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JEMMA! ” Julian envoie son poing avant même de réfléchir et l'homme — Leopold Fitz — est envoyé en arrière avec une gerbe artistique de sang. L'instant suivant, Arlington est sur lui et s'empare de son visage entre ses mains. Il a le visage en sang, le nez cassé, une expression horrifiée sur les traits; mais Julian repousse toutes ces visions d'horreur pour le forcer à le regarder dans les yeux. “ Pas un mot, grince-t-il entre ses dents, ou le prochain coup est pour elle. ” Le scientifique ouvre la bouche pour dire quelque chose, mais se retient au dernier moment. Avec un froncement de sourcils, Julian le remet debout et l'assied sur l'une des deux chaises qu'il a planté au milieu de son appartemment. Sur l'autre, la chimiste — Jemma Simmons — est baillonnée, attachée au dossier et aux bras de la chaise, l'air horrifiée. Julian ne lui adresse pas un regard en réservant à Fitz le même traitement qu'à Simmons, allant même jusqu'à serrer un peu plus les liens au niveau des poings serrés de l'homme. Le bâillon vient en dernier. Le visage de l'écossais — son accent ne trompe rien ni personne — est fermé, déterminé, et ses yeux lancent des éclairs.
Julian se détourne, retourne sur le fauteuil qu'il a installé en face des deux chaises et ouvre le sac à dos de l'écossais. Il en sort des dossiers, une tablette, un ordinateur et des prototypes sans forme précise qu'il ne comprend pas. Il feuillette rapidement les dossiers puis les répand négligemment sur le sol, allant même jusqu'à retourner le sac à dos pour s'assurer qu'il est vide. Ensuite, il s'occupe du sac à mains de Simmons: même traitements, dossiers sur le sol, téléphones dépecés et cartes SIM écrasées entre deux doigts, tout appareil pouvant se connecter à appareil détruit. En fouillant Fitz, il a trouvé un revolver qu'il garde fermement dans sa main.

Julian se passe une main sur le visage, dans les cheveux. Ses doigts se serrent, ses ongles deviennent griffes sur son crâne. La douleur l'ancre dans la réalité. La douleur lui rappelle qu'il se trouve ici — ici et maintenant, en vie, en vie. Il ne doit pas se laisser déconcentrer. Il a incroyablement chaud: sa chemise lui colle à la peau, son visage est baigné de sueur, son sang trop chaud et trop rapide bat à ses tempes. Il est même tremblant, le bout de ses doigts agités frissons et de fourmillements impossibles à réprimer.
Heureusement, l'arme sur son visage est froide. Elle le refroidit un peu. Julian fait glisser le bout du revolver le long de son nez, ferme les yeux. Il est ici. Il est en vie. Il doit se concentrer sur l'instant présent.
Il rouvre les yeux pour regarder les deux scientifiques du S.H.I.E.L.D., puis se lève pour aller chercher les dossiers qu'il a récolté grâce à Dylan Blackstone. Il dépose les impressions sur les genoux de Jemma Simmons. “ Voici un parchemin d'origine alien détenu par le S.H.I.E.L.D. Voici une photo récupérée par monsieur Fitz sur votre téléphone portable. La photo a été prise il y a un peu moins d'un an, ” indique-t-il très factuel, déposant des duplicatas sur les genoux de Leopold Fitz. “ Où avez-vous pris ces photos? Que savez-vous sur ce parchemin et sur ces signes? Seriez-vous capable de les traduire? Savez-vous à quoi ils font référence? ” Julian la regarde d'un air prudent. “ Je vous préviens. Si vous essayez de crier ou de faire quoique ce soit, je vais le frapper à nouveau. Il désigne Fitz. Je ne le ferai pas de bon coeur mais je le ferai. Sans me retenir. ” À ce stade, ils savent déjà qu'il possède une force herculéenne. Après tout, il est venu chercher Jemma chez elle et quand elle s'est réfugiée dans sa chambre pour lui échapper, il a littéralement envoyé sa main à travers la porte pour lui attraper le bras. “ Soyez prudente, mademoiselle Simmons. ” Et sur ces mots, il lui retire son bâillon.
