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 INTRIGUE N°3 → neutral : riot.

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STAN LEE
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riot
Amadeus, Aloysius, Andrew, Jeremiah, Richard, Elizabeth G., Willow, Evelyn & Qadir


contexte
Ils sont venus avec des sourires, de bonnes intentions et des pancartes clamant que les mutants ne sont pas des monstres. Qu’ils sont des citoyens de ce monde et ne méritent pas ce qu’on leur fait subir. Ils sont venus montrer aux mutants qu’ils les soutiennent et n’ont pas peur d’eux. La police et les agents de l’UPH sont venus les encadrer, calmement. Puis le premier fumigène a atterri au milieu de la foule et a répandu son gaz, semant la panique. Ensuite sont venus les casseurs, masqués, cagoulés, armés de battes et de pieds de biche pour certains, d’armes à feu pour d’autres. Ils se sont mis à vomir leur haine des mutants, à cogner sur les manifestants pacifistes, les flics et même les passants. Des voitures ont pris feu, des boutiques ont été saccagées.

Hélas, ce n’est que le début.

situation
Aloysius fait partie des casseurs, bien évidemment. Le bandana noué autour de son visage masque son sourire dingue, tandis qu’il traverse la foule qui crie et panique en gloussant. Jeremiah se tient un peu plus à l’écart, Andrew flanqué à ses basques et observe la scène calmement. Il est bien le seul à l’être. Willow est venue pour recueillir des témoignages, elle se retrouve bousculée par les gens qui tentent d’échapper à cette folie, incapable de trouver une échappatoire. Alors qu’on la pousse un peu trop fort, elle percute de plein fouet Elizabeth, qui se retrouve dans le même pétrin qu’elle.
Evelyn est en larmes, la fumée la fait suffoquer et elle ne voit plus rien. Alors qu’elle trébuche sur ce qui doit être un trottoir, elle se sent tomber et pousse une exclamation, lorsqu’on la rattrape fermement par le bras. Quand elle lève la tête pour voir qui l’a empêchée de s’écraser tête la première sur le bitume, elle reconnaît les traits durs et agacés de Richard, sous ses larmes. Qadir évite de justesse de percuter une gamine hystérique en utilisant son pouvoir. Pourquoi a-t-il mis le nez dehors, au juste ? Il va déménager. Non, vraiment, cette ville est devenue complètement barge.

Amadeus est au milieu de la foule et tente tant bien que mal d’arrêter les casseurs. Plus mal que bien, car son crâne est si douloureux qu’il a l’impression qu’il va exploser. Toute cette colère, cette peur, cette haine. Il ne sait plus quoi en faire. Il parvient à mettre la main sur un type cagoulé et au lieu de tout simplement l’arrêter comme il devrait le faire, son poing s’abat sur son visage. Il ne parvient pas à se maîtriser.

C’est trop. Toute cette haine. Il ne la supporte pas. Elle va le rendre fou. Il faut qu’il s’en débarrasse. Il faut absolument qu’il s’en débarrasse.

Il ne sait pas ce qu’il fait, il n’en a même pas conscience. Mais les casseurs anti-mutants se mettent à frapper plus fort, certains tirent leurs armes et hurlent leur colère aux mutants. La foule terrifiée cesse d’avoir peur et se met également en colère. Ceux qui souhaitaient juste s’enfuir et rentrer chez eux se mettent à rendre coup pour coup.

Ils ont la rage. Tous autant qu’ils sont, ils ont la rage. Ils se détestent tous et ne pensent qu’à une chose : extérioriser cette colère qui les envahit.

Ils vont tous s'entre-tuer.

explications
Et voilààààà, c'est l'intrigue #3 !  Que ce soit dit et bien dit : Amadeus n'y est pour rien. Bon, okay, juste un peu. Mais c'pas sa faute, il contrôle pas.  INTRIGUE N°3 → neutral : riot. 3898559164 Du coup, que vous soyez pacifistes et calmes, on s'en branle, vous êtes tous super vénères, allez, enjaillez vous bien ! INTRIGUE N°3 → neutral : riot. 2258591103 Quelques petites règles pour que tout se déroule parfaitement :

Tout d’abord, nous n’imposons aucun ordre, vous postez quand vous voulez, quand vous pouvez, si vous avez une idée, n’hésitez surtout pas !
Pour éviter que plusieurs personnes écrivent en même temps et qu’un des deux se retrouve avec un RP à éditer ou modifier intégralement, nous vous proposons un petit système très simple. Dès que vous avez l’intention de répondre à l’intrigue (dans l’heure ou les deux heures qui suivent, pas plus), venez prévenir les autres ici.

Ensuite, comme nous voulons que ça aille vite, que ça s’enchaîne bien, nous vous conseillons d’écrire des RPs comportant entre 300 et 1000 mots. Si vous voulez faire plus, allez-y, personne ne vous en empêche, mais sachez que vous avez le droit de faire plus court que d’habitude ici.

Et enfin, dernière chose, participer à l’intrigue et y répondre rapidement vous rapporte des points !  N’oubliez surtout pas d’aller les réclamer ici. Sinon, le plus important, voici le nombre de points que vous pouvez remporter :

Répondre à l’intrigue en moins de 12 heures ›› 75 points
Répondre  à l’intrigue en moins de 24 heures ›› 50 points
Répondre à l’intrigue en moins d'une semaine ›› 25 points

Petit rappel : par « en moins de 12 heures », nous sous-entendons bien évidemment depuis le dernier RP posté, pas uniquement par rapport au post du PNJ ! ;)

Voilà c’est tout. Surtout, n’oubliez pas de vous éclater !
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Dernière édition par STAN LEE le Mar 28 Juin - 18:31, édité 1 fois
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Jeremiah Reagan
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D'accord d'accord... Au début, je n'étais pas trop chaud pour interrompre cette manifestation de débiles. Et puis je me suis dit qu'il y aurait des mutants dedans, que dans les mouvements de foule, ils utiliseraient sans doute leur pouvoir. Ils seraient plus facile à identifier et puis franchement... une manifestation pacifiste pour les mutants, si ce n'est pas de la provocation. En plus j'ai mal dormi ces derniers jours, tout ça... Accompagné d'Andrew, je me pose d'abord en observateur. J'ai un foulard sombre autour du cou, au cas où il faudrait que je rejoigne le groupe. Et je suis sorti armé. Au début le groupe marche tranquillement. J'observe les policiers, les membres de l'UPH. Ils me dégoutent. Je m'allume une petite cigarette en attendant, tourne le regard vers Andrew avec un sourire en coin : « Et sinon ta semaine a bien commencé ? Pas trop fatigué par tes gardes ? » Je tire sur la cigarette, envoie la fumée sur le côté puis quitte l'infirmier du regard un moment.

