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| Stephen Strange # It's a kind of magic | |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Stephen StrangeIt's a kind of magic IdentitéNom et Prénom : Stephen Vincent Strange Alias : Docteur Strange Âge : D'apparence la jeune quarantaine, mais en réalité 83 ans (virtuellement immortel du fait de ses pouvoirs et de son statut de Sorcier Suprême) Lieu de naissance & nationalité : Philadelphie aux USA, américain Métier : Ancien neurochirurgien, présentement Sorcier Suprême et Maître des Arts Mystiques, consultant en sciences occultes Statut civil : c'est compliqué ? Orientation sexuelle : Hétérosexuel Particularités : Stephen a ses deux mains partiellement endommagées à vie du fait d'un accident de voiture, ce qui l'empêche d'avoir une maitrise absolue en matière de précision.
Concernant ses pouvoirs, Stephen est l'un des plus puissants sorciers jamais existé, et ses pouvoirs ne cessent de grandir au fil de son expérience. Il ne vieillit plus, ne peut être touché par une quelconque maladie ni aucun poison conventionnels. Son crédo est l'utilisation de la Magie Blanche en majeure partie, bien qu'il puisse lui arriver de manier la Noire si nécessaire. Dans tous les cas, il maitrise les deux afin de pouvoir affronter la seconde en toute connaissance de cause et de ses effets. Après tout, on ne guérit pas un virus sans connaître sa composition et son fonctionnement au préalable, en magie, il s'agit de la même logique. D'où un immense savoir extensible en permanence sur tout ce qui a trait aux arts mystiques. Pouvant manipuler bien des formes de magie, Stephen est globalement capable d'utiliser la projection astrale, de projeter des rafales d'énergie (d'une intensité non-létale à la destruction d'une planète), d'user de télépathie, d'illusions, de voler/léviter avec ou sans la cape (bien que la cape lui permette de ne pas puiser dans ses ressources personnelles), d'hypnotiser, de déceler les mensonges, de transformer la matière (le plombe en or par exemple), d'user de télékinésie, de téléportation, de se protéger lui ou les autres grâce à des champs de force magiques, entre autres possibilités. En vérité, avec ou sans artefacts, avec ou sans aide d'entités telles que les Principats ou Vishantis, Stephen est en mesure d'user de la magie pour un nombre quasi illimité d'usages, en fonction de ses besoins. Ce n'est donc pas pour rien que les Sorciers Suprêmes ont toujours été des êtres extrêmement puissants, redoutés par bien des gens et entités quelles qu'elles puissent être. C'est aussi du fait de cette puissance que les Sorciers Suprêmes sont formés psychiquement à la retenue et à peser leurs choix, en fonction de leurs conséquences, pouvant être désastreuses si mal dosés.
Enfin, Stephen a été initié aux arts martiaux afin d'être à même de se protéger avec ou sans magie, notamment grâce aux enseignements de Wong. Cela lui sert également à canaliser son énergie personnelle, via la méditation et la maitrise de soi, tout étant lié. Enfin, Stephen peut s'avérer être un très talentueux meneur d'hommes, même si pour le moment il n'a pas vraiment eu d'occasions de le prouver hormis en de rares cas ponctuels avec quelques alliés. Affiliation : Neutre Interview Avez-vous peur des Mutants ? Quand on est habitué à traverser des dimensions remplies de démons et autres monstres aux pouvoirs aussi divers que menaçants, le rapport de peur diffère dès lors de celui du commun des mortels. Quand on ajoute à cela une tendance prononcée à la méditation, le détachement émotionnel et la construction mentale, morale et physique de soi, pour parer au pire que ce monde, et tous les autres, peuvent amener, on se retrouve à mon niveau : distant de la plupart des formes de terreur, de peur, d'intimidation, car tout ou presque devient relatif, trouve un sens différent, caché, par rapport à la réalité "normale". Aussi, je n'ai pas peur des mutants, pas plus que je n'ai peur des dieux, quels qu'ils soient, ou des démons, car j'ai appris à déconstruire leur image faussée par les croyances humaines pour les ramener à de simples êtres dotés de pouvoirs ou capacités, rien de plus. J'éprouve néanmoins plutôt de l'inquiétude quant aux conséquences de la peur des autres, que justement ils inspirent bien malgré eux à l'égard des humains lambdas. C'est leur peur à eux, qui pourrait provoquer un affrontement digne de me donner quelque crainte réelle concernant un engrenage social tragique. Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Bien sûr que je pense qu'ils sont une bonne chose. Ils représentent un modèle à suivre, un élan de courage montrant que n'importe qui peut s'il le souhaite sortir de l'ombre et se dresser contre les forces du mal qui hantent nos vies. Le monde a besoin d'eux et le sacrifice de leur existence à cette cause juste est tout à leur honneur. Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? (si votre personnage a choisi un camp) Je suis neutre, mon statut me l'impose en quelque sorte. Même si je tiens pour le "Bien", mon regard sur ce dernier comme sur le "Mal" diffère du commun des mortels du fait de réalités que j'appréhende en bien plus grand nombre que la normale. Mon jugement en est donc différent, et catégoriser les deux strictement n'est souvent pas la solution. L'Enfer est souvent pavé des meilleures intentions, et inversement, il arrive tout autant qu'une mauvaise action cause des conséquences positives malgré elle. La retenue est mon maître mot afin de préserver le grand équilibre que j'ai sous ma responsabilité. Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? (si votre personnage est un mutant) merci de détailler un maximum votre réponse ! Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? (pour les deus ex machina) C'est mon orgueil et la détresse qui a découlé de la blessure de ce dernier qui m'ont conduit à acquérir les pouvoirs que j'ai aujourd'hui. J'ai traversé le monde de long en large jusqu'à rencontrer l'Ancien au fin fond du Tibet, qui m'a initié aux arts mystiques et à cet autre monde derrière le voile des perceptions qui cloisonnaient jusqu'alors mon imaginaire. Mon entraînement fut long et éreintant, mais il fit de moi le nouveau Sorcier Suprême, un titre que j'essaie d'honorer au mieux depuis lors au sacrifice de tous les autres pans de ma vie, surtout privée. Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? (si votre personnage a une identité secrète) La question de mon identité est délicate en cela que, depuis que j'ai acquis le titre honorifique de Sorcier Suprême, elle n'est pas tout à fait secrète. Elle est même parfaitement publique, mais voilà, le grand public de la Terre ne sait même pas ce que cela signifie, voire ne croit pas du tout à la magie malgré toutes les démonstrations dont ils peuvent être témoins. Ils préfèrent croire aux technologies du futur ou à la magie divine de dieux nordiques. Aussi suis-je plus souvent pris pour un illuminé, un charlatan ou un fou, que pour un grand sorcier protecteur de la Terre et des dimensions sous ma protection. Avant, mon égo en aurait été dérangé, mais aujourd'hui, l'opinion d'autrui m'indiffère au plus haut point. Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Oui, je le suis, même si on ne peut être satisfait totalement de sa vie lorsque l'on est exigent sur tout comme moi. Découvrir la magie, devenir Sorcier Suprême m'a rendu plus mature, plus responsable, et m'a redonné un but après la perte de ma capacité à exercer la médecine. Sauver des vies sans rien attendre en retour est bien plus gratifiant finalement. Mais même si je me jette corps et âme dans ce rôle à présent mien, même si je semble gérer au mieux ma nouvelle vie, peu savent que parfois je me surprends moi-même à me sentir prisonnier de ce statut tant j'en néglige ma vie personnelle. Parfois, souvent même, je passerais bien plus de temps avec Cléa si je le pouvais. Mais voilà, elle représente une tentation si grande qu'en me laissant aller à trop de laxisme à ses côtés, je me sens capable d'en délaisser ma fonction, et ça je ne le dois pas. Trop de vies en dépendent. Et elles comptent aujourd'hui plus que la mienne.
