre de Stark de faire des entrées fracassantes même en n'étant pas là. Mary-Jane observait l'espèce de batte de base-ball sur laquelle des reflets bleus passaient, un peu sceptique. Qu'est-ce que ce truc pouvait donc faire ? L'homme en costume la regarde, hausse les sourcils. « Stark industries? » La jeune femme le regarde, surprise. « Mary-Jane ! » Les yeux de la rousse se rivent immédiatement sur sa gauche, direction de laquelle la voix est venue. Elle reconnaîtrait ce timbre entre mille. Son regard est un peu ébahi quand il se pose sur Harry. Il est là, il est vraiment là. Cette journée devient de plus en plus absurde, mais elle ne peut s'empêcher de se sentir un peu moins seule maintenant qu'il est là. Son cœur s'est bien sûr accéléré, « MJ, tu vas bien ? Qu’est-ce qu’il se passe ici, c’est… » Elle hausse les épaules, l'arme de Stark toujours dans les mains, un peu incrédule. « Une batte de baseball ? » fait le jeune homme en remarquant ce qu'elle tient dans la main. « Euh.. » Mais elle n'a pas le temps de poursuivre qu'une deuxième personne qu'elle n'a pas vu arriver (sûrement parce qu'elle était trop concentrée sur Harry) la coupe. « Super arme contre les zombies, mais j’préfère ça, » fait un homme en costume que Mary-Jane reconnaît tout de suite. Elle ne peut s'empêcher de lever légèrement les yeux au ciel. Ce n'est pas la première fois que Deadpool se retrouver sur son chemin, mais surtout, Peter le connaît plutôt bien. Et il faut le dire, ce type est taré. « Mais y a pas de zombies, en fait. » Mary-Jane se détourne du costume rouge et noir quand le cri s'arrête. C'est presque encore plus effrayant maintenant que le silence est rétabli. Et puis cette voix qui crie à l'aide paralyse la jeune femme. Bordel, il y a vraiment des gens en danger. Ou est-ce simplement le piège d'un mutant psychopathe ? Impossible de savoir. Deadpool joue avec ses katanas et s'apprête à se lancer à la rescousse de la voix féminine. Harry a un air exaspéré sur le visage, qui ferait sûrement sourire la rousse si la situation n'était pas aussi effrayante. Puis il y a le coup de feu, et Mary-Jane attrape par réflexe le bras d'Harry, ses yeux cherchant dans toutes les directions l'origine du bruit. Elle fléchit les genoux, prête à détaler. Soudain, l'un des hommes qu'elle a trouvés au début lance : « Je vais vous demander de rester tous en arrière, » La jeune femme remarque une arme de service et une insigne. Un policier. « Je crois que nous avons affaire à une attaque extra-terrestre. Ou tout du moins... inhumaine. » Mary-Jane fronce les sourcils. Si c'est vraiment le cas, comment sont-ils censés s'en sortir avec une arme ? Finalement, la présence de Deadpool est plus rassurante qu'autre chose, quand bien même ce mec est taré. Le cri reprend, encore plus glaçant qu'avant. La femme rousse sort à son tour un flingue, et commence à tenir pour acquis que tout le monde va aller se cacher pendant que d'autres personnes meurent. Mary-Jane la fixe, choquée, pendant qu'elle intime à Deadpool d'aller sauver ce qu'il peut sauver. C'est décidé, elle n'aime pas cette femme. L'homme en costume prend alors les choses en main, pour son plus grand plaisir. « J’ai une proposition à faire et j’aimerai que vous écoutiez avant de vous tirer dessus les uns les autres. Vous deux, vous allez aller avec Vega en bas. Mettez-vous à l’abri et attendez qu’on revienne. » La jeune femme pince les lèvres. Elle n'est pas sûre de vouloir rester en compagnie d'une femme prête à sacrifier d'autres personnes pour survivre, très franchement. Elle lance un regard interrogateur à Harry. Elle aimerait savoir ce qu'il pense de tout ça. Stark ne pouvait pas plutôt lui donner un jet, ou un décodeur de pensées ? Puis elle réfléchit. Peut-être que son arme a lancé un signal qui ramènera les Avengers! À moins qu'eux aussi soient paralysés… Quand l'homme en costume a fini de lancer ses idées, elle lance, se sentant terriblement impuissante : « Vous êtes sûrs qu'il n'y a rien que l'on puisse faire ? Je n'aime pas beaucoup l'idée qu'on se sépare… » Elle plonge sa main dans sa poche et y trouve son ancien portable, celui qu'elle utilisait avant de recevoir son nouveau en commençant à travailler avec les Avengers. Discrètement, elle lance un appel à Peter. Qui sait, il comprendra peut-être? Elle regarde Harry, cherchant toujours son soutien dans cette tempête, malgré tout ce qui a pu se passer.

