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 (magneto) silent streets have many things to say.

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❝silent streets have many things to say.❞
erik — clea
Le ciel s'assombrissait peu à peu, plongeant lentement l'immense ville de New York dans l'obscurité. Les boutiques commençaientt à fermer, les éclairages de la ville s'allumaient progressivement et une atmosphère très particulière s'installait doucement. Clea contemplait les lumières avec admiration, le crépuscule était probablement le moment de la journée qu'elle préférait : le ciel orangé se reflétait sur les immenses buildings, les derniers rayons du soleil réchauffaient agréablement l'air et le souffle du vent créait une mélodie harmonieuse que la jeune femme affectionnait particulièrement. Tout était parfait à l'exception d'une chose : elle était perdue. Elle n'avait pas la moindre idée d'où elle se trouvait et elle ne pouvait pas se résoudre à voler, elle n'avait pas spécialement envie d'attirer l'attention, elle préférait rester discrète. Elle se mit alors à chercher une bouche de métro, c'est ce que Steve Rogers lui avait appris : si elle peinait à retrouver son chemin, elle n'avait qu'à trouver une station de métro, ainsi elle aurait accès à un plan. Clea avait énormément de mal à comprendre les transports en commun, ils étaient semblables à une immense fourmilière, les gens allaient çà et là sans sourciller, ils avançaient tels des automates. Tout ceci était insensé, du moins, aux yeux de la jeune femme. Cela avait beau faire plusieurs années qu'elle résidait aux États-Unis d'Amérique, elle ne comprenait toujours pas les coutumes humaines. Elle ne comprenait pas pourquoi ils s'enfermaient chaque jours entre quatre mur dans l'unique but de « gagner de l'argent » et ignorait tout de la politique terrienne. À vrai dire, elle venait d'une dimension où le souverain avait le plein pouvoir alors le fait d'être aidé par des centaines, voire des milliers (elle n'avait pas compté) de personnes pour diriger un pays était une chose qui lui échappait totalement. Wong lui avait expliqué qu'un état gouvernée par une seule et unique personne était une dictature et que c'était mal. La jeune femme se souvint d'avoir été très offensée. Un jour viendrait où elle arracherait le pouvoir des mains de sa mère despotique et deviendrait Reine à son tour, mais elle n'avait aucunement envie d'être un tyran. Clea était très confuse, si confuse qu'elle s'enfonçait davantage dans les ruelles les plus sombres et les plus malfamées de New York. Une voix désagréable la rappela d'ailleurs à la réalité. « Hey ma jolie, tu devrais pas trop trainer par-là hein, c'est pas vraiment un quartier pour les bourges dans ton genre ici. » La sorcière fusilla l'homme du regard. Il avait une quarantaine d'année, des cheveux mi-longs et des yeux bleus perçants. Elle décida de l'ignorer, elle n'avait guère envie de perdre son temps avec un ivrogne. Et dans le pire des cas, que pouvait-il lui faire ? La jeune femme accéléra toutefois le pas et finit par se retrouver dans une grande avenue beaucoup trop fréquentée à son goût.

Elle lança un regard admiratif aux passants, elle se demandait comment ils faisaient pour endurer tout cela : le bruit, la lumière aveuglante des lampadaires, l'absence d'étoiles dans le ciel et la solitude. Personne ne semblait sourire, nul ne semblait accorder d'importance aux autres personnes qui remontaient l'avenue. Clea les regarda tristement, plus les jours passaient, moins elle se sentait à sa place. Elle rêvait d'un monde où l'ordre et le chaos n'existaient pas, d'un royaume éternellement paisible, une utopie. Elle passait beaucoup trop de temps à rêvasser, elle perdait son temps et ses songes se transformaient peu à peu en cauchemars. Le mal était partout, il était horriblement subtil, il se cachait à chaque recoin de rue : la pauvreté, la corruption, la violence ... Elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait pas les humains. Elle avait pourtant essayé. Elle avait lu tant de livres et interrogé tant de personnes ... Peut-être avait-elle besoin d'un point de vue différent ?

La jeune femme quitta l'avenue principale, la foule la mettait mal à l'aise, elle avait besoin d'air. Elle préférait affronter quelques ivrognes plutôt que des centaines de passants placides aux yeux éteints. Avaient-ils tous abandonné leurs rêves ? Avaient-ils conscience qu'ils n'étaient que des esclaves ? Les médias les abrutissaient, leur gouvernement les endoctrinait. Tout ceci n'avait aucun sens. Clea secoua la tête et s'aventura dans une ruelle peu éclairée, elle avait besoin d'être seule quelques instants, mais ce ne fut pas le cas, à une dizaine de mètres d'elle, elle pouvait apercevoir deux silhouettes. Deux hommes. L'un avait l'air plus âgé que l'autre. Ils parlaient. La sorcière entendit quelques mots çà et là, leur conversation semblait très étrange, elle eut presque l'impression qu'ils complotaient. Il valait mieux pour elle qu'ils ne se rendent pas compte de sa présence, elle décida alors de faire demi-tour, mais en se précipitant, son coude heurta le vieux lampadaire qui éclairait la ruelle et un bruit métallique résonna. Elle vit un des hommes se tourner vers elle. Il semblait très agacé.