Biographiecitation citation citationMon histoire commence le plus normalement du monde, en 1930. Je fus le premier à naître, suivi par ma soeur Donna deux ans plus tard, et enfin bien plus tard par mon frère Victor. Si mon enfance fut des plus normales, elle ne le fut qu'en apparence, car déjà à mes huit ans, mon destin à venir était venu frapper à ma porte sans même que je ne le sache. En effet, je manquai de subir une attaque de démons, qui échoua et resta hors de mon savoir grâce à la protection de l'Ancien. Je demeurai dans l'ignorance de cet univers fantastique et fantasmé par le commun des mortels auquel j'appartenais encore, et me contentai de suivre une scolarité relativement brillante déjà dès mon plus jeune âge. J'avais clairement des facilités, en particulier en ce qui concernait les mathématiques et les sciences dures. A onze ans, ce fut ma soeur Donna, que j'eus à soigner dans l'urgence sans vraiment savoir comment faire, qui m'inspira ma vocation nouvelle : la médecine. Aussi entrai-je dans une prestigieuse université dès ma sortie du lycée afin d'apprendre tout de cette matière, quittant mon Nebraska natal pour la Grosse Pomme. Si jusque-là, tout se profilait sereinement pour moi, la vie décida néanmoins qu'il en serait tout autre, et m'épargner ne fut pas à son programme, loin de là. Lors de vacances durant ma première année, je vécus l'événement le plus tragique de mon existence à venir. Il l'est encore aujourd'hui, malgré tout ce que j'ai pu vivre de plus extraordinaire. J'avais 19 ans, Donna en avait 17, nous étions jeunes et nous avions la vie devant nous. Enfin, j'avais. J'étais toujours resté extrêmement proche de ma soeur, peut-être parce qu'elle avait été ma toute première amie, et que sa douceur féminine avait grandement aidé à forger notre complicité, peu importait les distances. Ce fut donc naturellement que durant nos vacances, nous nous retrouvions en famille, et qu'elle et moi partagions des moments ensemble pour en profiter. Nager dans le lac non loin de la maison familiale au Nebraska était notre passe-temps favoris depuis tout petits, et rien n'aurait changé cette vieille habitude. Rien, hormis la fatalité. Donna eut une crampe. Une simple crampe, mais qui suffit à la paralyser assez pour l'amener à se noyer alors que, éloignée de moi dans sa nage, je crus simplement qu'elle plongeait pour s'amuser. Sauf que jamais elle ne remonta. Ce fut au prix d'une recherche désespérée que je retrouvai son corps au fond du lac, emprisonné de surcroit par les algues qui avaient achevé le travail entamé par sa crampe, empêchant toute remontée. Ce traumatisme fut terrible. Personne n'est en mesure de comprendre ce que l'on peut ressentir à voir sa chair et son sang périr alors que l'on est juste à quelques mètres. C'était d'autant plus atroce qu'il s'agissait de ma soeur, et que malgré toute mon ouverture d'esprit sur la parité aujourd'hui, je ne pouvais m'empêcher de ressentir plus de souffrances encore que s'il s'était agi de mon frère. Dans l'inconscient masculin, la protection de la femme, et ce qu'elle représentait, était supérieur à tout le reste. Un homme était amené à faire la guerre si nécessaire, à combattre, à être blessé, à mourir. Pas la femme. Né en 1930, cette pensée n'en était que plus présente encore pour moi qui avait été formaté par les moeurs de l'époque. La femme était intouchable, certes inégale face à l'homme dans son quotidien, mais elle se devait, comme les enfants, d'être sauvée en priorité car elle portait la vie. Eternel paradoxe des rapports homme-femme que de raisonner ainsi, auquel je n'échappais donc pas. Le sentiment de dégoût de moi-même, de rage, de colère, d'étouffement, de chagrin, qui m'habita à partir de ce jour, ne me lâcha plus. Encore aujourd'hui, même si j'ai appris à prendre du recul et à me détacher des possessions matérielles comme sentimentales humaines pour les besoins de mon statut, je sais parfaitement que c'est toujours présent au fond de moi, tapi dans un coin, attendant le jour où l'implosion serait inévitable. Car depuis la mort de Donna, je me suis fermé