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 Dorian Caine - Cold as Ice V2

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it's a revolution, i suppose
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MessageSujet: Dorian Caine - Cold as Ice V2   Dorian Caine - Cold as Ice V2 Icon_minitimeVen 25 Déc - 19:57

Dorian Caine
I'm the Gentleman Thief


Identité
Nom et Prénom : Dorian Caine, c'est ma mère, d'origine Anglaise et grande admiratrice du travail de Oscar Wilde qui m'a donné ce prénom. Vu ce qu'il devient dans le livre, j'espère qu'elle ne pensait qu'à la beauté sonore du nom et non pas à ce qu'il réfère...A moins que ce ne soit la signification éthymologique qui lui plaise, signifiant Cadeau de Dieu, mais même là ça fait un peu pompeux, non? Alias : Arsène. Surnom donné par la presse d'après le célèbre personnage de fiction français, parce que je ne fais jamais de dégâts, je ne fais jamais de mal à mes victimes (hormis à leur porte-feuille peut-être), et j'ai le bon goût de laisser un mot d'excuse.  Totalement hypocrite, je vous l'accorde volontiers, puisque je ne m'attriste en rien de voler ces gens. Ni Anna ni moi n'avions imaginé un possible alias, mais on a vite pris le pli. Âge : 32 ans et toute mes dents! Lieu de naissance & nationalité : Je suis né à New-Orleans, en Louisiane, d'où est originaire mon père mais ayant une mère de nationalité anglaise, je possède la double nationalité Anglaise et Américaine Métier : Officiellement, je suis un consultant en sécurité en freelance. J'aide des entreprises à vérifier les failles dans leurs sécurité, que ce soit en terme de technologie, en terme d'entées ou encore en terme de personnel. Officieusement...Je suis un cambrioleur. Plutôt à l'ancienne, tableaux, bijoux, coffres...mais quand je dis tableaux et bijoux, je ne fais pas dans les musées, bijouteries ou banques. Et d'un coup vous vous demandez quelles sont mes cibles? Eh bien les riches gens sans vergognes qui détruisent des vies sans même réfléchir aux conséquences de leurs actions. En général, les revenus que j'engrange à la revente de mes vols je les rends à ceux qui pourraient en avoir besoin, ne gardant qu'une petite partie pour moi. Statut civil : Célibataire, il faut dire qu'avec mes pouvoirs, et plus récemment ma seconde profession, il m'est difficile de vraiment laisser quelqu'un devenir trop proche de moi. Orientation sexuelle : Bisexuel . Que voulez-vous que je vous dise de plus? C'est ainsi et si je n'ai pas de personne fixe dans ma vie, je suis autant attiré par les hommes que par les femmes. Particularités : Je tire des charges de zero absolu à partir de mes mains, parfois. Oui je sais, ça ne vous parle pas beaucoup comme ça, alors je vous explique. Plus ou moins quand j'en ai envie, je peux concentrer un froid intense dans mes mains et la relâcher vers une cible. Je dis tirer, parce que le mouvement de mon bras est le même que si j'avais une arme à feu et que mon bras prenait le recul de l'arme après la mise à feu. Ayant passé quelques années à essayer de comprendre et maîtriser ce pouvoir, je peux choisir entre de courtes décharges ou bien des tirs prolongés ou encore ce que j’appellerais un champ de froid, signifiant que dans un rayon de dix mètres autour de moi il règne un zéro absolu durant quelques minutes, n’excédant pas, aux dernières nouvelles, plus de cinq minutes (ces deux dernières utilisations me drainant particulièrement vite en termes d’énergie, donc il est préférable que je n’en n’abuse pas, surtout que le champ est assez aléatoire).  Je peux contrôler l’intensité du froid, ne pouvant aller plus bas que le zéro absolu, soit -273°C, et ne peux monter à plus de -20°C. Cependant, je ne suis pas maître de cette aptitude, même si j’en suis techniquement capable, je manque d’entraînement et il m’est difficile de conserver l’intensité constante lors d’un tir prolongé. Malgré ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas de la glace. C'est du froid condensé, en quelque sorte (après, moi et la science hein...), et ça congèle tout ce que ça touche. Donc ça peut créer de la glace si je touche de l'eau, mais ce n'est pas de la glace initialement. De plus, je dis que c'est quand je le veux, ça dépend. En effet, si j'ai constamment les mains plus froides que la normale à cause de cela, mais il y a des moment où le froid s'accumule, sans que je ne puisse rien y faire, ce qui provoque une réaction fort désagréable: j'ai l'impression de geler de l'intérieur. Extérieurement, on ne voit pas grand chose, je tremble comme une feuille et si vous me touchez, je suis particulièrement froid, mais je ne deviens pas tout bleu ni ne présente d'autres signes d'hypothermie. Ces sortes de "crises", je les sens arriver, mais je suis bien incapable de les empêcher. Je ne sais même pas ce qui les provoque, honnêtement... En revanche, je sais comment les terminer: il y a un "point critique" comme qui dirait et quand je sens que j'y suis, je relâche tout d'un coup. Il veut mieux ne pas être dans les parages, je vous le garantis. Cette condition me rend aussi plus sensibles aux changements de températures brusques, même si je supporte bien mieux le froid qu'auparavant et que la chaleur à contrario me met mal. Il m'est déjà arrivé de me retrouver clouer au lit lors de fortes chaleurs.Affiliation : Neutre, je ne peux pas, décemment, m'appeler un héros, très loin de là, mais je ne suis pas non plus un vilain. Je suis dans cette zone grise où on essaie surtout de continuer sa petite vie comme on le peut.