Le principal c'est de ne pas passer pour un dégénéré tout de suite à ses yeux, pas avant qu'il n'ait ouvert les siens. Forcément, on aurait pu y envoyer quelques mutants avec puces. Mais autant Magnéto qui veut montrer sa force en détruisant des lieux fréquentés, c'est plausible. Mais qu'il s'en prenne à une manifestation en faveur des monstres, c'est un peu plus délicat. Quoique j'imagine qu'il est aussi proche des humains de bonne volonté que moi des monstres qui « veulent faire le bien ». Aucune distinction. Le premier fumigène a dessiné une courbe parfaite pour atterrir dans la foule. Et les Watchers, autant que les simples casseurs sont arrivés de toutes parts. Je m'adosse au mur et tire une nouvelle fois sur ma cigarette. Il n'empêche que des groupes se créent déjà sur les réseaux sociaux pour empêcher cette manifestation. Il suffit parfois de peu pour qu'une groupe d'énergumènes derrière des ordinateurs devienne un groupe... d'énergumènes derrière des foulards. L'effet de groupe sans doute. Je jette un œil à Andrew, prêt à l'attraper par la peau du cou s'il lui vient l'idée idiote d'aller rejoindre la masse. Autant rester ici, pendant que la panique fait son boulot. Pour l'instant.


Résumé utile:


Dernière édition par Jeremiah Reagan le Jeu 26 Mai - 22:15, édité 1 fois
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riot

Amadeus, Aloysius, Andrew, Jeremiah, Richard, Elizabeth G., Willow, Evelyn & Qadir
Quand Jeremiah lui a proposé de venir avec eux à cette manifestation, Andrew n'est pas trop pour, bien au contraire. Il ne sait pas ce que l'homme a prévu mais il n'a pas envie d'y participer. Mais... Il s'est laissé convaincre par le pasteur qui a su trouver les bons arguments. Il ne sait pas s'il a envie de rejoindre ce groupe : Les Watchers. Il comprend leurs envies, leurs avis, sur les mutants : il partage même quelques unes de leurs prises de positions. Mais il n'est pas sûr de vouloir agir comme eux. Est-ce vraiment nécessaire d'agir avec violence ? Andrew secoua la tête alors qu'il se remémore ce que certains mutants ont fait. Ils ont besoin d'être canalisés, d'être surveillés. Même si certains sont inoffensifs, ce n'est pas le cas de tous.

Alors qu'il est plongé dans ses pensées, Jeremiah attire son attention. « Et sinon ta semaine a bien commencé ? Pas trop fatigué par tes gardes ? » L'infirmier tourne son regard vers lui et le voit avec un sourire en coin sur les lèvres. Il l'observe quelques instants, le regarde expirer la fumée de sa cigarette à côté. Andrew parcoure la manifestations du regard. Sérieusement ? Ils vont avoir une discussion normale comme si la situation ne va pas dégénérer d'une seconde à l'autre. « Je... » Il avale sa salive, observant l'ami de Jeremiah, Aloyisus, prêt à attaquer à n'importe quel moment. Cet homme lui fait peur. Clairement. Il a vu son regard fou en arrivant, quand il a mis son bandana. Il est dangereux, c'est clair, et s'il peut l'éviter, l'infirmier le fera sans hésitation. « La semaine a été mouvementée mais pas plus que d'habitude. Et toi ? Beaucoup de pêcheur à purifier ou à condamner à l'enfer ? » Il envoie un petit sourire au pasteur. Malgré tout, il apprécie l'homme. C'est quelqu'un d'intéressant - et plutôt charmant, il faut le reconnaître - avec qui il est facile de discuter.

Il ouvrit la bouche quand la panique se déclenche, Aloyisus en tête de tout ça. Andrew voit tout ça et il s'appuie un peu plus contre le mur, les yeux écarquillés. Non... Ce n'est pas ce qu'il voulait. Protester, oui. Blesser des gens ? Non. Ça va trop loin, trop vite. L'infirmier n'est pas sûr de ce qu'il se passe, qui est qui. Il aimerait partir mais il sait qu'il a plus de chance de se faire écrabouiller par la foule plutôt que de retrouver son appartement alors il reste, tranquillement - presque sagement - aux côtés de Jeremiah contre le mur, en sécurité pour l'instant.  Il tourne son visage vers le pasteur, interdit. « Putain, Jeremiah, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? » Il est perdu, paumé, et espère secrètement une solution de la part de son vis-à-vis.

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RIOT.
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Saad était fatigué ce jour-là. Il avait soixante-ans passé, c’était un petit vieux robuste, mais il y avait des jours, où il avait besoin de se reposer, de ne pas trop en faire. C’était pour cela qu’il avait accepté d’embaucher Qadir – entre-autre. Il avait quelques courses à faire, néanmoins, comme aller à la banque. Donnant les procurations à Qadir, il l’envoya ce dernier en ville faire ce qu’il avait à faire à sa place. Et puis, ça le sortirait un peu. Il avait besoin de prendre l’air, Saad le voyait très bien. Mais s’il lui disait rien, Qadir resterait toutes ses journées dans sa chambre, à ne rien faire, si ce n’était broyer du noire comme jamais.

Qadir aimait Saad. Ils ne se connaissaient pas à l’époque. Mais Saad était l’une des rares personnes à respecter ce qu’il voulait vraiment : Du calme, de la quiétude, et de la tranquillité. Il prenait peu à peu la figure de père qu’il avait besoin, préférant la présence du vieux palestinien à celle de son père, ce qui lui avait causé beaucoup de soucis personnel avec sa propre famille. Mais Saad était là, bienveillant, respectant ses désirs, ne l’emmerdant pas outre mesure. Qadir obéissait facilement à Saad. Il ne réchignait jamais à effectuer les tâches que Saad ne faisait pas.

Qadir était sortit en début d’après-midi pour se rendre à la banque. Mais la manifestation le prit de court. Ils étaient là, avec leurs banderolles pro-mutants, demandant les mêmes droits que les êtres humains. En sois, Qadir n’était pas contre, mais depuis l’épisode Alcatraz, puis New-York, il y avait de quoi se méfier des gens de son espèce. A vouloir jouer les super-héros, on passait très rapidement du côté des marginaux. Ne pas suivre les lois écrites depuis des générations pour le bien commun n’aidait pas la cause des soit-disant super-héros. La justice était là pour… Non, Qadir s’en battait les parties de la justice, des droits communs, des… Il s’était recensé pour qu’on évite de lui briser les parties .

