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 Cuz' the night is too dark and your arms are so warm

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Cuz' the night is too dark and your arms are so warm
Sirius & Wolfgang

 Journée épuisante, tu t’es levé tôt pour courir un peu, tu as eu cours et un photoshoot dans la même journée. Toi qui étais habitué à rester en cage, amuser la galerie, faire le show, manger et dormir, c’était beaucoup. Tu rejoins ta chambre, celle que tu partages avec Wolfgang. Tu viens de sortir de la douche, tu es tout frais, encore humide, les cheveux en bataille et la serviette autour du cou, ne portant qu’un simple boxer noir. Tu dors toujours de la sorte, c’est l’hiver. En été, tu dors dans ton plus simple appareil, ta nudité. Tu n’as pas honte de ton corps, tu sais que tu es beau, désirable, sexy, tu es mannequin après tout. Tu poses de suite ton regard sur Wolfgang. Lui aussi il est beau, désirable, sexy. Il aurait pu être mannequin. Tu l’aimes Wolfgang, il est comme toi, un métamorphe animal, piégé dans un corps qui n’est pas le sien durant des années, prisonnier de pulsions meurtrières, de pulsions bestiales. Vous vous comprenez. Puis il est beau, désirable, sexy. Il embrasse bien, divinement bien. Il embrasse aussi bien qu’il te fait l’amour. Il sait être sauvage et doux, et tu aimes ça, c’est ce que tu recherches, c’est ce que tu veux. C’est ton ami, un ami qui te culbute et qui t’enlace, un ami qui comble le moindre de tes désirs sexuels et un amant qui t’embrasse à t’en faire oublier le monde autour de toi. Tu rejoins ton lit près de la fenêtre, la lumière est tamisée, l’heure du coucher est proche bien qu’il ne soit pas aussi tard que ça. Tu ouvres la fenêtre, comme à ton habitude, tu l’ouvres à peine, un simple centimètre pour laisser entrer le froid de ce début d’année. Tu détestes les pièces quand tout est fermé, tu t’assures toujours pour qu’il y ait un interstice, une porte ouverte, une fenêtre ouverte, peu importe. Tu ne supportes plus les cages et une pièce fermée est une cage. Une pièce avec une fenêtre entrouverte est une porte de sortie, c’est la liberté. Tu jettes ta serviette sur une chaise et t’installe lourdement sur ton lit, prenant ton téléphone pour voir tes messages, ton emploi du temps de demain. Samedi, tu aimes le week-end, c’est toujours moins chargé. Tu as un seul shooting photo en fin de matinée puis tu es libre. Tu pourras flâner, t’entraîner, te transformer en panda roux et te lover dans un coin de l’institut pour y dormir.

Tu reposes ton portable lourdement sur ta table de nuit et te pose sur le flanc, regardant Wolfgang. « Ta journée, ça a été ? T’as prévu quelque chose demain ? » Tu demandes, pensif. Tu essayes de t’adapter. C’est comme ça que les gens normaux font, non ? Ils parlent de la pluie et du beau temps, ils se disent comment ont été leur journée, leurs plans pour les prochains jours. Toi tu t’en fous un peu, si ça ne tenait qu’à toi, tu ne parlerais presque pas. Tu ne parles que lorsque c’est nécessaire, tu ne parles que lorsqu’on te pose une question, tu es un être de gestes et d’instincts, tu n’es pas un être de parole et de réflexion. Tu es impulsif, tu le sais, et que ceux qui n’aiment pas ça aillent se faire foutre. « T’as réussi à dominer tes instincts aujourd’hui ? » Tu demandais, réellement intéressé. Tu aidais Wolfgang à retenir ses pulsions, il avait peur de sa transformation, il se savait dangereux, tu ne pouvais pas l’en blâmer d’appréhender ses métamorphoses. Tu avais été en cage, on te servait à manger, tu avais été « domestiqué », un pacha dans ta cage. Et tu n’étais resté que deux ans sous la forme d’un guépard, tu avais pu emprunter des pulsions moins meurtrières en te transformant en lémurien, puis en héron. Encore aujourd’hui, tu subissais des pulsions animales. Toujours sexuelles. Tu voyais un beau mec qui te plaisait, tu avais envie de lui. Parfois tes shooting photos se déroulaient avec d’autres modèles et quand il y avait des mannequins masculins avec toi, tu te battais intérieurement pour ne pas leur sauter dessus. Avec Wolfgang c’était pareil, rien qu’en rentrant dans la chambre tu aurais préféré lui sauter dessus et arracher son sous-vêtement. Il était tellement beau, sexy, désirable. Rien que d’y penser, tu commences à avoir la trique. Mais tu étais ici à l’institut pour apprendre, pour t’améliorer. Pas pour sauter sur tout ce qui bouge. Être de chair, désir charnel, pulsions animales, tu étais sous l’emprise du vice et tu embrassais ton vice, le plaisir c’est le bonheur, et tu veux être heureux alors tu te fais plaisir, tu te fais du bien.