Interview

Avez-vous peur des Mutants ?  Pendant un sacré bout de temps, j'ai suivi le mode de pensée de l'armée, à ma grande honte, que les mutants étaient des menaces à la sécurité intérieure (et extérieure mais passons), qu'il fallait les contenir, voire les tuer si besoin était. Enfin, je suivais, ça ne veut pas forcément dire qu'en mon fort intérieur c'était ce que je pensais vraiment. Oui, je considérais les mutants comme une menace...potentielle. Mais j'étais particulièrement bien placé pour savoir que tout peut devenir une arme si on ne fait pas attention. Après tout, Einstein n'avait jamais pensé créer la Bombe A quand il a découvert la fission nucléaire, pour les mutants, je considère que c'est un peu la même chose. Il y en a qui ont des pouvoirs naturellement dangereux, comme un pyromane, ou...je ne sais pas moi, quelque chose qui vous fait tout de suite dire "DANGER", et d'autres qui ont des pouvoirs qui ont l'air totalement inoffensifs, comme le fait de traverser la matière. Mais si cette personne le voulait, elle pourrait vous arracher le coeur sans même en avoir l'air. Vous voyez ce que je veux dire? Donc, je n'ai pas peur des mutants, j'ai peur de certains mutants, ceux qui revendiquent que les humains devraient laisser la place. Comme les humains; un homme avec un couteau peut aussi bien faire le plus parfait des plats, comme commettre le plus horrible des crimes. Tout dépend de qui est la personne dans le fond. Donc j'ai tendance à me méfier des mutants, mais je ne les rejettent pas simplement basé sur leur nature. D'autant plus que je serais bien hypocrite. Je ne suis peut-être pas né comme ça; mais j'ai moi aussi des capacités qu'un humain normal n'a pas; je pourrais être considéré comme eux si les autorités venaient à découvrir ce que je sais faire.  
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Sur le principe, oui. Il faut être honnête éviter une invasion alien ou venir à bout d’une attaque de robots tueurs n’est pas donné à tout le monde et les forces de l’ordre classiques se retrouvent bien souvent dépassées et/ou impuissantes face à ce type de menace. Donc ils sont définitivement un atout et une aide aux forces de l’ordre locales. Cependant, aux vues de certaines de mes activités annexes, ils peuvent vite devenir un problème. Heureusement pour moi, ils ont en général de plus gros poisson à saisir qu’un cambrioleur de grosses fortunes, quand bien même avec des pouvoirs. J’évite cependant soigneusement Stark Industries que ce soit officiellement ou officieusement, sait-on jamais.  
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? Le bien, le mal, tout ceci est si…Dualiste. Je me considère plus dans une zone grise, personnellement. Un peu comme Robin des Bois, vous voyez ? Même si cet aspect de mes cambriolages reste bien caché des autorités. Quant à mes raisons ? Le dégoût, pur et simple, que m’inspire l’armée telle qu’elle est aujourd’hui, aux mains des lobbys économiques. Je veux pouvoir changer cela. Si pour cela j’ai besoin par le crime afin de faire diversion…Alors je le ferais. Et aussi parce que je cherche à me racheter de crimes qu’on a pu maquiller en mission pour la nation mais qui n’étaient pas dignes de dire servir la nation. Quelque chose dont je ne suis pas fier ; plus que cela encore, j’ai...pris goût à l’adrénaline que me procurent les cambriolages, en bon adrénaline junkie que je suis…
Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? Si je vous dis Steve Rogers, ça vous parle? Evidemment que ça vous parle, c'est Captain America. Et bien, malgré la perte de la formule originale du Dr Erskine, l'armé américaine n'a jamais eu de cesse de tenter d'améliorer leurs soldats. Ce qui a conduit à beaucoup d'expériences dans des locaux sécurisés de l'armée. Quoi exactement, je n'en sais rien. Et moi dans toute cette histoire? Oh, c'est simple: ma mission du jour était d’amener un pauvre type servir de cobaye pour je ne sais quelle expérience (et honnêtement je préférais ne pas savoir). Sauf que le type en question ne l’entendait pas de cet œil et il s’est débattu, a été plus que rusé et finalement, en un contre un, j’ai gagné, mais au pris