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 TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA

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Luccia Dalla Valle
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront


Identité
Nom et Prénom : Les belles sonorités italiennes, l'héritage d'un père qui n'a jamais eu dans la voix les arabesques de a et de o, qui à chaque fois que je le prononce mon cœur tangue : Dalla Valle. J'aimerais le prononcer avec sarcasme et haine ; déformer la douce prononciation, griffer  la douceur de la langue, mais je ne m'y résout jamais. Luccia, la lumière, je ne comprends pas le choix de mes parents : rien en ma naissance n'a inspiré cette infinie lueur que ce prénom laisse entrevoir. Alors, ils ne connaissaient certainement pas cette signification, et on simplement voulu  ces quelques lettres frappées sur mes papiers officiles.    Alias : Je n'ai pas besoin de cacher mon identité, même si j'aimerais briller sous un autre nom. Et, je n'ai jamais écopé du moindre surnom, si ce n'est celui que je me suis moi-même accordée depuis le jeune âge : Napoleone. Je faisais rouler ce nom avec passion sur ma langue, et embrassais chaque soir l'illustre personne que j'allais devenir. Le plus souvent, c'est Mademoiselle Dalla Valle. Âge : vingt-cinq ans, le vingt-deux décembre. Lieu de naissance & nationalité : Venise, americano-italienne. Métier : joyeuse substitut du procureur, qui dans son art ne peut être dépassée. Je maintiens ma position, comme quoi on ne peut vouloir être un grand de ce monde sans être reliée au Droit et à la Justice, impies maîtresses, et grands rouages. Statut civil : Oh, toujours seule et grand bien m'en fasse.  Orientation sexuelle :  Le pouvoir, l'intelligence. La grandeur d'esprit, et l'expérience de la vie. Particularités : Si je ne suis pas née homme comme mon père l'aurait voulu, la nature m'a faite mutante, et j'ai gardé cette particularité pour moi. Veuillez noter la douce ironie! L'enfant lumière, manipulant les ombres! Si au début je n'ai su comprendre l'ampleur de ce pouvoir, j'en ai découvert bien des facettes : il ne faut pas croire que le sujet est détaché de son ombre, et que l'un peut être sans l'autre. Il y a un effet miroir entre l'un et l'autre, entre cette ombre que nous pouvons considérer de manière Jungienne : n'est-elle pas l'inférieure, la porte par laquelle passe les anges et les démons ? Elle est là où siège la peur, les bas instincts. S'il est possible de manipuler une ombre, il n'y a pas que le corps physique qui est touché, mais je suis certaine qu'un jour je pourrais le maitriser assez pour vérifier cette théorie. À part cela, cette sainte éducation que j'ai tant réclamée m'a fait véritable guerrière, bonne stratège : les armes répondent au doigt et à l'œil! Je me complais dans les balles qui fusent, et le canon délicat que je caresse du bout des doigts. À part cela, je dois à mon travail personnel une bonne connaissance du monde et des hommes, et une certaine facilité avec les langues européennes. Affiliation : Si je n'ai encore rien décidé, si rien encore ne me fait choisir un camp, je ne peux concevoir plus longtemps le monde tel qu'il est aujourd'hui. Si je venais à me décider, je m'en remettrais à ce sainte phrase « Mieux vaut être seigneur en enfer que serviteur au paradis », bon écho à ma soif de grandeur. (evil neutral)