© Gasmask
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CUZ' THE NIGHT IS TOO DARK AND YOU ARMS SO WARM
Wolfang & Sirius

TOUCH ME ✻✻✻ T'es sur ton lit, tu te détends, les yeux mi-clos, un livre sur ton torse, les bras qui se croisent derrière ta tête, t'es bien, t'es calme, t'es comme ce chat qui s'endort sur le canapé, celui qu'on voit et que l'on voudrait immédiatement caresser. Tu ne dirais pas non, là, maintenant, pour qu'une main vienne se poser sur ta délicate chair que tu exposais savamment. Peut-être bien que tu te mettrais à ronronner comme le félin, quand elle te toucherait cette main, pour signaler ton contentement et le plaisir qu'elle te procure. L'eau qui coule, tu l'entends, elle te berce, elle ruisselle le long de son corps pour claquer sur le sol. C'est une chanson enivrante que ces gouttes qui par centaines mouillent, réchauffent et lavent les impuretés du corps et parfois même de l'esprit. T'es sûr que quand il sortira de là, il sera rayonnant, parfait, un peu comme toujours. Sirius, c'est une âme jumelle, il fait écho à ton histoire, à ton vécu. Tu l'aimes pour ça Sirius, car il est comme toi, en sa compagnie, tu n'as plus besoin de faire semblant, tu peux être un peu plus toi-même, tu peux délaisser ces piteuses conventions humaines que tu tentes d'ancrer jour après jour dans ta cervelle, tu peux le faire sans problème, sans qu'il te juge, car lui aussi, il est comme toi, un enfant de la nature, un enfant sauvage. T'écoutes avec attention les bruissements que cause cette serviette en séchant sa peau. Cette peau, tu la sais divine, tellement tu en as profité, tellement tu l'as manipulée, tellement tu l'as goûtée, maltraitée. T'as profité de cette dernière et de son confort impunément, tendrement ou violemment. T'as le sentiment d'être dans la même pièce que lui, qu'il suffisait que tu lèves une main pour que le contact s'établisse. Ta tête tisse la scène, elle la file grâce au moindre mouvement que tu donnes, à l'aide de ton audition. Désir montant. Tu secoues la tête, te rendant compte que tu n'avais encore pas avancé dans ta tâche qui se nommait lecture. Tu reprends le livre qui trônait lourdement sur ton ventre, tu te remets à lire les phrases là où tu les avais laissées par feignantise, t'essayes de t'imprégner des choses qu'elles t'enseignaient, t'essayes de combler l'appétit qui s'était installé dans tout ton être par du savoir, nourriture qui te semblait bien fade en cet instant. T'essayas pendant quelque temps, mais les mots sonnaient mal, tu peinais à les comprendre, à moins que t'en ais tout simplement pas envie. Passion est un poison qui t'a détourné l'esprit, additionné à la vue de Sirius qui rentre dans la chambre, c'est une drogue que tu consommerais de suite.
Ton regard plonge discrètement dans le sien après avoir glissé le long de son corps très peu couvert. Un peu comme toi et le simple bout de tissu que tu portes. Tu feins de lire ton livre alors qu'il va rejoindre son lit, mais en vrai, tu le scrutes, c'est un régal pour les yeux, que ce derrière qui bouge et ses belles jambes qui se muent. Tu sens la fraîche brise qui enlace ton corps presque nu, il ouvre la fenêtre comme à son habitude. Ça t'étonne quand il parle, quand il use de sa voix chaude, des poils s'hérissent, on pourrait croire que c'est de la faute du froid qui se propage... Sirius ne parlait pas souvent, seulement quand c'était nécessaire pourtant, il te posait une question simple à laquelle tu répondis, la tête encore dans le livre. « Oui, elle s'est plutôt bien passée, les cours, les entraînements, la routine quoi... et toi ta journée ? C'était comment ? 》 tu te laissas le temps de réfléchir à ce que tu pouvais bien faire demain, ta vie était quelque peu un cycle qui se répétait inlassablement, et tu n'avais pas les liens nécessaires pour le briser, pour faire de nouvelle chose, et tu n'avais aucun travail susceptible de t'aider à agrémenter tes journées différemment . « Pour demain...rien... mais toi t'as des shootings  ? Non ? » Tu connaissais déjà la réponse, c'était dommage, t'aurais bien été enclin à une virée dans la ville de New-York. Puis il te pose une question beaucoup plus personnelle, tu tournes vers lui,  « J'ai fait un bon footing ce matin pour me détendre durant la journée, et j'ai fait la même ce soir pour le me détendre, donc c'était parfait » mais ce n'était plus vraiment le cas dans le moment présent, tu luttais contre les soudaines envies qu'il provoquait chez toi. « t'es fatigué ou tu vas veiller encore quelque temps ? Je dois vraiment lire ce livre » Tu préférais qu'il dise que oui, il était fatigué comme ça on plongerait la chambre dans la nuit et tu pourrais résister aux désirs qui t'appelaient.