d’être au cœur d’un accident dans un des labos, provoquant une explosion. Pas de celles que je connais bien, provenant d'un engin explosif classique; non, celle-ci était fait de radiations qui ont provoqué une énorme onde de choc, se mélangeant à des bouteilles de Néon Liquide (moins cher que le nitrogen et plus efficace) qui n'ont pas supporté l'onde de choc. Honnêtement, j'ai bien cru que j'allais devenir une nouvelle statue de glace. Sauf qu'il n'en fut rien. J'ai bien perdu connaissance, mais pour me réveiller dans un hôpital militaire, avec des médecins qui s'émerveillait devant le miracle qui s'était produit. J'étais un peu en dessous de la température normale du corps, mais hormis cela, rien de bien méchant. Ils ne se sont pas douté un seul instant que l'alliance des radiations (lesquelles, allez savoir, je n'ai jamais su, mais après quelques recherches, je serais tenté de dire irradiation aux rayons Bétas, plus précisément Béta plus, mais je n'ai jamais été demandé et on m'aurait de toute façon envoyer sur les roses. Ce n'est que quelques semaines plus tard que j'ai découvert ce que cela avait changé chez moi, après avoir été malade comme un chien pendant trois jours. Sympa, hein?
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? Jusqu’à maintenant, une seule : ma partenaire, Anna. Elle sait que je suis Arsène, vu qu’elle est l’initiatrice de ce stratagème et il serait étrange qu’elle ne soit pas au courant. Elle ne sait, cependant, pas tout de moi ; mes pouvoirs, par exemple, ne font pas partie de ses connaissances. Lors de mes coups, elle pense que j’utilise du nitrogène liquide ou assimilé. Je sais que je peux lui faire confiance quant aux coups que je monte parce qu’elle n’aurait rien à gagner en me dénonçant, au contraire. En revanche ne connaissant pas son avis sur les mutants et autres joyeusetés, je ne suis pas prêt de lui annoncer que j’en fais partie…Maintenant, elle est loin d’être stupide et ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle ne le découvre. Quant à comment je garde tout cela secret ? Je suis prudent. J’évite au maximum d’utiliser mes pouvoirs durant mes coups s’il y a des témoins ou des caméras que je ne peux pas désactiver et bien évidemment, hors de question de l’utiliser en civil. Durant mes coups, je cache mon visage, j’utilise des objets et des vêtements (noirs, évidemment) génériques de façon à ne pas laisser de traces trop faciles à remonter et surtout, je suis patient. Etant consultant en sécurité pour de grandes entreprises, une bonne partie des C.E.O sont dans notre hit-list à Anna et moi, passés et futurs. Je ne cambriole jamais les gens juste après avoir vu la sécurité de leurs entreprises. Il n’y a, en fait, pas réellement d’ordre logique. Surtout que j’attaque leurs propriétés privées, en général, sauf s’il s’avère qu’ils ont des choses qui valent d’être volées au siège. Ah, et je n’ai pas de moyens de communication avec moi, et certainement pas avec Anna, afin de ne pas trahir que je ne travaille pas seul…Et il faut aussi avouer que ne pas parler durant un coup aide à limiter les possibilités de me faire reconnaître. Quand je dois revendre mon butin? C'est Anna qui s'occupe de tout cela.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Parlez-vous de l’officielle ou de l’officieuse ? Dans le doute, autant vous répondre pour les deux. Commençons par l’officielle : J’en suis satisfait. Ce n’est pas un métier qui me passionne, mais cela reste suffisamment proche de ce que je faisais avant pour ne pas avoir l’impression de reprendre à zéro tout en étant suffisamment différent pour me permettre de nouvelles expériences. Quant à l’officieuse…Clairement pas une profession dans laquelle je pensais m’épanouir et pourtant…Il y a l’adrénaline qui, bien que je n’en n’ai pas eu conscience auparavant, m’avait cruellement manqué. Le défi qui fait la saveur de chaque coup et qui fait appel à une ingéniosité trop longtemps négligée. Je suis devenu amateur de ces défis ; je n’aime pas me dire que c’est vrai, mais ça l’est. Et puis, il y a ce que signifient ces cambriolages : le fait que l'on essaie de faire une différence dans ce bas monde.