au reste du monde, et ce fut pire encore lorsque ma mère la rejoignit alors que j'entamais ma dernière année d'internat universitaire. J'ai perdu partiellement foi en la médecine et en ma vocation de sauver des vies pour sauver des vies, l'appât de la gloire et de l'argent s'immisçant progressivement, la mort de mon père deux ans plus tard achevant ce processus de transformation, pour ne pas dire de spirale destructrice. Ne pouvant encaisser cette perte nouvelle, je ne fus pas allé le voir sur son lit de mort, ce qui mit mon frère dans une colère noire. Notre dispute le fit sortir en trombe dans la rue, où une voiture le percuta. Et le tua. Par ma faute. Encore. Définitivement muré sur moi-même, cloisonnant toutes mes émotions pour ne pas m'effondrer, j'ai trouvé la force de poursuivre mes études, en sortis diplômé avec les honneurs, et mes premières années d'exercice furent mon triomphe dans la profession. A tel point que le complexe de Dieu ne tarda pas à s'abattre sur moi, gonflant mon égo, m'isolant de ma famille, me rendant invivable d'arrogance et détaché du genre humain de manière hautaine. Le succès de mes interventions de chirurgien alimentait mon besoin viscéral de gommer l'échec de mon sauvetage auprès de Donna et de mon frère, comme une culpabilité honteuse et intarissable, une quête désespérée de compenser les morts que j'avais provoqué indirectement. De façade, je fus de ceux que l'on pourrait appeler "beaux partis". Brillant, ayant réussi dans la vie, riche, respecté, admiré, séduisant et charmeur, mais prétentieux au possible, de l'extérieur tout semblait allait pour moi en majeure partie. En vérité, j'étais profondément seul, enchaînant les conquêtes pour combler le vide de ma vie. J'avais perdu toute ma famille, en était le dernier survivant, comme un fardeau me pointant du doigt, me laissant en vie pour me faire endurer ma peine jusqu'au bout sans répit. Je me voyais encore moins m'en construire une nouvelle, car même si j'eus quelques aventures amoureuses un tant soit peu sérieuses, elles ne furent jamais assez solides pour envisager quoi que ce soit. J'étais un homme trop secret, trop brisé intérieurement, mais trop fier pour le laisser paraître même dans l'intimité d'un couple. Je n'avais, au fond, aucun but réel dans la vie autre que de survivre à mon mal-être camouflé par ma gloire. Une gloire qui finit par tourner, elle aussi, comme un dernier coup de la vie pour achever de me briser, de me faire payer mon arrogance stupide. Un accident de voiture me priva de ma capacité d'exercer la médecine, mes mains étant gravement touchées. Même si j'en retrouvai l'usage avec le temps, ce ne fut jamais à 100% pour me permettre la précision et la maitrise d'antan. Ma carrière était fauchée en plein vol, et comme il s'agissait de toute ma misérable vie, je me retrouvais donc sans rien qui ne vaille la peine de vivre. Pleinement conscient de l'abysse morale qui m'attendait, je me raccrochai à tous les espoirs fous qui me permettaient de croire à un rétablissement complet de mes mains, consultant dizaines de grands médecins et chirurgiens, sans résultats. Alors je passai aux médecines non-conventionnelles, aux plantes, aux substances de dopage, aux stages intensifs de méditation pour influer sur ma guérison, là encore sans succès. Je plongeai dans un désespoir profond, pour ne pas dire une véritable dépression au sens médical du terme. Je perdis pied, jusqu'à frôler la folie. J'en arrivai à tester les solutions de charlatans pseudo-magiques, dépensant toute ma fortune dans cette quête impossible. Mais rien ne fonctionna. Il ne me resta qu'un ultime recours, créé au fil de rumeurs engrangées de ci de là durant mes voyages à la recherche de la solution miracle. Ce fut de cette manière, guidé par mon orgueil mortellement blessé, que j'atterris aux pieds de l'Ancien, dans un temple perdu au fond des cols tibétains. Malheureusement, là encore, l'Ancien ne fut pas la solution, et refusa de me soigner. Ce fut là que Mordo, son ancien disciple, l'attaqua une première fois et que je découvris son identité. Au début, je ne