✻✻✻
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Sirius & Wolfgang


Tu as du mal. Tu es quelqu’un d’impulsif, incapable de te plier à l’hypocrisie, tu n’aimes pas jouer de rôle, tu as déjà du mal à être toi alors essayer de jouer un toi « meilleur », plus « humain », ça te rendait presque malade. Mais vous étiez deux à en avoir besoin, Wolfang et toi en aviez tous les deux besoin. Alors si tu devais passer par la case discussion banale et ennuyeuse, tu le ferais. « Mouais, bonne journée. Les cours, les photoshoots, l’entraînement. Le même traintrain quotidien. Et demain je n’ai qu’un shooting photo en fin de matinée, donc ça va, je vais pouvoir profiter un peu de ma journée. » Tu répondais naturellement. « Ah c’est bien, le sport ça aide à canaliser les pulsions, t’as bien fait. J’ai entendu dire qu’écouter de la musique classique, ça aidait à se calmer. Manger du chocolat aussi, ça sécrète de l’endorphine comme quand on est amoureux, je sais plus trop ce qu’on m’a dit, j’écoutais à moitié, ça m’ennuyait. Mais bon, autant essayer. » Tu lâchais en te secouant les cheveux de ta main droite, mouillant légèrement tes draps. Tu aimais bien la musique, courir avec la musique dans les oreilles, ça te motivait et surtout, tu ne voyais absolument pas le temps passer, c’était un peu ton moyen de t’évader, tu t’égarais dans un autre continuum espace temps où le temps était figé, les seules sensations que tu ressentais c’était les brûlures de tes muscles sous les efforts. Tu te lèves et attrapes le livre dans ses mains, tu le retournes dans tous les sens comme si c’était une énigme complexe et impossible à résoudre avant de l’ouvrir à la dernière page. « Ah, il y a un mort à la fin … » Tu lances en souriant avant de lui lancer le livre en riant, t’installant sur son lit. Tu secoues à nouveau les cheveux pour mouiller son torse, il est encore plus sexy quand il a le torse mouillé, luisant. Tu ricanes, fier de toi. « Je plaisante. Oui tu peux lire si tu veux, puis de toute manière, tu me connais, je vais m’allonger, fermer les yeux, et lumière ou pas, je vais m’endormir comme une souche. » Tu répondais en balayant l’air avec ta main. Tu étais une véritable marmotte, tu te couchais, tu t’endormais dans les minutes qui suivaient. Tu dormais peu, tu te levais à l’aube, parfois même avant puisque tu partais courir pour voir le lever du soleil. Mais ça te suffisait. Puis tu faisais parfois des siestes en pleine journée sous ta forme panda roux, au soleil, dans le jardin. Ou dans une pièce commune, sur une banquette près de la fenêtre, au soleil encore. Ou roulé en boule sur le coussin d’un canapé. Généralement, un camarade mutant te voyait et venait te caresser, et tu te laissais faire avant de t’endormir. Surtout les femmes, les femmes faisaient ça, et tu aimais leurs douces caresses sur ta fourrure soyeuse.

