Nom et Prénom : Wolfang Seth Aberdeen, t'en tires aucune fierté particulière, juste du dégoût pour ta propre personne, t'as conduit ta famille à sa perte, son sang coule sur tes mains. Alias :  Chimera ou Chimère, comme cette abominable créature mythologique, tu te l'es vu attribuer au fil des années passées à l’institut comme la plupart des pensionnaires, t'as l'habitude qu'on te prénomme ainsi quand on ne t’appelle pas Wolfie ou encore Wolf, des diminutifs beaucoup plus pratiques que ton réel prénom. Âge : vingt-quatre années, quatre-vingt-seize saisons, deux cent quatre-vingt-huit mois, juste des nombres qui tentent de quantifier ton existence. Lieu de naissance & nationalité : Ton grand-père à quitter sa terre natale, permettant de mélanger deux pays lointains qui sont l’Allemagne et l'Amérique, c'est ce mélange qui coule dans tes veines. T'es né à Charlotte en Caroline du Nord pour enfin atterrir  dans un lieu fait pour toi   . Métier : T'es étudiant en biologie animale, tu ne sais pas ce que tu feras ensuite     même si tu penses rester à la x-mansion en tant qu'agent ou un simple membre du staff de l'institut.     Statut civil : T'es une âme libre, un cœur à prendre, tu ne sais pas si tu cherches l'amour, mais s'il vient à toi, tu ne cracheras pas dessus. Orientation sexuelle : Les deux corps te conviennent, les deux te complaisent parfaitement et tu ne serais choisir entre les deux ce que fait de toi une personne bisexuelle. Particularités : T'es capable de copier les différentes capacités, aptitudes, ou même éléments physiques des créatures de la  faune terrienne, tu peux même te transformer en l'un de ces individus. Tu peux voler comme un aigle sans pour autant te voir pousser des ailes, tu peux emprunter la vision nocturne d'un chat, la régénération cellulaire d'une pieuvre ou encore la force d'une fourmi, l’utilisation de ton don n'a de limite que les  êtres qui grouillent sur notre terre. En prenant la capacité de ces animaux, il t'arrive aussi d'absorber différents comportements animales , comme la sauvagerie d'un loup ou d'autres instincts primaires que tu peines à refouler et qui est chose une chose  impossible à faire lors d'une transformation complète.          . Affiliation : chez ceux qui t'on sauvé de toi-même, chez tes confrères mutants, les x-men .

Avez-vous peur des Mutants ?  Tu n’as pas tellement peur de tes semblables pas à cause d’un ego surdimensionné, d’un trop gros narcissisme ou par pure imprudence, non, t’as appris à leur faire confiance en les côtoyant jour après jour à l’institut, tu ne vous vois plus comme de simples monstres de foire, ta vision à évoluer, vous êtes des être humains aussi bon ou mauvais que les homo-sapiens. Certains mutants continuent tout de même à te faire froid dans le dos comme les membres de la confrérie des mutants et leurs idées anarchistes, des supers-vilains qui sévissent dehors, et le plus troublant, c’est que ta peur de toi-même de ce que tu pourrais bien faire de pire, ta peur de sombrer comme toutes les mauvaises personnes qui font le mal dehors.

Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Les Super-héros, tu les as crains quelque temps, des idées que l’on t’implante dès l’enfance, mais peu à peu, toi, et même tes parents ont fini par les admirer grâce à leurs nombreux exploits et sauvetages extraordinaires, ils sont les seuls gardiens face aux nombreux dangers qui guettent l’humanité et sans eux, l’espèce humaine serait sûrement perdue. Ils étaient et sont encore aujourd’hui des modèles que tu voudrais être capable de suivre, tu as parfois du mal à te dire que certains de ces héros sont tes professeurs, qu’un jour, tu pourrais peut-être rejoindre leur rang si ce n’est  rejoindre le camps adverse.

Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? T’as su que tu faisais partie des leurs alors que tu étais âgé de quatorze ans, quand le cocktail d’hormones fait des siennes, quand on connait le premier amour, quand tu pètes un câble pour un oui ou pour un non, tu mettais la misère à tes parents alors qu’ils ne méritaient pas toute cette rage, tu te mettais à copier inconsciemment les capacités des animaux qui t’entouraient, c’était des petits changements furtifs que tu peinais à percevoir ou que tu pensais normal, la couleur des yeux qui changeaient, une meilleure vision, de meilleures notes en sport grâce à de meilleures capacités physique, un métabolisme plus puissant, t’avais mis tout ça sur le dos de la puberté, jusqu'à ce que des griffes viennent soudainement prendre la place de tes ongles. T’as tout de suite deviné que t’étais un mutant, une évolution de l’humanité, tu t’es mis à t’amuser avec ces capacités jusqu'à ce que ça dérape, que tu te transformes en une bête sauvage pour mettre à sang ta maison. Ça explique le fait que seul des personnes de ton espèce soient au courant de ta mutation, et t’aimes bien ça, tu te sens moins monstrueux à travers leurs yeux.