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Dernière édition par Clea Roe le Ven 27 Nov - 23:57, édité 2 fois
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Au crépuscule… Mon informateur m’avait donné rendez-vous au crépuscule. On se serait presque cru dans l’univers d’un vieux polar des années cinquante, avec ses ruelles mal éclairées à la nuit tombante. Il ne manquait plus qu’un monologue du personnage principal, de préférence un détective blasé, alcoolique et fumant cigarette sur cigarette, sur fond de saxophone. Je suis persuadé que c’est le scénario qui se déroule dans sa tête en ce moment même. Je serais même prêt à parier qu’il le récite dans sa tête ce monologue.

Mais je dois bien avouer que je ne ferais pas vraiment tâche dans une scène comme celle-ci avec mon long imperméable noir au col remonté, accompagné de mon chapeau. C’est donc d’un pas alerte, que je m’empressais de rejoindre cette fameuse « ruelle mal famée » - Notez le ton sarcastique -, lieu de notre rendez-vous. Je croisais, au passage, quelques rebus de la race humaine.

Arrivée dans la ruelle, je me stoppais à l’entrée et repérais tout de suite mon contact, qui, comme je l’avais pensé, était en plein dans son fantasme de polar. Il est adossé au mur. Mur qui bien sûr, se trouve dans l’ombre, le lampadaire le plus proche se trouve à une dizaine de mètres du côté opposé à là où je me situe. Ses mains sont enfoncées dans ses poches, sa tête baissée et son visage est en partie caché par con chapeau à bord large, la seule chose visible étant le bout incandescent de sa cigarette.

Il relève la tête alors que je m’approche rapidement de lui.
« Vous n’auriez pas un briquet pour allumer ma cigarette » me demande-t-il. Parce que oui, le look du détective des années 50 et le contexte ne lui suffisait pas. Il a fallu qu’il veuille qu’on ait un code pour nous reconnaitre. Mais il a beau être un idiot, il n’en est pas moins un idiot bien informé qui peut me fournir de nombreuses informations capitales pour la cause. Cela n’empêche un soupir de franchir mes lèvres alors que je baisse la tête et qu’un immense sentiment de lassitude m’envahit.

« Donnez-moi les informations que je vous ai demandé et qu’on en finisse au plus vite. Je n’ai pas le temps pour tos vos enfantillages »[/b] lui dis-je, reprenant mon sérieux. Il soupire et sort alors un dossier de son manteau.
« Voilà, ça c’est tout ce que j’ai pu récupérer par écrit. Sinon… » Et il commence à me donner des informations qu’il a récolté oralement auprès de ses sources.
Cela faisait déjà cinq bonnes minutes qu’il me parlait lorsque j’entends un bruit sourd  sur ma droite. Je tourne rapidement la tête vers la source du bruit et aperçoit une jeune femme aux cheveux étonnement blancs.