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Jemma ferme les yeux. Le bruit du nez de Fitz qui se brise lui arrache une grimace d'horreur, elle a déjà des larmes qui perlent au coin des yeux, ne peut pas regarder, ne peut pas supporter. Elle a beau tirer sur les liens, rien n'y fait, elle est coincée sur cette chaise. Les tissu rugueux des ficelles a déjà légèrement entaillé ses poignets et le bâillon coincé entre ses dents étouffe des cris de fureur, de désespoir, de peur. Un peu tout en même temps. « Pas un mot, entend-t-elle leur agresseur dire ou le prochain coup est pour elle. » Elle ferme un peu plus les yeux, plus fort, presque comme si elle allait pouvoir se réveiller et découvrir que ce n'est qu'un cauchemar. Mais non, tout est bien là. Quand elle rouvre les yeux, l'homme force Fitz à s'asseoir sur la chaise adjacente à la sienne, et et lance des regards inquiets et humides à son partenaire de toujours. Son visage est strié de sang, et c'est l'une des visions les plus horrifiantes qu'elle ait jamais eu à supporter. Mais le visage de Fitz reste immobile, fermé, et elle a l'impression qu'il s'en sort finalement beaucoup mieux qu'elle, là tout de suite. La scène lui reste derrière les paupières, le bruit des os qui se brisent lui résonnent encore aux oreilles. Tout est arrivé si vite. Les deux scientifiques observent, incapables de bouger ou de dire quoi que ce soit, leur agresseur commencer à fouiller leurs affaires. Le sac de Fitz est ouvert devant lui, il commence à en sortir tout ce sur quoi il peut mettre la main. Elle reconnaît l'écriture de l'ingénieur sur les feuilles blanches, les gribouillages. Il y a des prototypes, aussi. Son ordinateur, une tablette, tant de choses qu'elle assimile immédiatement à lui, quand elle les voit. Leur agresseur ne prend soin de rien, et elle serre un peu plus le bâillon entre ses dents quand elle le voit laisser tomber sans la moindre gêne et avec fracas l'un des prototypes sur le sol. Mais elle ne fait rien. Ne dit rien. Il a toujours le revolver dans la main quand il commence à fouiller son sac à elle. Ça lui tord presque moins le cœur que de voir le sac de Fitz complètement renversé. Dans son sac à elle il n'y a rien de précieux, rien qui lui soit cher. Tout ce qui compte pour elle est dans sa chambre, dans son appartement, et à part son téléphone et quelques dossiers sensibles de Stark Industries, il ne trouvera rien qui puisse l'intéresser. Jemma ne peut s'empêcher de fixer l'homme qui les retient prisonnier. Il tremble un peu, semble instable, complètement instable. Pas vraiment sûr de ce qu'il fait, parfois, à en juger par ses gestes. Mais elle sait qu'aucune équipe d'extraction ne viendra à leur secours, et ils ne peuvent décemment pas à eux seuls venir à bout de cet homme qui semble particulièrement fort.

Elle jette un coup d'oeil à Fitz. Il a toujours ce sang sur le visage qui la fait tressaillir. Son cœur se bat dans sa poitrine, elle donnerait tout pour être May ou Bobbi, là tout de suite. Elle s'en veut de ne pas être à la hauteur, de ne pas être capable de les sauver. Il lui semble qu'une éternité est passée quand l'agresseur repose enfin les yeux sur eux et vient déposer des images sur ses genoux. « Voici un parchemin d'origine alien détenu par le S.H.I.E.L.D. Voici une photo récupérée par monsieur Fitz sur votre téléphone portable. La photo a été prise il y a un peu moins d'un an, » Jemma fronce les sourcils. Fitz a donc réussi à récupérer les documents de son téléphone. Ses yeux s'entrouvrent, surpris, et elle lève les yeux vers Leo. Il a vu tout ce qu'elle a dit et fait. Il est peut-être mieux informé qu'elle ne l'est elle-même. Il a tout vu. Leur agresseur pose les mêmes photos sur les genoux de Fitz. « Où avez-vous pris ces photos? Que savez-vous sur ce parchemin et sur ces signes? Seriez-vous capable de les traduire? Savez-vous à quoi ils font référence? » demande l'homme, d'un ton monotone. « Je vous préviens. Si vous essayez de crier ou de faire quoique ce soit, je vais le frapper à nouveau. » menace-t-il, et elle lève des yeux noirs vers lui. « Je ne le ferai pas de bon cœur mais je le ferai. Sans me retenir. » La poitrine de Jemma se lève et s'affaisse un peu trop vite, il y a cette colère sourde en elle qu'elle n'arrive pas à tarir. Mais elle doit garder son sang-froid. Elle pense à May. May garderait son sang-froid. « Soyez prudente, mademoiselle Simmons. » prévient-il, toujours aussi menaçant mais toujours avec cette sueur sur le front. Il est fragile, elle ne peut pas se permettre de jouer avec quelqu'un d'aussi instable. Elle échange un regard avec Fitz tandis qu'il lui retire son bâillon. Elle prend deux longues expirations avant de même penser à ce qu'elle va répondre. Sa mâchoire lui fait mal tant elle a mordu le tissu entre ses dents. « Je ne sais rien. Je vous l'ai déjà dit tout à l'heure. » dit-elle d'une voix un peu chevrotante qu'elle veut pourtant confiante. « Nous avons les mêmes questions que vous et nous cherchons les mêmes réponses, nous n'avons même pas eu le temps de travailler sur ces documents! » fait-elle. Nous. Elle a parlé machinalement, comme si un nous existait encore. Comme s'ils avaient été capturés ensemble, alors qu'ils travaillaient ensemble, en vraie symbiose comme avant. « Tout ce que nous savons, c'est que tout ça appartient au monde alien. Nous ne sommes pas plus avancés que ça. » C'est un semi-mensonge. Elle ne parle pas du monolithe. Pas de la planète. À quoi bon ? Elle n'a rien à en dire, elle ne se souvient de strictement rien.
