Nom et Prénom : Robbins Parker Alias : The Hood Âge : 29yo Lieu de naissance & nationalité : Brooklyn, New York ; Américain Métier : Chef de gang Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Hétérosexuel Particularités : En possession d'objets mystiques ayant appartenu à un démon, il a obtenu diverses facultés surnaturelles.

Ses bottes lui permettent de marche dans les airs, sa cape, quand à elle, lui permet de devenir invisible à condition qu'il retienne son souffle.  

Le lien que ces objets ont créé entre le démon Nisanti et lui a d'autres avantages : Il est capable de voir les illusions ou les véritables formes des métamorphe, mais ce pouvoir n'est pas encore bien développé, et il lui faut un très grande concentration afin d'arriver à obtenir ce troisième œil. A plusieurs reprises, il a réussi à créer des flammes avec ses mains, mais seules ses émotions dictent l'efficacité de ce pouvoir qui lui est encore quasiment inconnu.

S'il est soumis à un stress intense, Parker  arborera une nouvelle forme, démoniaque. Ses mains deviennent griffues, sa peau sombre, et il développe un vitesse et une force surhumaine.  Affiliation : Neutre, ses services se vendent au plus offrant.

Êtes-vous pour ou contre la Loi de Recensement des Mutants ? Pourquoi ? Si vous êtes un Mutant, avez-vous décidé de vous recenser ?  J'en ai absolument rien à foutre, tant que cette loi n'influe pas sur mon business, les politiciens font ce qu'ils veulent. Je ne suis pas un mutant, cette loi n'est donc qu'un ramassis de mots qui ne m'atteignent pas. S'ils veulent se protéger derrière des lignes, qu'ils le fassent, mais j'espère que cette nouvelle connerie ne viendra pas causer de soucis à mes diverses activités.  
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Ils me font chier. Ces temps-ci, dès que l'on m'embauche moi, ou que l'on requiert les services de mon gang, il y a toujours un bouffon en costume qui vient me les briser. On vit dans un monde où les crimes ne sont plus possible, c'est quand même fou, vous ne trouvez pas ? Tu veux voler une banque ? Prépare toi à ce que spider-man vienne te cracher ses toiles et ses blagues de merde dessus. Tu veux éliminer un concurrent ? Punisher l'aura déjà fait avant toi, et écrasera ton occasion de gagner plus de notoriété dans le milieu. Franchement, j'les emmerde.  
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? J'ai commencé à voler par nécessité, sans ça, je n'aurais jamais pu payer les services médicaux pour qu'ils prennent soin de ma mère. Puis j'ai commencé à prendre du plaisir, l'adrénaline que provoque cette sensation de danger. Le moindre faux pas, et tu peux te retrouver en taule, il n'y a pas à dire, c'est bandant. Aujourd'hui, je vis en vendant mes services, et c'est une belle vie.  
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? J'ai une tête à aller étudier dans un école pour gorilles bleus ?  
Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? Mon cousin, John King, m'a parlé d'un casse à effectuer, simple, rapide, et rapportant gros. Mais lorsque nous sommes arrivés à l'entrepôt décrit par les informations qu'on avait reçu, nous sommes tombés sur les restes d'une cérémonie bizarre, avec des signes dégageant une étrange couleur sur les murs, des bougies éteintes, enfin, le genre de conneries que l'on voit dans les films sur les cérémonies complètement dérangées afin d'invoquer un démon. Le plus con dans l'histoire, c'est qu'il y avait effectivement un démon. Après avoir bien galéré, je lui ai foutu une balle au milieu de son front. Je ne pouvais pas accepter de quitter l'entrepôt les mains vides, alors j'ai récupéré ses bottes et sa cape. Ce que je ne savais pas, c'est que ces objets allaient me conférer des capacités mystiques, mais surtout, qu'une fois enfiler, je ne pourrais plus retirer ma cape et mes bottes. C'est lorsqu'un gang a commencé à me poursuivre, quelques minutes après avoir quitté le corps sans vie du démon, que j'ai découvert mes nouveaux pouvoirs. Devant moi se dessinait un futur plein de billets verts, de belles maisons, et de filles peu vêtues.  
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? Mon identité est connue de la plupart des criminels. Les gangsters savent quel est mon visage.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Bordel, je ne peux pas rêver mieux. Je me fais du fric, j'ai des hommes sous mes ordres, je suis respecté, mais j'ai toujours cette sensation de puissance lorsque je pars faire un job, cette montée d'adrénaline lorsque j'enfonce mon canon dans la bouche d'un autre gars, ou lorsque je sème les flics, le coffre plein de billets de banque. Je suis The Hood, un chef de gang aussi respecté que détesté, qui peut rêver mieux ? Bientôt, même le caïd rampera à mes pieds, rien ni personne ne pourra me détrôner.