Tu posais une main sur sa cuisse que tu effleurais, tu aimais sentir son corps, le toucher, Wolfang avait une peau douce mais de la fermeté dans ses doigts. « Tu veux qu’on se fasse quelque chose demain aprem ? Qu’on sorte ? Ou quelque chose dans le genre ? Ou tu préfères qu’on traîne dans la chambre et qu’on se fasse du bien ? » Tu demandais, naturellement. Tu ne tournais pas autour du pot, non, tu voulais savoir clairement si demain il voulait coucher avec toi. Toute l’après-midi même, ça ne te gênait pas, tu étais endurant, et il l’était aussi. Vous l’aviez déjà fait, et ce ne serait probablement pas la dernière fois que vous le feriez. Tu te relevais, debout entre vos lits. Tu t’étirais de tout ton long, le bras croisé au-dessus de ton crâne, grognant sous l’étirement. Puis tu plonges sur ton lit. Tu te retournes, sur le dos et caresse ton torse humide. L’eau de tes cheveux précédemment tombée sur ton lit a humidifié ton torse froid désormais. Tu fermes les yeux, désireux de t’endormir, mais tu réfléchis, traçant avec ton index la série d’abdominaux sur ton torse. Tu t’imagines demain avec Wolfang, tu réfléchis à ce que vous pouviez faire. Puis ton esprit glisse tout de suite après sur une partie plus intéressante, la partie que tu aimes, les galipettes. Tu as beau essayer de penser à un restaurant, à un cinéma, à une balade dans le parc, ça te mène toujours aux galipettes. Et ça t’excite. Et t’as la trique, déjà. T’es irrécupérable mon pauvre. Tu roules sur le côté et ramène tes jambes contre ton torse, cachant le tout. Calme-toi. Et dors.