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La douleur dans son nez est terrible, celle dans son coeur est déchirante. Il ne peut pas regarder Simmons. Si il regarde Simmons, il va se mettre à paniquer, à hurler et à pleurer. Il sent le sang couler de son nez, l'os qui lui fait mal à chaque fois qu'il bouge un peu la tête mais il ne dit rien, il ne fait rien, ferme les poings et contemple l'homme — le monstre — qui se trouve en face d'eux. Il est grand, un peu plus âgé qu'eux deux sans doute et il a cette lueur dans le regard... le genre de lueur que Fitz n'a vu que chez les monstres. Mais il y a autre chose, aussi, dans ce regard. Un voile incompréhensible, sur ses yeux, comme si il agissait sans vraiment réfléchir, sans vraiment se contrôler. Un prédateur réduit à ses instincts.
Mais Fitz n'est pas là pour faire son apologie. Il se tend brusquement sur la chaise quand l'autre fait mine de s'approcher de Simmons, le siège grince et Fitz étouffe un grognement de menace dans le bâillon qu'on a passé entre ses dents. Son coeur bat trop vite, le sang aussi dans ses oreilles, et il doit se concentrer pour museler sa rage et écouter. Il pose des questions sur un... parchemin? Il dépose des photos sur les genoux de Simmons, puis sur les siens. Oui, il reconnait les photos prises par l'appareil de Jemma — les autres, il ne les a jamais vues mais il se doute que ce sont les mêmes symboles. (Il ne pense qu'à ça. Qu'aux symboles. Pas aux autres trucs sur le téléphone de Jemma.)
L'homme menace encore une fois Fitz mais celui-ci ne bouge pas. Il observe les documents. Il doit se concentrer. Il doit trouver des réponses ou faire gagner du temps. L'homme est venu le chercher directement chez lui, alors qu'il venait à peine de passer la porte — réglé comme une putain d'alarme — et Fitz n'a pas eu le temps d'envoyer un message d'urgence au S.H.I.E.L.D. Mais peut-être- - à quoi s'attend-t-il réellement? Il a vu l'homme détruire tous les appareils électroniques sous leurs yeux. Personne ne va venir pour les sauver.

« Je ne sais rien. Je vous l'ai déjà dit tout à l'heure. Nous avons les mêmes questions que vous et nous cherchons les mêmes réponses, nous n'avons même pas eu le temps de travailler sur ces documents! » Nous. Ce n'est certainement pas le bon moment mais Fitz note le nous et quand son coeur fait un bond dans sa poitrine, ce n'est pas vraiment de la peur ou de la colère ou de l'angoisse. Machinalement, il tourne le visage vers Jemma et la regarde. Il pensait avoir mal au coeur en la regardant — c'est un peu le cas: elle a l'air si fragile et nerveuse et délicate, si belle aussi — mais en fait, ça ne fait que renforcer sa détermination froide de la sauver d'ici. Coûte que coûte. « Tout ce que nous savons, c'est que tout ça appartient au monde alien. Nous ne sommes pas plus avancés que ça. » Fitz voit les yeux de l'homme se plisser. “ Un monde alien? ” dit-il, sceptique. Fitz s'énerve sur son bâillon, grogne sous a respiration jusqu'à ce qu'on lui permette de parler en lui arrachant sèchement le morceau de tissu. “ Vous étiez à New York y'a quatre ans? ” crache-t-il avec verve. Les yeux de l'homme se plissent plus encore et Fitz voit la colère flamber, difficilement fouettée et muselée. “ Comment est-ce que vous êtes tombée sur des photos d'un monde alien? ” dit-il en se retournant vers Jemma et Fitz grogne une nouvelle fois pour attirer son attention. “ Simmons a été- Simmons a été avalée par une pierre extra-terrestre. Nous pensons que cette pierre- cette pierre était un portail pour un autre monde habitable par l'homme. Elle y est restée pendant des mois. ” L'homme se tourne vers elle, ouvre la bouche, mais Fitz reprend: “ elle ne s'en souvient pas.
