it's a revolution, i suppose Invité | | | earthquake , pretty girl and meetingsilence, ça tremble."Patron, un de nos gars, dans le Queens, ne semble pas avoir fait le tour des petits commerces qui paient pour notre protection." Je continuais de frotter le canon de mon arme avec le torchon blanc que j'avais dans la main droite, j'aime quand mes affaires sont propres, et les éclaboussures de sang présente que l'extrémité de mon glock, ce n'est pas vraiment élégant. Malgré tout, je fais un quart de tour sur la droite avec ma tête, regardant l'homme qui est venu m'interpeller du coin de l’œil. Qu'est-ce qu'il voulait que je lui dise ? Qu'ils aillent le chercher, ce casse couilles, on avisera après. "Le problème boss, c'est qu'on a envoyé deux de nos hommes, et qu'ils ne semblent pas être revenus." C'était les mots de trop, j'aime le calme, et je voulais juste quelques minutes de calme dans cette journée désagréable. Je pose mon flingue sur la table, levant mon fessier de la chaise, pour me tenir dès à présent droit, en face de mon interlocuteur. Ma capuche rouge recouvrait mon crâne, ce morceaux de tissu mystique à qui je devais mon surnom, The Hood. "Alors quoi ? Il faut que j'y aille moi même ? Je vous paie pour passer la journée devant le dernier FIFA ?" L'homme baisse la tête, son crâne chauve reflétait la lumière, et je ne pu m'empêcher d'esquisser une sourire moqueur, crâne d’œuf. "Avec toutes ces histoires sur la lois pour les mutants, ils se chauffent de plus en plus, et nous empêchent de faire notre boulot convenablement, je pense que s'ils vous voient vous déplacer, ils vont..." Avant qu'il ne termine sa phrase, je le choppe au cou, le plaquant violemment contre le mur sur ma gauche, tout en accompagnant mon geste d'un soupire long et épuisé. "J'en ai absolument rien à foutre de ton avis. Allez, dégage de là, j'veux plus voir ton crâne chauve." Alors que je desserre me prise, je le vois porter une main à son cou, comme s'il désirait vérifier que tout était bel et bien à sa place. Je ne suis pas de nature violente envers mes hommes, mais j'ai horreur de faire le sale boulot à leur place. Si je les paye, ce n'est pas pour rien. Les manifestions des mutants, les courses poursuites entre ceux qui ne s'enregistrent pas, et ceux qui servent de flics anti-monstres, je me fous de ces événements, tant qu'ils ne m'empêchent pas de me faire du fric. Et devoir bouger au Queens, à cette heure là, j'ai franchement pas que ça à foutre. Sans trop tarder, j'enfourche ma moto, laissant désormais ma capuche sur mes épaules, enfonçant mon casque sur ma tête. Le temps n'était pas agréable, mais suffisait amplement pour un petit tour de deux roues, quelques nuages pour cacher le soleil, rien de plus, rien de moins. La pot gronde, la poignée suit le mouvement de ma main, puis je démarre, comme une flèche, sans même prévenir mes autres gars de ce que je vais faire. La matinée avait été tout aussi chiante, un de nos gars retrouvé abattu, une rose rouge posée sur le corps. La marque de ce gros porc de Fisk, mais je ne peux rien faire, pas encore. Rentrer dans une guerre ouverte maintenant, serait stupide, il a plus d'hommes, plus de moyens, et plus de contacts. Les bâtiments défilent autour de moi, je slalom entre les voitures, tout en prenant soin de ne pas me tromper de direction. L'oreillette intégrée dans mon casque sonne, et une voix féminine m'annonce "Vous avez trois, nouveaux messages." Je soupire, c'est rarement de bonnes nouvelles, les messages qui arrivent sur mon téléphone privée. "Message reçu hier, à 14h58." La ton de la voix change, une voix que je connais bien, malheureusement. "Bonjour monsieur Robbins, je suis le Docteur Klaus, votre mère demande à vous voir depuis quelques jours, pourriez vous passer avant la fin de la semaine ? Merci bien, au revoir." C'est vrai que ça fait un petit moment que je ne suis pas allé la voir, le boulot me prend énormément de temps. Les deux autres messages me semblent bien moins important, après cette annonce, et je ne prend même pas le temps de les écouter. Alors que j'arrive devant l'un de mes bâtiments du Queens, quelque chose de plus marquant retient mon