voulus pas croire ce que j'avais vu. Défenseur de la Terre contre les Forces Mystiques maléfiques ? Rien que ça ? Pourtant, pour la première fois de ma vie, j'agis de manière désintéressée en cherchant à prévenir l'Ancien d'une nouvelle attaque de son disciple. Je ne sus qu'après que l'Ancien lui-même avait manigancé cela pour me tester, étant au courant depuis longtemps de l'identité de son agresseur. Ce fut mon passe droit involontaire pour me retrouver à la place du dénommé Mordo, à savoir nouvel apprenti sorcier de l'Ancien, Sorcier Suprême de la Terre. A partir de ce moment-là, ma vie bascula du tout au tout et faire marche arrière ne fut plus jamais possible. Pendant des années, oui, des années, je disparus de la surface de la Terre, de la circulation, de toute vie commune et terrestre, subissant l'entraînement intensif de l'Ancien qui ambitionnait pour moi l'excellence totale en matière d'Arts Mystiques. Ne devenait pas Sorcier Suprême qui voulait, et bien que j'y fus vraisemblablement prédestiné de longue date, cela ne signifiait pas que la tâche m'incomberait du jour au lendemain comme un acquis. Bien au contraire. Il me poussa dans les tréfonds de chacun de mes retranchements, me poussant à bout, me provoquant, me confortant, me testant, me malmenant pour m'endurcir. Pendant des semaines je pouvais rester cloîtré avec sa seule compagnie et celle de centaines de livres antiques à ingurgiter mille savoir sur la magie et ses formes diverses et variées. Puis sans prévenir, je me retrouvais plongé dans telle dimension en proie à des attaques maléfiques, les affrontant aux côtés de mon Maître, prêt ou non, afin d'apprendre sur le terrain. Le nombre de fois où je frôlai la mort du fait de mon inexpérience fut presque scandaleux, mais ce fut précisément parce que je persistai, me relevai à chaque fois, que l'Ancien sut que j'étais bel et bien le bon. Les échecs n'en étaient plus dès lors que l'on aspirait à les dépasser. Toutes mes souffrances passées furent ravivées, ranimées, tirées violemment à la surface, l'Ancien me forçant à m'y confronter alors que je ne cherchais depuis toujours qu'à les fuir. Fuir tous ces morts, tous ces êtres chers que j'avais perdus, à qui j'avais presque tragiquement survécu. Ce ne fut pas en soi une thérapie, mais plus un nécessaire besoin d'imposer une maitrise sur ces peurs et traumatismes qui entravaient ma progression. J'en appris bien plus sur moi-même auprès de lui qu'auprès de quiconque toutes les années précédentes. Connaître ses forces et ses faiblesses était un atout majeur dans une lutte incessante comme celle à laquelle j'allais définitivement prendre part sous peu. Et effectivement, vint ce fameux jour où l'Ancien m'estima prêt. Ce fameux jour où la Cape de Lévitation se posa sur mes épaules, et fut scellée à ces dernières par l'Amulette contenant l'Oeil d'Agamotto, héritage ancestrale de chaque Sorcier Suprême. Livres occultes et autres artefacts vinrent enrichir ce lègue afin de servir au mieux ma nouvelle fonction. J'entamai donc ma "carrière" de Sorcier Suprême en affrontant les ennemis éternels des Sorciers, tout en en récoltant de nouveaux au fil de mes aventures. Je revins à New York, m'installant au Sanctum Sanctorum ou Saint des Saints, à Greenwich Village, vieux manoir détonnant dans la ville moderne aux mille lumières. Wong, descendant d'une longue lignée de "serviteurs" des Sorciers Suprêmes, s'y installa avec moi et depuis lors, ne me quitta plus, m'aidant dans mon combat permanent. Il fut mon premier véritable ami depuis bien longtemps, même si mon caractère demeuré très secret et distant ne le témoignait pas forcément. En effet, bien qu'ayant retrouvé une vocation, un but, une passion dans ma triste existence, je restai un homme mystérieux, renfermé, peu loquace et peu avenant avec autrui, hormis lorsque le besoin s'en faisait sentir. Je n'en étais pas moins, au fond, redevenu tel l'enfant et l'adolescent que j'étais avant la mort de Donna : un homme bon, doué de compassion, altruiste et déterminé à agir au mieux. Je ne le montrais juste pas au premier abord, me