L'amnésie. Utile, pratique amnésie. Fitz sait, rationellement, qu'elle a été sincère: elle ne se souvient de rien, si ce n'est d'éclats, de moments, de souvenirs. Elle ne doit même pas savoir ce qui se trouvait sur son téléphone. Fitz, lui, sait. Les vidéos. Les photos. Lui. “ C'est moi qui ai récupéré les données de son téléphone. Elle ne sait rien. Re-relâchez-la. ” L'homme le regarde longuement sans rien dire. “ Mais elle vous aide tant à parler, ” dt-il, un rien sarcastique, et Fitz serre les dents pour ne pas hurler.

Fitz baisse les yeux sur les photos sur ses genoux. “ J'n'y vois rien. Si vous voulez que je vous aide, détachez-moi. Je peux vous aider à déchiffrer ce parchemin en comparant ce qu'il y a et ce qu'on sait déjà... Où avez-vous trouvé ce document?Dans la base de données du S.H.I.E.L.D., souffle l'homme après une hésitation, se rapprochant de lui et s'écartant de Jemma au grand soulagement de Fitz. — Comment? Avec un mot clef. Pi-pierre de l'Infini. Fitz arque les sourcils. — Si y'a un mot-clef ça veut dire que le document a été classifié, donc que son sens a été compris, donc que le déchiffrement a déjà été commencé. Si vous avez les données, je peux reprendre à partir de là. Évidemment, ce sera plus simple avec un ordinateur mais bon... ” L'homme reste longuement silencieux. “ Sinon vous pouvez continuer cet interrogatoire inutile avec cette mise en scène minable, ” propose Fitz, acide. Avec un grognement, l'homme s'approche et défait les liens qui lui enserrent les poignets.

Fitz attend qu'il se recule un peu. “ Mais est-ce- - ” commence-t-il mais déjà le jeune homme lui fonce dessus de toutes ses forces, se propulsant littéralement de sa chaise la tête la première pour lui faire perdre l'équilibre. La surprise, et la force de l'impact, font perdre l'équilibre à l'homme qui tombe en arrière dans un cri de stupeur. Fitz veut secourir Jemma. Il veut la détacher et qu'ils s'enfuient ensemble. Mais ils savent tous les deux qu'ils sont trop proches, que l'homme est trop proche et qu'il l'arrêtera en moins de deux. Sa meilleure chance est de s'enfuir et d'appeler du secours et redevenir avec. Pendant un instant, alors que l'homme est parterre et que Fitz se précipite pour récupérer le revolver qu'il a laissé tomber parterre, le scientifique jette un regard en coin à Jemma, et elle lui rend son regard. Un peu de stupeur. Un peu de peur. Beaucoup d'espoir. Quelque chose d'autre, aussi.
Fitz récupère le flingue et se retourne pour faire face à l'homme qui s'est relevé, l'air de mauvais poil. Lui est toujours à terre, tremblant, le visage en sang — celui se répand dans sa bouche, dans sa gorge, c'est horrible — mais il le vise d'une main sûre. Ce n'est pas un ICER qu'il a dans la main mais un vrai revolver, avec des vraies balles. La plupart des agents du S.H.I.E.L.D. ont récupéré des armes létales après les attentats. Au cas où, dit-on. “ Ne bougez pas ou je tire! s'entend-t-il hurler sans le contrôler. L'homme fait un pas. Je n'hésiterai pas! Mauvaise idée... A-arrêtez-vous! Mettez les mains en l'air et- - ” Il fait un pas de plus et machinalement, Fitz tire.
La balle s'enfonce dans son épaule et l'homme grogne de douleur, fait un pas en arrière sous le choc. Un pas en arrière. Puis il en refait un en avant et l'instant suivant, Fitz se débat comme il peut mais l'homme lui arrache l'arme des mains comme si il n'avait aucune force, l'attrape par le col et arme le poing pour le frapper. Mais il suspend son mouvement. Lentement, son visage se tourne vers Jemma, toujours attachée sur la chaise. Fitz voit le doute dans ses yeux, si proches des siens maintenant. Le doute. “ Ne la touchez pas, ” murmure-t-il — murmure qui se transforme en couinement quand l'homme tourne les yeux vers lui à nouveau. Il baisse lentement le poing. “ Déchiffrez le document, ” crache-t-il, envoyant Fitz valser parterre sans douceur. Il étouffe un gémissement de douleur quand son crâne percute le sol mais s'empresse de se carapater pour récupérer les photos qu'il a déposé sur son genou quelques secondes plus tôt. “ J'ai besoin de son aide, ” lâche-t-il pathétiquement au bout d'un moment. L'homme hésite. “ Nous- on- - ” L'homme ne le laisse pas finir. “ Silence, ” siffle-t-il et simplement, il détache Simmons et la pousse sans douceur en direction de Fitz. “ Au moindre mouvement suspect, je vous tire dans les jambes, ” entend Fitz dans son dos, avant d'entendre le grincement d'une chaise quand l'homme s'asseoit, l'arme à coup sûre pointée sur eux.