Interview

Avez-vous peur des Mutants ?  Il n'est pas absurde de poser cette question à une mutante : comment appréhender ceux qui sont faits du même bois que moi, alors que je peine à me   connaître ? Je n'y mets rien de philosophie : j'ai toujours été très mauvaise en philo au lycée. Les seuls moments d'éveil que je connaissais lors des cours interminables où la mort de la joie sévissait, était les instants consacrés à Dostoïevski, avec la thématique de la grandeur de Crime et Châtiment, où je découvris ma ressemblance avec le héros. Pour en revenir aux mutants, je n'ai jamais eu l'occasion d'en rencontrer, si ce n'est un homme dont le souvenir m'est encore trop puissant pour être raconté. Je suis certaine que les potiches, imbéciles, érudits, et bien d'autres hommes encore que j'ai bien pu croiser, certains devaient être mutants. Ainsi, je ne peux me permettre d'avoir peur des mutants, car je sais qu'il n'y a rien qui ne diffère entre eux et les humains que j'ai pu rencontrer, si ce n'est un ADN, qui comme le mien, s'est montré capricieux. Évidement, je sais que certains sont très dangereux, mais ne font-ils pas frémir l'histoire comme un grand général, empereur ? Là encore je ne vois pas de différence entre le plus terrible des mutants et le plus atroce des humains. Ce n'est pas un don – oh ce mot me révulse, qui va bouleverser une manière de penser, de réagir. Je n'appréhende aucune personne différemment d'une autre, et nul ne saurait me faire peur.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Les superhéros ? Il y a dans ce nom enfantin toute la sottise de notre siècle. Nous remettons notre espoir en des personnes, simplement parce qu'elles incarnent quelque chose que l'américain moyen ne pourra jamais atteindre. Les badauds se forment, dans cette émulsion de sur-exposition et de recherche de la nouveauté. Ah, ils sauvent le monde ! Je ne peux concevoir qu'un unique groupe puisse sauver l'humanité des trépas qui la regarde elle seule. C'est la même existence des incarnations du Bien qui fait que le Mal sévit ! Il ne faut pas croire que l'on puisse vivre uniquement dans un monde parfait, sans qu'il n'y ait mort ou détresse, car il faut un équilibre. Si on laissait simplement les hommes s'entretuer, puis faire la paix, et recommencer éternellement sans bouleverser ce schéma en nous ramenant des Grands Méchants qui eux ne sont pas de la Terre !  
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? J'ai toujours caché ma différence à ma famille, déjà bien consciente que ma place ne tenait qu'à un fil, et par mes multiples efforts. Ce Père aurait-il aimé de la même manière cet enfant de désolation, qui en plus de n'être un garçon serait en plus un mutant ? Je ne pouvais pas prendre le risque, et c'est dès l'âge de huit ans – où j'ai découvert ma particularité, que j'ai eu la sagesse de me taire. Je remercie ce sang froid qui m'a été inculqué chaque jour pour ne pas avoir hurlé quand je me suis rendue compte que les ombres grandissaient étrangement, et se mouvaient de manière... oh terrifiante, sincèrement. Au début, je n'y voyais aucune autre utilité qu'un théâtre des ombres, ou une compagnie discrète. À force de jouer avec, j'ai fini par me rendre compte que la déformation de l'ombre altérait le sujet, et lui intimait même des mouvements. Je me retrouvais alors marionnettiste ! Là, ce n'était plus un théâtre d'ombre restreint aux projections sur les murs, mais il s'étendait aux hommes aussi. Une chose est certaine, j'ai toujours vu d'un très bon œil mon pouvoir, et sait qu'avec assez de perfectionnement et de travail je peux encore l'améliorer.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Hum, satisfaction ? Je peux pas parler d'épanouissement sur mon lieu de travail, comme d'ennui : je ne peux pas dire qu'il me stimule intellectuellement, ni quoique ce soit d'autre. Plutôt basique, sans grand intérêt si ce n'est celui d'être froide, et d'avoir un œil sur plein de choses.


IRL
pseudo/âge/sexe jevaisbientôtenchanger/17, bientôt 52 ans/très souvent. Fréquence de connexion ; le week end quand il y a cours Que pensez-vous du forum? ; canoncanon Comment l'avez-vous découvert ? bazzart   Célébrité choisie ; Léa Seydoux crédit ; tumblr



Dernière édition par Luccia Dalla Valle le Dim 21 Fév - 18:37, édité 7 fois
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– Mémoires des Ombres
VIE ANTÉRIEURE

Il est inutile de vous bassiner d'adorables dégueulis, résultants d'un amour parental factice. Je n'irais pas faire l'éloge de la rencontre de mes parents, et encore moins vanter leur amour caprice. Il n'y a aucune étincelle quand je viens à parler d'eux, ni la douce chaleur qui s'étale sur des pages noircies par des branquignoles qui se veulent écrivains. Quand je remplis leur nom sur des papiers officiels, il n'y a que le grincement de ma plume.
Si je suis l’égoïste enfant, si je fais pleurer toutes les mères du monde et jurer bien des pères par centaines, je n'en suis pas moins réaliste. Jamais mes parents n'auraient dû se rencontrer, et je maudis à jamais ce regard qui a scellé mon destin à la thématique de l'échec. J'exècre cette main, qui sous le fort soleil de Toscane, s'est échoué sur le bras sauvage de mon étrangère de mère. Un concours de circonstances que je juge malheureux. Je revois cette scène en mille, chaque soir. Je suis la statue impuissante qui de son socle n'est que spectatrice, tendant les bras vers la scène. Les acteurs lui tournent le dos, et elle hurle à s'en fendre la pierre. Non mère, tu n'es pas la femme qui lui faut ! Et toi, père, la femme sur le trottoir d'en face est tout aussi belle ! Oh, tendre mère souvient toi de l'homme que tu laisses sur le sol Américain ! Elle, elle laisse derrière elle les effluves d'American Dream, d'universités onéreuses, et chacun brise sa propre Liberté.