protégeant inconsciemment d'un monde qui m'avait bien trop de fois mis à terre. Mais au fil des années, une fois encore, il me manquait quelque chose. Ce quelque chose s'avéra être quelqu'un, que je rencontrai lors d'une de mes incursions dans la Dimension Sombre où j'y affrontai Dormammu le Terrible qui avait tenté de reconquérir la Dimension Terrestre en pensant l'Ancien affaibli. Et en me sous-estimer, moi, le "nouveau". Ce fut durant ce périple qu'une femme étrange et mystérieuse me contacta, nommée Cléa. Si j'allais apprendre par la suite qu'elle était la nièce de mon ennemi démoniaque, sur le moment, tout ce qui m'apparut fut sa beauté envoûtante et un certain sentiment naissant pour elle, à mon propre insu. Il y eut un combat titanesque, qui faillit mettre en péril les habitants de la Dimension Sombre, à tel point que je fus forcé de m'allier à celui que je venais presque de terrasser pour protéger la dimension contre d'autres ennemis, les Incérébrés. Grâce à Cléa, l'équilibre fut restauré, et j'obtins de Dormammu qu'il me laisse repartir en vie... mais pas seulement. Sur le moment, rien n'aurait pu vraiment justifier ma demande hormis ma compassion pour un être emprisonné, alors qu'au fond, il s'agissait de bien plus. Cléa put ainsi quitter la Dimension de Dormammu avec moi. Depuis ce jour, la haine que Dormammu nourrit contre moi fut personnelle, et non plus une simple question d'opposition entre deux forces contraires. Aujourd'hui, je vis toujours au Saint des Saints, et poursuit mes activités avec détermination, passant mon temps à voguer de dimension en dimension à la poursuite d'entités maléfiques cherchant à anéantir notre monde, ou d'autres. Cela me prend tellement de temps que j'ai fini par en négliger les affaires propres à la race humaine, considérant que d'autres sont bien plus compétents que moi pour en gérer la politique et la société. J'ai donc suivi de loin les événements liés aux mutants, la mort de cette jeune femme à Dallas et les émeutes qui ont suivi. J'ai encore beaucoup à apprendre sur le positionnement que doit avoir un Sorcier Suprême au regard de ce genre de choses. J'estime prudemment, vu l'immensité de mes pouvoirs qui pourraient renverser la balance dans un sens extrême malgré moi, que tant que la magie n'est pas impliquée, je n'ai pas à m'en impliquer moi-même. Chacun son rôle, est ce que j'aime à dire, d'où ma neutralité. Il m'arrive néanmoins de plus en plus souvent d'être sollicité par des autorités gouvernementales, et même le SHIELD, comme consultant sur des sujets qu'aucune de leurs sciences n'explique. Il n'y a bien qu'eux qui ont fini par comprendre la réalité de mes activités, là où le grand public continue de me penser en majorité comme un gourou ou un charlatan usant de tours de passe-passe. Cléa vit toujours avec moi au sein du Manoir, mais je dois avouer ne pas vraiment savoir m'y prendre. Jusqu'alors, j'avais toujours vécu seul avec Wong, sans aucune autre présence constante. Cette sociabilisation nouvelle est difficile à établir pour moi, alors même que mon désir pour elle ne cesse de croître. J'aurais aimé pouvoir lui accorder plus de temps en-dehors de nos entraînements, mais malheureusement, je m'avère être un bien piètre hôte, tout amoureux que je puisse être sans l'avouer ni à elle ni à moi-même. Quand on a vécu plus de sept ans reclus avec un vieillard à apprendre tout de la magie au travers des siècles passés, on perd quelque peu ses aptitudes à vivre en société, d'autant plus si l'on y revient avec une grille de lecture différente de celle de son départ. IRL Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Sam/22 ans/mâle Fréquence de connexion ; un peu tous les jours, mais je ne pourrai rp qu'un jour sur trois environ en fonction de mon emploi du temps IRL ! Que pensez-vous du forum? ; Il a l'air CRO BIEN Comment l'avez-vous découvert ? par les top-sites Célébrité choisie ; Benedict Cumberbatch Credits (avatar, icon etc.) ; Aucune idée pour aucun, y a pas de crédit dessus o_o
Dernière édition par Stephen Strange le Sam 3 Oct - 11:58, édité 12 fois |
