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 L E O ∞ bang bang, my baby shoot me down

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Leónora Bárðurdóttir
Hell will always come before you grow


Identité
Nom et Prénom : Bárðurdóttir, Leónora Alias : Un surnom te suit depuis l'enfance; Leo. C'est comme ça que tes proches t'appellent le plus souvent.Âge : 25 ans. Lieu de naissance & nationalité : Tu as vu le jour dans la capitale de l'Islande, à Reykjavik. Cependant tu as pris la décision de t'expatrier aux États-Unis afin d'avoir un peu plus d'indépendance vis-à-vis de ta famille trop souvent surprotectrice et pour fuir les mauvais souvenirs que tu as de cet endroit. Cela fait plusieurs années que tu as quitté ton pays natal, ce qui fait que tu es donc une islandaise avec la naturalisation américaine. Métier : Après des études dans l'art qui ne t'ont mené à rien, tu es photographe pour un petit studio un brin miteux et tu vends parfois tes clichés à la presse. Ça te permet de payer les factures. Statut civil : Célibataire. Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Particularités : Tu es une jeune femme avec une chevelure relativement atypique, et pour cause ! Tu cultives cette différence en te décolorant les cheveux régulièrement et  en teignant une mèche de tes cheveux courts en bleu. À cela s'ajoute le fait que tu n'es pas très à l'aise avec la langue anglaise. Oh ! Tu la comprends parfaitement, tu l'écris et le lis sans le moindre problème ! Non, ce qui est un véritable souci est la pratique orale de l'anglais; tu as un accent islandais dont tu ne parviens pas à te débarrasser et qui rend parfois ta prononciation de l'anglais hasardeuse. Et comme si cela ne suffisait pas, tu te trouves à être une victime de la génétique; tu es ce qu'on appelle une mutante, avec un don de télépathie. Tu entends les pensées de tous ceux qui se situent autour de toi, étrangers comme proches. Ton esprit est donc un lieu des plus bruyant. Alors pour éviter de te perdre dans les pensées des autres, tu évites de te rendre dans des lieux trop peuplés, tu fuis la foule comme si tu avais le diable aux trousses. Affiliation : Tu n'as, pour l'instant rejoins aucun camp. Trop indécise, trop hésitante. Tu as peur de faire le mauvais choix, mais qui sait ce que l'avenir te réserve.

Interview

Avez-vous peur des Mutants ?  Toi, avoir peur des Mutants ? En voilà une bonne blague ! Tu en es toi-même une. Si tu avais peur des Mutants, cela voudrait dire que tu as peur de toi-même. Ce qui est, en tout honnêteté, un concept un peu étrange; tu sais ce dont tu es capable, tu connais tes limites, tu n'as donc pas à avoir peur. En revanche, ce qui t'effraie, c'est le sentiment de toute-puissance que certains Mutants peuvent ressentir; tu n'as pas peur d'eux en tant que tel, mais tu crains le côté quelque peu mégalomaniaque et/ou anarchiste de certains.


Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Depuis ton enfance, les Superhéros te font rêver. Tu as beau avoir grandis sur l'île relativement isolée qu'est l'Islande, tu as tout de même entendu parler du fameux Captain America, disparu alors que la Seconde Guerre Mondiale était sur le point de s'achever et c'est sans le moindre doute son histoire qui t'a le plus marquée. Et maintenant que tu vis aux États-Unis, tu as pu voir que Captain America n'est pas le seul héro en ce monde. Ils sont plus ou moins nombreux à défendre l'humanité. Les voir se battre ainsi emplit ton coeur d'espoir. Tu as tendance à les idéaliser, très certainement, cependant tu ne penses pas qu'ils soient aussi mauvais pour la société que ce que peuvent cracher certains journaux; ils sont certes différents, mais ils utilisent cette différence pour faire le bien autour d'eux. C'est une chose que tu admires. 


Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? Tu as découvert que tu étais différente des autres au moment où l'adolescence commence à pointer le bout de son nez, vers l'âge de 12 ou 13 ans. Ça s'est fait de manière progressive; tu as commencé à entendre des murmures difficilement discernables dans un premier temps, avant d'être la triste victime de nombreux maux de tête lorsque tu sortais pour te rendre dans le centre Reykjavik avec tes parents. Tu n'as d'abord rien dis à ce sujet, craignant que tes proches pensent que tu étais en train de devenir folle. Mais plus le temps passait, plus tes migraines se faisaient intenses et fréquentes. Il arriva donc un moment où tu ne pus plus garder cela pour toi; tu te plaignis de ces migraines qui te pourrissaient - lentement, mais sûrement - la vie. Tu leur expliquas quand celles-ci survenaient, ce que tu ressentais dans ces instants; cette sensation désagréable d'être oppressée, cette impression de ne plus savoir comment respirer. Tu gardas cependant pour toi les voix que tu entendais, peu désireuse de passer pour plus folle que ce que tu étais réellement. Inquiets, tes parents te forcèrent à voir de nombreux médecins qui, bien malgré eux, furent incapables de trouver la source de tes maux de tête répétés. En même temps, ils n'avaient pas toutes les cartes en main; si tu n'avais pas dis à tes parents que tu entendais des voix, il était hors de question que tu te confies aux médecins. L'un d'eux émit l'hypothèse que tu souffrais d'anxiété aïgue au contact des autres et que les migraines étaient un moyen pour ton corps d'évacuer cette anxiété. Cette hypothèse sembla convaincre tes parents, qui avaient grandement besoin d'être rassurés quant à ta situation. Après moultes discussions avec tes parents, il fut décidé que tu poursuivrais ta scolarité à domicile et que tu ne serais pas forcée à sortir à condition que tu consultes régulièrement un psychologue pour se débarrasser de cette pseudo-anxiété. Tu te plias à l'exercice sans rechigner; après tout, tu n'allais pas te rendre la vie plus compliquée si cela te permettait de ne plus souffrir de ces migraines. Ce ne fut que plus tard, vers l'âge de 14 ans, que tu compris ce dont tu souffrais réellement. Tu ne sais plus trop comment ou quand précisément, mais tu avais certainement finis par comprendre à force d'entendre la voix de ton père ou de ta mère dans ton esprit sans que ceux-ci ne bougent leurs lèvres. Tu t'étais lancée dans les recherches sur internet, recueillant un maximum d'informations sur des forums aux allures un peu douteuses, voire risibles. Tu mis du temps à parvenir à la conclusion que tu étais dotée du don de télépathie. Tu en fus, quelque part, soulagée; cela voulait dire que tu n'étais pas folle ! Mais cela ne voulait pas dire non plus que tu allais le crier sur tous les toits. Tu gardas cette révélation pour toi, ne disant pas un mot à tes parents à ce sujet. Encore aujourd'hui, ils ignorent ce que tu es réellement et restent persuadés que tu souffres d'anxiété.


Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Dire que tu es satisfaite du métier que tu exerces est un bien grand mot; tu n'es qu'une simple photographe dans un studio un peu miteux. Parfois, tu vends certains de tes clichés à divers journaux, pour arrondir les fins de mois. Tu sais que tu n'es pas à plaindre, même si tu as parfois du mal à payer les factures à temps. Tu as un toit au dessus de ta tête et de quoi manger dans ton assiette. Mais tu aimerais faire tellement mieux de ta vie, tu aimerais pouvoir faire de ta passion pour la photographie quelque chose de tellement plus beau que ces quelques photos d'aspirantes mannequins.


IRL
Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Heartsamess (ou Garance, c'est au choix  :hé: ), 21 ans, féminin ! Fréquence de connexion ; Un peu tous les jours, mes bons gens ! Que pensez-vous du forum? ; J'adore le design et le contexte... J'ai hâte de me lancer dans le RP avec vous  :waw:   Comment l'avez-vous découvert ? On remercie PRD (a)   Célébrité choisie ; Tuppence sexy!Middleton. Credits (avatar, icon etc.) ; Toutes les images utilisées pour cette fiche proviennent de tumblr !



Dernière édition par Leónora Bárðurdóttir le Lun 31 Aoû - 14:49, édité 3 fois
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Biographie

trouble found me
La vie en Islande ne t'a jamais été désagréable. Tu es née dans une famille des plus aimantes, où tu as toujours été très entourée. Ton père avait deux sœurs qui se sont mariées avant ta naissance et chacune d'entre elles a eu deux enfants. Ta mère, elle, était fille unique. Tu avais donc trois cousins – l'un avait cinq ans de plus que toi, l'autre trois et le dernier était plus âgé d'un an et demi – et une cousine – qui était née trois mois avant toi – avec qui jouer tout le long de ton enfance. Si, pendant un long moment, tu avais réclamé un frère ou une sœur à tes parents, ces derniers ne tardèrent pas à t'expliquer que cela était tout bonnement impossible ; des complications lors de l'accouchement de ta mère avaient endommagé son organisme et l'empêchaient donc de tomber à nouveau enceinte, malgré le fait qu'ils auraient été ravis de pouvoir agrandir votre petite famille. Tu avais été un peu déçue lorsqu'ils t'avaient expliqué la situation de manière très succincte, mais tu avais été très vite consolée par la présence de tes cousins. Enfant énergique, tu ne manquais jamais d'idées pour inventer des jeux en leur compagnie. Ce qui faisait souvent frémir les adultes de votre famille ; parents, oncles, tantes et grands-parents redoutaient toutes vos sessions de jeux, craignant constamment que l'un de vous ne se blesse. Cela se produisait relativement souvent ; ton cousin le plus âgé, Björn, s'était une fois cassé la jambe en pensant qu'il était une bonne idée de faire du vélo en équilibre sur une blanche de bois, dans la grange de vos grands-parents, et avait chuté de quelques mètres. Heureusement qu'il y avait eu des bottes de foin plus bas pour amortir sa chute vertigineuse. Autrement, il aurait très bien pu se briser la nuque ! Cýrus, ton cousin le plus jeune, avait aussi fini à l'hôpital pour un traumatisme crânien quand il avait tenté de chevaucher un mouton faisant partie du bétail de ses parents. Georg, ton cousin du ''milieu'', avait, quant à lui, dû passer une nuit à l'hôpital suite à une intoxication alimentaire après que Björn l'ait défié de manger de la nourriture avariée. Et si Solveig – ta cousine – et toi étiez plus calmes que les garçons de votre groupe, vous n'aviez pas non plus échappé à quelques visites à l'hôpital. Solveig avait une fois fait une réaction allergique plutôt violente à un buisson dans lequel elle était tombée ; d'énormes plaques rouges étaient apparues un peu partout sur son corps, ce qui avait inquiété ses parents. Quant à toi, tu étais tombée d'un arbre dans lequel tu avais grimpé pour impressionner tes cousins et tu étais tombée lourdement au sol, te cassant ainsi le bras. Inutile de dire, donc, que vous étiez une sacrée bande de casse-cou, tous les cinq, faisant frémir vos parents dès que vous sortiez tous ensemble. Et même si les séjours chez le médecin et à l'hôpital ne t'étaient pas étrangers, tu n'avais absolument pas à te plaindre de ton enfance, c'était là la meilleure partie de ta vie.