Il rabattit sa capuche sur sa tête et se mêla à la foule l’air boudeur. Ca avançait pas. Son regard se porta sur les panneaux qu’il cherchait pour s’y rendre en métro. Les gens se marchaient dessus malgré la bonne humeur ambiante. Qadir soupira.  Il resta dans cet état morose jusqu’à ce qu’il se mette à entendre des cris et des bruits de casses. Aussitôt, la foule tenta de se dissiper. Qadir repéra rapidement les casseurs anti-mutants qui venaient à la confrontation, n’hésitant pas à cogner sur les manifestants pacifiques.

Aussitôt, Qadir retira sa capuche. Une jeune fille hystérique lui fonçait dessus sans réellement le voir. Machinalement, il souffla, rendant alors son corps vaporeux pour qu’elle lui passe au travers avant de reprendre sa contenance. Des gens étranges étaient un peu plus loin à l’écart, comme s’ils regardaient le chaos de la scène s’envenimait pour que cela parte en une mutinerie, pire que celle qu’il y avait eut à l’hôpital. Une pierre lui frôla la tête. Qadir se retourna vers ce qui semblait être un jeune homme au visage caché par un bandana noir. Son sang ne fit qu’un tour. Il n’avait qu’une envie, c’était de lui écraser son poing dans la gueule, mais il préféra fuir, en tentant de gagner une entrée de métro.

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La loi de recensement des mutants était, selon Evelyn, une des plus belles conneries qu'il puisse exister et c'était donc tout naturellement qu'elle avait pris part à la manifestation de ce jour. Elle restait cependant un peu à l'écart pour observer les gens, comme elle avait souvent l'habitude de le faire. Elle comptait bien se servir de ses talents d'écriture pour dénoncer l'idiotie de cette loi, dans son prochain bouquin qui l'espérait-elle, serait un aussi gros succès que le précédent. Elle poussait par moment le cri de ralliement que la foule entonnait pour que tout le monde les entendent. Malheureusement, s'il y avait des gens qui était contre cette loi, il y en avait qui était forcément pour et, comme une scène de comédie musicale, les deux groupes allaient se croiser, l'un étant un peu plus violent que l'autre. Un projectile arriva à côté d'Evelyn, manquant de peu son visage avant de dégager sa fumée. Par pur réflexe, elle posa sa main devant sa bouche et son nez pour éviter de respirer cette fumée mais trop tard, elle commençait à déjà à tousser et sa vue se troublait. Elle n'avait pas jugé nécessaire de prendre son arme à feu pour ce qui devait être une manifestation pacifique, elle avait peut-être eu tort. La foule s'enveniment, elle essaya de la quitter sa main libre devant elle pour essayer de se repérer aux épaules qu'elle arrivait à toucher. Ne voyant pas où elle allait, elle ne put prévoir qu'elle était aussi proche du trottoir et son pied se prit dedans, l'entrainant dans une chute vers le pavé.

Elle ne dut son salut qu'à une main qui lui attrapa le bras, la stoppant en pleine chute. Elle prit un instant pour reprendre ses esprits, repositionnant ses pieds pour se redresser et finalement se tourner vers son sauveur, les yeux la piquant encore un peu.
"Mer…" Elle se stoppa net dans ses remerciements quand ses yeux purent faire la mise au point sur le visage de l'étranger. Son sang ne fit qu'un tour une fois de plus lorsque sa mémoire la frappa en plein visage. Cet étranger, c'était Richard, son défunt mari qui n'était plus aussi défunt que ça. Ils s'étaient revu il y a de ça quelques semaines maintenant, sur le pas de sa porte par une nuit d'orage et elle n'avait pas réellement encaissé le choc, lui demandant du temps pour réfléchir. Et elle n'avait pas encore eu le temps de trouver sa décision. Le cœur battait dans sa poitrine à vouloir s'en échapper. Ravalant sa salive, elle se dégagea de l'emprise de son mari et fit quelques pas hors de la foule, serrant ses bras en-dessous de sa poitrine et plongeant son regard rouge et en pleur à cause de la fumée – ou du moins, c'est ce qu'elle aurait pu faire croire – dans les irrégularités du trottoir.


Résumé larmoyant:
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Jeremiah Reagan
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Andrew semble surpris par... notre éloignement ou mon calme. Pourtant, je lui avais dit de ne pas s'inquiéter. Après la manifestation, je demanderai à Wesley de s'occuper des caméras, il y a des caméras sur les grosses artères de la rue, je ne voudrais pas que nos tronches soient repérées à un moment ou à un autre. À l'inverse, ce sera sans doute le moment pour nous pour voir qui a eu un comportement « anormal » dans la foule. Du genre téléportation, changement de forme et autres anomalies de ce genre... Quelque part j'admire Aloysius, sa détermination sans faille, lui qui sut choisir entre sa famille et son combat. Il ne craint pas de se salir les mains même si je soupçonne souvent qu'il y prenne un certain plaisir... « Je... » Je lance un regard vers Andrew. Ne me dites pas qu'il va déjà se chier dessus.

Son regard suit Aloy alors qu'il s'infiltre comme un poison. Je passe une main sous mon menton. Je me mets à suivre également sa trajectoire. J'ai envie de le suivre, j'ai envie de me défouler, j'en ai besoin. Je me mords les lèvres nerveusement puis décide de tirer une nouvelle fois sur la cigarette pour réussir à patienter. « La semaine a été mouvementée mais pas plus que d'habitude. Et toi ? Beaucoup de pêcheur à purifier ou à condamner à l'enfer ? » J'esquisse un sourire, tournant mon regard dans sa direction. Le son commence à monter autour de nous, je me penche vers lui et lui réponds avec un certain amusement : « Mais je ne condamne personne à l'enfer Andrew, je me contente de rendre le chemin vers le purgatoire plus rapide ». Un aller simple. Il a quand même de la réparti l'infirmier gay. D'ordinaire, ce genre d'ironie a plutôt le don de m'énerver mais venant de lui, ça passe mieux. Sans doute parce que je suis encore dans une période de séduction avec lui, où je veux éviter qu'il fasse marche arrière. Il peut encore le faire mais quand il aura commencé... quand il aura vraiment commencé, il ne pourra plus jamais reculer. S'il a le sang de Jimmy sur les mains, ce serait encore mieux.