Biographie
Life isn't all black or white, it'sa big gray area
La curiosité est un vilain défaut, vous le savez ça? Bien sûr que vous le savez...Mais vous voulez savoir, n'est-ce pas? Je ne vous en blâme pas, un de mes jobs, dans une vie oubliée, était de trouver des infos, donc...Mais peut-être devrais-je m'y mettre maintenant à raconter; écoutez donc, petits curieux, toutes les réponses que vous voulez arrivent...

Tout commença pour moi à New-Orleans, en Louisiane. Mes deux parents travaillaient dans l’immobilier, ce qui nous permit de vivre confortablement. On ne peut pas vraiment dire que j'ai été un enfant facile à gérer pour les parents; non pas que je sois colérique ou capricieux (bon, peut-être un peu pour le dernier) comme gamin, mais je ne tenais pas en place, j'étais un vrai casse-cou (et un sacré casse-couilles aussi, j'admets). Plus d'une fois j'ai provoqué de grosses frayeurs à mes parents en grimpant en haut de l'arbre qui se trouvait dans le jardin. Je ne cessais d'aller explorer, l'inconnu me grisant d'une manière si entière et complète...Malgré tout, je restais un enfant sociable, ouvert aux autres et je n’ai jamais dénigré personne avant de les connaître (une fois qu’on les connaît, on peut se faire une opinion). Il faut dire que mes parents ont toujours été une très bonne influence sur ce point : ne jamais juger quelqu’un sans le connaître et toujours respecter les autres. On peut ne pas être d’accord avec les croyances, les envies et les goûts de certains, mais on ne doit jamais rejeter la différence sans fondement. Enfin il n’empêche que je restais un véritable diablotin sur ressors…

Je me suis pourtant calmer quand ma petite sœur, Crystal, est venue au monde. Ça n'a pas été brusque ou instantané; mais j'ai pris conscience de mon devoir de grand frère quand, alors que j'avais huit ans et Crystal deux, elle se cogna la tête contre un meuble quelconque. Je n'ai pas réfléchi, pas pris le temps de voir, j'ai entendu le "bump" caractéristique d'un corps se cognant et les premiers gémissements de ma sœur et j'ai foncé. Je l'ai consolée, je l'ai prise dans mes bras, jusqu'à ce que ma mère ne vienne voir elle aussi. Depuis ce jour, je n'ai cessé de veiller sur ma petite sœur; j'ai même pris des cours de boxe française rien que pour pouvoir la défendre le jour où ça viendrait. Elle était MA petite sœur, ma petite perle à protéger.

Puis on a grandi. Si entre ma sœur et moi notre relation était au beau fixe (on était très soudé), mes notes en revanche...Je n'étais pas vraiment dans la catégorie des cancres, mais je n'en n'étais jamais très loin (contrairement à Crystal qui excellait dans tout ce qu'elle apprenait, ça en devenait presque agaçant). Pas que je ne comprenne pas, même si la physique restait une chose très abstraite dans mon cerveau, mais c'était...C'était la façon d'enseigner qui me bloquait. J'avais un esprit très concret, il me fallait de la pratique pour comprendre la théorie. C'est pour cela que certains champs des mathématiques s'ouvraient naturellement à moi tandis que d'autres restaient hermétiquement fermés. D'autant plus que j'étais du genre à avoir le sang chaud, je partais au quart de tour, surtout si on commençait à s'en prendre à ma sœur. Les heures de colles reçues à cause de bagarres à l'école, j'en ai reçu des centaines depuis mon entrée au collège. Mes parents comprenaient les motivations mais blâmaient les méthodes. J'étais jeune, je ne comprenais pas. À seize ans, comprenant que les études de type universitaire ne me correspondaient pas, j'ai pris une décision radicale. J'allais entrer dans l'armée de terre.

Quelques réticences se firent sentir du côté de mes parents qui, en autre de vouloir me voir avec un bon métier, s'inquiétaient. Ils avaient la peur que tout parent connaît quand leur enfant part s'engager dans l'armée: celui d'un jour recevoir une lettre leur annonçant ma mort. Je comprenais leur appréhension, aucun parent ne voudrait survivre à leur enfant et plus souvent que non les parents de militaires vivaient cette horreur. Pourtant ils me laissèrent faire, priant simplement qu'il ne m'arrive rien.