∞∞∞

Du haut de tes sept ans et demi, tu passas la tête par l'entrebâillement de la porte de ta chambre. Le vent soufflait dehors, tu pouvais l'entendre faire trembler les murs de ta maison, à un tel point que cela t'avait même réveillé au beau milieu de la nuit. Tes cheveux bruns étaient tout ébouriffés, sans le moindre doute à cause du fait que tu t'étais tournée et retournée sous ta couverture dans l'espoir d'ignorer les cris stridents du vent et avec l'envie de replonger dans les bras de Morphée. En vain. Tu avais longuement contemplé le plafond de ta chambre, allongée sur le dos, avant de prendre la décision de quitter ton lit pour fuir l'ennui. Tu avais enfilé tes pantoufles qui gisaient au pied du lit et tu t'étais enroulée dans ta robe de chambre pour affronter la fraîcheur nocturne, si caractéristique de l'hiver qui approchait. Certaine de ne pas souffrir des basses températures de la nuit, tu t'étais dirigée vers la porte de ta chambre, l'entrouvrant d'abord pour t'assurer que tes parents dormaient encore. S'ils te surprenaient à te promener dans la petite maisonnée à une heure aussi avancée de la nuit, tu ne doutais pas que tu te ferais très certainement gronder, chose que tu aimerais éviter. Ce fut donc à pas de loup que tu t'aventuras dans le couloir sombre et que tu descendis prudemment les escaliers menant aux parties principales de la maison ; la salle de séjour, la cuisine et une salle de bains. En haut se trouvaient deux chambres et une autre salle de bain, plus spacieuse que celle du rez-de-chaussée, mais là n'était pas l'important. Tu ne tardas pas à arriver dans la salle de séjour, où tu te précipitas à la large fenêtre. Tu collas ton visage rond contre la vitre, ta respiration régulière laissant une forme de nuage sur la fenêtre, à l'endroit où ta bouche et ton nez se situaient. Un large sourire éclaira alors ton visage quand tu vis les premiers flocons de la saison s'abattre dehors. Octobre venait tout juste de pointer le bout de son nez et la neige vous graciait déjà de sa présence ; cela promettait définitivement un superbe hiver, comme tout islandais digne de ce nom les appréciait.

Tu n'échappais pas à cette étrange règle ; génétique ou éducation à l'islandaise, tu n'en savais rien et cela t'était bien égal. Tu n'avais pas vu beaucoup d'hivers, mais s'il y avait bien une chose dont tu étais certaine, c'était que c'était ta saison favorite. Oh, tu aimais le printemps, l'été et l'automne ; enfant innocente et pleine d'insouciance, tu ne faisais jamais la tête et étais constamment ravie de jouer à l'extérieur quel que soit le temps. Toutefois, l'hiver te fascinait, t'enchantait. Il y avait quelque chose que tu trouvais réconfortant dans cet épais manteau neigeux qui ne manquait pas de s'abattre sur l'ensemble du pays, chaque année. Il y avait quelque chose différent de toutes les autres saisons, un air endormi qui permettait au monde de se reposer avant que les jours plus heureux, plus vivants ne viennent. Trop jeune encore pour te sentir véritablement mélancolique, tu ressentais à chaque fois cette sensation de calme lorsque tu voyais la neige tomber. Aussi étais-tu tout bonnement ravie de voir la première neige tomber ; ça avait quelque chose de sublime, de divin de voir les épais flocons blancs se poser lentement sur le sol après tant de semaines à les attendre. Car tu l'avais attendu, la première neige. Depuis le mois de mars, où les derniers flocons avaient commencé à se faire plus rare. Tu adorais l'hiver, tu le vénérais quand il arrivait, vêtu de son magnifique manteau neigeux. À un tel point que tu te perdis dans ta contemplation puérile, n'entendant pas les bruits de pas légers qui indiquaient que quelqu'un descendait l'escalier. Tu restas de longues secondes jusqu'à ce que la lumière du salon s'allumât brusquement, te faisant sursauter. Tu te détachas de la fenêtre à contrecoeur, une mine contrite étirant tes traits doux. Tu baissas légèrement le visage, te donnant ainsi un air désolé, avant de te retourner. « Leónora. » La voix douce et si familière de ta mère était rauque à cause du sommeil qu'elle venait de quitter, sentant très probablement que quelque chose clochait dans son foyer. Tu ignorais comment elle faisait pour sentir toutes ces choses, le sixième sens d'une maman, très certainement.