Le son monte, monte. La tension atteint son apogée. Et ça éclate. Je vois Andrew reculer pour caler son dos au mur. Je jette une oeillade dans sa direction. Jette ma cigarette par terre. L'écrase. « Putain, Jeremiah, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? » Je tends mon bras gauche pour venir le caler sur le torse d'Andrew. « Patience. » Le sourire a disparu de mon visage. Un homme dont le visage est dissimulé par une capuche (Qadir) disparaît pour éviter une furieuse et semble réapparaître immédiatement. Nos regards se rencontrent. Je joins les mains, croisant mes doigts et les amènent à mes lèvres un instant. Dans ma poche de pantalon, un simple paquet de mouchoirs. J'en sors un, le déplie et le glisse autour de ma main doucement. Finalement, je tourne le dos à la foule pour venir me plaquer contre Andrew. Je désigne la masse dense de l'index, sans daigner leur offrir mon regard vide : « Tu vois Andrew, tu ne peux attendre sagement que les choses s'arrangent. Qu'est-ce que c'est qu'un coup de matraque sur la gueule quand on peut faire sortir les monstres ? Parce que c'est ce qu'ils sont, qu'ils le veuillent ou pas. Ils peuvent vouloir faire le bien... quand tu as une bombe accrochée au corps un jour ou l'autre, tu exploses. » Je cale mon front sur celui d'Andrew, accroche mes mains à sa nuque : « N'aie pas peur de cette colère que tu as Andrew, elle est justifiée. Laisse s'exprimer ta colère. Pense aux hurlements de ta mère. Est-ce que les êtres humains méritent de souffrir ainsi à cause de ces créatures ? Ils ne sont pas des hommes, pas des femmes, pas des enfants. Dès que leur mutation se révèle, ils ne sont plus ceux que nous avons connus, Andrew. Laisse parler ta colère, tu en as besoin... » Mes mains se saisissent d'une des siennes, je laisse une matraque télescopique serrée entre ses doigts. Si ce petit con essaie de me foutre sur la tronche avec, je jure devant Dieu – pardon – que je lui fais avaler ses dents sur le trottoir, dans les cinq secondes.

Résumé qui poutre tout:
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La situation s’était trouvée de plus en plus tendue. Faire croire en une maladie imaginaire n’avait pas tardé à être du domaine de l’impossible. Donc, elle avait dû revenir travailler. Pas le choix. Suite à des explications embrouillées, elle avait réussi à réduire son temps et ses obligations de travail, au risque de voir quelqu’un de plus ambitieux qu’elle lui passer devant. Cette perspective lui était totalement indifférente en vérité, alors que, quelques temps auparavant elle faisait absolument tout pour se rendre totalement indispensable. A présent, la seule chose qui comptait était que personne ne découvre son vilain petit secret. Elle était donc là, au milieu d’une manifestation pacifiste visant à défendre la place des mutants. Une situation qui ne manquait pas de sel, puisqu’elle participait ni plus ni moins à la défense de sa propre cause. Quoiqu’elle n’était pas une mutante, pas vraiment. Elle n’était pas née comme ça et nul doute que cette situation ne durerait pas toujours, alors tout ça ne comptait pas vraiment. Il fallait seulement qu’elle tienne le coup jusque là. Qu’elle se contienne, ce qui était loin d’être une partie de plaisir.

Elle était donc tranquillement occupée à interviewer l’un des participants sur la cause à laquelle il prenait part et ses convictions, quand la foule commença à s’agiter. Elle n’aurait su dire d’où cela provenait, mais son instinct de survie lui souffla de s’éloigner tant qu’elle le pouvait. Elle n’avait rien de brave et préférait ne pas être dans les parages si la situation venait à dégénérer. Ce qui arriva vite, bien trop vite. La foule se resserrait et elle était bien incapable de trouver une échappatoire. Elle se baissa et entreprit de se faufiler entre plusieurs personnes. Sa tentative échoua lorsqu’elle se fit brutalement bousculée par un individu non identifié. La surprise, ainsi que sa force, lui firent perdre l’équilibre, si bien qu’elle heurta non seulement une jeune femme qui n’avait rien demandé, mais créa un impact visible lorsqu’elle chuta contre le bitume. Etant donné la situation, elle ne s’en préoccupa guère et se releva aussi précipitamment que possible en voyant qu’elle était sur le point de se faire piétiner. Elle se mit à crier et sous le coup de la panique se sentit complètement désorientée. Elle tremblait comme une feuille, persuadée qu’elle allait mourir dans la seconde. Elle tourna la tête vers la jeune femme qu’elle avait bousculée, se sentant tout de même un peu coupable au vu de la situation. « Vous allez bien ? » Elle cria presque sans s’en rendre compte, d’une voix hystérique. Il fallait qu’elle sorte d’ici, mais elle ne savait absolument pas comment. Pour le moment elle essayait avant tout de se protéger. Jusqu’à ce qu’un inconnu, venu d’elle ne savait où, fonce droit sur elle. Réflexe oblige, elle mit ses mains tremblante devant elle pour le repousser, l’envoyant sous l’effet de la peur droit dans le décor. En public.

Oups.  
roller coaster


Résumé !:
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Lorsque j’ai su qu’Evelyn allait participer à cette manifestation, j’avais senti le truc venir à dix kilomètres. Non, ça ne pouvait définitivement pas bien se passer. Non, je ne pouvais pas prendre le risque d’avoir un incident sur la conscience, même si hypothétique. Et oui j’étais encore collé à ses basques, fort heureusement elle ignorait que je l’avais été pendant presque un an. En tant que pseudo-mutant recensé j’avais l’avantage d’avoir quelques informations; d’autant que j’étais au plus proche de certaines affaires les concernant. Enfin soit. J’étais dans le coin, sur le trottoir à marcher avec d’autres passants, à un rythme peu soutenu. Je suivais le cortège pacifiste. Puis il y eut le premier éclat…s'en suivit l'effet boule de neige habituel.
Ça casse, ça s’énerve, se frappe. C’est frénétique, incontrôlé. La tension est palpable, ça s’envenime. Je fronçai les sourcils en tentant de retrouver Evelyn que j’avais talonné, et je parvins à la voir, se distinguant de la masse en en sortant. Les fumigènes l’ont atteinte, elle vacille. Avant même qu’elle ne s’échoue par terre, je lui attrape le bras par réflexe, l’aidant à se redresser. « Ça va ?! Enfin… » J’avais l’air con. Très con. Moi d’habitude assuré, je perdais tous mes moyens face à elle. Comme un ado pré-pubère en face de son crush au collège. Je vois ses yeux larmoyants, rougis par le gaz qui l’avait touchée. Presque aussitôt je la relâchai. Est-ce que j’avais bien jaugé ma force ? Est-ce qu’elle ne souffrait pas trop ? Au lieu de ça, elle s’éloigna de moi. Ça me crève le cœur. Puis les gens se marchent dessus, se poussent, crient pour certains - la haine au bord des lèvres, toujours.

