Nom et Prénom : Simon McDermott. Alias : Pas vraiment d'alias mais on m'a surnommé le Bulldog, toujours sur les nerfs, agressif (et pas très grand mais oublions cet aspect.), je ne lache jamais rien. Âge : 39 ans. Lieu de naissance & nationalité : Cork en Irlande, j'ai encore ma nationalité d'origine et vit en Amérique grâce à une carte de travail. Métier : Garde du corps de Largo Turner. Statut civil : Célibataire. Orientation sexuelle : Pansexuel. Particularités : Très bon combattant mais rien de surnaturel. Affiliation : Evil Neutral.

Avez-vous peur des Mutants ?  Peur? Non. Mais je ne peux pas les saquer, ce sont des monstres, des bêtes de foire. Ils sont un danger pour les humains normaux et lambdas comme moi. Je n'ai pas peur d'eux mais ils sont une menace pour notre société et notre monde. Je pense qu'on devrait se débarrasser d'eux et que tout le monde serait bien plus heureux ainsi, moi le premier.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Non et je les classe dans la même catégorie que les mutants après tout la plupart d'entre eux ont des pouvoirs. Ils sont eux aussi un danger pour notre monde, ils combattent les "méchants" mais je pense que ce sont eux qui les ont amené, c'est à cause d'eux que notre planète est en si grand danger. Ils se prennent tous pour des héros, des gens importants alors qu'ils ne sont que des anomalies. S'ils pouvaient récupérer leurs frères mutants et se jeter la tête la première dans le soleil...
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? (si votre personnage a choisi un camp) Je ne combats pas le crime, je ne fais pas le mal. En tout cas pour l'instant. Je me contrefiche de tous leurs conflits tant qu'ils ne me touchent pas, j'aurais facilement pu tomber chez les Watchers après ce qui est arrivé à ma fille mais au final je préfère faire cavalier seul et si quelqu'un de n'importe quel camp est blessé, ce ne sera pas par conviction politique mais pour raisons personnelles.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Très satisfait oui. Elle me permets de continuer à faire ce que j'aime et à utiliser mon expérience, je ne suis pas bloqué derrière un bureau 24/7. Mon patron n'est pas trop mal non plus. Les gens ne semblent pas franchement l’apprécier mais son caractère me plait bien même s'il est parfois agaçant et très exigeant, quitte à défendre quelqu'un autant que ce soit un homme comme lui. Surtout qu'il est tout à fait normal et pas l'un de ses monstres. Alors oui les activités d'Oscorp Industries ne sont pas du tout ma tasse de thé cependant, je me dis qu'ils finiront bien par trouver quelque chose pour éliminer toutes ces abominations.

La peur ? Non, on m’a soigné de ça depuis mon enfance. Enfin presque. Disons que mon père n’était pas le plus charmant des hommes. Et même s’il ne m’a jamais touché, il y a d’autres moyens d’abuser d’un enfant. Par les mots par exemple mais je suppose que ça m’a rendu comme je suis maintenant donc c’est positif. Par la peur aussi, la peur de me retrouver dans la cave, dans le noir avec des araignées grouillantes et grimpantes. Avec le temps, on repousse toutes les peurs pour survivre. Et c’est ce que j’ai fait, j’ai fini par ne plus en avoir rien à faire de mon père, du noir, de l’enfermement, de la faim. Les araignées sont restées par contre mais une seule peur pour un homme, disons que c’est déjà pas mal.

J'ai longtemps été gymnaste, de mon enfance à la fin de mes années de lycée et ce malgré les remarques désobligeantes de mes camarades et de ma famille qui se questionnaient sur ma sexualité et me donner des noms de filles. Je n’ai jamais eu de problèmes avec ma sexualité des que je l’ai découverte. Qu’importe le sexe de la personne vraiment, je ne vois pas en quoi cela concerne le plaisir ? Les noms de fille non plus, je n’ai jamais considéré qu’être une femme était synonyme de faible, la plupart sont même bien plus fortes que certains lâches de ma connaissance. Alors qu’on m’appelle Kate dans le but de me vexer ? Je ne voyais pas vraiment l’intérêt. Des années dans un gymnase et ma taille pas très imposante m’ont permis d’être assez flexible et agile et ce n’est pas un aspect négligeable de mes capacités.