T’entends une branche qui craque, tes blanches oreilles se tournent directement vers la provenance de ce bruit qui fait crier la forêt et surprend tous ses habitants. Des halètements de fatigue te parviennent également tout comme ces bruits sourds de battements dans une poitrine, cette douce mélodie qui te fait baver d’avance, tu peux entendre son rythme rapide qui fait écho au tien, le tient vrombissait sous l’excitation d'un nouveau repas, le sien pour une raison qui t’était inconnu, mais devait être liée à une amère séance de jogging, et puis merde, tu n’en as que faire. Deux cœurs battaient à l’unisson et il n’en resterait qu’un de battant cette nuit. Tes intestins réclamaient de quoi tenir encore quelque jour dans ce froid, il te fallait faire couler le sang pour te réchauffer comme tu l’aurais fait jadis en buvant un simple chocolat chaud ou une tasse de thé. Tes pattes évitent branches et racines, tu parcours le sol neigeux sans pour autant t' enfoncer dans la fourbe masse blanchâtre, ta truffe pointe en l’air à l’affut de la moindre moindre effluve. C’est la brise qui t’apporte les parfums de ta proie, la viande semblait suer abondamment, t’en captes l’odeur forte et caractéristique quelque que peu recouverte par celle d’un déodorant qui piquait sans délicatesse tes sensibles narines. Tu te mets en chasse malgré l’odeur peu appétissante, la proie est faible, il fallait en profiter. Tes mouvements ne sont que fluidité, t’étais taillé pour cette activité et c’est pourquoi ta victime n’avait aucune chance quand tu t’élanças sur son pauvre corps, la gueule grande ouverte, les griffes toutes dehors. À ses yeux, le monde ne devenait que fourrure et douleur, neige et griffures, le monde n’était qu’un ensemble de deux couleurs, du rouge et blanc. Son faible corps tente de se libérer de ton emprise, un cri tente de sortir par la voie de sa gorge troué de tes crocs,  ce ne sont que de vaines tentatives qui l'emmènes qui l'emmène encore plus rapidement à l'état de cadavre, tu te nourris de toute cette vie qui s'échappe par des flots vermeilles, tu te nourris de tout ce qui l’emplie, sans faire attention à ses beaux yeux qui se ternissent et à son vissage figé dans un dernier cri qu’elle ne poussera que de l’autre côté. Elle était la huitième victime et t’en tirais aucun remords, tu ne faisais que survivre, vivre comme tout animal sur cette planète. Tes souvenirs d’humains finissaient quelque peu par disparaître tout comme ce qui te liait à l’humanité, le visage de tes premières victimes que tu aurais appelé parents commençait déjà à s’effriter, tout semblait s’enfouir, tu ne sais où, s’enterrer jour après jour, à chacun de tes pas, à chacun de tes meurtres. Wolfang Aberdeen disparaissait, il ne restait que sa plus vile ombre, une bête sauvage.

Tu fuis, t’es passé du prédateur à la proie, tes deux jambes que tu avais maintenant récupérées, te permettaient difficilement de fuir à la vitesse que tu désirais. Tes plus bas instincts te disaient qu’il était temps que tu te transformes, que t’utilises les capacités qu’il t’avait été donné par ton statut de mutant dans leurs intégralité. Mais tu refusais d’écouter cette voix enchanteresse qui se faisait plus forte alors que la peur te glaçait le sang, elle te froissait les entrailles, et t’aurais été près de vomir si tu ne l’avais pas déjà fait quelque heures auparavant tentant de recracher une nouvelle fois cette viande sanguinolente que t’avais toujours l’impression de trouver dans ton gosier, c’était un goût qui restait sur ta langue alors qu’il était vieux de plusieurs mois, mais c’était une chose qui te hantait, tu te réveillais avec la tête de ces personnes dont tu t’étais nourri avec plaisir et délectation, t’avais envie de te frapper, de te faire ouvrir les tripes, ça serait surement la punition que tu méritais, te voir subir tes méfaits. Tu manques de te faire écraser par une voiture alors que tu sors d’une ruelle, t’emmerdes la ville de New-York et toutes ses putains de voitures jaunes. Tu dévales les escaliers sombres, sautes à travers un tourniquet, pour rentrer dans une rame de métro et perdre des poursuivants, des hommes aux uniformes bleus qui ne voulaient pas que ton bien. Tu te poses sur un siège et t’attends, tu vois les différentes stations défilées tout comme tes pensées. T’avais perdu quatre ans de ta vie en tant qu’animal sauvage, t’en revenais toujours pas, tu l’avais vu dans un journal cette maudite date qui te séparait de ta vie, quatre bonnes années qui s’étaient écoulées aussi rapidement qu’une semaine. Tu peinais à retrouver des habitudes humaines quoi de plus normal quand on a été un monstre durant plusieurs années, tu ne peux pas redevenir un être humain en un claquement de doigts, fallait que tu réapprennes un tas de trucs. Tu devais dire que tu n’étais plus dans un lieu sauvage, que t’étais plus un animal t’en étais heureux, mais t’arrivais pas à retrouver le comportement de l’adolescent, il était mort en même temps que tes parents, dont la saveur te torturait l’esprit, tout comme les cris qu’ils poussaient, ton prénom qu’ils scandaient pour enfin que t’arrêtes de les bouffer. Un haut-le-cœur te prend en repensant à tout ça, ton regard dérive sous ton immonde apparence que tu fuis, elle aussi. T’as vachement changé en quatre ans, tu ne te reconnais plus aussi bien mentalement que physiquement. On annonce le terminus et tu descends machinalement, chaque jour, c’était la même chose, tu tentais de survivre ce qui signifiait voler puis en général s’enfuir la sirène aux trousses. Tu n'étais pas le plus grand des voleurs mais tes capacités te permettaient te t’en sortir sans trop de soucis, tu t’avais pris l’agilité d’un écureuil pensant la créature inoffensive, tu disais que ta seule envie en cette saison serait de faire des provisions pour l’hiver qui approche, vos intentions pourrais-tu dire convergeaient , tu pensais que ça irait, mais tu ne pensais pas que la bête puisse se montrer aussi agressive, heureusement, t’arrivais plus ou moins à te contrôler, et c’est le seul animal que t’osais copier car peu à peu, tu te faisais à sa personnalité. Tu parcours les rues restant dans l'ombre et tu rejoins ta planque, une ancienne zone industrielle maintenant vide de toutes vies, ci ce n’est de nuisible. Tu caches ton butin dans le même conduit que d’habitude, où une bonne liasse de billets se formait déjà, t’espérais un jour avoir assez pour t’acheter un réel toit, puis ensuite suivre des études, une vie normal en somme, faire comme si tout cela ne s’était pas passé, oublier tes fautes et peut-être même ta mutation, c’était le fin espoir qui t’animait aujourd’hui, même si tu devrais utiliser des moyens peu recommandables pour y parvenir, car après tout la vie tu l’as bien appris, ça reste la jungle.