« Faut que tu te casses d’ici et vite, » lui intimai-je d’une voix suffisamment portante pour qu’elle terrasse un peu le bruit ambiant. Cette dernière trahissait à peine mon inquiétude, je ne voulais pas qu’elle soit un dégât collatéral. Fort heureusement, nous n’étions pas si éloignés que ça l’un l’autre. « C’est dangereux, ils… » Quelqu’un me bouscule, je remarque que c’est un homme armé d’une matraque. Sans réfléchir, je lui attrape le bras pour l’attirer vers moi et lui jetai mon coude dans le nez. Complètement sonné, il tomba par terre, aussi désarmé qu’inconscient. Il allait finir par se faire marcher dessus mais j’en avais rien à faire : il n’avait pas choisi le bon camp.

J’en vins à me dire qu’Evelyn ne m’avait jamais vu ainsi. Avant, je n’étais pas comme ça. Je ne savais pas me battre à proprement parler. Ok, j’avais toujours su mettre des droites à la force de mon entraînement de rugby, mais rien d’autre. Là c’était différent - j’étais différent. Mon regard vif se posant un peu partout du fait de cette effervescence, c’est lorsqu’une fissure humaine se créa que je pus discerner une silhouette qui était en son coeur (Amadeus). Lorsque je le vis, ce fut le choc. Il perdait complètement les pédales. J’avais déjà travaillé avec lui sur quelques affaires criminelles, je savais ce dont il était capable mais ô grand jamais il n’avait été un tel homme. « Hey… », je commençai à fendre la foule, mais il n’était pas très loin; cinq mètres tout au plus. « HEY ! », criai-je à son encontre. Il ne m’entend pas. Je le saisi, jouant de ma force surhumaine.  Je sens des personnes s’acharner sur mon dos, me matraquant comme des dératés. Je prends sur moi pour ne pas lâcher le flic et leur refaire le portrait. « Jaëger ! » Je le rappelle à l’ordre, mais il est submergé par quelque chose que je ne connais pas, que je ne ressens pas. Son regard fuyant me le crie autant que ses battements de coeur affolés. « Regarde-moi ! » Je le tirai de force en dehors de la masse, rejoignant de nouveau Evelyn qui était toujours présente. J’ai ses poignets dans mes mains et je lui maintiens la tête au mieux. « REGARDE-MOI, MERDE ! » Faites qu’il le fasse. C’était le seul moyen pour l’apaiser, même si j’avais horreur de faire ça à des innocents.

C'est mon ultime bafouille, Marcel:
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Amadeus, Aloysius, Andrew, Jeremiah, Richard, Elizabeth G., Willow, Evelyn & Qadir
D’une main tremblante, Amadeus retire le casque qui lui protège le visage. Il étouffe. Il n’arrive pas à reprendre son souffle, la colère le fait suffoquer. Il a envie de retirer son uniforme, sa peau le brule, ses articulations le démangent. Il sent qu’on le bouscule et ce n’est pas une raison, vraiment, ça n’en est pas une. Mais c’est plus fort que lui, il attrape le type qui vient de lui rentrer dedans et lui colle son poing en plein visage. Il ne se contrôle pas, il n’y arrive pas. Il essaye pourtant, de repousser la colère, elle n’est pas à lui et elle s’infiltre dans chaque parcelle de sa conscience, c’est insoutenable. Il perd la lutte et il finit par s’abandonner. Il ne se rend même pas compte que si c’est le chaos autour de lui, c’est entièrement de sa faute. Parce qu’en plus de capter les émotions des autres, désormais, il les relâche, les impose à ceux qui l’entourent. Ca ne lui est jamais arrivé auparavant, alors il n’est même pas fichu de se rendre compte que c’est lui qui cause ça.
Amadeus sent qu’on l’attrape et il pousse un grondement de rage avant de faire un mouvement brusque pour se dégager. Mais ça ne fonctionne pas. Qu’il le lâche. Il faut qu’il le lâche. Il a besoin de se débarrasser de cette rage, il n’en peut plus, il va étouffer, il veut juste--  « Jaëger ! » on l’appelle. Ce n’est pas important, plus rien n’a d’importance. Il continue de se débattre, grogne, crie de frustration quand il voit que ça ne marche pas. « Regarde-moi ! » On le tire et il tente bien de lutter, il ne veut pas s’en aller, il veut cogner, griffer, mordre. Mais rien n’y fait, celui qui l’entraîne plus loin est bien plus fort que lui.

Ils s’éloignent un peu de la foule et c’est… c’est mieux. Un petit peu mieux.  « REGARDE-MOI, MERDE ! » Amadeus sursaute. Ses yeux écarquillés se posent enfin devant lui et il reconnaît les traits de celui qui lui cramponne durement les poignets. « Vaughan ? » hoquète-t-il d’une voix rauque. Qu’est-ce qu’il fiche ici ? C’est lui qui l’a tiré là ? Son regard se pose sur ses propres phalanges qu’il voit très bien d’ici et il remarque qu’elles sont pleines de sang. Pas le sien. Sa gorge se noue et il secoue la tête. « J’arrive pas à— » Sa voix se brise et il ferme les yeux avec un gémissement. Son crâne va exploser.
Il est en colère, il a peur, il a mal. Trop d’émotions qu’il ne parvient plus à analyser ni à trier. Il ne sait plus lesquelles sont les siennes. Il sent qu’un liquide chaud lui coule le long du visage. C’est son nez qui saigne. Mais il n’a pas pris de coups, ce n’est pas à cause de ça. « Sors-moi de là, » murmure-t-il faiblement. S’il ne s’éloigne pas vite, il va en crever.

Il ne se rend toujours pas compte que c’est tous les autres qui vont finir par s’entretuer s’il ne se contrôle pas.
 
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Aloysius O'Sullivan
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L’idée était simple. Perturber au maximum cette manifestation de hippies adorateurs de ces monstres. Aloysius sentait bien cette soirée. Il sentait qu’il allait pouvoir bien s’amuser. Casquette bien vissée sur la tête, Aloysius remonta son bandana devant son visage avant d’enfin entrer en scène. Il se trouvait là, les bras croisés, appuyé contre le mur, attendant le signal de départ qui ne devrait pas tarder à arriver. Justement, en parlant du loup, voilà que le signal était donné. Il suivit des yeux la courbe qu’effectua le fumigène dans les airs avant de retomber en plein milieu de la foule de manifestant. Il était temps de s’y mettre. Il pouvait entendre le chef d’équipe de la police demander en criant quel était l’imbécile qui avait lancé un fumigène. Aloysius eut un petit rire en l’entendant. Ils avaient tout prévu. Ils avaient réussi à obtenir quelques fumigènes utilisés par la police dans ce genre de situation, et un des leurs s’était glissé derrière eux avant de le lancer au milieu de la foule, ce qui rendrait la confusion encore plus grande.

