Nom et Prénom : Eileen Waters Alias : Anewor, c’est le pseudo qu’elle utilise quand elle hack Âge : 25 ans Lieu de naissance & nationalité : Dublin, Irlandaise Métier : Hackeuse de manière non officielle mais se décide doucement à se trouver un mi-temps légal. Statut civil : Celibataire Orientation sexuelle : Hétéro Particularités : Change souvent de couleur de cheveux et puis, pourquoi choisir quand on peut en mettre plusieurs à la fois ? Elle possède aussi plusieurs tatouages dont un trèfle à quatre feuilles sur l’intérieur du poignet droit. Elle possède aussi le pouvoir de sa mère, transmit par son père, celui de lire et transmettre des pensées ainsi que de faire bouger des objets par la pensée.  Affiliation : Aucune pour le moment.

Avez-vous peur des Mutants ?  Est-ce que j’ai peur des mutants ? Très drôle. Pas plus qu’un abruti d’humain avec une arme entre les mains. Des fois j’ai l’impression que c’est typiquement humain de choisir une minorité sur laquelle il faut porter tous les malheurs de la terre. Si je devais avoir peur de quelque chose – et je ne dis pas que c’est le cas – ça serait des fanatiques, peu importe qu’ils soient mutants ou non. Je veux dire que… Enfin, voilà, le seul réel problème que j’ai eu, le truc vraiment flippant, ce n’était pas avec des mutants. Alors non, je n’ai pas peur des mutants sauf si c’est un abruti sans cervelle qui croit qu’il peut dominer le monde et jouer avec les vies des autres. Mais ce n’est pas une modification génétique ou autre qui procure la folie… Quoi que…  


Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? En réalité je n’en sais rien. Je ne suis même pas certaine qu’on puisse avoir assez de recul pour avoir une réponse à cette question. Ils font des choses bien, heureusement qu’ils étaient là à certains moments mais… Je n’arrête pas de me demander si on aurait eu besoin d’eux s’ils n’avaient pas été là. Je veux dire est-ce que, dans le fond, ce ne sont pas eux qui attirent tous les problèmes ? Je ne suis pas certaine qu’être là à exhiber ses pouvoirs soient une bonne chose. Je n’en sais rien. Des jours je trouve ça bien, d’autres je me dis que ce n’est pas une bonne idée. Je n’ai jamais vraiment su me positionner sur cette question. La seule chose à faire c’est de faire avec maintenant, on ne va pas revenir en arrière. Par contre, ils devraient franchement changer de style vestimentaire. Enfin je ne sais pas, les collants et tout c’était peut-être à la mode dans les années 80 mais les choses ont évolué quand même, non ? Parce que je ne sais pas si c’est une bonne chose ou non mais, sérieux, ils piquent les yeux quand même !


Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? La découverte de mes pouvoirs a été un évènement assez contradictoire en réalité. Je n’en voulais pas parce qu’ils étaient douloureux. Trop de pensée en même temps dans la tête, l’impossibilité d’en faire le tri ou même de savoir ce que je pensais réellement. C’est déjà compliqué de penser par soi-même quand vous êtes jeune mais quand, en plus, vous avez les pensées des autres. Un vrai cauchemar. C’est souvent que, durant la nuit, les objets dans ma chambre se retrouvaient dans tous les sens parce que je ne comprenais rien et que je ne contrôlais rien. Mais quand mon père a voulu me les prendre pour m’éviter ça, j’ai vite compris que je les voulais. Pas que j’avais envie de me sentir différente ou supérieure mais c’était ceux de ma mère, son héritage. C’est ce qui me rapproche d’elle d’une certaine manière et c’est largement suffisant pour vouloir les garder. Heureusement que mon père était là, à les reprendre quand les choses devenaient trop compliquées à gérer et qu’il a pu m’aider à les maitriser.
Au final je n’en parle jamais, personne ne le sait et ça me convient bien. Sauf mon père et mon parrain, évidemment. Mais je pars du principe que les pensées des gens doivent rester leurs pensées et que je n’ai pas à interférer là-dedans. Je ne m’en sers qu’en cas de réelle nécessité ou… Disons qu’il m’arrive parfois de perdre le contrôle et ce ne sont pas les moments que je préfère.


Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? Ben vous savez, il y a des parents qui refilent une maison en héritage ? Pour moi, c’était le pouvoir de ma mère. Mon père avait conservé cela de ma mère, grâce à son pouvoir à lui, et un jour il a estimé que ça me revenait. Je le tiens donc d’une sorte d’action commune entre mon père et ma mère et, très franchement, il a eu raison de faire cela. C’est important pour moi d’avoir quelque chose d’elle, c’est une façon de m’en sentir proche alors que je ne l’ai pas assez connu. Comme tous les héritages, il y a des bons et des mauvais côtés mais ça fait partie de nous et il est hors de question de le refuser.


Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? Le truc avec les fausses identités c’est que les gens s’attendent à une histoire de super-héros, le bon gars qui se balade avec ses collants moulants la nuit et en costard cravate la journée. Ma fausse identité n’est pas dans ce genre-là, elle est… Disons qu’elle est pixélisée. J’ai été attiré par les ordinateurs assez jeune, l’âge où on trifouille à tout pour découvrir des choses. Au fil du temps, disons que je suis devenue plutôt douée dans ce domaine. Et, de fil en aiguille, est venu un pseudo. Au début c’était juste une signature informatique, une façon de marquer mes « œuvres », une signature qui est devenu un nom et, finalement, une sorte d’autre personne. Anewor, ce pseudo utilisé dès qu’il s’agit de hacker, fait donc partit de ma vie sans que je n’en parle autour de moi. Je n’ai pas tellement envie de m’infiltrer dans un système pour en voir les personnes concernées se pointer à ma porte. Bien sûr, mon père est au courant, comment je pourrais lui cacher quelque chose ? Et si quelqu’un se pose la question, ce pseudo n’est pas si étrange, c’est seulement le prénom de ma mère à l’envers.
Bref, pour ce qui est de cacher cette sorte d’identité disons que, quand on me voit, j’ai juste l’air d’être une débile avec la technologie et que j’essaye autant que possible de protéger mes arrières quand j’essaye de m’incruster dans un système.


Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Je crois qu’aux yeux du monde je suis une sorte de looseuse. Vous savez la fille un peu bizarre qui se met plein de couleurs dans les cheveux et qui ne fait rien de sa vie. Parce que, officiellement, c’est tout à fait ça : je ne fais rien. Hacker ce n’est pas vraiment ce qu’on affiche en premier lors d’un premier rencard –en même temps, je n’en ai pas… des rencards. Alors même si je ne peux pas en parler, oui, mon boulot me convient parfaitement. J’adore me prendre le chou à essayer d’infiltrer un système, de trouver un moyen de contourner des protections mises en place et de laisser une jolie carte de visite informatique lors de mon passage. Après tout, je n’ai que 25 ans, faut bien que je me fasse mousser un peu de temps en temps. Cela dit, il serait peut-être temps que je trouve un boulot légal, un mi-temps, un truc pour donner le change. Mais sérieux, les horaires imposés ce n’est pas mon truc, comment je fais pour garder un œil sur mon père si je suis bloquée au travail ? Beurk.

Qu’est-ce qu’elle foutait dans un pays comme les États-Unis ? La question revenait souvent, même si elle en avait la réponse. Mais c’était quand même le pays où on offrait un fusil à pompe rose à une gamine de 10 ans pour son anniversaire. Le pays où l’on avait un accent HO-RRI-BLE… Bon, Ok, celui d’Eileen était bien pire mais, ça, elle ne risquait pas de l’avouer. Le pays où l’on se vantait de jouer à un sport où des types se couraient dessus avant qu’on n’arrête le jeu sans raison : il n’y a pas à dire, le Rugby, y a que ça de vrai ! Les États-Unis c’était le pays où des types se trimballaient la nuit en collant sous couvert d’une fausse identité, le pays où… La liste des reproches à faire était bien trop longue. Qu’on se le dise, Eileen Waters était une Irlandaise, vivre ici ne changeait absolument rien. Dublin était sa ville, l’Irlande son pays, ses ongles verts et son trèfle à quatre feuilles tatoué pouvaient en témoigner. Autant dire qu’avant d’être ici, elle n’aurait jamais imaginé vivre dans ce pays mais, les choses changeaient, la vie évoluait et pour comprendre son arrivée ici, il fallait remonter au début de son histoire.

Eileen a vu le jour à Dublin – ça, on avait commencé à le comprendre –, pas vraiment dans les meilleurs quartiers. Cela dit on se fiche bien du milieu dans lequel elle a pu naitre, l’important c’était d’avoir des parents aimants. Oui, oui, ce genre d’histoire existe encore. D’accord son père, Shane, n’était pas le type le plus droit qui puisse exister mais personne n’est parfait. Aux yeux de la petite, il l’était et c’était bien là l’essentiel. Pour ce qui est de sa mère, là, on arrive au problème : Eileen ne l’a jamais réellement connu. Sa mère est morte alors qu’elle n’avait que deux ans et il est difficile de conserver des souvenirs qui remontent aussi loin. Les circonstances de cette mort est un peu une énigme pour elle, en tout temps, Eileen n’a jamais vraiment voulu pousser son père à en parler de peur de raviver de mauvais souvenir.

