Nom et Prénom : Sigvard Pearl Alias : The Sentinel Âge : 16 ans Lieu de naissance & nationalité : Odessa, Américaine. Métier : Encore une élève. Statut civil : Une éternel célibataire Orientation sexuelle : Ne sait pas encore. Particularités : L’ouïe, la vue, le toucher, le gout et l’odorat. Tout ces sens sont chez Pearl constamment amplifiés. Depuis sa naissance elle est capable de voir bien plus loin qu’un simple humain, elle a un meilleur odorat qu’un chien, une oreille capable d’entendre des chuchotements lointain, les papilles gustatives plus développées qu’un chef 5 étoiles et un toucher sensible qui la rend plus réceptive à la douleur que d’autres. Le problème par rapport à sa mutation c’est qu’elle n’est pas contrôlable et donc que Pearl est toujours sensible sur tout. Elle a donc assez souvent des lunettes de soleil et un casque ou des boule quies pour atténuer le bruit. Le toucher étant son sens le moins développé elle met juste une veste manche longue et des gants quand elle sort.
Pearl ne sait pas bien se battre. Elle n’a jamais appris, elle n’a jamais eu le temps. En même temps on ne lui a jamais demandé de savoir jusqu’à maintenant.
Elle sait jouer du violoncelle et c’est là son seul talent n’ayant aucun rapport avec sa mutation, et encore, il est fort possible que ce soit grâce à son ouïe et son toucher qu’elle en joue si bien.
Affiliation : X men

Avez-vous peur des Mutants ? Pourquoi avoir peur des mutants ? J’ai été élevé dans une optique typiquement « homo sapiens », mais jamais je n’ai adhéré à cette peur de simples gens. Enfin simple… J’exagère, nous ne somme pas simple, nous sommes simplement doté de capacités surhumaine et c’est ce qui effraie l’homme. D’ailleurs je ne pense pas qu’il existe réellement une peur des mutants en particulier. Il existe pour moi uniquement la peur de ne pas avoir le contrôle sur des êtres vivants, de l’homo sapiens. D’autant plus que si c’était une peur des mutants, il ne devrait pas y avoir la peur de tout les mutants, mais seulement des mauvais, tout comme je n’ai pas peur de tout les mutants. Il y a des idiots partout comme on dit, aussi bien chez l’homme que chez les mutants.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Je n’ai pas vraiment d’avis là-dessus.  Je ne les considère pas comme indispensable, mais je sais qu’ils ne sont pas mauvais pour l’humanité. Ils peuvent parfois apporter l’espoir, parfois ils font peur aux civils, mais dans le seul but de les aider. J’ai déjà entendu quelque part qu’on ne sauve pas le monde avec de bons sentiments. Je trouve cette phrase belle, mais arriéré. Il est vrai que les Super héros sont en général un minimum entraînés ou ils ont quelque chose qui les rends spécial, mais je pense que n’importe qui peu devenir un super héros. Alors il est mieux de dire que je ne pense pas grand-chose des super héros, car je considère qu’ils ne sont pas inutiles, mais pas forcement nécessaire. J’ai encore à forger mon avis sur ce sujet, mais j’ai la vie devant moi pour décider, non ?   
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime ? La réaction de mes parents je pense. Quand ils ont vue la vérité en face, quand ils ont compris ce que j’étais réellement. Ils ont agis comme si ils avaient appris que j’étais terriblement malade. Ils ont agis comme si je venais de faire un test décrétant que j’étais atteinte d’un cancer en phase terminal. J’ai eu l’impression d’être déchirée en deux. J’ai toujours aimé la paix, la joie, ça peu sembler un peu hippie, mais j’aime ça. Je me suis dit que j’étais chanceuse de cette réaction, que ça aurait pu être pire, qu’il y a tellement de mutants plus malheureux que moi. J’ai donc décidé d’aider tous ces mutants dans le besoin… Non, tous ces gens, humain ou mutants, dans le besoin.
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? Je suis née avec ma mutation, c’est un peu comme si je l’avais toujours su. Il n’y a jamais eu de gros déclic, seulement un moment où elle a atteint la limite du remarquable. Au début j’avais juste des sens assez développés, mais au fur et à mesure qu’ils se développaient je sentais que cela n’était pas humainement possible, alors quand ils se sont mit à parler de mutants, j’ai compris que j’en étais une. J’ai juste continué à vivre normalement, même si j’ai commencé à en abuser un peu sur le coup, c’est vrai. Je m’y étais bien habitué, ce sont mes parents que ça a choqué. Si bien qu’ils ont voulu aller voir des spécialistes pour me « soigner ». J’ai également perdu toute vie social normal à partir du moment où j’ai fais confiance à une personne que je considérais comme amie et à qui j’ai révélé que j’étais une mutante.
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? Personne n’est au courant de mon nom de naissance, personne n’est au courant de où je suis née, à part moi. Je ne fais confiance réellement qu’à moi désormais. Peut-être que j’accorderais ma confiance à certaines personnes, mais je n’en ai pas l’intention pour le moment. Pour ce qui est de cacher la mutation, je n’ai pas de gros efforts à faire, juste faire attention à avoir un comportement normal et ne pas me couvrir les oreilles au moindre bruit, ou alors a dire des choses qui pourraient faire penser que je suis une mutante.  
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Je ne suis qu’une étudiante, et si je ne l’étais pas, je serais sans doute une SDF, alors on peut dire que oui je suis satisfaite de dépendre encore des adultes, mais dans un sens, la pleine liberté peut être sympathique parfois.  