Lentement, tu te tournas vers elle. Ton regard noisette se posa sur la femme qui t'avait donné la vie, pas loin d'une décennie plus tôt. Tu lui offris un sourire tendu et désolé alors qu'elle s'approchait de toi. « Pardon de t'avoir réveillée, Maman ... » lui avais-tu dit avec une petite voix. Pour toute réponse, elle s'agenouilla en face de toi, son visage se trouvant subitement à la même hauteur que le tien. « Que fais-tu debout aussi tard ? Tu ne devrais même pas songer à te lever à cette heure. » Son visage était doux, un fin sourire – quoique un peu confus – étirait le coin de ses lèvres roses. Sur sa peau pâle, tu voyais des traits rouges et irréguliers, signe qu'elle avait enfoncé son visage contre son oreiller, profondément endormie. Et au fond de ses yeux noisettes – si similaires aux tiens – tu pouvais voir un amour profond, une tendresse sans limites. Un peu gênée de t'être fait prendre hors de ton lit à une heure aussi avancée de la nuit et d'avoir dérangé le sommeil de cette femme que tu aimais et admirais tant, tu te tortillas sur place un instant, avant de te rapprocher de ta mère et de passer tes bras autour de son cou dans une étreinte chaleureuse et aimante. « Le vent m'a réveillé, Maman. J'ai essayé de me rendormir, mais j'ai pas réussi ! C'est vrai, je te promets ! Alors je suis descendue pour regarder le jardin ! Et j'ai vu les premières neiges ! Tu te rends compte ? Hein, Maman ! Il neige déjà ! » La dernière partie de ton explication avait été prononcée sur un ton plein d'excitation. Ta mère te regarda un moment, puis se redressa en soupirant. Sa main attrapa la sienne, t'obligeant à la suivre vers les escaliers. « Leónora … Les petites filles de ton âge ne devraient pas se lever au milieu de la nuit pour observer la neige tomber, première neige ou pas. » Elle s'interrompit un moment, te hissant dans ses bras pour entamer l'ascencion discrète des escaliers. « Les petites filles de sept ans et demi doivent dormir pour grandir et devenir forte. Sinon elles ne pourront pas jouer dans la neige. » Une moue boudeuse s'afficha sur tes traits et tu te mordis la langue pour ne pas répliquer que tu n'étais plus fatiguée. Ce qui était totalement véridique ; tu avais les yeux grands ouverts et… Et… Un bâillement t'échappa alors que vous approchiez toutes les deux de la porte de ta chambre. Ce qui fit doucement rire ta mère. Tu affichas à nouveau cette mine boudeuse alors qu'elle te déposa dans ton lit, te recouvrant ensuite de ta couverture bien chaude et si douillette. Posant la tête sur l'oreiller, tes paupières se firent un peu plus lourdes. « Mais… Maman ... » Cette dernière t'interrompit brusquement, posant une main sur le sommet de ta tête et carressant tendrement ta chevelure brune. « Il n'y a pas de ''mais'' qui tiennent, Leónora … Tu dois dormir maintenant. Je te promets que tu auras tout le temps d'admirer la neige demain. » Elle ponctua la fin de sa phrase par un doux baiser sur ton front. Il ne t'en fallut pas davantage pour sombrer, rejoignant le domaine des rêves sans la moindre objection.


∞∞∞

Le centre de Reykjavik a toujours été un de tes endroits favoris. Tu adorais t'y rendre avec tes cousins. Tu n'étais pas une grande adepte du shopping ; entourée par une majorité de garçons, tu avais – tout comme ta cousine Solveig – tendance à adopter les mêmes attitudes qu'eux. De toute façon, ce n'était pas comme s'il y avait beaucoup de boutiques à la mode en Islande ; le pays n'était, après tout, qu'une petite île relativement isolée qui ne s'intéressait pas énormément aux nouvelles du monde extérieur. Bien sûr, les nouvelles importantes vous parvenaient. Mais tout ce qui touchait à la mode et à ce genre de sujets superficiels n'étaient pas essentiels aux yeux des Islandais et donc des tiens. De ce fait, lorsque tu te rendais au centre de la capitale islandaise, c'était essentiellement pour voir tes cousins et changer un peu d'air ; car si tu aimais la maison familiale et le bout de terrain qui se trouvait derrière, tu appréciais tout autant de quitter ce lieu familier pour te retrouver dans un environnement plus urbanisé. Cependant, tu n'étais pas autorisée à y aller seule, chose qui était tout à fait normale ; tu étais encore un peu jeune, du haut de tes douze belles années. Tu n'avais le droit de te balader sans tes parents que quand Björn et/ou Georg étaient avec toi. Chose qui était loin de te déplaire ; tes cousins avaient tous grandi, comme toi, mais votre complicité était toujours la même que celle que vous aviez tous quand vous étiez encore enfants. Et cela aurait pu continuer longuement encore si quelque chose d'étrange n'avait pas bouleversé ta vie. Ça avait commencé tout doucement, à l'aube de ton treizième anniversaire. Un murmure, puis plusieurs, au sein même de ton esprit. Indiscernables, incompréhensibles. Tu avais d'abord pu les ignorer, te persuadant que ce n'était là qu'une invention de ton imagination.