Ses premiers souvenirs – les siens, à elle – remontent donc à une période où il n’y avait que son père et elle. Oh, et aussi Joseph, son parrain. De sa toute petite enfance, elle ne se rappelle pas de grand-chose mais elle garde surtout en mémoire les instants où elle jouait les infirmières novices. Pas plus haute que trois pommes, elle était là, avec des pansements énormes à couvrir les blessures de son père. Le pauvre ressemblait plus à une momie après le passage de sa fille, sans parler du fait qu’elle avait toujours été un peu gauche à des moments et qu’elle devait surement lui avoir fait plus mal qu’autre chose à certains moments. Elle ne sait jamais sentie malheureuse durant cette période, parfois elle était triste de ne pas avoir un père et une mère comme tout le monde mais, jamais malheureuse. Shane ne rentrait peut-être pas dans les critères d’un bon père mais, de toute évidence, il l’était pour elle.

Ses premiers désaccords elle les connu à l’école. Vous savez ce truc avec plein de gamins qui posent toujours des questions à la con : et tes parents ils font quoi comme travail ? Mon père, il est tellement doué qu’il sait tout faire, c’est même pour ça qu’il change toujours de métier ! Elle ne répondait jamais quand on lui posait des questions sur sa mère, essentiellement parce qu’elle ne savait pas quoi dire. Et si on avait le malheur de critiquer son père, elle inventait un tas d’histoires sur le fait qu’il était une sorte d’espion et qui si on ne retirait pas ce qui avait été dit, il viendrait se venger dans la nuit. Ok, ce n’était pas un espion mais elle était jeune et, franchement, il fallait bien qu’elle invente des histoires crédibles pour les blessures qu’il avait en rentrant tard. Trop jeune encore pour comprendre que son père faisait des combats pour ramener de l’argent.

C’était de famille d’apprendre à se débrouiller assez vite. Son père l’avait fait avant elle en faisant des trucs pas très clairs, Eileen, de son côté, c’était en réfléchissant. Chacun son truc. Du coup elle comprit assez rapidement que ses demandes de jouets, ou autres, se résultaient souvent par un père revenant blessé. Ce qui lui apprit assez rapidement à ne pas être trop exigeante parce que, définitivement, il avait beaucoup de mal à dire non à sa petite fille.

Tout peut être source de problèmes vitaux quand on est petite : pas de nouveaux vêtements pour sa Barbie, une barrette à cheveux qui est rose au lieu d’être violette,  un feutre qui ne fonctionne plus, pire, plus de papier pour dessiner ! Voilà c’étaient les problèmes qu’elle avait au quotidien avant que son père ne débarque avec l’héritage de sa mère. Hey ouais les gens, vous avez le dernier cartable Pokémon pour vos huit ans, et bien Eileen, elle avait le pouvoir de sa mère. Une transmission qui s’est déroulée en trois phases. La première a été une sorte d’euphorie. Trop génial, elle allait avoir de super-pouvoirs – avec ça, à elle toutes les billes de la cour de récréation. Puis après ce fut la descente aux enfers : punaise c’est quoi ce bordel ! Elle se retrouvait avec un foutoir pas possible dans le cerveau. Alors déjà que c’était compliqué pour elle de penser par elle-même mais c’était encore plus dur quand elle se tapait les pensées des autres, sans parler des objets qui volaient partout dans la pièce quand elle fondait une durite. Et puis, la troisième phase fut quand son père lui proposa de reprendre son pouvoir. Franchement elle avait envie de dire oui, parce qu’elle n’arrivait à rien avec mais… Mais c’était l’héritage de sa mère et il était hors de question qu’elle s’en sépare. Il faut comprendre que ce pouvoir lui avait apporté autre chose qu’un simple héritage : des souvenirs. D’accord ce n’était pas les siens mais ceux qu’elle avait malencontreusement tirés ici et là dans l’esprit de son père. Pour la première fois elle avait eu une image de cette mère dont elle n’avait aucun souvenir, elle lui devait bien de s’accrocher et de garder ce pouvoir aussi handicapant soit-il. Heureusement Shane, ce père qui avait toujours été présent, l’aida en lui apprenant à s’en servir mais surtout en lui prenant quand les choses devenaient trop compliquées.