Le 13 juin 2000, dans la ville d’Odessa au Texas, naissent deux beaux bébés dans la famille Johnson. Un garçon et une fille. Ce sont des jumeaux, tout les deux en parfaite santé. La fille est prénommée Mercy, elle grandi dans un environnement agréable avec son frère, Thomas, qu’elle aime tant. Mais quand ils avaient 5 ans, il fut enlevé par une femme, Mercy resta dans l’ignorance des circonstances de la disparition et pleura son frère un long moment. Jamais il n’y a eu chagrin plus atroce pour des jumeaux que d’être séparé trop jeune. Mercy n’avait jamais relevé la réaction assez neutre de ses parents face à cette disparition, elle croyait à l’époque que les grandes personnes ne pouvaient pas pleurer. Une pensée enfantine, certes, et elle ne se redemandera jamais pourquoi cette réaction aussi neutre. Son jeune frère restera dans son cœur, Mercy rêve depuis sa disparition de le revoir. Elle avait mit une photo d’eux deux lorsqu’ils soufflaient les bougies de leurs 4 ans sur sa table de chevet, puis aujourd’hui la garde dans son porte feuille.

La vie de Mercy continua, elle était en parfaite santé et pourtant, elle se sentait sensible au froid et a la chaleur. Les autres la pensaient chochotte, car quand elle tombait, elle pleurait de douleur de manière excessive, pourtant elle ne l’a jamais fait exprès. Elle était plus sensible à la lumière que les autres, ce qui lui valu quelques visite chez l’ophtalmologiste, qui ne pouvait rien expliquer, car sa vision était incroyablement parfaite. Mercy n’était qu’âgé de 7 ans et elle ne comprenait pas totalement pourquoi elle était plus sensible à tout comparée à une personne normale, elle se sentait différente, mais elle agissait comme une enfant de 7 ans comme on en trouve des tonnes. Ses parents ne s’inquiétaient pas vraiment de ses plaintes, pensant que c’était simplement des caprices d’enfants pour se faire remarquer. Pour en être bien sur, ils l’emmenèrent voir un médecin qui décréta que c’était dû à un traumatisme suite à la perte de son frère. Elle eu droit à un suivie psychologique et sur conseil du spécialiste, ses parents lui proposèrent de commencer à jouer d’un instrument pour lui laisser un moyen d’expression. Elle s’est alors souvenu avoir un jour entendu un artiste de rue jouer d’un instrument à corde énorme avec un archet, elle se mit donc à jouer du violoncelle.