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Wolfang & Sirius

TOUCH ME ✻✻✻ Sa voix t’enroulait d’un voile chaud, réconfortant, paisible, à la limite du palpable. Tu pourrais l’écouter parler pendant encore de longues minutes, pas trop tout de même, pas que tu puisses trouver son blabla ennuyant ou inintéressant, tu savais juste qu’à force de l’entendre et de le regarder, tu ne pourrais plus résister à ce magnétisme qui t’attirait inévitablement vers lui, contre lui, contre son magnifique corps. Ça serait un besoin viscéral, plus que profond, que tu voudrais assouvir sans en avoir véritablement le choix. Tu l’entendais plus que tu ne l’écoutais vraiment, il n’y avait rien que les vibrations de sa voix qui t’intéressaient, les sons que tu n’assemblais pas en mots te faisaient vibrer, bondir de désir tout ton être. Pourtant, il ne faisait que de raconter sa satanée journée, il le faisait dans des phrases inutiles dont tu n’aurais que faire s’il ne s’agissait pas de lui. Tes yeux pétillent alors qu’il secoue ses cheveux à même son lit, ils deviennent malice alors qu’il se fait voleur, tes mains glissent sur la couverture du livre que l’on te subtilise, il le prend, l’inspecte, le regarde, sans que tu puisses rien y faire, bien trop occupé à suivre les différentes lignes de son corps. Sirius est beau, Sirius est espiègle, Sirius est un voleur, Sirius est un spoiler. Ça dégoûte un peu, qu’il te balance ça comme ça, sans prévenir, un mort, ça donne à réfléchir ton esprit sur le personnage qui était le plus perceptible de mourir et puis merde tant que ce n’était pas Ruby, Liam ou Sue, ça t’allait. L’eau qui rencontre ton corps te fait sortir de ta rêverie passagère, le voilà qui rigole fier de lui. Sirius est un blagueur fallait que tu t’y fasses surtout quand il t’annonce que tout ça n’était qu’une plaisanterie, personne ne meurt, tu ne peux réprimer un « abruti » amical. Mais le voilà qui s’assoit à côté de toi, proximité du corps, accroissement de l’envie. Il n’a pas l’air de s’en rendre compte de l’état dans lequel il te mettait, il te continue de parler et dans ta tête, tu ne peux t’empêcher de finir sa phrase "je vais m’endormir comme une souche… " tandis que toi, tu le regarderas dormir, animal et avec faim. Il te fait une caresse, simple effleurement, un peu comme une brise douce, chaude, qui pourtant agite une tempête dans ton corps. Un sourire carnassier fait apparition sur ton visage, on te propose de faire des choses indécentes. Tu n’aurais pas à devoir réfléchir autant de temps sur ça normalement, tu devrais céder à la tentation qui n’en était plus tellement une désormais vu le nombre de fois où tu l’avais bouffé ce fruit interdit. Mais tu ne voulais pas ça pour demain, du moins tu ne voulais pas que ça pour demain, il te fallait autre chose qu’une partie de jambes en l’air pour un samedi, une activité qui te changerait de l’ordinaire voilà ce qu’il te fallait « je préférerais que l’on sorte, au cinéma pourquoi, j’ai cru voir des films pas mal à l’affiche, ou pourrait toujours mettre la séance, on se fait du bien à plus tard… » Ou à tout de suite, finis-tu pour toi-même. Dés qu’il quitta ton lit, tu te remis dans ton livre même si ton regard ne pouvait s’empêcher de dériver sur ce qu’il faisait, tu le voyais dessiner les formes de son torse du bout de son doigt, tu demandas encore une fois s’il avait conscience de ce qu’il faisait, s’il avait conscience que le moindre de ses gestes était capable d’attiser une flamme dans ton cerveau ou bien plus bas. Tu lis ton livre jusqu’à ce que patiemment, il s’endorme, ou que tu crois qu’il s’endorme, sa respiration se fait plus régulière tout comme son rythme cardiaque. Tu l’admires plus que tu le regardes, son dos musclé qui donne tellement envie, tu te dis que c’est un appel à se lover contre lui. Dans tous les cas, tu sais que c’est ce qui se passerait dès que la lumière serait éteinte, il viendrait te rejoindre dans ton lit. Alors tu prends les devants, tu vas le rejoindre, au diable ton livre. Ton torse va à l’encontre de son dos, tes bras l’entourent, tes jambes s’emmêlent entre les siennes. Tu lui fais un baiser dans le cou alors que ta main caresse ses épaules, délicatement. Tu lui mords l’oreille, instinct sauvage.