Voilà comment je commençai ma nouvelle vie: celle de militaire. J'avais à peine dix-huit ans et je m'étais engagé. Eh bien je peux vous dire que l'armée ça vous met du plomb dans la tête (et non, pas littéralement). Je n'irais pas jusqu'à dire que ça m'a rendu obéissant comme un bon chien fidèle, mais ça m'a certainement assagi un peu et surtout, inculqué une discipline que je n'avais pas eue jusque-là. Il faut dire que le 7ème régiment de brigade armée, section reconnaissance, avait de quoi impressionner un gamin comme moi. Ces types passaient leur vie sur le champ de bataille à recueillir des informations pour transmettre en continue au commandant. Je faisais partie de ces types maintenant. C'était...Grisant, je me sentais utile, j'avais trouvé comme une seconde famille...Sans compter que je pouvais mettre en pratique mon intelligence bien plus pratique (à la McGyver si vous préférez) qu’académique. Je réagissais vite, m’adaptant à la situation aussi vite que mon cerveau le pouvait. Pendant un temps, tout allait bien. Ou presque. Ou pas. Disons que plus les mois passaient, plus les missions avançaient et…Plus je me posais des questions sur le bien fond de ce que l’on faisait. Autant il y avait des missions de reconnaissances qui étaient légitimes, d’autres…Beaucoup moins à mes yeux. Je posais alors des questions, curieux et naïf que j’étais. Des questions qui, à force de savoir lire entre les lignes (et en prenant connaissance de rapport d’autres unités dont je n’aurais pas dû être au courant), me firent entrevoir des aspects de l’armée que je n’avais jamais imaginé, comme le fait que le gouvernement n’était, au final, pas le seul maître de cette dernière.

Mes questions furent coupées courtes quand on me proposa une mutation dans une unité d’élite, le Blackstaff. Une unité de reconnaissance particulièrement audacieuse, bien que très secrète. Si je n’avais pas spécialement d’ambition pour monter en grade rapidement (le faire était dans mes projets, mais pas à n’importe quel prix), l’idée de rentrer dans cette équipe était une aubaine pour obtenir peut-être plus d’information que je n’en n’avais déjà. J’avais vingt ans. J’ai accepté.

Bien mal m’en a pris.

Ce qu’on faisait…Tout était classé confidentiel, rien ne pouvais fuiter et si nous faisions une bavure, l’armée désavouerait nos actions comme venant d’eux. Et qu’est-ce qu’il nous ont fait faire. Des choses dont je suis loin d’être fier et maintenant je vois mieux leur manœuvre, mais à l’époque j’étais encore trop jeune et trop naïf quant à l’usage d’une telle force armée pour réussir à voir vraiment clair. Torture pour obtenir des infos. Attaque sous de faux prétextes pour détruire des documents incriminant le pays ou une entreprise américaine, voir éliminer une personne gênante…Cela n’est qu’un exemple de ce que le Blackstaff pouvait faire sur ordre. Ce n’était pas une vie que je voulais. Certainement pas. Mais comment partir ? Difficile, non ? Cette unité est une petite mafia à elle toute seule, je peux vous l’assurer. Je cherchais un moyen de me dépêtrer de cette situation comme je le pouvais, mais une chose claire est apparue, confirmant mes craintes : l’armée dans laquelle j’avais beaucoup cru étant plus jeune, est pourrie jusqu’à la mœlle par les lobbys économiques et les grandes entreprises qui veulent s’approprier ci ou ça.

Puis vint l’accident. Ou l’Incident, à vous de voir. En tut cas, il fut ma porte de sortie. Nouvelle mission du jour : amené un des prisonniers dans un labo expérimental où dieu seul sait ce qu’il allait subir. Sauf que ce type n’allait pas se laisser emmener sans se débattre. Il a voulu s’échapper et dans la commotion, quelque chose dans le labo a mal tourné. Il y a eu une explosion me projeta contre un mur. Mais pas une explosion due à un engin explosif, ou du moins, pas un classique. Des ondes, ou des radiations plutôt, maintenant que j’y repense, ont été la cause de tout cela. Les bouteilles de Neon liquide, servant de réfrigérant pour je ne sais quoi, étaient percées par le souffle provoqué par la première vague de radiation, dispersant leur contenu aux alentours. Puis une seconde vague se fit sentir alors que je venais de me relever, m’approchant doucement de la porte en verre (qui avait volé en éclat) du laboratoire. Sonné comme je l’étais, je ne compris que trop tard le pourquoi du froid intense qui me prit. Honnêtement ? J’ai cru mourir ce jour-là. Le froid qui s’insinue jusque dans vous os, vous rendant totalement apathique par hypothermie…