Il s’avança au milieu de la foule, pied de biche en main. Il faucha une première personne au niveau des genoux, avant de lui asséner un grand coup sur la tête. Il continua son chemin et se mit à siffloter joyeusement l’air de l’Hymne à la joie, tout en continuant à distribuer des coups à droite et à gauche, assommant, blessant plus ou moins gravement les personnes qui se trouvaient sur son chemin. D’un coup il sentit une bouffée de haine le prendre aux tripes. Le nombre des coups qu’il donnait redoubla, tout comme la force qu’il mettait dedans. Il continua de siffloter l’Hymne à la joie, mais d’une manière plus agressive, entrecoupé d’un rire maniaque. Il ne savait pas d’où venait cette haine qu’il ressentait mais elle lui permettait d’assouvir ses plus bas instincts et de se défouler. Du coin de l’œil, il repéra Jeremiah, qui était venu accompagné d’un jeune homme dont il ne se rappelait plus le nom. Une possible future recrue pour la cause. Sa tête ne lui était pas inconnue, mais Aloysius n’arrivait pas à mettre le doigt sur quand et comment il l’avait déjà rencontré. Et ne pas savoir l’énervait. Il déversa cette colère supplémentaire sur une jeune femme à laquelle il cassa un bras et ouvrit le crâne. Il la laissa là, au sol, se vider de son sang, pour partir à la recherche d’une nouvelle victime qu’il trouva rapidement. Il sourit sous son bandana et jongla avec son pied de biche avant de donner un grand coup avec dans le dos de l’homme qui s’effondra lui aussi au sol. Finalement il s’amusait encore plus que ce qu’il avait imaginé. L’homme à terre se retourna sur le dos et lança un regard embrumé par la douleur à Aloysius. Celui-ci pencha la tête sur la côté en souriant avant de s’adresser à l’homme. « Faites de beaux rêves !! » Et il abattit son arme sur la tête de l’homme.
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Douce folie que de venir par ici. Elle savait bien que cela pouvait dégénérer mais elle avait voulue venir, la prochaine fois, elle réfléchirais à deux fois. Son garde du corps était plus loi pour la protéger au cas ou. Elizabeth cherchait Jeremiah du regard, il devait lui aussi être là, elle le sentait. L'homme devait être tout prêt durant cette manifestations des amoureux des mutants. La manifestation était tellement ennuyante et niaise que cela donnait envie de vomir à Elizabeth. Comment des gens pouvaient montrer leur amour pour ces anormaux ? Alors qu'elle se disait cela toute l'ambiance changea, ce fut d'abord des casseurs et des anti-mutant qui s'attaquaient à la foule. Elizabeth devait partir le plus vite possible. Une femme lui rentra dedans. Elle détestait ne rien contrôler et cette femme l'aida à se relever. a femme utilisa ses pouvoirs en plein milieu de la foule en poussant simplement un homme. Cette femme devait mourir, elle n'était pas normale. Elizabeth ressentit toute sa haine envers ces personnes se réveillée doucement. La femme en face d'elle devait mourir alors elle fit en sorte d’appeler les casseurs. Une mutante ici, elle a faillit m'attaquer. Un homme s'est envolé face à elle. Elizabeth ne se sentait pas très bien, sa haine se multipliait par dix. Cette femme allait devenir une victime pour les anti-mutants. Sa vie deviendrait sombre et pleine de terreurs. La folie s'emparait encore une fois des rues de New York. Les hommes étaient toujours aussi fou. Il fallait que les idées d’Elizabeth et du roi prennent place dans ce monde. Le monde exploserait mais Elizabeth serait du coté des gagnants. Elizabeth cherchait toujours Jeremiah, elle devait le trouver c'était pour lui qu'elle était venue au départ.

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RIOT.
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Ce fut soudain. Alors que Qadir approchait la rame de métro, une violente colère l’envahit soudain. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi il se sentait si haineux tout à coup. Il n’avait qu’une envie, c’était qu’on ne l’emmerdait pas, sinon, ça risquait de partir très vite. Ce qui ne tarda pas à arriver. Quelqu’un lui abattit une bouteille de bières vide sur l’arrière du crâne, et ce fut la goutte d’eau dans cette océan de colère qui fit déborder le vase. Après, un bref instant où il posa ses mains sur l’arrière de sa tête pour y voir ensuite un liquide carmin sur ses doigts dorés, il laissa exploser sa rage. Il se retourna instantanément, et envoya son poing, dont il changea la densité pour en faire un véritable bélier, s’écraser dans la face du pauvre homme qui venait de le frapper.

Ce fut simple, mais efficace. L’homme qui se prit le coup de poing traversa la rue de bien cinquante mètres, avant d’être réceptionner par le mur d’une boutique. Il n’y avait pas besoin de faire un dessin pour comprendre que l’homme, s’il avait survécu à cela, allait probablement mettre pas mal de temps à s’en remettre. Qadir était en transe. Il ne comprenait pas cet état soudain. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il cherchait cette rame de métro, que ses yeux plein de rage ne voyaient plus. Il cherchait de partout, regardant à droite, puis à gauche, sans jamais la trouver alors qu’elle n’était qu’à une cinquantaine de mètres derrière lui.

Autour de lui, c’était le chaos. Tout le monde se mettait sur la gueule, mais cela ne sembla pas lui faire tilt sur le moment. Tout ce qu’il cherchait n’était pas là. Rendant les coups qu’on tentait de lui mettre en utilisant ses pouvoirs, il devint très rapidement incontrôlable au point de ne voir plus que du rouge et du sang.


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Je me détache d'Andrew, lui laissant la matraque dans la main. J'ai confiance en lui, en dépit des apparences. Les apparences ? Pas mon comportement mais le sien. Quand je l'ai rencontré, il semblait tellement englué dans son quotidien que j'ai cru ne pas réussir à vraiment l'atteindre. Maintenant je veux briser ses repères, ses attaches pour qu'il dérive et qu'il vienne vers nous. Je laisse ma main dans la nuque d'Andrew. Je me dégage de son champ de vision pour que la scène s'offre à son regard. Je ferme les yeux une seconde. Comme une... J'ai toujours été en colère, même si finalement aucun motif personnel, intime, ancien ne me pousse à profondément haïr les mutants. Mais ils me poussent à continuer. Je ne suis pas seulement en colère contre eux. Je me déteste, chaque fois que je franchis la ligne rouge. À chaque fois que je défie « tu ne tueras point ». Quand je me dis qu'ils ne sont pas des hommes, j'arrive à me convaincre qu'ils ne méritent pas la clémence divine. Mais à chaque fois, je me déteste un peu plus, autant que je les déteste. Si je devais mourir pour en finir avec Magnéto, je le ferais parce que ma vie n'a pas d'importance. Seule notre cause en a réellement.