"Arthur Robbins, 45 ans, retrouvé à l'angle de la 29ème et de Tilden Avenue. On a retrouvé sur son corps une rose, rouge. Le médecin légiste rapporte qu'il est décédé suite à trois coups de feux, tous centrés dans la poitrine. Selon les appels passés les trente minutes précédent son décès, l'homme correspond à la description d'un fugitif ayant dérobé plusieurs milliers de dollars en liquide à un revendeur à quelques rues de là. Il serait tombé nez à nez avec les agents Stewart et Johnson, et aurait abandonné le sac avant de prendre la fuite."  Un petit bruit retenti, le bruit d'un doigt appuyant sur la touche d'un microphone en marche, dans le but de l'arrêter. Et par dessus ce bruit, la voix de l'homme dictant la scène se fait entendre, de manière bien moins audible, de cette bouche sort les mots. "Aucun détails sur la fusillade, Le Caïd n'a pas à s'en faire." Moi, j'étais qu'un gosse d'à peine dix ans, assied un peu plus loin, par terre, la tête dans mes bras. Quelques minutes séparaient ma découverte du corps inanimé de mon père, de l'instant présent. Je savais ce qu'il était, pour qui il bossait. Je savais que c'était le genre de job dont on ne sort jamais, et qui prenait notre vie bien avant d'avoir atteint l'âge d'être  catégorisé parmi les "vieux." Le corps de l'homme est chargé dans un véhicule, et petit à petit, la rue se vide. Ce soir, je devais voler dans le métro, avec mon cousin, John, mais j'étais tout aussi curieux de savoir ce que mon père comptait faire de sa soirée. Cet événement, sa mort, changea ma vie. Depuis que je suis rentré dans l'adolescence, on me catégorise comme étant un petit voyou, un voleur de bas étage. Je bosse avec mon cousin, John King, qui a quatre ou cinq années de plus que moi. Ma mère est femme au foyer, tandis que mon père, quand à lui, bosse pour un gros bonnet provenant de Hell's Kitchen, Wilson Fisk, aussi connu sous le nom du Caïd. Mon enfance n'a rien eu de particulier, j'allais à l'école, j'avais des mauvaises notes. J'étais plus intéresse par les conneries que je comptais faire, plutôt que d'apprendre mes tables de multiplications. Je n'avais pas dix ans, que j'étais déjà un petit merdeux, convoqué bien trop souvent chez le directeur de mon école. Mais malgré ça, j'avais un lien particulier avec ma mère, elle avait le don de m’apaiser, de voir le bon en moi. Elle avait compris que ma mauvaise attitude provenait de l'éducation de mon père. Même si celui-ci ne me parlait que rarement, ses actes avaient tendance à dicter ma conduite. Ainsi, s'il gueulait sur ma mère parce que sa bière tardait à arriver devant son match de foot, alors je gueulerai sur ma petite camarade parce qu'elle parlerait un peu trop fort à mon goût. J'aimais ma mère, j'aime ma mère, mais celle qu'elle était à l'époque n'a plus rien à voir avec celle qu'elle est aujourd'hui, elle n'est plus que le fantôme de la femme qui m'a mise au monde.