Après le lycée, je me suis engagé dans l’armée, d’abord comme simple soldat parce que je voulais prendre mon indépendance et partir le plus loin possible de mon foyer. Mais j’avais un bon esprit de tacticien et j’ai réussi à me faire une place petit à petit. Et j’ai même fini par faire un entrainement pour devenir démineur. Le stress de désamorcer une bombe faisait pomper le sang dans mes veines, les poils se levaient sur mes bras, l’adrénaline me donnait une raison de continuer.

J’avais une fiancée à l’époque, que j’avais rencontrée pendant une permission. Une belle et charmante jeune fille du nom de Rose mais je l’ai quitté quand je suis entré dans mon commando sans savoir qu’elle était alors enceinte. Elle n’était plus qu’un poids réellement, j’avais trouvé mieux comme sentiment que l’amour et l’excitation. Je n’avais plus besoin d’elle. Ni de ma famille d’ailleurs, j’ai coupé tout contact avec eux. J’ai longtemps regretté d’avoir fait cela avec Rose, oh non pas pour elle mais pour ma fille, j’aurais aimé avoir eu beaucoup plus de temps avec elle.

J’étais bon dans ce que je faisais, je m’étais bien intégré dans mon commando et même si j’avais un peu de mal à suivre les ordres et à faire un travail d’équipe, je prenais sur moi. J’ai passé plus de dix ans à faire ça. Jusqu’au jour où nous sommes tombés dans un piège.  Beaucoup sont morts d’autres comme moi ont été capturé et torturé. Nous avons passé des mois enfermés, prêts à devenir fou. On nous demandait des informations, nous menaçant, nous affamant. Mais aucun de nous n’a parlé. Eux par patriotisme, moi par obstination. Je n’ai jamais vraiment eu de grands élans patriotiques mais je déteste qu’on essaye de me forcer la main. Nous avions, après tout, subit un entrainement intensif pour résister aux techniques de tortures. On est venus nous sauver et j’ai été rapatrié jusqu’en Irlande. Mais j’ai parfois encore des cauchemars et un tremblement assez significatif de ma main droite. Heureusement que je suis gaucher.

J’ai découvert l’existence de ma précieuse Anna alors que j’étais encore déployé. J’ai reçu une lettre de sa mère avec une photo, je sentais bien dans sa lettre qu’elle m’en voulait toujours mais elle voulait « faire table rase du passé » et être honnête alors elle m’a parlé de notre fille. Je n’ai jamais vraiment été capable de sentiments amoureux, l’amour en général m’était d’ailleurs plutôt inconnu cependant, après avoir eu ma fille dans mes bras pour la première fois lors  d’une permission j’ai compris ce qu’était ce sentiment. Elle a été et sera sans doute le seul être que j’ai jamais pu aimer. Sa mère avait déménagé aux Etats-Unis avec son nouveau mari quand j’ai fini ma carrière militaire alors j’ai suivi le mouvement en prenant des petits travails d’homme de sécurité dans les magasins.

Bien sûr, rien n’est jamais simple et on est souvent heureux que pendant une bref période de temps. Quand elle a eu 18ans, elle s’est enfuie de chez sa mère avec un jeune garçon de son lycée que j’avais soupçonné d’être un peu bizarre depuis quelques temps déjà. Après tout, on avait bien vu des mutants être révélé au monde l’année précédente et je ne voulais pas de l’un d’eux avec ma fille. J’étais tout de même beaucoup plus indulgent à l’époque, avant de me rendre compte du mal qu’ils pouvaient faire. Nous avions tous pris la nouvelle avec un choc profond, on n’avait après tout jamais pensé que de tels êtres pouvaient exister. Ils avaient été l’objet de fictions, rien de plus. Mais je m’égare, ma fille s’est donc enfuie avec ce jeune crétin et je suis parti la chercher pour la ramener à la maison.