Sauf si c'est Fitz qui a son arme sur la crosse, le revolver ne tirera jamais une balle. Mais l'homme a déjà prouvé qu'il était une arme vivante. Ils n'ont aucune chance de s'en sortir. Jemma le rejoint et il s'assied en tailleur parterre, répartissant les photos devant eux. Sans la regarder, alors qu'il sait que l'homme ne le verra pas faire, il prend les doigts de Jemma dans les siens et les presse doucement, oubliant le conflit, l'horreur, l'envie de prendre ses distances, le besoin de prendre ses distances, et le reste. Il presse juste ses doigts, pour la rassurer et pour se rassurer aussi un peu. “ Ça ira, ” murmure-t-il dans un souffle qui n'est destiné qu'à elle, que l'autre homme peut entendre mais ne comprendra jamais. “ On va- on va y arriver. For old time's sake. ” Sourire timide. Maladroit. Branlant.
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Vous étiez à New York y'a quatre ans? Fitz ne peut s'en empêcher. À la fois ça fait extrêmement peur à Jemma, et en même temps, ça la rassure. Il n'abandonne pas. Pour l'instant en tous cas. Comment est-ce que vous êtes tombée sur des photos d'un monde alien? demande l'agresseur. La scientifique soupire légèrement, mais une nouvelle fois, Fitz se manifeste avant qu'elle ait pu ouvrir la bouche. Simmons a été- Simmons a été avalée par une pierre extra-terrestre. Nous pensons que cette pierre- cette pierre était un portail pour un autre monde habitable par l'homme. Elle y est restée pendant des mois, elle ne s'en souvient pas. Elle baisse les yeux, puis les ferme. Les quelques bribes de souvenirs qui lui restent de l'ailleurs lui donnent des cauchemars, l'effraient. Fitz vient de tout révéler à celui qui les retient prisonniers, et elle ne sait pas, pendant un instant, si elle doit lui en vouloir ou se sentir soulagée. Une part d'elle avait envie qu'ils trouvent une parade, un mensonge pour ne pas avoir à parler du monolithe et du voyage. Qui sait quels sont les objectifs de cet homme. Son instabilité ne peut que présager des desseins mauvais, et Jemma a bien peur que Fitz ait commis une erreur en révélant même ces simples portions d'informations. Mais il a fait ça pour les protéger. Pour la protéger. Et ils n'ont sûrement pas le choix. À défaut d'être sain d'esprit, l'homme en face d'eux paraît plutôt intelligent et perspicace, et tout le monde sait que Jemma n'a jamais été une menteuse excellente, bien que ses talents en ce domaine se soient largement améliorés dans les derniers mois. Peut-être que leur seule chance de s'en sortir est de jouer le jeu de leur agresseur. Comme ils le savent depuis qu'ils ont été amenés là, aucune équipe d'extraction ne viendra les sauver. Donner des informations est peut-être leur only way out. Oh, bien sûr, Jemma déteste ça. Mais elle décide de faire confiance à Fitz. Comme avant. « C'est moi qui ai récupéré les données de son téléphone. Elle ne sait rien. Re-relâchez-la. » La brune sent son cœur se serrer. Il se bat pour eux, il se bat pour elle. Après tout ce qui s'est passé. Après tout ce qu'elle a fait. « Mais elle vous aide tant à parler, » lâche l'homme, et elle fronce les sourcils, énervée, serre les dents. Ça la frappe en plein cœur qu'après tout ça, après la distance, les non-dits et la douleur, ils en soient là. Malgré tout, elle a l'impression qu'ils sont encore et toujours each other's weakness. Et elle ne sait pas trop si ça rend les choses plus simples ou plus compliquées.