Mes chers parents,
de cette rencontre vous ne gagnerez rien, si ce n'est les plus horribles déceptions. Vous penserez que la vie est avec vous, surtout quand tu, ma mère, tombera enceinte. Vous penserez à mal qu'il s'agit de ce petit garçon rêvé lors de vos longues nuits baignant d'idéaux et confessions.
Mon père, vous qui rêviez tant d'inculquer votre art, du maniement parfait des armes, vous pleurerez d'apprendre qu'il n'en sera rien.
Il n'y a pas le sort à maudire, il n'y a que vous.

 

DÉCEPTION


Ni robe à froufrous dégoûtants, ni princes charmants. Jamais mon enfance n'a baigné dans le sucre écœurant des petites filles, qui s'imaginent duchesse, puis grande exploratrice, dresseuse de fauves. Moi je rêvais d'être un glorieux général, le noble va-t'en-guerre qui pourfend la victoire. Je m'imaginais Napoléon, Néron, Caligula. Les hommes terribles qui ont fait tremblé les siècles comme des pucelles mortes de trouille. Chaque bâton devenait pour moi l'épée forgée dans le sang des mille et uns ancêtres illustres, et les plus sombres recoins du domaine Dalla Valle un lieu à conquérir. J'explique cette mascarade qui est bien loin de ma condition de femme par une déception du Père. Depuis petite, j'ai su lire dans ses déceptions et silences que je n'étais pas née comme il l'aurait voulu : un fils, il aurait souhaité. Un héritier, capable de se calquer sur son envergure à lui, d'abattre son poing sur la Terre pour la fendre. Mon Père aimait les armes comme il a aimé sa femme au début de leur relation, avec cette passion tordante, virulente qui vous suit jusqu'aux tréfonds de la nuit. Il aurait voulu l'emmener courir, faire souffrir ses muscles des millions de fois par jour. Mais, avoir une fille, c'était la mort de ses plans.
J'ai bataillé, reniant ma nature, pour obtenir ne serait-ce qu'un regard de fierté ! Je me souviens lui avoir déposé, alors qu'il prenait sa cigarette matinale, les quelques mèches blondes qui recouvraient ma tête de huit ans. J'avais volé les ciseaux dans le buffet du salon. Père, que je lui avais dit, je veux être un homme, je veux être vous. Je ne saurais dire si c'est par pitié, ou s'il avait vraiment été séduit par ma détermination, mais il a commencé à me voir autrement. Le lendemain, il m'emmenait sur les traces de ses ancêtres, sur les sentiers qu'il avait parcouru avec son père, quand il avait le même âge que moi. Je ne m'étais jamais sentie aussi heureuse.

CHAGRIN NATUREL


Fuir ma nature, j'y suis parvenue pendant de longues années. J'ai même cru que je parviendrai à semer cette affliction, en bifurquant toujours, et en reculant jamais. Malheureusement, vint le jour de mes quinze ans où je me pris deux claques de la Vérité. Je n'avais jamais pu imaginé que l'idée d'avoir un enfant soit resté dans leur imagination stérile, et qu'après une union si mauvaise ils puissent encore s'aimer à ce point. Ma mère était descendue avec la tête heureuse, une main sur ce ventre que j'ai d'abord haï pour m'avoir enfanté, puis que je hais aujourd'hui pour porter mon Malheur. Enceinte ! Quelle folie quand on a quarante ans et un mariage de bois ! Ah, si seulement nous n'avions pas appris quelques semaines plus tard qu'il s'agirait d'un garçon... Je craignais depuis l'annonce qu'il ait cette chose que la nature m'avait refusée, et je ne pourrais jamais oublié les étincelles dans les yeux de mon père. Moi, jamais un feu d'artifice, malgré mes intensifs entrainements et mon brio à les surmonter. Ce jour-là, j'ai perdu mon père, et ma place de fils.

Je n'appartenais plus à leur monde, je n'avais rien à faire dans cette famille à nouveau unie.

Je m'enfuyais de par les sentiers parcourus avec mon Père, dont je connaissais les moindres recoins. Aucune ronce, aucune pierre ne venaient à ralentir ma course. À l'heure actuelle, aucune force extérieure, aussi puissante soit-elle n'aurait pu m'entraver. Je ne sais encore aujourd'hui combien de kilomètres j'ai bien pu avaler, autant que d'années d'illusion paternelle, certainement. Et si mon corps criait aux larmes, la brulure d'yeux réclamant la délivrance par les eaux, je me jurais de ne pas y céder : rien ne méritait que je pleure. Pas même un retour de bâton aussi douloureux. Et quand, à bout de course et de chemin à explorer je me réfugiais sur les hautes branches d'un arbre. La nuit tombante, les lueurs trop belles pour être contemplées par la bête qu'est l'Homme, je souffrais encore de cette mascarade. Je regardais, impuissante, les cent vingt mille sacrifices pour un Père. Réclamé, adulé, mais jamais saisi ; je me sentais vaincue.  