Mon poing se serre. Je baisse le visage vers le sol. Qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi je n'arrive pas à refouler cette pulsion ? Je cale mes mains sur mon visage, prends une immense inspiration, la bloque. Est-ce qu'Il est en train de m'envoyer un message, me trouve trop inactif ? Ne suis-je pas à la hauteur de ce qu'il me demande, chaque jour, chaque semaine, à chaque instant depuis toutes ces années ? Mais j'ai pourtant planifié, j'ai sacrifié, j'ai cherché comment tous les exterminer. Seigneur, ne me laisse pas être submergé par cette colère, elle me perdra, elle nous perdra tous. J'aggripe Andrew par sa veste et l'amène à moi soudainement : « Maintenant vas-y ! »

D'un mouvement plus brutal que je ne l'aurais voulu, je l'envoie directement en direction de la foule. Je balance ma tête en arrière puis me mets finalement à le suivre. Un léger sourire vient habiter mes lèvres quand je vois le chaos faire son œuvre. Quand je vois Anarchy. Je couvre mon visage. Je reconnais facilement Aloysius plus loin. J'ai perdu Andrew de vue déjà, il faudra que je remette la main dessus. L'horloger laisse derrière lui le cadavre d'une femme qui perd beaucoup de sang, elle oscille encore entre la vie et l'inconscience, entre la conscience et la mort. Je m'accroupis près d'elle, la détaille brièvement. Je plonge la main dans ma poche. J'avais dit que j'étais sorti armé, je ne pensais pas que je serais amené à les utiliser. Je fronce les sourcils, pourquoi cet environnement paraît-il soudain si excitant, si galvanisant ? Je me redresse. Je tourne sur moi-même pour les voir s'entredéchirer. La police paraît totalement débordée, l'HPU l'est également. J'essaie de repérer ceux qui usent de leurs pouvoirs pour se protéger, pour s'enfuir, pour protéger ceux qui les accompagnent. Parfois, ce ne sont que des détails physiques, des pouvoirs inutiles. Des monstres inutiles. Privés d'humanité sans possibilité de se défendre. Privés d'humanité sans oser égaler les anges. L'une d'entre elle tombe non-loin de moi et à voir le trou qu'elle laisse dans le sol, j'en déduis qu'elle doit avoir une sacré puissance. J'approche, elle pousse une femme, fait mine de s'enquérir de son état puis envoie un de mes Watchers plus loin. Mais... où est Jesse putain ?

J'aperçois alors Lady Greywood plus loin. Je lui fais un petit signe de la main quand nos regards se croisent et je m'approche de la créature (Willow). Un gars passe près de moi avec les restes d'une pancarte de sympathisants à la cause mutante. Je pivote sur le côté, attendant qu'il soit assez près durant sa course et abats simplement mon poing contre sa gorge. Il tombe à la renverse. Je profite qu'il soit à terre pour lui foutre quelques coups de pieds dans le caisson et dans la gueule. L'arcade. Le nez. La lèvre. Quand il est assez sonné, je pose un genou contre sa cage thoracique. Je prends son visage de ma main libre : « Ne sens-tu pas le monde s'écrouler sous tes pieds, pauvre inconscient ? Ils contrôlent le feu, l'air, l'eau, la terre, ils contrôlent ton esprit, ton sang, tes aspirations et tes angoisses, ils contrôlent le temps, l'espace et la réalité. Ne sens-tu pas que tu détruis ton avenir ? » Je me penche davantage contre lui. Il me regarde, l'air surpris. Je retire la lame de son flanc doucement. Ses yeux s'illuminent, d'une couleur qui chavire entre le vert émeraude et une couleur métallisée. C'est magnifique. Est-ce ainsi que ceux qui ne se battent pas pensent pouvoir nous convertir ? Ils veulent nous détourner du Tout-Puissant. Ces yeux ne sont pas magnifiques, ce ne sont que des armes du Diable. Mon visage se tord dans une moue de dégoût. Je ressers ma poigne sur le couteau. Ma main se met à trembler. Ma veste camoufle les cicatrices sur mon bras gauche, toutes ces traces de ma culpabilité. Mon esprit me dit de ne pas le faire, c'est inutile. Mon esprit me dit d'arrêter. Mon esprit me dit que exécution est terminée. Ma haine me fait planter la lame dans l’œil gauche. D'un geste de boucher, je coupe les nerfs et extraits l'oeil mutilé de son orbite. Je laisse échapper un ricanement et fais de même pour le second. Je me mets debout, triomphant, les yeux en main. Je crois que le Diable est un peu plus aveugle maintenant.

Je rejoins Elizabeth. Je tiens le couteau dans ma main gauche et les yeux dans la droite. Mon bras gauche se passe autour de sa taille. Je lui dis d'une voix assez forte pour couvrir le brouhaha qui nous entoure : « Tu raconteras ça à ta petite sœur. C'est pour tous les humains. C'est pour elle. » Je la regarde, elle est un rappel du passé. Elle me ramène parfois à « avant » comme avant que tout ne dégénère. Avant que Lewis, Sarah et Aaron ne se détournent de leur véritable cause. Je lui conseille de faire attention puis lance les yeux aux pieds de Willow. Je tends la lame dans sa direction : « On sait qui tu es ! On sait ce que tu es maintenant. » Je veux faire un nouveau pas vers elle mais un projectile humain me percute de plein fouet. Je m'écroule sur trois personnes qui se battent. Je lève les yeux au ciel : N'est-ce pas le bon moment ? C'est ce que tu veux me dire ? Je regarde l'origine du « projectile » et aperçois un homme qui se bat avec la rage de dix lions. Je plonge la main dans ma poche et récupère le prépayé que j'ai acheté pour l'occasion. Je me mets à filmer dans la direction de la mutante (Willow), en espérant que je l'aurais assez bien pour pouvoir l'identifier plus tard. Puis je fais de même vers l'homme (Qadir). Je remets le téléphone dans ma poche et m'avance vers lui, l'interpellant simplement : « Toi, hé toi ! »

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Riot
Les mots de Richard raisonnaient dans sa tête malgré le fait qu'elle avait fait son deuil depuis plusieurs années. Et pourtant, ce timbre de voix n'avait pas pris une ride. Toujours le dos tourné à celui qui avait partagé sa vie, elle essayait malgré tout de garder ses larmes au bord de ses yeux. Une partie d'elle avait envie de le serrer dans ses bras malgré tout mais une autre préférait l'évité ou plus vite ne savait pas réellement comment réagir. Elle passa une de ses mains devant ses yeux avant de se retourner, Richard n'ayant pas fini sa phrase. Un homme, muni d'une matraque était arrivé pour l'agresser, une bien triste erreur au vue de la façon dont il se fit calmer sur place. Décidément, son mari, un simple journaliste, semblait avoir bien changé depuis des années. Un autre homme possédant la même arme contendante s'approchait à présent Evelyn, avec la même pensée que son ami, mais désirant s'attaquer à une cible plus faible. Grossière erreur. Alors que le bâton s'abattait sur elle, elle le saisit et fit tourner le bras de l'agresseur, ce servant de sa matraque pour l'immobilisé à son tour avant de le renvoyer chuter contre le sol devant lui, au milieu de la foule. Nul doute qu'il allait devenir à son tour la cible des personnes enragées de cette manifestation. Elle se retourna vers Richard "Je n'ai pas vraiment besoin de ton aide, comme tu peux…" Lui, il était déjà accaparé par un autre homme (Amadeus) qu'il essayait de faire revenir vers elle.