Puis étaient arrivés les maux de tête. Elles étaient terribles, ces migraines, elles étaient douloureuses. Mais tu étais une jeune fille têtue ; tu avais donc décidé de ne pas te laisser abattre par de tels maux, tu étais jeune et tu avais envie de profiter de la vie, de la croquer à pleines dents. Toutefois, tu avais beau faire de ton mieux, tu ne pus le cacher bien longtemps à ton entourage. Tes parents avaient plus ou moins remarqué ton comportement changeant, ton humeur plus morose. Tu entendais toujours ces étranges murmures, constamment à l'arrière de ton esprit, jour et nuit. Tu avais beau essayé, tu ne savais pas comment faire disparaître ces voix qui n'avaient pas lieu d'être. Pendant un temps, tu fus persuadée d'être totalement folle et pris la décision de te renfermer sur toi-même, ne répondant plus aux questions que l'on te posait et n'engageant pas la moindre discussion. Chose qui inquiéta tes parents ainsi que le reste de la famille ; tes cousins n'avaient de cesse d'appeler à la maison pour prendre de tes nouvelles quand tu refusais de sortir avec eux. Car, avec le temps qui passait, tu avais remarqué que tes migraines faisaient leur apparition uniquement quand tu te trouvais à l'extérieur, au milieu de la foule islandaise. Tu faisais donc de ton mieux pour éviter de te retrouver dans des lieux trop peuplés ; tu ne sortais plus au centre ville, tu faisais des crises d'angoisse le matin avant de partir à l'école, ect … C'était véritablement terrible. Et quand enfin tu te décidas à dévoiler une partie du problème à tes parents, ces derniers ne perdirent pas une seule seconde pour t'emmener consulter le médecin le plus proche. Il te fit passer des examens, te posa des questions. En vain. Il fut incapable de donner le moindre diagnostic à tes parents.

Bien décidés à découvrir l'origine de ce mal qui te rongeait, ton père et ta mère t'emmenèrent voir d'autres médecins, qui se révélèrent tout aussi impuissant que le premier, à la plus grande déception de ta mère et la colère de ton père. Ce dernier ne comprenait pas pourquoi des médecins – des hommes et des femmes qui avaient passé des années à étudier le corps humain et avaient obtenu un diplôme témoignant de leurs compétences – ne pouvaient pas t'aider. Et quand l'un d'eux laissa échapper l'idée que tu devais souffrir d'anxiété aïgue – au vu de tes migraines et des crises d'angoisse dont tu souffrais – cela sembla convaincre tes parents, les rassurant légèrement. Tu étais encore jeune à cette époque, aussi le médecin préféra éviter de te donner un traitement spécifique pour calmer tes soit-disant angoisses et te dirigea vers des séances de relaxation tout en conseillant à tes parents de prendre rendez-vous avec un psychologue pour parler de ce qui te rongeait. Après cette discussion avec le médecin, tes parents te prirent à part pour parler de ton avenir ; tu ne voulais plus aller à l'école, tu ne voulais plus sortir du tout. Chose qu'ils semblèrent comprendre, mais ils ne voulaient pas non plus que tu t'isoles totalement. Il fut donc décidé que tu suivrais le reste de ta scolarité à la maison pour que tu te concentres sur tes résultats plutôt que ton mal-être et que tu irais voir quelqu'un pour parler de ce mal que tu ne parvenais pas à identifier. Durant les séances avec ta psychologue – une femme relativement âgée et très douce – tu ne parlais pas beaucoup, tu ne savais pas trop quoi dire. Mais ce n'était pas bien grave, la psychologue t'avait-elle dit, tant que tu venais aux séances, c'était là l'essentiel. Ainsi, toutes les deux, vous pourriez identifier l'origine de ton trouble. Mais, au final, ce fut seule que tu découvris ce qui clochait chez toi. Tu ne te souvenais pas trop comment tu t'en étais rendue compte, cependant, tu avais finis par réaliser que les murmures que tu entendais dans ton esprit étaient les pensées de ton entourage. Que ces nombreuses migraines dont tu souffrais dans les lieux populaires étaient dues aux pensées trop nombreuses qui traversaient ton pauvre petit esprit. De nombreuses recherches à droite et à gauche t'informèrent que tu étais ce qu'on appelait une télépathe. Craignant que l'on te prenne pour folle, tu gardas pour toi cette révélation. Tu eus du mal à te faire à l'idée, mais tu finis par accepter ce fait ; tu allais entendre les pensées les plus intimes des uns et des autres jusqu'à la fin de ta vie.