Pourtant, je me réveillais plus tard dans le lit dans un hôpital militaire. Le réveil ne fut pas doux. Je m’assis brusquement sur le lit, comme pris de panique, essayant de respirer. Une crise de panique pure et simple. Comme si mon corps n’avait pas enregistré le fait qu’il a été inconscient pendant…je ne sais pas trop combien de temps, se souvenant seulement du froid intense qui s’est emparé de moi avant que je ne perde conscience. Deux infirmiers me retenant et une injection de calmant plus tard, je retombais mollement dans le lit, complètement stone. Quand je me réveillais pour la seconde fois, mon corps semblait avoir compris que tout allait bien, ou aussi bien qu’on peut aller après un truc pareil, et j’ouvris doucement les yeux. Je prie en compte mon environnement et m’assis doucement dans le lit, regrettant la couverture dès qu’elle quittait le haut de mon corps. J’avais froid, c’est un fait. Appelant une infirmière, qui appela le médecin et on m’expliqua. Enfin, on me dit une explication. J’avais été atteint par du Neon Liquide et si les gens ne m’avaient pas fait sortir à temps, je serais mort. Hin, hin…Et les vagues de radiations dans tout ça ? Pas un mot et honnêtement, je commençais à avoir une vision suffisamment complète la situation pour comprendre que le gouvernement voulait étouffer cette affaire. C’était louche, mais pas inhabituel ; surtout après les dernières découvertes que j’avais fait en entrant au Blackstaff.

J’étais en repos après cet incident, le temps d’être sûr que tout allait bien, et ce fut environ trois semaines après que je découvris ce que je pouvais faire. La première fois fut un total accident. Je faisais un jogging dans le Bayou, quand un coup de froid m’a pris…En plein été. Chose peu normale, vous en conviendrez. M’arrêtant, je me laissais le temps de comprendre les sensations qui me prenaient. Je paniquais pendant un instant, parce que cette sensation, c’est la même que lors de l’Incident, avec le Néon liquide. Pourquoi ? Il n’y avait aucune raison ! Puis la sensation se transforma, se concentrant sur mes bras, plutôt que tout mon corps. Je les observai, ne remarquant rien de différent à leur apparence…Un nouveau coup de froid me prenant, je serrai le poing par réflexe et le coup partit tout seul. Ce que j’appelle une décharge de froid. Pas de la glace, car il n’y avait aucune couche en plus sur le sol, il était simplement…gelé. La terre aussi froide et dure que lors des plus rudes hivers. La sensation de froid avait presque disparue, mais pas totalement, alors j’ai tenté le diable. Je voulais être sûr de ne pas avoir halluciné. Je resserrais le poing, mais rien ne se passa. Cependant, je suis têtu, alors j’ai tenté, plusieurs fois, essayant de me souvenir de cette sensation de froid, cette sensation d’engourdissement profonde, et finalement, réitérai mon « exploit ». Si on peut appeler cela comme ça. C’était quoi ce bordel ? Durant les jours qui suivirent, je retournais dans le Bayou, tôt le matin quand personne n’est là, pour essayer de comprendre le déclencheur, et ainsi éviter que ça n’arrive par accident. Je finis par comprendre qu’à moins de ressentir cette sensation accablante de froid ne me laissant aucun choix, je pouvais le contrôler, le retenir.

Je décidais de quitter l’armée. S’ils apprenaient ce qu’il s’était passé, je savais pertinemment que je finirais sur une table d’examen pour les prochaines années de ma vie, à être observé et passer au microscope pour comprendre ce qui m’était arrivé et surtout, comment le reproduire. Je ne voulais pas de cela. D’autant plus vu le contexte actuel entre humains et mutants. Je n’en n’étais pas exactement un, mais je savais que ça ne ferait pas une grande différence. A partir du moment où vous présentez une différence suffisante, vous êtes mis à part, et ce n’était pas une bonne idée en ce moment. Donc sortir des radars de l’armée n’était pas une mauvaise idée. J’ai prétexté (avec l’aide de mon médecin), un traumatisme suffisant pour me rendre inutile sur le terrain et j’ai démissionné. Pendant un temps, j’appréhendais la réaction de mon chef d’unité mais il me laissa partir. Finalement, mon cerveau fit le calcul pour moi. Même si je racontais quoi que ce soit, je n’avais plus accès à aucune preuve. Personne ne pourrait vraiment en avoir, sans compter que je tomberais aussi pour ce que j’avais fait durant les cinq années passées avec eux. D’autant plus que cela risquait de passer pour un simple délire de soldat traumatisé. Le Blackstaff et l’armée savaient parfaitement que je n’étais pas une menace. Ils avaient réussi ce qu’ils voulaient, que je me taise à jamais…