Le jour de la mort de mon père changea donc, malgré tout, ma vie. Ma mère rentra dans une profonde dépression, qui causa après ça, une grave maladie mentale chez elle. J'avais dix huit ans lorsque sa maladie fut diagnostiquée par un psychiatre, et que la nécessité de la faire rentrer en centre de soin psychiatrique se fit ressentir. Je n'étais qu'un étudiant sans but précis.  J'ai donc décidé de quitter l'école, faisant de ce qui avait bercer ma jeunesse, mon revenu le plus important : Le vol. Je braquais des épiceries, et voler le sac de vieux riches, mais ça ne suffisait cependant pas, je pouvais payer les soins de ma mère, mais il ne me restait que peu pour vivre. Pendant dix années, j'ai fait ça, dix années à travailler pour des petites frappes, dix années bien trop longues. Un jour, alors que la troisième factures impayée venait d'arriver sur ma table sale, sur laquelle s'entassaient les assiettes non nettoyées des jours précédents, mon cousin, John, obtenu dans renseignements alléchant sur un entrepôt rempli d'objets de valeur, mais surtout, pas gardé. Sans hésiter, j'ai sauté sur l'occasion, organisant un grand vol avec lui. Au volant d'une camionette avec beaucoup d'espace, on se dirige donc vers ce bâtiment qui, en son sein, devait garder ce qui me permettrait de vivre tranquillement pendant plusieurs mois. J'étais armé, comme toujours, de mes deux glocks, des flingues, assez utiles comme moyen de persuasion. Et bien que je n'en ai que rarement l'utilité, je savais très bien m'en servir. Mais lorsque l'on ouvre l'immense porte de l'entrepôt, espérant trouver la caverne d'ali baba, nos espérances furent écrasées par un vide désagréable. Malgré ça, une scène plutôt étrange se présenta à nous, une sorte de rituel terminé. Sur les  murs étaient apposés des signes que je ne saurais reconnaître, brillant d'une lumière mauve. En son centre, au milieu des étagères métalliques vides, un cercle avec en son centre, un nouveau symbole brillant lui aussi d'une lumière mauve. Autour étaient parsemées des bougies éteintes. "Putain, je sais pas qui est ton informateur, mais je vais moi même lui enfoncer mon poing dans sa gueule." Et alors que je pivote sur mon pied droit pour quitter l'entrepôt, une voix raisonne dans la grande pièce. Derrière moi, et en face de mon cousin, se montre une chose, un démon, parlant dans un langue incompréhensible. Alors qu'il me fonce dessus comme si c'était un prédateur, et moi sa proie, je saute sur le côté, déchirant par la même occasion mon blouson noir. Je repositionne mon bonnet, visant la créature. J'avais peur, je le cache pas, ma main tremblante serrait mon arme, et alors qu'il se dirigeait vers mon cousin, dos à moi, j'appuie sur la gachette. La balle pénètre son crâne sombre, et son corps s’écrase au sol. Il portait sur lui une cape rouge, et des bottes noires. "C.. C'était quoi cette chose ?" je romps le silence pesant, et mon cousin me dévoile son visage, perlé de sueur. "Peu importe, on se barre." Je laisse se dessiner sur mon visage un léger sourire, cachant la peur que j'avais ressenti. "Attends, ce qu'il porte doit valoir une blinde." Je récupère la cape et les bottes, que j'enfile avant de monter dans notre véhicule, laissant le démon, ou peu importe ce que c'est, pour mort.

Sur le chemin du retour, je laisse mon cousin chez lui, après une longue discussion énigmatique sur ce qu'était le truc qui nous a attaqué, et sur combien pourrait valoir ces fringues sur le marché noir. On dit que certaines personnes paieraient une fortune pour obtenir des choses aussi paranormales que celles-ci. Je laisse le véhicule près dans un garagen et alors que je ferme la porte derrière moi, un groupe de trois mecs, armés, patiente sagement le temps que je sorte. "Robbins, où est notre fric ?" J'étais habillé de cette fameuse cape, et de ces sombres bottes, ça me donnait un certain style, mais pas assez flippant pour qu'ils fuient en me voyant. "Ecoutez les gars, je..." Sans même prendre le temps de terminer ma phrase, je cours vers eux, bousculant le blond sur ma droite avec un violent coup d'épaules, j'entends trois coups de feux dans mon dos, et alors que je me retourne pour regarder, je remarque que je ne suis plus sur le sol. Sans m'en rendre compte, pendant ma course, mes pieds avaient quittés la terre ferme. Par réflexe, je m'arrête de bouger, ce qui provoque une chute peu agréable. Les regards choqués de mes poursuivant ressemblaient vaguement au mien, mais ce n'était pas le moment de m'étonner, je recommence à courir, me cachant dans un coin de mur. Je les entends s'avancer, la voix de l'un donnait des ordres aux autres, et alors que je peux sentir les pas du blond approcher, je ferme ma bouche, retenant ma respiration pour faire le moins de bruit possible. Mais il passe devant moi, et se retourne dans ma direction, pourtant, il ne réagit pas. Je pensais mourir, mais il agissait comme s'il me voyait pas. Intrigué, je regard les paumes de mes mains.. et je ne les vois pas. C'était quoi ce bordel ? D'abord je vole, et maintenant je suis invisible ?  Il ne me fallut que quelques secondes avant de faire le lien entre ça, et les événements qui se sont déroulés plus tôt dans la soirée. Peu importe ce qu'était cette chose, ses fringues m'avaient données des talents dont beaucoup rêvent. Les hommes s'éloignent, toujours à ma recherche, tandis que moi, je pars dans la direction opposé, toujours étonné par les prouesses que j'ai pu accomplir.