∞∞∞

Un gémissement t'échappa alors que tu te tortillas un moment sr le siège de la voiture retournée. Le vent soufflait contre la carcasse défoncée du véhicule. La ceinture de sécurité te maintenait au siège, t'empêchant ainsi de t'écraser lourdement contre le toit de la voiture. L'air hagard, le regard un peu vide, tu respirais lourdement, l'adrénaline parcourant tes veines et te forçant à reprendre pied dans la réalité. Tu clignas des yeux quelques instants avant de tourner la tête vers le siège conducteur. Tu écarquillas soudainement les yeux, l'air se bloquant de ta gorge. À côté de toi, le corps inanimé de ta cousine au visage ensanglanté et des mèches de cheveux brunes collées au niveau de ses tempes. Les yeux fermés, la peau pâle. Ta cousine ne ressemblait pas à cela d'habitude, elle qui était si coquette et pleine de vie ; elle avait constamment les joues légèrement rosées et le regard pétillant. Ce n'était pas ta cousine à côté de toi, ce n'était que l'ombre de la jeune femme que tu connaissais depuis ta plus tendre enfance. Lentement, comme hésitante, tu posas une main sur son épaule et la secouas légèrement, tes yeux s'emplissant de larmes. Elle grogna un moment. « S-Solveig ... » Ta voix rauque sembla la réveiller. L'air absent et malade, elle tourna légèrement le visage vers toi et, soudainement, un énorme sanglot, empli de peur et de douleur, s'échappa de sa gorge. « O-Oh, je s-suis tellement d-désolée, L-Leo ... » Une quinte de toux grasse l'interrompit et tu la vis cracher du sang en quantité. Pleine de peur, tu baissas les yeux vers son torse et tu crus bien que tu allais vomir. Une partie métallique de la voiture s'était détachée de la carcasse du véhicule pour transpercer le corps de ta cousine juste en dessous de sa poitrine. Tu frémis en voyant le sang s'échapper de la blessure, avant de fixer le visage blâfard de ta cousine.

Tu te tortillas un moment, tirant sur la ceinture de sécurité pour t'en défaire. En vain. Tu restais bien attachée à ton siège. Un gémissement désespéré s'arracha de ta gorge et les larmes se mirent à couler sur ton visage, remontant jusqu'à ton front et se perdant dans ta chevelure brune. Du coin de l'oeil, tu pouvais voir ta cousine respirer de plus en plus péniblement. Vous n'auriez pas dû sortir ce soir, vous n'auriez pas dû boire. Les routes étaient trop enneigées ce soir-là, trop glissantes. Il n'était donc pas surprenant que la voiture se retourne. Mais tout de même. Tu aurais dû dire à Solveig de ne pas prendre la voiture, que vous resteriez dormir chez celui qui avait organisé la fête de ce soir. Ta cousine ne serait probablement pas à deux doigts de mourir. Car tu le sentais, elle était sur le point de mourir. Une nouvelle toux de la part de la conductrice t'interpela ; elle avait à présent les yeux clos et sa respiration s'était faite plus pénible. Par moment, tu ne l'entendais même plus inspirer l'air. « S-Solveig … R-Reste avec m-moi ! » Mais ta cousine ne t'entendait déjà plus, elle se perdait dans la noirceur de l'inconciance. Tu te mis alors à crier, lui ordonnant d'ouvrir les yeux tout en fouillant instinctivement dans tes poches pour trouver ton portable. Tu le sortis de la poche de ton épais manteau et fus incroyablement soulagée de constater que tu avais tout juste assez de réseau pour appeler les secours. Les doigts tremblants, tu composas le numéro des secours, leur expliquant maladroitement la situation et leur indiquant la location précise de l'accident alors que tu sentais l'esprit de ta cousine s'éteindre. Elle était en train de mourir et tu le sentais. Un énorme sanglot secoua ton corps tout entier alors que tu raccrochais le téléphone, le laissant tomber. Ta main se posa de nouveau sur l'épaule de la jeune femme. Son esprit s'était éteint. Du haut de tes vingt ans, tu fus la triste spectatrice de la Mort, lorsque celle-ci se décida à s'emparer de l'être de Solveig. Et quand tu ne sentis plus ses pensées emmêlées aux tiennes, un hurlement – agonie, injustice, douleur – déchira tes poumons. Tu pleuras et hurlas. Tu te débattis sur ton siège comme si cela allait te permettre de sauver ta cousine, comme si cela allait faire fuir la triste présence de la mort. Mais tous tes efforts furent vains, bien évidemment. Il était déjà trop tard. Tu n'avais plus qu'à t'accrocher pour attendre les secours, ne pas sombrer dans la folie et la douleur d'avoir sentie l'âme de celle que tu considérais comme ta sœur disparaître dans le néant.