Le crétin était, en effet, une de ses abominations et sans contrôle de lui-même qui plus est. Je n’ai jamais bien compris ce qu’il m’avait raconté. Il disait avoir paniqué et avoir perdu le contrôle, me répétant inlassablement qu’il n’avait pas fait exprès, qu’il n’avait rien pu contrôler mais le résultat était le même, ma fille était sur le sol de ce pauvre cabanon et elle ne se réveillerait jamais. J’avais toujours eu un problème avec ma colère et la situation n’a pas du tout aidé. J’ai bien failli tuer ce monstre, j’avais son sang sur mes poings et des gouttes sur le visage mais quelqu’un est arrivé et nous a séparés. Il s’en est bien sorti, trop bien sans doute. Je regrette encore à ce jour de n’avoir pas pu être celui qui a mis fin à sa vie mais il est mort quelques temps plus tard.

Je n’avais jamais eu un caractère très facile mais les choses ont empiré après ça, ma tête a commencé petit à petit à se remplir de sentiments négatifs et de haine. Ils sont tous responsable à leur manière, ils ont tous tué l’enfant, la sœur, la femme de quelqu’un par proxy. J’ai refusé de me laisser aller, je me suis battu et je suis resté droit mais je les déteste tous et si l’un d’eux tombe un jour entre mes mains…

J’ai continué mon travail après ça mais pas pour très longtemps. J’ai rencontré un homme très riche qui travaillait alors comme conseiller pour Oscorp Industries, j’ai fait quelques petits emplois pour lui avant qu’il ne me présente à son fils, il y a 4ans de cela. Ce dernier avait apparemment besoin d’un garde du corps après l’attaque chitauris qui avait eu lieu à New York. Largo Turner n’est pas forcément un homme facile à vivre mais nous partageons les mêmes idéaux sur ces abominations. Il est assez lâche mais je suis là pour éviter qu’il soit en danger après tout. En quatre ans de service, il n’a pas vraiment eu à se plaindre. Je suis parfois une forte tête et je dois l’exaspérer mais mon expérience a fait ses preuves. Quand on a essayé de l’abattre il y a un an, c’est ma rapidité qui lui a fait éviter une balle qui est venue se planter dans le mur derrière lui. Il s’est plaint de l’état de son costume après ça sans même me remercier toutefois je ne peux pas le blâmer, j’aurais sans doute fait pareil à sa place.

Les choses vont plutôt bien en ce moment. Mon travail me plait et me permet d’avoir un peu d’action. L’avantage d’avoir un patron que tout le monde déteste mais aussi du fait qu’on me sous-estime souvent aux premiers abords, voyant ma taille comme un désavantage quand j’en ai fait un atout pour être discret, précis et rapide. Mon problème reste toujours mon peu de contrôle sur ma colère, on m’agace très vite et cela me pousse à faire certaines erreurs que quelqu’un d’autre n’aurait pas fait. L’énervement me rend impulsif et me pousse à foncer sans regarder s’il y a un mur devant moi.

Je n’ai pas vraiment à me plaindre. Mais je sais que les choses risquent de rapidement changer. Les émeutes sont quelque peu inquiétantes mais je garderai Mr Turner loin du danger. Et je déconseille fortement aux créatures en tout genre de se retrouver du mauvais côté de mon pistolet.

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Romy/21/f Fréquence de connexion ; reguliere. Que pensez-vous du forum? ; Très sympa ! (sinon je ne serais pas la ) Comment l'avez-vous découvert ? Par Largo   Célébrité choisie ; Andrew Scott. Credits (avatar, icon etc.) ; moriarty.