Malgré les suppliques de Crystal, je ne suis pas resté à New-Orleans. Je n’avais plus rien, hormis elle, et malgré mes quelques jours d’entraînement avant ma démission officielle de l’armée, je ne contrôlais pas vraiment ce pouvoir. Ces nouvelles capacités. Je devais en apprendre plus. Je me voyais cependant mal aller voir des mutants pour me faire aider. Je n’étais pas l’un d’eux, ce que je possédais ne tenait pas de la même « famille », je ne saurais pas trop l’expliquer…Je voulais aussi passer du temps seul. Loin de ma famille, loin de l’armée, loin de tout si je voulais être honnête. Alors j’ai cherché, quelques mois, et me suis fait engagé comme manutentionnaire sur une plateforme pétrolière au nord de l’Alaska, tout en étant résident à Barrow, une ville côtière à quelques heures de bateau seulement. Le travail était difficile mais me gardait l’esprit occupé et loin de tout suffisamment bien pour que j’ai l’impression d’être de nouveau un être humain normal, ou presque. Car la première chose que je compris, c’est que même par -30°C, je ne souffrais pas vraiment du froid. Je le ressentais, c’est certain, mais plus comme une présence rassurante qu’une menace pour ma santé. Restant discret et réservé, on m’oubliait vite lorsque nous étions hors de la plateforme et je profitais ainsi de mes repos pour m’entraîner. Personne n’allait se demander pourquoi il faisait froid ici, puisque qu’il ne faisait jamais plus de 10°C, même en hiver.

Pendant près de trois ans, je restais là-bas, à m’entraîner, à travailler comme un forcené pour oublier le reste. Mais ça a porté ses fruits, si je continue à avoir des crises avec mon pouvoir, je ne suis plus esclave de ce dernier. Je le contrôle, je peux l’utiliser – presque – à ma guise. Honnêtement, je ne pense pas avoir atteint les limites de ce dernier et je pense que j’aurais pu passer quelques années de plus là-bas mais je suis pourtant retourné à la civilisation. En effet, ma sœur et moi avions gardé contact et dernièrement elle m’a appris une grande nouvelle : j’étais devenu tonton. Sans trop savoir quoi, quelque chose m’a poussé à revenir suite à cette nouvelle. Je me suis installé à New-York, plutôt que de revenir à New-Orleans. Je voulais changer d’air. Même si New-York semblait la proie à d’attaques à répétitions…Mais la vie sans risque est ennuyeuse, non ? Même si je dois bien avouer que découvrir que des extra-terrestres (et des dieux nordiques, bon sang de vrais dieux...) existaient n’était pas la chose la plus simple à avaler, après tout, pourquoi pas ? On a bien des mutants, alors des extra-terrestres…

Avec mon expérience dans l’armée et les menaces diverses et variées, j’ai fini par monter mon entreprise de consultant en sécurité pour les entreprises. Ca n’a pas fonctionné tout de suite, mais avec tout ce qu’il s’est passé ces dernières années, j’arrive à m’en sortir correctement. C’est d’ailleurs grâce à ce travail que j’ai rencontré Anna. Je sortais d’un entretien avec un PDG concernant mon rapport et elle était là, à vouloir parler avec le dit PDG. Mais avec fougue et une rage à peine contenue. J’aurais pu laisser l’incident sortir de mon esprit, mais sa fougue et surtout les raisons qu’elle invoquait m’intriguaient. Je suis allé la voir et on a passé un long moment à parler et après plusieurs rencontre de la sorte on est arrivé à une conclusion simple : on avait des intérêts communs. Elle voulait rendre justice aux gens qui se faisaient constamment lésés par les infâmes magouilles de certaines entreprises en lice avec le gouvernement, et moi je voulais me racheter de ce que j’avais pu faire durant mon temps dans le Blackstaff. On aurait pu monter une énième association, peut-être même s’associer avec des avocats encore à peu-près honnêtes (j’avais d’ailleurs entendu parler d’un jeune cabinet d’avocat dans Hell’s Kitchen qui aurait pu être intéressant), mais…On savait très bien tous les deux que la voie légale était inefficace dans ce genre de situation. Non, il fallait frapper à la source. Chez ces gens qui n’ont aucun scrupule à dépouiller les gens de tout ce qu’ils avaient pour leur propres profits. Alors on a eu une idée folle : on va les voler nous-même.