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who killed the world ?

Deadpool n'a pas vraiment remarqué que les gens s'étaient figés. Après tout, il a toujours eu l'habitude de parler tout seul alors une fois de plus, une fois de moins (« Hé ! Sache qu'on adore écouter ma douce voix ! »; « Non, tu PENSES que tout le monde adore t'écouter mais les gens en ont marre de toi »; « Même pas vrai ! » -va bouder dans son coin-). Alors Wade ne remarque pas tout de suite que l'employé de ce magasin d'art et déco ne lui demande plus de se taire. « Du coup… rouge bourgogne ou rouge bordeaux ? Les deux se marient très bien avec le beige, après tout. Mais mes murs sont bleu anthracite. Oui, je sais ce que vous vous dites, rouge et bleu, ça fait très Spider-Man tout ça. Et bien figurez-vous que… Allo ? Vous m’écoutez ? Ah ben, me v’là bien. » Il laisse tomber les rideaux d'un geste agacé avant de lever les bras au ciel. « Les gens n'ont plus aucun respect et ne savent plus écouter de nos jours ! » Il soupire avant de se gratter l'arrière de la nuque, cherchant un moyen de réveiller la femme en face d'elle mais une voix attire son attention. « Elle est inconsciente. Ou endormie. Comme tous les autres, » Il lève la tête d'un coup et observe le brun avant de pencher la tête sur le côté. Il parcourt le magasin et l'allée du regard et pousse un soupir. « Ça m’rappelle de mauvais souvenirs, » fait-il en repensant à l'univers alternatif zombie qu'il avait visité quelques mois plus tôt.

Finalement, il se tourne vers l'homme et lui désigne les rideaux d'un doigt, l'air sérieux. « Du coup, rouge bourgogne ou rouge bordeaux ? » demande-t-il et le brun lui envoie un regard noir. « Ben quoi ? » Alors il hausse les épaules et passe par-dessus le comptoir pour attraper un sac dans lequel il fourre ses deux bouts de tissus. Il se rapproche de son vis-à-vis et lui demande d'un ton sérieux. « Il faut encore que j’sauve le monde, c’est ça ? » Il observe les alentours, ne faisant même pas attention à l'homme qui arque un sourcil avant de le toiser de bas en haut, l'air guère convaincu. « Sûrement, ouais. Bon courage pour ça, » dit-il avant de lui tourner le dos pour continuer d’avancer. « Hé ! Hé ! » Il trottine doucement derrière lui afin de le rattraper. Il tend la main pour la poser sur son épaule et l'arrêter mais un cri résonne, interminable. « Sacré coffre ! » s’exclame-t-il avant de se rapprocher de l'origine du hurlement. (« Une fille avec une voix pareille, il faut que je la rencontre ! »; « J'ai peur de poser la question mais... pourquoi ? »; « J'ai encore un compte à régler avec mon voisin et une voix comme ça, ça va forcément le faire chier ! »; « Wade... Tu me fatigues... »; « Mais non, tu m'aimes ! ») Il ne fait même pas attention au brun qui essaye de le retenir. Peu importe. Il doit découvrir qui est cette fille.

Il arrive au bout du couloir, évite les corps par terre et tourne sur sa droite, pour se figer en voyant plusieurs personnes en train de discuter vivement. Il observe le petit groupe et s'apprête à demander qui à crier quand l'homme qui l'accompagne hurle un prénom avant de s'élancer vers la jolie rouquine. « Mary-Jane ! » Deadpool hausse un sourcil (« Pourquoi il hurle ? Elle est juste en face de lui... »; « C'est comme ça que réagisse les personnes NORMALES quand elles retrouvent des personnes qu'ils aiment »; « Bizarre... »). Il s'approche d'elle avant de reprendre la parole. « MJ, tu vas bien ? Qu’est-ce qu’il se passe ici, c’est… », il s'interrompt et fronce les sourcils, « Une batte de baseball ? » Wade se rapproche vivement et observe l'arme. « Super arme contre les zombies, mais j’préfère ça, » s'exclame-t-il avant de dégainer ses katanas et de les présenter à l'assemblée, fier de lui. « Mais y a pas de zombies, en fait. » fait-il, déçu. Okay, l'univers zombie, c'était l'enfer mais c'était quand même fun de défoncer toutes les personnes qu'il croisait.