✻✻✻
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Sirius & Wolfgang


Un cinéma ? Pourquoi pas. C’est cool le cinéma quand le film est intéressant. Sinon c’est nul, tu as envie de faire autre chose, de te lever et de te casser, même faire des mots croisés. « Ah oui ? Quel film ? J’aime le cinéma, mais si je n’aime pas le film, je me casse, je te préviens de suite. Je n’aime pas perdre mon temps. » Tu répondais naturellement, allongé sur ton lit, cachant ta trique, recroquevillé sur le côté. « Du moment qu’on baise après, ça me va. » Tu rajoutais d’un ton tout aussi naturel, ne calmant pas du tout ton érection actuelle. Tu fermes les yeux et tu tentes de dormir. Généralement, il suffit que tu fermes les yeux et que tu arrêtes de penser pour t’assoupir, tu es une vraie souche, une marmotte. Mais là, ton crâne est rempli d’idées lubriques tant et si bien que ton problème d’érection ne se résout pas si facilement. Tu essayes de te calmer alors tu comptes. Un. Deux. Trois. Quatre. Cinq. Tu comptes parce que ça te vide l’esprit, l’astuce de compter les moutons, chez toi ça fonctionne à merveille. Six. Sept. Huit. Neuf. Dix. Tu n’as plus la trique, tu détends tes jambes doucement, tu es bien là, à la fraîche près de la fenêtre. Onze. Douze. Treize. Quat… Ah ? Un mouvement, une secousse, de la chaleur. Wolfang s’est lové contre toi, il a laissé son livre pour se glisser sur ton lit, contre toi, avec toi. Tu souris. Il te donne un baiser dans le cou, te caresse l’épaule et vient finalement te mordiller l’oreille. Tu ris légèrement en te retournant pour lui faire face. « Pffff, franchement. Comment tu veux que je me calme ? Comment ne pas avoir la trique quand tu fais ça ? » Tu demandais en grognant gentiment, sentant ton érection revenir tout en l’embrassant sur les lèvres. Ta main va automatiquement caresser son corps, elle commence doucement par caresser sa joue alors que tu l’embrasses, puis elle migre vers le sud, caressant son pectoral alors que tu insères ta langue entre ses lèvres, tu sais que ses portes te seront toujours ouvertes. Tu flirtes avec sa langue alors que tes doigts dessinent la trace de ses abdominaux et elle finit par se lover sur son flanc, ton index et ton majeur jouant avec l’élastique de son boxer moulant. Il est trop habillé à ton goût.

Tu gémis contre ses lèvres, voilà, ton érection est revenue entièrement, contre la propre intimité de ton colocataire et amant. « T’es tellement bandant … » Tu murmures à son oreille. Puis tu le serres contre toi, tendrement, tu souris niaisement en sentant la peau de son cou. Il sent si bon, une odeur bien distinctive que tu saurais reconnaître entre mille. Une odeur de coup de foudre. « Si je n’aime pas le film, je m’occuperai de toi là-bas … Tu pourras quand même mater le film, ça ne me dérangera pas … » Tu lançais en riant, couvrant sa mâchoire de baisers papillons. Des papillons comme au creux de ton estomac. Comme les papillons qui animaient ton excitation. « T’es chaud. J’aime ça. » Tu dis instinctivement alors que ton torse se colle au sien, que tes bras l’enlace, quitte à ce que l’un de tes bras finisse par être paralysé sous le poids de son corps, tu le veux. Tu lui dévores le cou, tu le harcèles avec des baisers, tu le mordilles même un peu en grognant. « T’es trop bon. Délicieux … » Tu l’informes en riant silencieusement. « J’aime ton regard. Il est animal. Intimidant pour certains, comme si tu allais leur sauter à la gorge. Mais moi je l’aime ce regard. Il me fout la trique … » Tu murmures à son oreille avant de lui lécher la joue, puis les lèvres. Deux de tes doigts, ton majeur et ton index, se faufilent sous l’élastique de son boxer, tu sens ses muscles fessiers. C’est chaud. Attirant. Excitant. Tu pousses un long soupir de bien être, tu voudrais que ça dure pour toujours. Wolfang et toi, nus, faisant l’amour, ou tout simplement vous cajolant dans les bras l’un de l’autre, vous embrassant. Amour, sexe, complicité. Tu ne veux pas que ça cesse. Tu vois d’un regard noir toutes les personnes qui tournent autour de Wolfang un peu trop à ton goût, ou les personnes que Wolfang côtoie beaucoup trop selon toi. Alors tu voudrais le garder pour toi. Mais tu sais que ce n’est pas possible. Il y a comme un accord tacite entre vous, vous ne l’avez jamais vraiment décrété à haute voix. Vous êtes amis. Vous êtes des amis avec un petit extra, un supplément sexe et bestialité. Et c’est tout. Tu peux aller voir ailleurs, et lui aussi. Alors pour oublier qu’il n’est pas à toi, tu papillonnes.



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