A 8 ans, Mercy était capable de voir des détails à quelques kilomètres, sentir les différences entre les odeurs des personnes, des objets et des animaux, vomissait la cuisine de sa cantine qu’elle trouvait immangeable, reconnaissait n’importe quelles textures qu’elle a déjà touchées en gardant les yeux fermés et entendait si bien quelle pouvait entendre même un chuchotement séparé par deux, voir trois mur selon l’isolation. En même temps qu’elle commençait à comprendre que quelque chose clochait vraiment chez elle, une tentative d’assassinat du président choqua le monde entier, l’existence des mutants fut révélée. C’est quand Mercy assista à cette révélation en regardant la télé qu’elle comprit. Ses capacités exceptionnelles avec lesquelles elle est née font d’elle une mutante. Elle n’en toucha pas un mot à ses parents, ayant bien observé leur réaction négative face a cette révélation au monde entier.

Mercy avait dans son école deux jeunes mutants qui furent démasqué. Elle les voyait souvent se faire humilier par les autres. Elle s’en voulait d’être aussi lâche et de ne pas les aider. Mais petite comme elle était, avec une force de mouche, elle n’aurait pas été d’une grande aide. Un jour, après qu’un des deux mutants se soit fait sévèrement battre par des camarades, Mercy alla le voir et pris sa bouteille d’eau ainsi qu’un mouchoir pour lui passer sur ses blessures. Elle s’excusa auprès de lui comme si elle l’avait frappé elle-même. Elle continua d’amener sa bouteille et des mouchoirs, quand elle pouvait des pansements pour aider ces deux pauvres mutants. Ils devinrent amis, mais les deux partirent du jour au lendemain sans la prévenir. Elle était alors la seule mutante dans son école.

Au collège, elle devenait de plus en plus douée avec son violoncelle, elle avait un talent certains. Ses parents étaient fièrent d’elle. Ils aimaient profondément leur fille. Elle était leur fierté. Elle avait des bonnes notes, des amis et à cette époque, sans doute un belle avenir s’annonçait. Un jour, elle fit une confidence à une de ses amies, étant toute les deux très proches, elle pensait pouvoir avoir confiance en elle. Elle lui avoua sa nature mutante. Le lendemain, quand elle arriva dans son collège, plus personne ne lui parlait. Quand elle s’approcha d’une de ses amies, cette dernière la repoussa en criant qu’elle n’avait pas besoin d’une horreur comme Mercy dans ses amis. En moins d’une journée, tout son collège fut au courant de la nature mutante de Mercy. Plus personne ne lui parlait, elle recevait de temps en temps des boules de papiers dans le visage, ce qui ne fait pas mal en temps normal, mais qui a un autre effet sur Mercy. Elle eu pendant une semaine le droit au même traitement que ses deux anciens amis mutants. Elle réussissait à esquiver la majorité des conflits musclés, voyant venir les brutes de loin ou les entendant parler de leurs idées farfelus.

En 2015, Mercy décida d’avouer à ses parents qu’elle était une mutante afin de changer d’école et de pouvoir cacher à nouveau sa nature et de vivre une vie normale. La réaction de ses parents ne fut certainement pas celle attendu. Ils la regardèrent si tristement en disant qu’ils trouveraient un moyen de la soigner, qu’ils trouveraient un moyen de la rendre normale. Mercy en fut choqué, elle leur dit d’abord doucement qu’elle n’était pas malade, qu’il y en avait d’autres comme elle, qu’elle veut juste vivre comme elle est. Ayant appris à vivre avec son pouvoir elle ne supporterait pas d’en être débarrassé. Une dispute éclata, Sa mère pleurait et son père criait contre Mercy qui répondait aussi violemment que lui. Quand il lui hurla qu’ils avaient priés pour qu’elle ne soit pas comme son frère et qu’elle les décevait, elle se stoppa net et alla dans sa chambre. Elle n’était pas parti pleurer, elle avait fermé la porte à clé, prit un sac à dos, mit la photo d’elle et de son frère dans son porte feuille presque vide et son casque sur les oreilles, ses lunettes de soleil dans la poche et son violoncelle sur le dos, elle sorti par la fenêtre de sa chambre qui se trouvait au rez-de-chaussée.