Une partie de la foule de son côté commençait à retourner son attention vers Evie et les deux hommes près d'elle. Finalement, Richard avait peut-être raison, il fallait mieux s'éloigner le plus vite possible. Reculant, elle buta contre les escaliers de la maison à appartement dans son dos. Elle monta alors les marches rapidement pour appuyer sur une sonnette au hasard, laissant un regard sur Richard et son nouveau compagnon.
"Qui est-ce ?" Une voix sortit de l'interphone. "S'il vous plait, madame, ouvrez la porte, on a besoin d'aide !" un petit moment de silence. "Excusez-moi, je n'ai pas bien entendu, qui est-ce ?" Evie tapa du poing contre la porte. "Bordel, vous allez ouvrir cette putain de porte ou on risque d'y rester." Heureusement que sa fille n'était pas présente pour entendre sa mère jurer de la sorte. Il n'y eu pas de réponse à l'interphone mais un petit bruit indiquant que la porte pouvait désormais s'ouvrir. Elle s'empressa de rentrer à l'intérieur avant de s'adresser aux deux hommes qui la suivaient "Vite par ici !" Une fois à l'abri, elle referma la porte, entendant encore les bruits de la manifestation qui avait tourné à la casse. "Richard, qu'est-ce qu'il se passe ?" Elle savait que ce genre d'évènement pouvait se dégrader mais là, autre chose semblait rendre ces gens plus violent que l'habitude.


Résumé larmoyant:
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Je m’étonne de n’être que spectateur…jusqu’à ce que cela me vienne aussi. Ce sont des bribes, ça s’installe; l’émotion qui s’est déjà assise-là prend de l’ampleur en moi. Comme un ballon qu’on était en train de gonfler jusqu’à ne plus en finir. On l’oublie dans cet effort compulsif. Je tiens ses poignets entre mes mains et c’est de ce trop plein d’inquiétude que j’en ai mal mesuré la force déployée dans ma poigne, le blessant par mégarde. J’ôtai immédiatement mon emprise lorsque je le vis réagir à la douleur. « Merde…excuse-moi, pardon, » je me confondais en excuses parce que je n’avais pas compris. Pas réussi non plus. Un saignement de nez le prend, c’est certainement une réaction physiologique à ce qu’il était en train de subir là-haut. Je lui pris le visage avec une grande délicatesse alors qu’il m’intime de le sortir de là. Mes mains froides sur ses joues, j’hoche la tête, c’est bref, dans l’urgence. Il ne me regarde plus, j’ai raté ma chance. Je compte la saisir à nouveau, je ne peux pas le laisser comme ça. Les gestes se succèdent comme la tornade de violence qui s’abattait sur les lieux. Il y a des cris, des plaintes…et même des rires frénétiques. Ça sent la merde, en plus d’avoir les pieds dedans. Une femme (Elizabeth) hurle au mutant et je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’oeil dans la direction dite, piqué par l’ombre du ressentiment. La haine, ils ont que ça à se servir à bouffer. Là, je cherche du regard la mère de ma fille qui ne m’apparaît plus. Idiot.  

Je suis presque rassuré de la voir moins de deux secondes plus tard, mais l’angoisse qui me tiraille est quant à elle toujours aussi encombrante. Elle s’oriente vers Amadeus et Evelyn et suis incapable de mesurer son impact sur mes réactions. Attrapant le bras du flic, je tentai de ne pas le brusquer davantage mais l’incitai à accélérer le pas. Nous arrivâmes à sa hauteur (Evelyn), la porte s’ouvrit à ce moment-là et sans hésitation, je faisais rentrer le blond devant moi. En clôturant de nouveau l’accès, j’avais tiré ma carcasse jusqu’à l’homme (Amadeus), chancelant. « Reste avec moi ! » Là, un prénom qui ne m’avait pas été prononcé depuis un moment me vient aux oreilles. Richard. Merde. Non, c’est pas ce que tu crois…c’est dégueulasse à dire, mais j’espère sincèrement qu’il est assez sonné pour ne pas se rendre compte qu’elle ne m’avait pas appelé Trevor. Je phasai un instant mais forçai aussitôt le flic à me regarder dans les yeux. « Calme-toi… » C’est bon. Maintenant, il n’écoutera plus que ma voix. « Calme toi. Ils sont tous barrés dehors et ce n’est pas de ta faute, Amadeus. » Puis je sens que quelque chose change. Il se détend. Je cligne des yeux et mets fin à tout ça. Je retire mes mains de son visage, jette un coup d’œil à Evelyn. « Vous faites erreur, madame…je m’appelle Trevor. » Mon regard est scellé au sien, je feinte comme je peux et je prie intérieurement pour qu’elle n’oppose pas de résistance à mes mots. Je n’allais pas faire un nouveau tour de magie, ça non. J’entendais du bruit derrière la porte mais n’y prêtait pas attention, m’affairant à faire retomber la pression. Je laissais reposer mon dos contre la porte fermée un peu plus tôt, libéré du poids de l’angoisse. « Je sais pas ce qui se passe. Mais il faut q… » Brutalement, je sentis quelque chose fendre le bois et s’incruster dans ma chair morte jusqu’à la perforer complètement. La douleur. Mon regard s’abaisse lentement vers mon bide duquel sortait une longue tige en fer, et pas des plus maigres en plus. J’entendis des rires et des exclamations derrière moi tandis qu’ils tentaient de faire revenir l’objet qui leur avait servi de bélier, en vain. Grimaçant, la colère monte alors que je gueulais dans leur (Ama, Evelyn) direction… « Dégagez de là ! Montez ! », grognai-je en attrapant fermement le morceau de métal entre mes doigts. Autre façon de dire que je m’en chargeais. J’avais tout gagné. Avec un trou supplémentaire pour ventiler, même s’il n’allait pas rester là longtemps.


Et une brochette pour m'sieur dames, une !:
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