« J'n'y vois rien. Si vous voulez que je vous aide, détachez-moi. Je peux vous aider à déchiffrer ce parchemin en comparant ce qu'il y a et ce qu'on sait déjà... Où avez-vous trouvé ce document? » demande Fitz. « Dans la base de données du S.H.I.E.L.D. » lance l'agresseur. Ils ne sont donc sûrement pas les premiers agents à qui il essaie de soutirer des informations. Elle n'arrive pas à le cerner. À savoir ce qu'il veut vraiment, ce qu'il compte faire de toutes ces informations. Elle essaie de comprendre, en analysant son comportement corporel, ses paroles, et même les parties de l'appartement auxquelles elle a eu accès, mais elle ne comprend pas. Il a tout l'air d'un homme normal sans ce regard et cette instabilité. Est-il mandaté par une quelconque organisation ou une personne riche ? Non, à en voir son expression, c'est une affaire personnelle. « Comment? »« Avec un mot clef. Pi-pierre de l'Infini. » Jemma tourne immédiatement son visage vers Fitz, qui ne tourne toujours pas la tête. « Si y'a un mot-clef ça veut dire que le document a été classifié, donc que son sens a été compris, donc que le déchiffrement a déjà été commencé. Si vous avez les données, je peux reprendre à partir de là. Évidemment, ce sera plus simple avec un ordinateur mais bon… » Le regard de la scientifique passe de son ami de toujours à l'homme qui les retient prisonniers. « Sinon vous pouvez continuer cet interrogatoire inutile avec cette mise en scène minable, » Jemma ferme les yeux pendant une demi-seconde. Elle n'est pas sûre que critiquer leur bourreau est la meilleure des idées, très franchement. Mais à sa plus grande surprise, l'homme finit par défait les liens de l'ingénieur. Elle observe Fitz. Il est bien loin de celui avec qui elle partageait un laboratoire à l'académie il y a quelques années. C'est elle qui l'a poussée dans tout ça. Et aujourd'hui, c'est lui qui s'en sort le mieux. Elle s'en veut. « Mais est-ce- - » Jemma sent son cœur s'arrêter quand Fitz se jette sur l'homme. « Fitz! » Leur agresseur est déséquilibré. Fitz se jette sur le revolver qui est tombé à terre, lui jetant un regard au passage. Jemma est terrifiée. L'homme commence à se relever, et son cœur tambourine dans sa poitrine. Elle essaie de se délivrer de ses liens mais elle ne peut littéralement rien faire d'autre que regarder Fitz, par terre, avec son visage en sang et les qui tremblent. Elle a son cœur dans la gorge, l'impression qu'elle va tourner de l’œil si la moindre chose tourne mal tant la pression gronde, sourde. « Ne bougez pas ou je tire! Je n'hésiterai pas! »Mauvaise idée... A-arrêtez-vous! Mettez les mains en l'air et- - Le bruit de la balle fait sursauter Jemma. Des souvenirs remontent – comme si c'était le moment. Et pendant une demi-seconde, elle est perdue entre ici et là-bas. L'homme a reçu la balle dans l'épaule. Mais ça ne l'arrête pas. En un instant, il est sur Fitz, et Jemma a envie de crier, mais sa voix reste coincée par la peur. Elle voit le bras de l'homme se lever pour frapper une nouvelle fois l'ingénieur et son cœur s'arrête. Ses yeux crient tous seuls, de toute manière. Leur agresseur tourne les yeux vers elle. « Ne la touchez pas, » Elle a envie de lui dire de se taire, de lui dire qu'il vaut mieux elle que lui. Elle n'arrive plus à sortir un son. L'homme finit par faire retomber son poing et le cœur de Jemma redémarre, doucement. « Déchiffrez le document, » dit-il, d'un ton menaçant. Fitz retombe à terre avec violence. Jemma remarque que ses yeux se sont embués, et fais de son mieux pour ravaler les larmes qui ont fait leur chemin jusque là. Il faut qu'elle garde son sang-froid. Elle l'a fait auparavant. Elle en est capable, elle le sent, elle le sait. Mais quand il s'agit de Fitz c'est comme si les règles n'étaient plus les mêmes. « J'ai besoin de son aide, » fait-il au bout de quelques secondes, une fois qu'il a de nouveau les photos devant lui. Jemma relève les yeux, les larmes sont ravalées. « Nous- on- - »« Silence, » L'homme vient la détacher à son tour. Elle fait tourner ses poignets endoloris avec une grimace. « Au moindre mouvement suspect, je vous tire dans les jambes, » Elle ne doute pas qu'il le fera. Alors doucement, le plus doucement possible, elle rejoint Fitz par terre, les mains tremblantes et moites. Ses lèvres tremblent un peu aussi. Elle essaie de lui arracher un regard, qu'il ne lui donne pas, et elle finit par se pencher sur les documents la gorge nouée. Puis la main de Fitz vient trouver la sienne. « Ça ira, » dit-il finalement, toujours sans la