La sueur coule le long de ton dos alors que tu sors de la salle des dangers, le sourire aux lèvres malgré votre défaite. « Les Avengers sont trop forts pour nous ! » « Je ne te le fais pas dire, on ne fait pas le poids, mais pas le poids du tout » « En même temps comment tu veux faire le poids face à une personne qui est un Dieu » « Ce n’est pas un Dieu, c’est un putain d’Alien » « T’as vu ses bras et son corps ?! Non, lui s’est une putain de divinité pas comme Miss Roe ou Mister Doe » t’acquiesces les dires de ta camarade. Quelle idée aviez-vous eu en voulant vous vous confrontez à l’une des équipes les plus puissantes de l’univers, non, tu ne sais pas, c’était juste un petit délire entre vous pour vous tester dirons-nous et faut avouer que se faire déchirer la tronche par le célèbre Captain America c’était plutôt fun. « Si tu avais moins bavé devant ses biceps, on aurait peut-être eu une chance » tu éclates de rire « tu faisais la même devant la Veuve et son coup de pied acrobatique » tu le vois rougir et tu lui donnes une brève tape sur l’épaule « de toute façon, on avait aucune chance, ce sont les … Avengers !! Alors, fallait bien profiter du spectacle » Brett soupires, tu penses qu’il était certain de les battre, alors que vous n’étiez pour la plupart que des novices. T’avais rejoint l’institut depuis maintenant quelques années et ça ne faisait pas autant de toi un super-héros comme t’aurais pu l’espérer. Faut dire qu’il fallait qu’ils te réparent, qu’on te reconstruise, que d’une certaine façon, tu te retrouves après ta vie sauvage et celle dans les rues, le résultat était plutôt réussi, tu te faisais sociable moins violent, sauvage, plus sympathique, tu n’étais plus une créature solitaire, tu pouvais compter sur des personnes, que t’aurais maintenant l’audace de comparer à une famille, même s’il t’arrivait parfois de te considérer comme le vilain mouton noir, comme l’un des seuls qui avait du sang d’innocents sur les mains. Mais ce sont des fautes que l'on a effacé de ton ardoise, t'as pas l'impression que t'en tienne rigueur, même si tu te sais surveiller, faudrait pas que tu replonges complètement en mode animal. T’avais aussi rattrapé ton retard scolaire avec succès et tu pouvais maintenant suivre des études qui semblaient te convenir. Pour être un super, il ne te restait plus qu’à améliorer la maîtrise de tes pouvoirs que tu venais tout juste de comprendre pleinement, approfondir tes acquis en corps-à-corps, en tire et ce genre de choses qui te paraissaient indispensables « on fera tous mieux la prochaine fois ok ? On tentera de battre notre record de trois misérables minutes… » ta nouvelle vie s’annonçait radieuse, éreintante mais radieuse .


 

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; ichor. 18 ans et masculin   Fréquence de connexion ; le plus souvent possible, même si pour rp ça sera plus le week-end vu que les vacances c'est fini   Que pensez-vous du forum? ; il est fab, tout comme le staff et leurs perso qui déchirent. (je dois n’empêche affirmer que ce sont presque tous des psychos . je parle du staff ) Comment l'avez-vous découvert ? bazzart.   Célébrité choisie ; Colton Haynes . Credits (avatar, icon etc.) ; mon ami tumblr.