ADIEUX


Je fuis la bataille. Je me souviens avoir pensé si fort ses mots, que je ne pouvais dire rien d'autre. Il se faisait tard, et c'était un mois après avoir déclarée défaite auprès de mon père. Quand à table, après être revenue de cette escapade, nous nous étions regardés de telle manière à ce qu'aucun de nous deux n'ignore sa victoire. Il voyait dans mes yeux que je ne continuerais plus à me battre, défendre son amour coute que coute. Je ne saurais dire s'il a eu l'air soulagé ou déçu. Sans doute avait-il félicité mon abandon, unique preuve que je pouvais aimer une personne sans qu'elle ne soit tout pour moi, comme il me le répétait en citant Kipling. Et là, je glissais entre malle et tissus les maigres souvenirs qu'il me manquerait d'avoir, une fois sur le sol américain. Je restais un instant pantoise, devant ce grand départ qui me coutera bien plus qu'un tri matériel : je renonçais à une vie, à une appartenance. Je ne serais plus fille d'Augustino Dalla Valle, car à partir de ce jour des kilomètres d'océans nous séparerons. La brutalité de cette révélation eut presque raison de mes larmes, si je n'avais pas drastiquement réorienté mes pensées. Je lorgnais sur mon billet d'avion, mon aller simple pour l'indépendance. Alors, demain je serais à l'aéroport JFK, et je troquerais ma vie d'enfant qui se veut général et stratège pour celle d'une étudiante étrangère, vivant avec sa tante. Le ridicule de la situation faillit m'arracher un rire ! Je me repliais dans mes pénates, mais je jure que je n'arrêterais pas pour autant d'être guerrière. Ce n'est plus un combat pour gagner le Père, mais pour le dépasser.


Dernière édition par Luccia Dalla Valle le Dim 21 Fév - 17:23, édité 5 fois
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BIENVENUE PARMI NOUUUUUUUUUS (officiellement) I love you
Je suis contente que tu te sois fixée sur ton personnage, et j'ai vraiment hâte de voir ce que tu vas en faire! Et excellent choix pour le pouvoir du coup :cutie: J'espère que tu te plairas chez nous, et je te souhaite bon courage pour l'écriture de ta fiche. :cute: Si tu as des questions, on est à ta disposition :leche: :geek:
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Merci beauté. I love you
Blake, je meurs, elle est si belle. TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 4090359596
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thunderbolts • fry those bitches
Alistair Blackwood
Alistair Blackwood
MESSAGES : 1726
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thunderbolts • fry those bitches
http://www.age-of-heroes.com/t2243-alistair-victor-alexis
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J'ai pas osé répondre après ton post, pensant que tu allais en rajouter un...

Bienvenue Luccia, un régal de te lire, j'ai hâte de découvrir la suite !
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Bienvenue avec ce personnage pour le moins étrange =)
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Bienvenue par ici ! :keur:
J'adore ce titre de fiche. Vraiment.
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Ce personnage promet tellement :hysteric:
J'ai hâte d'en voir plus !

En tout cas, je te souhaite la bienvenue parmi nous :happy:
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Alistair – merci, franchement. dino rigolo je te retourne le compliment pour la fiche, jsuis allée lire la tienne - non je ne compte pas du tout lire toutes les fiches qui me tombent sous la main TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 2913221174 et j'ai beaucoup aimé.

Daniel – merci :beat: , mais il n'y a rien de moins étrange qu'une fille qui découvre par la force des choses qu'il est plus facile pour un homme de réussir ?

Ruth – merci, c'est à la base le dernier vers de If de Kipling, en foutant fille à la place du « Tu seras un homme mon fils » dino rigolo TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 3172871409

Sharon – merciiiiiiii :hero: :hysteric: (j'aime trop emily :cute: )
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Bienvenue à toi plus officiellement TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 503236911 :keur:
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Merciiii, j'ai envoyé un mp à ton autre compte. dino rigolo
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LÉA SEYDOUUUUUUUUUUUX TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 124914356 TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 124914356 TU SERAS UN HOMME MA FILLE – LUCCIA 124914356

J'adore ton personnage, il a l'air tellement intéressant. Je vais même risquer d'aller te quémander un lien quand tu seras validé, vu que la sœur d'Amy bosse dans le même milieu que Luccia.
Bienvenue à toi, et bonne chance pour ta fiche.
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Quand tu veux. :hé: :hé:
Merci, et n'hésite pas pour le lien. dino rigolo
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Bienvenue :hug:
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Merci beauté! dino rigolo
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