regarder. Elle déglutit avec difficulté. « On va- on va y arriver. For old time's sake. » Elle acquiesce, entrelace ses doigts à ceux de Fitz. « We always do. » C'est étrange comme ces phrases prennent une toute autre dimension malgré la situation. Il y a comme un I know we can fix this. qui se sous-entend tout seul. Elle ne quitte sa main qu'à contre cœur pour étaler tous les documents devant leurs yeux. Elle commence à les trier, méthodiquement, elle qui est habituée à son organisation spécifique. Fitz la laisse faire, comme il l'a toujours fait. « Tu as donc pu réparer la puce de mon téléphone.. » dit-elle d'une voix qu'elle essaie de rendre neutre, penchée sur l'une des photos qu'elle a prise sans s'en souvenir. Du sable, la nuit, deux soleils. Ses doigts se crispent. Une odeur lui revient, un son, l'assourdissant bruit des tempêtes de sable. Des tempêtes ? Elle ne sait plus trop. Quelque chose. Il y a une silhouette dans ses souvenirs. Quelqu'un d'autre ? Mais elle n'a pas le temps d'assimiler les informations, tout disparaît en une seconde et la laisse un peu perplexe. Elle a les sourcils froncés. Sa gorge est toujours nouée. C'est d'une voix un peu trop aiguë qu'elle dit : « Tu y as trouvé des informations intéressantes? » Cette fois c'est elle qui ne le regarde pas, en continuant à classer les documents. « Je sais que j'ai documenté un certain nombre de choses. Je ne sais pas si tu as pu tout récupérer. » Oh, elle se souvient de deux trois choses. Ce sont des souvenirs flous, mais les choses qu'elle ressentaient, elles, sont loin d'être floues. Elle ne se souvient pas de l'environnement, des endroits où elle dormait, de s'il y avait même des grottes dans lesquelles s'abriter. Mais elle se souvient de son cœur qui se serrait un peu plus avec les heures. Elle se souvient de la colère, du désespoir. Elle se souvient d'avoir pensé qu'elle ne reverrait plus jamais la terre, qu'elle ne reverrait plus jamais Fitz. Elle se souvient s'être dit qu'elle aurait du faire quelque chose pour eux. Elle se souvient avoir imaginé ce qu'ils auraient pu être si les choses avaient été différentes.
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we surrounded by the fuckin' wolvesThe rings all ring out, Burn out, cave in, Blackened to dark out, I'm mixed now, fleshed out, There's light with no heat, We cooled out, it's cool out, Life is precious, We found out, we found out, We found out.

Et là — la migraine.
Là. Elle se presse sous ses yeux, juste sous ses yeux. Douloureusement. Elle infeste tous les réseaux, comme un virus, se glissent dans ses veines et transforme le sang en feu, transforme le sang en glace. Tout son crâne lui fait mal, comme si un million de petites aiguilles essayaient d'en sortir — nerveusement, les doigts tremblants, Julian se passe une main dans les cheveux comme pour vérifier que ce ne sont pas des piques qui en sortent. Ses muscles sont paralysés, agités de soubresauts nerveux qu'il n'arrive pas à maîtriser; et sous ses yeux, le monde fait place à un rêve, un autre monde, quelque chose qui ne ressemble à rien qu'il connait. Il garde toujours l'arme dans la main, ses doigts se serrent autour de la crosse qui se froisse dans un discret bruit de métal — c'est si lent et si bas que les scientifiques ne doivent pas l'entendre — jusqu'à ce que ses doigts se détendent soudainement, l'arme retombant brusquement parterre. En clignant des yeux, il voit les deux — Fitz et Simmons — se crisper et se retourner, lui jeter un regard interrogateur. Julian ramasse l'arme et leur fait signe de continuer.
Il les entend parler mais ne les écoute pas. Il n'y arrive pas: il y a un étrange bruit dans ses oreilles, comme de la neige à la télévision qui ne capte pas. Mais lentement, lentement, insidieusement, ça change et ça évolue: ça devient une musique lointaine, une berceuse ancienne et puis un son à lui glacer les sangs. C'est son sang qui tourne et tourne derrière ses tympans, bat en même temps que des machines de guerre, boom boom boom et Julian a juste envie que ça s'arrête. Ça lui fait mal mais il sait qu'il pourrait s'arracher les oreilles que ça ne changerait rien. Ça lui fait mal mais il n'y a rien à faire. Profitant que les scientifiques lui tournent le dos, il cherche dans ses poches la petite boîte que le docteur Fenhoff lui a donné. Trois pillules en cas de crise, lui a-t-il prescrit alors Julian en verse six dans la paume de sa main, et les avale à jeun. Il espère que ça fera passer la migraine et les machines de guerre qui ne veulent pas se calmer.