Les cris qu'ils avaient entendus un peu plus tôt reprennent de plus belle, foutant des frissons à Deadpool. Okay, là c'est vraiment bizarre. La voix a l'air dédoublée. Au début ce n'est que deux personnes, (« Oh putain, des jumelles ! »; « Non mais t'es con ou tu le fais exprès ? »; « Ben quoi ? »), puis cinq et finalement c'est comme si une dizaine de personne hurlent en même temps ces mots : Aidez-moi !. « Woah, mec,su-per, ça donne envie! » fait-il doucement en faisant tournoyer ses lames. « Bon je sais pas vous mes donzelles mais moi, les demoiselles en détresse, j'aime pas les laisser en détresse! » Un sourire cachée derrière son masque, Wade est prêt à partir mais un coup de feu le retient et il tourne son visage vers un homme qu'il n'avait pas remarqué au début. Il prend la parole, l'arme au poing. « Je vais vous demander de rester tous en arrière, » dit-il d'un sérieux de celui habitué à ce qu'on lui obéisse. Le mercenaire hausse un sourcil, sceptique. (« Really ? Il pense vraiment qu'on va lui obéir ? »; « Apparemment. »; « PERSONNE NE DONNE D'ORDRE A.... BATMAN ! »; « Eeeeet, il est reparti... »). Le policier ne fait même pas attention à l'expression de Deadpool, comme s'il s'en fichait - et c'est sûrement le cas. « Je crois que nous avons affaire à une attaque extra-terrestre. Ou tout du moins... inhumaine. » Mouais on aurait pu le deviner tout seul, genius, se retient de dire Wade. Mais ses pensées sont interrompus par le cri qui reprend.

La vieille rouquine finit par prendre la parole, voulant se cacher et laisser les autres y aller pendant qu'elle sera tranquillou dans un coin à attendre qu'un miracle la sauve. No way, ça n'a jamais été le genre de Deadpool de rester cacher et, encore moins, de laisser d'autres personnes se battre à sa place. Un autre coup de feu attire son attention. Putain, elle est complètement cinglée ! Le policier s'insurge d'avoir ainsi été visé, pensant que sa plaque de pacotille va le protéger de tout et n'importe quoi. Deadpool lève les yeux au ciel (« Y'a pas à dire les flics sont quand même sacrément cons ! Déjà qu'ils ont fait une erreur judiciaire avec moi la dernière fois ! »; « Tu as montré tes parties à une flic, tu t'attendais à quoi ? »; « À ce qu'elle me sauve la vie ! Qu'elle les examine et surtout cette morsure ! »; « Mais dans quel monde tu vis sérieusement ? »; « Je ne vois pas où est le problème. »; « Ouais, c'est sûrement ça le problème... »). La voix de la rouquine attire à nouveau l'attention du mercenaire. Deadpool vous êtes super héros donc faites comme vos semblables, essayez de nous sauver sans trop de pertes enfin ça c'est plus compliqué. Un ricanement échappe au mercenaire alors qu'il entend sa phrase ? Lui ? Un superhéros ? Mouais, si on pense qu'une superhéros ne pense qu'à sa gueule, aux chimichangas, aux gonzesses et à l'argent, alors, ouais, il en était un. C'est le moment que choisit l'homme en costard pour se mettre en avant, leur proposant à lui et aux deux autres mecs d'aller voir là-haut la ou les... chose(s) qui poussent ces cris. « Perso, allez buter de la créature étrange ou sauver de la gonzesse, ça m'va ! » Il fait jouer ses katanas en disant cela, un sourire aux lèvres. Ses armes le démangent depuis un moment. Cela fait longtemps qu'il n'a pas été pris dans une bonne bagarre et y'a rien à dire, y'a rien de mieux pour impressionner les gonzesses que la sauver d'une mort certaine. N'attendant même pas le signal de départ de l'agent, il s'élance, katanas en l'air, hurlant à plein poumons : « A L'ASSAUUUUUT ! ». Il s'arrête un instant, tourne son regard vers les autres qui doivent venir avec eux et hausse un sourcil. « Bon, vous venez ou je me tape toute la gloire ? » Pas que ça le dérange outre mesure, mais bon, Deadpool est plus charismatique quand il a des acolytes à ses côtés.

Spoiler:

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MISSION # WHO KILLED THE WORLD?

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