Nom et Prénom : Henry McCoy, mais plus le temps passe et plus ton prénom devient Hank pour tes proches. Alias : The Beast, car le monstre au fond de toi ne peut porter de meilleur nom. Âge : La cinquantaine frappe à ta porte. Lieu de naissance & nationalité : Dans la magnifique ville qu'est Philadelphie, faisant de toi un parfait américain de pure souche. Métier : Gravir les échelons petit à petit; en arriver au point de devenir le Secrétaire des affaires Mutantes au Gouvernement Américain. L'espoir d'y rester encore un peu, pour ne pas dire longtemps. Statut civil : Marié au fauve qui est en toi. Orientation sexuelle : De brefs souvenirs d'amour te reviennent à l'esprit, ceux en qui tu ne croyais pas. La preuve de ton attirance envers la gente féminine résonne dans un nom presque douloureux, désormais, à tes yeux. Raven que tu t'étais implanté dans le cœur; Raven qui coule dans ton sang. Particularités : Tu aimerais tant ne pas les avoir, que le Fauve soit quelqu'un d'autre que toi. Pourtant, ce n'est pas le cas. Tu es celui dont la force et l'agilité sont extraordinaires, aux sens sur-développés et au corps d'acier. Tu es le monstre déformé par la mutation, celui qui n'a d'ordinaire rien d'humain et qui tente de faire oublier au monde entier sa véritable nature, qui tente de s'oublier. Mais rien ne peut mentir sur l'étrange fourrure bleue qui recouvre bien trop souvent à ton goût ta peau. Rien ne peut effacer pour toujours les traces de ce monstrueux ADN qui fait de toi une créature mi-singe, mi-féline. & tu essayes tant bien que mal de régler ce douloureux problème qui empiète sur ta vie, et ceci à l'aide d'un sérum. Alors, tu parais comme monsieur tout le monde; à l’extérieur seulement. Hélas. Affiliation : D'aussi loin que tu te souviennes, les X-men ont toujours su garder ta confiance de leur côté.

Avez-vous peur des Mutants ? Tu n'as pas peur des mutants, loin de là. Ton premier but est de les protéger, d'éviter les débordements au maximum, afin que l'opinion des hommes à votre égard ne chute pas encore. En effet, le mot « peur » n'est pas celui qui convient dans ton cas, Hank, car ce qui te terrifie n'est autre que le véritable aspect de ton reflet à travers le miroir; le monstre qui s'abrite en toi et que tu tentes à tout prix de brider. Les autres mutants n'ont pas eu le même malheur que toi, et même s'ils te rappellent ta vraie nature, ils ne t'effrayent pas, ne te faisant qu'espérer un monde meilleur pour vos deux espèces.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Beaucoup de bruits, parfois pour peu. C'est d'une utilité dangereuse, pire que la flamme avec laquelle on se retrouve à jouer. À travers eux, le point de vue de l'humain lambda à propos de vous autres, êtres extra-ordinaires, se voit modifier. Hélas, un mauvais pas peut signer votre arrêt de mort; tu le sais très bien. Alors oui, c'est dans un certain sens une bonne chose, tant que rien ne dérape, car ce principe de super-héros est juste un synonyme de bombe à retardement.  
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime ? Cet espoir de paix, ce simple mot à la signification si grande. Tu en as tant entendu parler, tu en as tant rêver. Bien sûr, tu désires comme n'importe qui atteindre ce but, mais tu préfères de loin la manière diplomatique. Le « mal » à ton point de vue, c'est ce qui met en danger un avenir serein pour tout être vivant sur terre, quelque chose qui n'a pas de limite, pouvant venir de partout. C'est ce contre quoi tu t'es autrefois battu – et contre lequel tu te bas toujours – au côté des X-men; ce qui en un souffle pourrait réduire tous les efforts du monde à zéro.
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? Tu n’as pas mis longtemps avant de le découvrir; la naissance ne t’ayant pas gâtée. Il n’a fallu qu’attendre l’âge de la raison pour savoir ce qu’il en était, prendre réellement conscience de ce que tu étais. Bien sûr, tes parents avaient tout de suite remarqué ta différence, tes pieds et mains difformes. A l’époque, encore, ce n’était qu’une partie de rigolade comparée à ta situation actuelle. Tu devrais pourtant avoir appris à vivre avec, à moins que – hélas – le regard des autres durant ta jeunesse ne t’ai choqué, marqué à jamais. Les rires, moqueries incessantes. Tu t’en souviens comme si c’était hier, alors que la majorité d’entre eux n’en ont pas le moindre souvenirs. Même elle, Jennifer Nyles, ou la première qui t’ai acceptée pour ce que tu étais, Hank. Avec les années, les temps ont changé. La majorité des Homes sont désormais au courant de ta nature, et ce n’est pas pour autant que tu ne cherches plus à la cacher. Ton rêve est probablement que l’on oublie que tu es en réalité le Fauve, que l’on t’accepte en tant qu’homme en non mutant. Mais malgré toutes tes tentatives, malgré tous tes sérums, ton apparence humaine n’est qu’une facade, et si les autres ne l’ont pas encore compris, ils ne tarderont pas à revoir en toi la créature d’autrefois.  
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Tu n’as pas à te plaindre de ce que tu es devenu; important homme politique désireux de protéger les siens. Tu as des moyens d’actions, une vision globale de la situation actuelle des choses. Et pourtant, pourtant au fond de toi tu trembles probablement que l’on te retire tout cela. Que l’on te remplace. Et tu le refuses. Totalement. Implacablement. Tu aimerais pouvoir te refuser cette pensée, mais la peur est commune à n’importe quel être, alors tu fais juste en sorte que cela n’arrive pas. Jamais.

Tu sens le fauve; odeur non détachable de ta peau, parfum tout autant unique que monstrueux. Tu l’as toujours senti, cinquante années que cela te colle à la peau. Tu t’y habitué, à ça, mais pas au reste. Pourtant, tu as toujours été d’apparence différente. Tu es né avec des monstruosités à la place des mains, à la place des pieds. Tu pourrais même en remercier ton père, car sans son exposition aux radiations, tu aurais pu être monsieur tout le monde. Hélas. Hélas ce n’est pas le cas, ça ne l’a jamais été et ça ne le sera probablement jamais. L’espoir est néanmoins resté gravé dans ton cœur, comme si on te l’avait greffé afin de te faire mal de ne pas y arriver.
uc.

Votre histoire fera au moins 1000 mots, idéalement plus. C'est une limite facilement dépassée, il y a beaucoup de choses à exploiter chez votre personnage: la découverte de ses dons s'il est mutant, l'accident qui l'a rendu héros ou villain, son enfance, ses blessures, ses réussites. Comment il réagit au conflit actuel entre mutants et humains, de quelle manière la découverte de menaces aliens l'a touché, etc. Faites attention aux fautes et à la logique de votre personnage dans le contexte, mais surtout, SURTOUT, amusez-vous !  

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