« Disparais ! » m’adressé-je à mon informateur sans prendre la peine de me retourner vers lui, la mâchoire crispée. L’entendant détaler sans demander son reste, je commence alors à m’avancer vers la jeune femme qui recule en même temps que j’avance. Je fais un geste du bras lançant ainsi vers elle un couvercle de poubelle dans une tentative pour l’immobiliser. Ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est qu’elle bouge elle-même son bras, déviant ainsi le couvercle et l’envoyant voler au loin. Je me stoppe dans mon avancée et lève un sourcil interrogateur.
« Intéressant… » murmuré-je, reprenant mon avancée vers la jeune femme bougeant mes bras comme pour accompagner ce que je lui dis, mais tentant de bouger des objets métalliques dans son dos pour l’immobiliser.
« Vous savez qu’il n’est pas très prudent de trainer dans un quartier tel que celui-ci, ma jeune amie. Surtout à cette heure. » Les objets métalliques s’approchent lentement d’elle alors que je lui parle.
« Qu’est-ce qu’une jeune femme telle que vous peut bien faire dans un quartier si dangereux ? » à ce moment, elle doit se rendre compte que quelque chose cloche, car elle se retourne et aperçoit les objets métalliques se dirigeant vers elle. Seulement il est trop tard pour qu’elle puisse faire quelque chose, d’un rapide mouvement du poignet, je lui emprisonne les avant-bras et l’envoie en hauteur contre le mur, la maintenant prisonnière.
« Je suppose que j’ai toute votre attention maintenant. Mais j’en oublie mes manières. Magneto, pour vous servir, ma chère. » lui dis-je en m’inclinant légèrement, la main droite sur le cœur.
« Maintenant, si nous en revenions à ces pouvoirs que vous sembles posséder. »
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Elle était dans un sacré pétrin et bien que ce ne fût guère la première fois - elle avait l’habitude de se retrouver dans de sales situations - elle se sentait désemparée. Elle était immobile, elle fixait les deux hommes sans savoir quoi faire. Le pire dans cette affaire, c'est qu'elle avait largement le temps de fuir. Elle se demandait alors pourquoi elle restait là, figée, à contempler un spectacle qu'elle ne comprenait pas. La peur ? Elle avait vécu largement pire. La curiosité ? Possible, elle aimait fouiner dans les affaires des autres et peu importe si cela mettait sa vie en danger. Elle avait l'habitude. L'homme au chapeau demanda à l'autre (l'informateur ?)(la scène était ridiculement semblable à celle d'un vieux film noir) de déguerpir avant de se tourner vers elle. Il avança et elle fit quelques pas en arrière. Elle n'avait pas trop le choix, elle n'allait pas courir vers lui, cela n'avait aucun sens. Elle se laissa prendre au jeu, plus il s'approchait, plus elle reculait. Elle était néanmoins inquiète et elle ne le devint que davantage lorsqu'elle manqua de recevoir ce qui semblait être un couvercle de poubelle en plein visage. Heureusement qu'elle était réactive, un banal champ de force avait dévié la trajectoire de l'objet, l'envoyant voler au loin. Elle fixa l'homme. Comment avait-il fait ça au juste ? Les poubelles se trouvaient à plusieurs mètres de lui et ... Oh. Visiblement, elle n'était pas la seule à posséder quelques capacités ... Cela rendait la situation beaucoup plus compliquée. Clea cessa de reculer, enfin, à vrai dire, elle ne pouvait plus reculer : dans son dos, des objets avaient quitté le sol et lui barraient la route. « Vous savez qu’il n’est pas très prudent de trainer dans un quartier tel que celui-ci, ma jeune amie. Surtout à cette heure. » dit-il. Il était en train de la menacer et il fallait avouer qu'il s'y prenait extrêmement bien, elle était désormais entourée d'objets en tout genre, leur seul point commun était leur composition : ils étaient tous faits de métal. « Qu’est-ce qu’une jeune femme telle que vous peut bien faire dans un quartier si dangereux ? » Elle prit une profonde inspiration, prête à affronter ce mystérieux individu. Il ne l'effrayait pas plus que cela, après ce qu'elle avait vécu en Latvérie, plus rien ne l'effrayait vraiment à vrai dire. Il lui arrivait de penser à ces pauvres personnes qu'elle n'avait pas pu sauver, elle avait été prête à se sacrifier pour eux, mais elle avait échoué. Elle soupira. Au moment même où elle allait ouvrir la bouche (et probablement insulter poliment l'homme qui la menaçait), ce dernier agita simplement la main et des sortes de barres métalliques (des pieds de biche ?)(qui donc abandonnait ce genre d'objet dans la rue ?) vinrent s'enrouler autour de ses poignets, elle fut projetée contre mur et soulevée du sol. Elle ne put se retenir d'émettre un léger gémissement. « Je suppose que j’ai toute votre attention maintenant. Mais j’en oublie mes manières. Magneto, pour vous servir, ma chère. » se présenta-t-il en s'inclinant légèrement. Magneto. Ce n'était qu'un nom et ça ne lui disait aucunement qui il était, mais cela n'avait aucune importance à ses yeux. C'était un nom prétentieux de toute façon. Elle décida de prendre un air sarcastique en haussant un sourcil. « Maintenant, si nous en revenions à ces pouvoirs que vous sembles possédez. » termina-t-il. Elle n'aimait pas trop que l'on s'intéresse à ses pouvoirs, cela avait le don de la mettre mal à l'aise, pourtant, au vu de la situation, elle n'avait nul autre choix que de lui répondre. Elle prit une profonde inspiration.