∞∞∞

La douleur et la culpabilité d'avoir perdu ta cousine dans cet accident ne t'avait jamais vraiment quitté. Toujours là, te suivant comme ton ombre. Malgré ce que tes proches pouvaient te dire – surtout ton oncle et ta tante, parents de la défunte – tu ne pouvais t'en défaire, tu ne pouvais t'empêcher de pleurer chaque soir l'absence de Solveig. Tu avais gardé la tête haute lors des funérailles et dès que la cérémonie avait pris fin, tu avais pris la fuite, incapable d'affronter le regard des autres, persuadée qu'ils t'en voulaient de t'en être sortie avec trois côtes cassées, un traumatisme crânien et un muscle de la jambe déchiré. Tu avais beau entendre leurs pensées pleines de pitié et de tristesse, tu ne pouvais t'empêcher de penser qu'ils t'en voulaient, tous. C'était plus fort que toi. Tu avais l'impression d'étouffer, entourée par toute ta famille qui te voyait sombrer lentement, mais sûrement. Tu avais l'impression de mourir à petit feu à chaque fois que tu croisais le regard larmoyant de ta tante, que tu surprenais ton oncle à te contempler d'un air absent. Et cela ne pouvait pas durer. Tu avais finis tes études dans le domaine de l'art en Islande. Tu avais prévu de t'installer ici, auprès de ta famille. Mais ce n'était plus possible ; tu ne te voyais pas vivre ta vie avec tous ces regards – emplis de pitié, de tristesse et de douleur – posés sur toi. Tu avais pensé à mettre fin à tes jours, tu avais songé à plusieurs méthodes. Cependant, ta peur de la Mort était bien trop grande. Tu pris alors la fuite ; faisant tes bagages et rassemblant tes maigres économies pour acheter un aller simple pour les États-Unis, ton diplôme en art en poche. Cette décision ne sembla pas surprendre tes parents, mais cela ne leur brisa pas moins le coeur. Ils acceptèrent, néanmoins, alors que le reste de la famille protesta un moment, avant de te laisser faire comme bon te semblait. Ils allèrent même jusqu'à t'offrir une petite cagnotte – qu'ils avaient fait en commun – pour te permettre de vivre quelques temps jusqu'à ce que tu trouves un travail. Dès lors que tu obtins ton visa de travail pour les États-Unis, tu quittas le territoire islandais et, une fois sur le sol américain, tu te trouvas un petit studio peu couteux. Tu eus du mal à te trouver un emploi, mais tu finis par en trouver un ; photographe dans un tout petit studio. Et à partir de ce moment, tu tombas dans une nouvelle routine que tu t'efforças de maintenir coûte que coûte, peu importait à quel point tu avais du mal à te lever le matin, accablée par la peine et la culpabilité. Encore aujourd'hui, tu fais de ton mieux pour garder la tête haute, pour continuer à vivre avec le souvenir de la Mort à chaque pas que tu fais. Tu n'es plus la même personne que tu étais avant l'accident; auparavant rieuse, chaleureuse et pleine de vie, quoiqu'un brin réservée dû au fait que tu sortais peu - voire uniquement pour faire plaisir à tes cousins - tu es à présent distante, renfermée et déprimée, tu luttes pour ne pas sombrer dans la dépression la plus totale. Tu essaies de faire avec cette nouvelle personne que tu es, même si ce n'est pas tous les jours faciles. Tu joues à un jeu d'équilibriste dangereux, prête à tomber d'un côté ou de l'autre à n'importe quel instant.


Dernière édition par Leónora Bárðurdóttir le Lun 31 Aoû - 15:02, édité 7 fois
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TUUPPPPPEEEEEEENNNNNNCE. :pink: :pink: :pink: :pink: :pink: :pink:

BIENVENUE PARMI NOUS. :faint: SUPER AVATAR, ton pseudo m'intrigue, le début de ta fiche aussi, j'ai hâte de lire, bon courage pour la rédaction! n'oublie pas de passer par ici pour réserver ton avatar durant une semaine! :pink:
JE T'AIME, J'ESPÈRE QUE TU TE PLAIRAS ICI, n'hésite pas à venir nous (ME! Arrow ) voir en cas de question!
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BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE ! :pink:

Le choix trop parfait d'avatar ! :whaaat: T'es trop beeeeeelle ! N'oublie pas de le réserver, ce serait trop bête qu'on te le pique. :hé: Si tu as la moindre question, n'hésite pas à MPotter le staff, on adore les petits mots doux !

Bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous ! :shon:

ANEESH VA MOURIR SALE VIEUX.
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Aneesh + MERCI POUR TON ACCUEIL DARLING :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric: :hysteric:

Owgawd ... Je suis ravie que Tuppence te plaise ! Cette fille m'obsède depuis que j'ai vu sense8 et je cherchais un forum pour la jouer... & le forum m'a fait craquer !  :faint: Je n'ai donc pu résister :haaaa:

JTM TOO ! TELLEMENT QUE JE VIENDRAIS TE HARCELER EN MP SI JE GALÈRE, T'INQUIÈTE ! & je ne doute pas que je me plairais ici :haaaa:

Ava + MERCI BELLE AGENTE DU SHIELD  :keur:  :keur:  :keur:  :keur:  :keur:

Toi aussi t'es trop belle, t'sais. Genre je connaissais pas la référence de ton personnage avant, mais j'adhère totalement hein :faint: S'tu veux on peut aller faire des bébés ensemble :hé: *PAN!*
Bref. J'ai été réservée Tuppence, comme conseillé ! Merci L E O ∞ bang bang, my baby shoot me down  3172871409 & même si j'ai aucun problème, j'enverrai des mots doux au staff si j'en ai envie, tiens ! :haaaa:

Comme dit à Aneesh, j'suis déjà ultra-fan du forum, je ne doute pas que je m'y plairais  :waw:

(je m'arrête de parler, sinon je vais définitivement passer pour une dingue uhuh ~)
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SALUT BEAUTÉ DES ÎLES :hysteric:
Bienvenue parmi nous sur TNA ! J'approuve ton avatar, et ta petite Leo m'intrigue beaucoup, j'ai hâte d'en lire plus sur elle :run:  mes collègues ont tout dit, n'hésite pas à nous mpotter si besoin, et j'espère que tu vas t'éclater parmi nous :cute:
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Danny Cavanagh
Danny Cavanagh
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TUPPEEEEEEENCE :hysteric: :waw: :youknow: :hé: :haaaa: :leche: :shon: :happy:

OMFG OMFG OMFG OMFG ! Tu peux pas savoir comme je surkiffe cette fille (sense8 RPZ -meurt- )

En tout cas, bienvenuuuuue ! Trop hâte de voir ce que tu vas faire avec ta petite Leo et n'hésite surtout pas à venir nous voir (enfin surtout moi j'suis la plus gentille et je vais jamais trouver que t'es dingue car je le suis forcément plus que toi :hé: ) si tu as besoin :3

Bon courage pour ta fiiiiche :keur:
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JE SUIS LA SEULE QUI A PAS ENCORE REGARDÉ SENSE8 PARDON :aaaaah:
Bienvenue parmi nous, ton personnage m'intrigue vachement, j'ai vraiment hâte de lire ta fiche et de te voir te fondre dans le contexte :hug: bon courage pour l'écriture et tout, n'hésite pas si tu as des questions comme l'ont dit mes collègues :pregnant:
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Haiko + MERCI POUR TON ACCUEIL Sun BEAUTÉ FATALE :keur: :keur: :keur: :keur: :keur:

Ton choix de feat ... Omagawd. Je me disais que le forum était rempli de bogoss et de belgoss, mais tu viens de m'achever :faint: J'espère grandement que le personnage de Leo te séduira une fois la fiche totalement achevée :hé: Je compte bien m'installer confortablement sur le forum en tout cas L E O ∞ bang bang, my baby shoot me down  3172871409

Danny + ON EST FAIT POUR S'ENTENDRE JE PENSE. :haaaa: :haaaa: :haaaa: :haaaa: :haaaa:

Ton choix de feat + ton pseudo = j'suis en total kiff tu vois. :keur: M'enfin. SI TU AIMES SENSE8 AUTANT QUE MOI JE T'EPOUSE SUR LE CHAMPS TU SAIS. Sense8 5ever u know. Bref ! Merci pour ton accueil ! :waw:

Natasha + MERCI POUR TON ACCUEIL JOLIE ROUQUINE :waw: :waw: :waw: :waw: :waw:

T'inquiète pas, je vais te motiver pour regarder sense8 et tu comprendras le véritable sens de la vie :haaaa: *meurt* M'enfin ! J'espère que le personnage de Leo te plaira :keur:
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Prisoners + trapped & forgotten
James Barnes
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BIENVENUUUUUUUUUE :hysteric: :hysteric: :hysteric:
Les collègues ayant déjà tout dit, je me contenterai de te souhaiter bonne chance pour ta fiche !
Et n'hésite pas à nous mp si tu as la moindre question :hahaha:
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Invité
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MERCI POUR TON ACCUEIL JAMES :keur: :keur: :keur:
Promis, je n'hésiterai pas à venir vous embêter en cas de problèmes :hé:
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félicitations !

tu es validé mon brave
Bienvenue chez les HOMO SUPERIOR.

Perosnnage génial avec un pouvoir super sympa ! J'ai adoré ta fiche donc je te valide y'a aucun soucis :youknow: J'ai bien hâte de voir ce que tu vas faire avec elle :hé: En tout cas amuse toi bien ! :keur:

time to have fun. Maintenant que tu es validé, tu peux commencer par aller recenser différentes choses, comme ton métier ou ton pouvoir si tu en as un. Tu peux aussi te chercher des copains sur le forum, c'est à dire poster ta fiche de liens. Si ton personnage est du genre à passer son temps sur son téléphone ou sur le net, tu peux aussi te rendre sur la webosphère.
Nous t'encourageons fortement à te rendre dans la chat box pour y faire la rencontre des autres membres, si tu le souhaites ! Sinon, tu peux aussi aller te créer un scénario. Quoi qu'il arrive, n'hésite pas à te faire ton trou par chez nous, on te souhaite bien des RPs et une belle et longue aventure sur TNA !

ENJOY !
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J'ai pas encore vu Sense8, mais bon dieu que j'adore la tête de cette nana :keur: en tout cas bienvenuuue sur tna, j'espère que tu t'amuses bien parmi nous pour le moment :shon:
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