Il se rend compte que l'homme — Fitz, son nom est Fitz — a dû s'adresser à lui et il ne l'a pas entendu parce que les deux scientifiques le regardent d'un air interrogateur et apeuré. Julian fronce légèrement les sourcils, regardent ce qu'ils ont entre les mains, puis ses yeux se fixent dans ceux de Fitz qui semble avoir pris les choses en main. “ Répétez, ” dit-il simplement. C'est une impression vertigineuse de pouvoir, d'ordonner plutôt que de demander, d'attendre sans rien faire. “ Il y avait une pierre sur la planète, alright, dit le scientifique. Mais ce n'est pas- ce n'est pas- ce- -une Pierre de l'Infini, c'est autre chose, ” finit Simmons. Julian voit le regard un peu perplexe de Fitz quand elle finit sa phrase comme si de rien n'était mais Simmons reprend rapidement: “ c'est- les habitants de cette planète la vénèraient. Elle s'illuminait la nuit ou- -ou quand certains évènements arrivaient? Ce n'est pas très clair- -mais elle avait un grand pouvoir. Un immense pouvoir. Je crois que c'est pourquoi elle a été confondue par une Pierre de l'Infini par nos collègues. ” Julian reste silencieux. Fronce les sourcils. “ Ce n'est pas une Pierre de l'Infini... comment pouvez-vous en être sûrs?Le S.H.I.E.L.D. en détenait une- - Le S.H.I.E.L.D. en détient une? l'interrompt Julian, se levant soudainement en s'approchant d'eux. Fitz fronce les sourcils et siffle. — Détenait. Elle est maintenant en possession du roi Thor d'Asgard. ” Asgard. Trop loin. “ Et cette pierre-là? ” Il s'était rapproché suffisamment près pour observer à côté d'eux les photos. Les scientifiques ont écrit un peu dessus mais Fitz guide son regard sur une petite illustration — une pierre, à ne pas en douter, entre deux mains. “ Nous pensons qu'elle a été manipulée par des hommes. Or, les Pierres de l'Infini--ne peuvent être manipulées que par des hommes exceptionnels. ” Il sent les deux scientifiques se jeter un regard prudent dans son dos. “ Oui, conclut Simmons. Et- - ” Elle n'a pas le temps de finir. Alors que Julian s'empare d'une des photos pour l'examiner de plus près, l'autre scientifique prend à nouveau le flingue et lui tire dessus, à bout portant, dans l'épaule à nouveau.

Julian est projeté en avant et dans un cri de douleur, s'étale parterre. Il a dû toucher un point sensible — une artère peut-être — parce que la douleur reflue rapidement, sa nouvelle mutation de regénération commençant d'ores et déjà agir (elle ne se révèle seulement quand un seuil de gravité est atteint, si bien que les blessures bégnines s'en vont avec le temps) sur son organisme pour endiguer l'hémorragie et lui réparer l'épaule. Enfoiré. Il a profité de sa confiance. Il a abusé de lui. Il va le tuer.
La migraine revient en vagues et le feu dans ses veines. “ Putain, ” grogne-t-il sous sa respiration en se redressant, le sang s'arrêtant de couler, se retournant pour leur faire face. Il ne les a pas entendus bouger mais ils sont déjà à l'autre bout de l'appartemment, en train de travailler la porte d'entrée... qui tout d'un coup s'ouvre brutalement.
Quelqu'un vient de donner un coup de pied dans la porte d'entrée. L'immeuble est quasiment vide — il possède les deux étages en dessous, il est au dernier étage et la plupart des habitants ne sont pas là le long de l'année. Il est tranquille, normalement. Normalement.
Sauf que ce n'est pas la silhouette d'un de ses voisins dans l'encadrement de la porte.

Les deux scientifiques, collés l'un à l'autre, s'empressent d'entrer dans le couloir; la silhouette les retient un instant puis les laisse passer. “ Julian? ” dit-elle et il ferme les yeux, douloureusement, pour chasser la migraine et les mauvaises idées, les mauvaises pensées qui l'infectent. Il essaie de se lever, lentement, difficilement, tout le sang qui s'écoule sur son épaule qui n'est plus blessée, toute la transpiration sur son visage, ses mains tremblantes, son regard fuyant, sa lippe qui frémit. Il fait un pas en avant puis aperçoit l'arme qu'elle a dans les mains. Pointée sur lui. Lui. Mais il n'a rien fait de mal. C'est ce putain de scientifique qui lui a tiré dessus, qui l'a attaqué, qui l'a trompé, qui l'a blessé.
Sarah. ” Finalité. “ Giving me my sweater back? ” souffle-t-il, sachant pertinemment qu'elle l'entendre. Et puis brusquement, avant qu'elle ait le temps de réagir, de se jeter parterre et de glisser jusque dans la cuisine, derrière le comptoir qui la sépare de la salle de vie.
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