« Je ne vois pas en quoi cela vous concerne. » siffla-t-elle. Elle cherchait à gagner du temps. Elle balaya les lieux du regard, à la recherche de quelque chose de suffisamment lourd pour assommer son assaillant (il n'était pas le seul à pouvoir pratiquer la télékinésie après tout, n'est-ce pas ?), mais ce dernier avait récupéré tous les objets intéressants. Elle soupira. Le plan numéro un tombait tristement à l'eau. « Je suis navrée de vous apprendre que vos menaces n'ont aucun effet sur moi. J'ignore ce que vous voulez, mais je vous conseille vivement de me relâcher. » ajouta-t-elle sur le même ton. Elle n'avait pas très envie de s'énerver ce soir, après tout, elle était simplement sortie prendre l'air. C'était follement ridicule, même en se promenant dans les rue de New York, il fallait qu'elle se fasse agresser par un fou furieux. Bon, il avait réussi à la mettre en colère finalement. Clea jeta un bref coup d’œil à ses avant-bras. Du métal. Rien de bien compliqué. Les métaux (quels qu'ils soient) réagissaient - de manière générale - très bien à la magie alors elle se concentra sur l'un des deux pied de biche et elle ne tarda pas à entendre un craquement sinistre. L'objet résistait et il lui était impossible de se libérer tant que ce Magneto se concentrait. Toutefois, elle sentait que la barre métallique se desserrait lentement, mais elle n'était pas sûre que cela suffise, malheureusement.

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« Je ne vois pas en quoi ça vous concerne. » Je lui souris doucement comme à un enfant à qui on fait la leçon. Je la vois regarder partout autour d’elle dans la ruelle. On dirait qu’elle cherche un moyen de s’échapper. Après tout qui ne chercherait pas à s’échapper dans une telle situation, à moins bien sûr d’avoir des goûts plus que douteux. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle poursuit sur sa lancée. « Je suis navrée de vous apprendre que vos menaces n'ont aucun effet sur moi. J'ignore ce que vous voulez, mais je vous conseille vivement de me relâcher. » Je lève un sourcil à cette menace à peine cachée. « Allons ma chère, il n’est pas nécessaire de s’énerver. Je veux bien vous accorder que ma façon de faire pour retenir votre attention n’est pas des plus… » Je m’arrête pour réfléchir à un terme qui pourrait convenir, et trouve finalement au bout de quelques instants de réflexion. « …Galantes. Mais on ne peut pas m’en vouloir d’être curieux quand je rencontre une aussi jolie jeune femme, qui, en plus possède un pouvoir ressemblant à s’y méprendre au mien. C’est pourquoi j’aimerais beaucoup que nous ayons une petite discussion amicale tous les deux. Ne serait-ce que pour satisfaire mon insatiable curiosité. »

Ce que je ne lui ai pas dit, c’est qu’elle me rappelle fortement le jeune homme que j’étais. Elle me rappelle Erik Lehnsherr, pas encore Magneto à cette époque-là, le survivant des camps de concentration et ex-chasseur de Nazis. Celui qui ne maîtrisait pas encore parfaitement ses pouvoirs, celui qui apprenait. Mes pensées dérivèrent alors vers Charles. Mon plus vieil « ami ». C’est à cette époque que je l’ai rencontré. Il était le seul à tenter de m’aider. C’est en grande partie grâce à lui si j’en suis arrivé là où j’en suis aujourd’hui. C’est lui qui m’a guidé dans mon entrainement pour maitriser mes pouvoirs. « Le secret de la volonté est quelque part entre la fureur et le calme total » m’avait-il dit. Tout le contraire de cet enfoiré de Shaw qui m’avait promis de « développer mon don par la colère ». Au final, suivre les conseils de Charles m’a bien plus apporté et m’a permis de développer mes pouvoirs bien au-delà de ce que je pouvais espérer.

Reprenant lentement pied dans la réalité, je pousse un léger soupir. Il ne fait pas bon ressasser le passé comme cela. Je continue donc de m’adresser à elle. « Vous m’avez l’air d’une jeune femme raisonnable. Et j’espère pourvoir vous faire assez confiance pour que nous continuions cette conversation sans que vous ne tentiez de vous enfuir, hm ? » Je lève mon sourcil pour appuyer ma question. Je peux lire la surprise sur son visage, mais son froncement de sourcil me prouve aussi qu’elle est encore méfiante. « Je vois que vous ne me faites pas encore totalement confiance… » Prenant une décision rapidement quant à la suite des opérations, je continue avec un léger sourire en coin. « Et si je faisais un petit geste, me feriez-vous plus confiance ? » La méfiance laisse cette fois place à l’étonnement et la perplexité. Je touche presque au but. « Tout ce que je veux de vous c’est une discussion. J’aimerais en savoir plus sur vos pouvoirs. Et puis, qui sait, tout cela pourrait nous être profitable à tous les deux au final… » Sur ces paroles, mon poing se resserre et je fais un geste du bras vers la droite et immédiatement, les objets métalliques suivent et se dégagent de sur la jeune femme. Ils se retrouvent rassemblés en un tas informe flottant au-dessus du sol et son projetés sur la gauche de la jeune femme, là où je peux encore les voir. Car après tout, on n’est jamais trop prudent. Et maintenant que j’ai joué mes cartes et ai libéré la jeune femme, je ne peux qu’attendre sa réaction et voir si mon instinct a eu raison de lui faire, dans une moindre mesure, confiance.
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