Eileen continua de grandir, d’apprendre sur son pouvoir avec son père mais elle avait aussi besoin d’autres réponses et quoi de mieux qu’internet pour cela ? Ça avait commencé de cette manière, juste des petites recherches ici et là et, rapidement, elle voulut accéder à des vraies informations, des plus fiables.  Avec Josh, un gars qui était avec elle en cours, elle avait commencé à apprendre un peu plus sur le codage et, de fil en aiguille, ils avaient commencé à hacker doucement des petites choses sans importance. C’était quand même plus simple d’accéder à des informations quand elles étaient protégées et cryptées. Une particularité qui fut bien utile à son père et à ses petites affaires même si, ce n’était pas grand-chose à cette période. C’est peut-être pour cette raison – ou parce qu’il était trop protecteur – qu’il décida de l’initier au maniement des armes à feu et des couteaux, pour qu’elle puisse se défendre en cas de problème. Ok, filer un couteau dans les mains d’une fille capable de casser trois verres dans la journée n’était peut-être pas l’idée du siècle mais, elle se montrait appliquée : il ne faut jamais décevoir papa.

Les années passèrent et les choses se passaient plutôt bien. Eileen avait assez augmenté son niveau sur un ordinateur pour se créer une signature quand elle arriva à hacker un système, suivi d’un pseudo. Hors de question de ne pas signer ses œuvres ! Son nom, en tant qu’Hackeuse, était devenu très vite apparu comme une évidence : Anewor. Inversez les lettres et vous aurez très vite le prénom de sa mère. Bref les choses étaient très bien comme elles étaient. On parlait des mutants mais elle ne se sentait pas inquiétée parce qu’elle ne se servait pas de son pouvoir. C’était une sorte de principe : ne l’utiliser qu’en cas d’extrême nécessité. Cela dit, toutes ces histoires l’intéressaient, sans vraiment trop savoir pourquoi. Non, définitivement, elle ne sentait pas danger. C’est surement ce qui l’a rendue imprudente ou peut-être que c’était juste ce qui devait lui arriver. Eileen avait fini par se faire enlever, à cause de sa condition, pas assez humaine au goût de certains ?  C’était le moment de mettre en pratique ce que son père lui avait appris : se défendre. Mais en fait, elle ne fit rien. Eileen était juste flippée et la meilleure chose qu’elle avait à faire était de croire en son père qui, de toute façon, la retrouverait puisqu’il avait promis de ne jamais la laisser tomber.

Bien sûr il était venu mais elle évitait de penser à tout ce qu’il avait dû faire pour arriver jusqu’à elle. Fallait voir l’état dans lequel il était quand il s’était retrouvé devant elle. Peut-être qu’elle aurait dû être terrifiée par tout ça mais, en réalité, tout ce qu’elle comprenait c’est qu’il ferait n’importe quoi pour elle. Ok, elle le savait déjà mais entre le savoir et avoir la preuve, il y avait quand même une foutue différence. Bizarrement le seul sentiment que ça lui laissait vraiment c’était, qu’en réalité, c’était un peu son père et elle contre le reste du monde. Eux deux et une illustre inconnue mais, son père avait confiance en elle alors c’était bien suffisant pour Eileen qui, de toute façon, lui était redevable.    

Bref voilà comme elle s’était retrouvée dans ce pays de fous furieux. Son père voulait la protéger. Dans le fond, elle voulait la même chose alors elle n’avait pas opposé de grandes résistances à ce départ. Puis le pays était différent mais leurs petites affaires ne l’étaient pas tellement, elle continuait de jouer avec un ordinateur, encore plus quand ça pouvait aider son père dans ses affaires. Cela dit, il y a vraiment des systèmes qu’elle voudrait bien réussir à hacker, peut-être qu’elle finira par y arriver un jour. 

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Wahou, ça fait beaucoup de questions d’un coup. Hmm. Elya, 28, F. Fréquence de connexion ; Euh, franchement ça dépend. Pas d’horaire fixe, du coup, c’est compliqué de prévoir mais aussi souvent que possible. Que pensez-vous du forum? ; Là tout de suite ? Qu’il parait très bien et qu’il n’y a pas de raison de ne pas s’inscrire. Comment l'avez-vous découvert ? Je crois que c'est par bazzart (je ne sais plus, j'ai trop fait pas mal de site)   Célébrité choisie ; CHLOÉ NORGAARD Credits (avatar, icon etc.) ; répondre ici.