Mon cousin fut le premier au courant de mes nouveaux dons, mais aussi du mauvais côté. Une fois rentré chez moi, j'avais tenté de retirer ces bottes, et cette cape, mais c'était impossible, je ne pouvais retirer ces fringues , mais en me concentrant suffisamment, je pouvais faire en sorte qu'ils prennent l'allure de vêtements comme les autres, cependant, dès que je tentais d'utiliser mes capacités, les artefacts reprenaient leur aspect originel.  Au début, j'utilisais mes pouvoirs pour réalises de petits casses, des vols qui rapportaient, mais pas suffisamment à mon goût. C'est alors que John me rencarda sur quelque chose de beaucoup plus alléchant, le vol de diamants.  Ce ne fut pas trop compliqué, j'avais juste à retenir ma respiration le temps de dérober la mallette, puis m'envoler. Le seul problème, c'est que ces diamants étaient à un homme du nom de Golem, et qui vit mon visage lors de ma fuite malgré tout très rapide. Alors que je quittais une ruelle, me dirigeant vers mon véhicule, je tombe nez à nez avec deux policiers en patrouilles, qui dégainèrent leurs armes très rapidement. Pour m'enfuir, je n'eus pas d'autre choix que de faire pareil, sauf que moi, j'ai tiré. La balle pénétra le flanc d'un flic de droite, et l'attention de son collègue se porta sur lui, tandis que moi, je prenais la fuite. Cet incident me créa une renommée, et Golem, tout comme le FBI, recherchaient désormais un homme répondant à la description de "The Hood". On ne connaissait pas encore ma réelle identité, et dans l'ombre des deux services, quelque chose d'autre se mit à ma recherche, quelque chose qui, pour moi, est morte : Le démon.

Avec l'aide des diamants, je réunir un grand nombres de criminels, mais au delà de ça, des super-vilains. Nous étions tous réunis dans une grande salle, qui allait devenir le bastion de mon gang, et alors que tout le monde était présent dans un vacarme abrutissant, je me montre à eux, accompagnés de plusieurs personnes déjà membre de groupe de l'homme qu'on appelait "The Hood." je sortais d'un sac une liasse de billets, une liasse de 25.000 dollars. "Ce fric, ira dans la poche de chaque personnes désirant de me rejoindre,  25.000 dollars, contre votre loyauté. Rejoignez moi, et jurez moi fidélité, ensemble, nous deviendrons un véritable syndicat, le plus grand gang de New York." Je retirais ma capuche en guise de confiance, dévoilant à ces hommes, mon visage. dans l'assemblée, seules les enfoirés dotés de pouvoirs ou de capacités supérieures étaient présents. Les criminels de bas étage m'avaient déjà jurés fidélité sans que leur promette du fric, impressionnés par mes dons. "Ceux qui refusent, la porte vous est ouverte." Et c'est ainsi que le gang du criminel qu'on l'on nomme "The Hood" fut fondé, mon gang.  

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; LITL, 18 ans, m   Fréquence de connexion ; 7/7 ! Que pensez-vous du forum? ;J'adore le style, c'est vraiment sympathique comme ambiance Comment l'avez-vous découvert ? Top-Site   Célébrité choisie ; Ben Barnes Credits (avatar, icon etc.) ; GALLIFREYS 

Bienvenue chez les DEUS EX MACHINA.

NYEEEEEEEH Ta fiche est juste PARFAITE ! Tu as absolument su cerner le personnage et, franchement, je regrette pas du tout d'avoir insisté pour rajouter ce perso aux pvs car tu m'envoies carrément du rêve Bref, tu l'auras compris, j'adore ta fiche et j'ai rien à redire donc cours, vole, rampe et viens t'amuser avec nous  

time to have fun. Maintenant que tu es validé, tu peux commencer par aller recenser différentes choses, comme ton métier ou ton pouvoir si tu en as un. Tu peux aussi te chercher des copains sur le forum, c'est à dire poster ta fiche de liens. Si ton personnage est du genre à passer son temps sur son téléphone ou sur le net, tu peux aussi te rendre sur la webosphère.
Nous t'encourageons fortement à te rendre dans la chat box pour y faire la rencontre des autres membres, si tu le souhaites ! Sinon, tu peux aussi aller te créer un scénario. Quoi qu'il arrive, n'hésite pas à te faire ton trou par chez nous, on te souhaite bien des RPs et une belle et longue aventure sur TNA !

ENJOY !