Mercy changea son prénom en Pearl et prit le nom de famille Sigvard. Elle marchait, faisait du covoiturage, jouait dans la rue du violoncelle pour gagner de quoi manger. Elle vivait au jour le jour. Pearl s’était décidée à chercher son frère jumeau. S’il était un mutant et qu’il a disparu, il doit y avoir une raison. Elle a «été dans plusieurs bibliothèques chercher des informations sur Thomas Johnson, mais rien à part un petit article dans le dossier des enfants disparu. Pearl cherchait comme elle pouvait, elle bougeait d’endroit, elle espérait croiser des mutants, peut être leurs demander si ils avaient croisé un jeune mutant ayant un air de famille avec elle. Elle se doutait bien que ce n’était pas la description la plus précise du monde, mais c’est tout ce qu’elle a, avec la photo d’eux à 4 ans.  

Au bout de 6 mois de recherches, Pearl n’avait croisé ni son frère, ni aucun autre mutant. Pourtant si il y avait des personnes à qui elle voulait parler, c’était bien eux. Un soir, dans la région de l’Ohio, Pearl ne trouva aucune personne pour l’héberger, aucun motel ou hôtel dans les environs. Seule une petite maison qu’on aurait dite en ruine de l’extérieur qui se trouvait sur le bord de la route lui paraissait pouvoir faire un abri pour la nuit. Quand elle y entra, elle ne s’attendait sans doute pas à trouver trois personnes enveloppés dans des couettes. Le plus incroyable était qu’eux qui avaient l’air de posséder si peu, était plus accueillant que la plus part des gens. Ils étaient des mutants adultes, sans travail à cause de leurs mutations. Ils passèrent une bonne parti de la nuit à discuter avec Pearl. Ils parlèrent de leurs situations, d’anecdotes idiotes pour rire et se détendre, ils abordèrent aussi rapidement quelques sujets sérieux. Pearl leur demanda si ils n’avaient pas vu un jeune homme d’exactement son âge, leur montra la photo des 4 ans et leur expliqua qui il était. L’homme le plus vieux, qui avait des airs de père noël protecteur, lui dit qu’il ne l’avait sans doute jamais croisé et que s’il l’avait croisé, il ne s’en souvient pas. Mais il prodigua un conseil à Pearl, il lui donna une adresse et lui dit que c’était un institut où beaucoup de mutant allaient et que si elle voulait une piste, elle ferait mieux d’y aller pour rencontrer des personnes qui pourraient sans doute mieux l’aider. Il lui a aussi dit qu’elle devrait penser à y rester pour faire des études comme une adolescente normale. Le lendemain, Elle leur dit au revoir et reparti sur sa route.

Suivant leur conseil, Pearl se dirigea vers l’Etat de New York en prenant le train, en faisant du covoiturage et en marchant pour enfin arriver dans l’école dites ‘ pour surdoués ‘. Quand Pearl arrive devant le portail, elle entre directement sans se poser de questions et entend les différents cours se dérouler. Une fois entrée dans le bâtiment, Pearl s’aperçu de la grandeur bâtiment. Elle chuchota « Eh beh, elle est grande cette maison. » . Elle se stoppa et écouta les différentes conversations et tomba sur celle d’apparemment M. Xavier, comme elle avait lu son nom à l’entrer, elle se dit que ce devait être le directeur. « Tornade, je crois que nous avons une invité » , dit-il. Pearl c’était avancé vers là où étaient les voix. Une femme à la chevelure blanche ouvrit la porte du bureau qui se trouvait là, et Pearl pu voir un homme en fauteuil roulant, le crâne chauve. Alors, tout devint silencieux un petit instant. Elle n’entendait plus qu’une voix dans sa tête qui lui dit « Bienvenu » . Pearl ne réussit qu’à articuler « Bonjour, je suis Pearl Sigvard et je suis une mutante qui cherche son frère jumeau, s’il vous plait, puis-je suivre vos cours ? » .

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