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it's a revolution, i suppose secret avengers + not. okay. | | | YOU ARE AWESOME. Strange, le personnage tellement parfait. BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE. N'oublie pas de réserver ton avatar pour avoir le rôle dix jours le temps de faire ta fiche ! Si tu as la moindre question, le staff sera ravi d'y répondre. En tout cas, bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous. C'est Clea qui va être contente, j'ai super hâte de lire vos rps. |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue et bon courage pour ta fiche Je ne connais pas du tout le personnage (enfin juste de nom), donc j'ai hâte de voir ce qu'il va donner |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | BONJOUR J'APPROUVE MERCI (genre vraiment) Et bienvenue en passant. Bon courage pour ta fiche aussi. |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Oh un m'sieur docteur bizarre Une bienvenue parmi nous mon p'tit m'sieur et bon bon courage pour ta fichounette \o/ |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | CUMBERGOD. i just died. (bienvenue) (j'irai stalker tes rp avec clea ) |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | ay ay ay caramaba bienvenue parmi nous et bon courage pour la fiche, ce personnage est super intéressant, mais pas facile à résumer si tu as une question ou un problème sur le forum, n'hésite pas à nous en parler, en revanche si tes questions se portent plus sur le scénario, tu peux mpotter Clea j'ai super hâte de lire vos rps aussi, ça va déménager |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue parmi nous beau mâle & bon courage pour ta fiche ! |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Je vais passer pour un troll, mais j'ai jamais trouvé Benedict beau ( peut-être parce qu'il porte le même prénom que ma maman ). C'est un bon excellent acteur, mais je ne l'ai jamais trouvé beau Anyway, bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Ce personnage promet. Bienvenue parmi nous. |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | |
it's a revolution, i suppose avengers + avenge the world | | | STRAAAAAAAAAAAAAAAAAAANGE l'un de mes personnages préférés depuis que j'ai commencé les comics BIENVENUE PARMI NOUS et bon courage pour ta fiche j'espère que tu te plairas chez nous j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire de ce personnage franchement trop badass |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Merci énormément à tous pour cet accueil !! J'espère vous rejoindre bientôt en jeu Qu'on aime ou pas Benedict Cumberbatch, ça m'empêchera pas de détrôner Dumbledore et de vous en mettre plein la vue avec ma belle cape rouge et mes super sortilèges de fou MAGICALDIVAISCOMING' /PAN/ |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | MAIS C'EST PARFAIT |
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it's a revolution, i suppose pnj + marvels and wonders | | | félicitations !
tu es validé mon braveBienvenue chez les DEUS EX MACHINA. ta fiche est parfaite j'adore ta façon d'écrire Stephen, et bien que ce personne soit ultra-puissant, j'ai une entière confiance en ta capacité à le jouer, il est entre de super bonnes mains vite, vite, faites nous des rps avec la belle Clea, et fais en sorte que le petit Stephen s'envoie en l'air por favor time to have fun. Maintenant que tu es validé, tu peux commencer par aller recenser différentes choses, comme ton métier ou ton pouvoir si tu en as un. Tu peux aussi te chercher des copains sur le forum, c'est à dire poster ta fiche de liens. Si ton personnage est du genre à passer son temps sur son téléphone ou sur le net, tu peux aussi te rendre sur la webosphère. Nous t'encourageons fortement à te rendre dans la chat box pour y faire la rencontre des autres membres, si tu le souhaites ! Sinon, tu peux aussi aller te créer un scénario. Quoi qu'il arrive, n'hésite pas à te faire ton trou par chez nous, on te souhaite bien des RPs et une belle et longue aventure sur TNA ! ENJOY !THE NEW AGE |
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