attention, quelque chose de plus dangereux. "Un tremblement de terre ? A New York ?" En tournant la tête, je ne tarde pas à remarquer une femme, qui semble être l'épicentre de ces perturbations sismiques. "Voyez vous ça.." Je plaque mon dos contre le mur, l'observant du coin de l’œil. Je passe l'heure qui suit à la suivre discrètement, la plupart du temps depuis les hauteurs, perché sur un toit. Je ne sais pas qui elle est, ni ce qu'elle est, mais son don peut m'être particulièrement utile. Il fallait que j'attende le bon moment pour l'intercepter, mais surtout, que je sois en position de force, et c'est après avoir été un peu trop patient à mon goût que je descend dans une ruelle un peu plus étroite que les autres, une ruelle dans laquelle elle s'engage. Je retiens me respiration, jusqu'à qu'elle soit dos à moi, quelques pas plus loin. J'ai mes glocks dans chaque mains, et chaque mains cachées sous ma cape, les bras croisés. "Joli spectacle tout à l'heure, faut payer pour revoir ça ?" |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Il y a des journées, ou il vaut mieux rester couché. Celle-ci, en faisait malheureusement partie. Avery avait laissée sa petite protégée pour voir ce que la confrérie comptait faire. Phénix, cette douce enfant était vite devenue sa raison de vivre. Avery n’arrivait plus à réfléchir, qu'est ce qui pourrait être le mieux pour elles. La confrérie voudrait utilisée Phénix s'ils la découvre et puis Avery a promis et elle tiendra sa promesse. Phénix allait se lever et Avery laissa un mot comme quoi, elle reviendrait vite. Avery savait bien quelle était la situation, hier soir, elle avait vue les infos et cette loi qui était passée. Avery se sentait presque nauséeuse d'y penser, ils voulaient les recenser comme des bêtes de foire. Avery abhorrait les mutants qui s'étaient recensés. Phénix avait eu peur mais elle l'avait rassurée au mieux. La confrérie était bien sure contre et avait demandée à Avery de s’attaque à un bâtiment ou il y aurait des personnes appartenant à l'unité de protection des humains. Avery ne comprenait pas pourquoi l'envoyée elle certes, elle était pratiquement la seule de la confrérie inconnue du grand public mais ce n'était pas une raison surtout qu'un tremblement de terre à New York, ce n'était pas l'idée du siècle. Sa cible était dans le Queens. Ce quartier ne lui avait jamais plus, elle ne le connaissait pas trop. Elle préférerait toujours le Bronx et son coté un peu violent. Et puis au Bronx personne n'était surpris de la belle Avery alors qu'ici sa présence était comme hors du monde. Enfin, elle préférait le Queen à Manhattan. Au moins, elle ne tomberait pas sur des super-héros ou sur des agents. Avery dénotait de ce quartier en effet, elle s'était habillée d'une chemise rouge avec un pantalon slim et bien taillé. Mais le plus surprenant, c'était ses rangers et sa veste militaire ainsi que son bandana noir qui tenait ses cheveux. La belle mutante voyait les regards face à elle et elle s'en fichait un peu. Après une marche assez longue Avery put enfin arrivée devant le bâtiment enfin sa cible. Dedans, il y avait des civils qu'elle tuerait mais cela ne lui faisait plus rien. Avery se trouvait en face du bâtiment dans une rue adjacente. Elle se concentra et fit partir un séisme de magnitude trois bien, maintenant elle pouvait s’approcher du bâtiment pour créer une faille sous l’immeuble en plus de son séisme. Les cris et le bâtiment s’effondrant, Avery repartit sans se douter d’être suivie. Elle se tenait dans une ruelle assez étroite quand un homme l'interpela. Elle se retourna et vit l'homme, un beau brun assez malicieux. Sa question fit sourire Avery. Quel genre de spectacle et cela dépend du prix beau brun. Avery sourit assez calmement face à ce gars. Pourquoi avait il les bras croisé comme cela ? Avery n'aimait pas cela, elle espérait que personne ne l'avait repérée et si c'était un agent du gouvernement ? Avery ne pouvait utilisée ses pouvoirs dans cette rue. Les murs autour d'elle effondrerait. Qui etes vous ? Vous êtes très beau mais ne me faites pas me répéter pour rien. |
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