Il est vrai que l’on ne s’improvise pas cambrioleur du jour au lendemain, sauf que sur le terrain, c’était moi. J’avais déjà une bonne connaissance d’une grande partie des systèmes de sécurités actuels (sauf celui de Stark parce que, soyons honnêtes, c’est Stark dont on parle) grâce à mon travail de consultant. Quant aux techniques d’entrée et de sorties…Disons que le Blackstaff n’avait pas toujours des moyens très légaux, ni n’avait toujours la possibilité de faire dans la brutalité. Je n’étais pas un grand cambrioleur, mais avec les connaissances que j’avais, un peu de bon sens et de l’entraînement…Je savais que l’on pouvait le faire. Si j’étais les muscles et la stratégie, les cibles et le cerveau général de cette opération ? Anna. C’est elle qui obtenait les plans que  j’étudiais, c’est elle qui programmait des alibis ne nous incluant jamais tous les deux. Elle encore, qui s’occupait de la revente des bijoux/œuvres ou du blanchiment d’argent. Cette aptitude à naviguer dans le monde de l’ombre de New-York me poussait à rester méfiant envers elle, bien que sachant sans aucun doute qu’elle ne me lâcherait pas comme ça. Pour elle, comme pour la plupart des gens que je rencontre depuis mon retour d’Alaska d’ailleurs, j’étais ce type avenant et sociable qui aime à charmer son entourage que ce soit avec intention ou non et toujours un gentleman. Une spontanéité et une touche de provocation qui me permettait beaucoup de chose tout autant que cela me causait des problèmes.  Mais surtout, un homme secret qui, bien qu’était mondain quand il le faut, ne se dévoile pas. Elle m’a plusieurs fois fait la tête à ce propos, ce à quoi je lui réponds toujours la même chose.

"Ah, mais un homme sans secret n’est plus qu’une coquille vide."

J’évitais de pointer qu’elle ne se dévoilait pas plus que je ne le faisais, car je sentais bien qu’on allait droit à la catastrophe dans ce cas. Mais elle a vite compris que certains aspects restaient cachés pour simplement ne pas devenir envahissant pour les autres ; comme ma jalousie qu’elle m’a déjà affirmé être excessive alors que je pense tout à fait le contraire. En revanche, elle a totalement raison sur le fait que je sois un être beaucoup trop protecteur pour mon propre bien, même durant mes coups. Ce qui me valut d’ailleurs le surnom d’Arsène par la presse. En effet, si jamais risquait de se retrouver blessé durant un coup (situation qui est arrivée une seule fois, merci bien, je n’ai en général pas d’arme sur moi et fait en sorte d’éviter toute sorte de brutalité inutile), j’aurais tendance à vouloir les mettre hors de danger avant de partir. Elle le sait, parce qu’elle sait toujours ce qu’il se passe pendant mes coups bien qu’elle ne soit pas en contact avec moi, mais fort heureusement, il n’y a eu qu’un seul cas du genre, pas assez pour mettre la puce à l’oreille de la police.

En parlant de coup, qu’en est-il ? Eh bien nous en avons, après six bons mois d’entrainement et un an et demi de pratique, dix gros coups à notre actif. On, enfin, je me suis fait un nom dans les médias à force. Ce qui a commencé ce petit jeu des notes laissées à l’attention des gens que je cambriolais, pour mettre la police sur les dents aussi. On ne fait jamais la une et ce n’est pas plus mal. En même temps, quand un éditeur a le choix entre faire la une sur les dernières prouesses des Avengers ou sur le scandale du S.H.I.E.L.D et de l’HYDRA et le cambriolage d’une énième fortune…Franchement, il n’y a pas photo. Je mène donc cette double vie tranquillement, retrouvant à la fois l’adrénaline qui me manquait sans même que je ne m’en rende compte et une vie presque normale malgré ma nouvelle différence. Il y a toujours cette ombre qui plane sur Anna et moi, celle de se faire un jour découvrir à plus d’un titre, mais c’est aussi ce qui rend cette vie intéressante.


IRL
Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Tesla/24 ans/F Fréquence de connexion ; Connexion tous les jours et réponse au moins une fois par semaine. Que pensez-vous du forum? ; J'y suis bien, la preuve, je me suis dédoublé! 8D De plus, je voudrais grandement remercier les admins pour m'avoir autorisé à transformer mon premier personnage (que je vous représente maintenant). Vous êtes tous des amours (j'inclus les membres dans cette déclaration d'amour fou!  :leche: ) Comment l'avez-vous découvert ? Par PRD   Célébrité choisie ; Henry Cavill Credits (avatar, icon etc.) ; Badass Beard pour l'avatar, Wiise pour la signature et Tumblr pour les gifs.

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re-coucou I love you
je suis content que tu aies pu retravailler ton personnage pour qu'il t'inspire un peu plus, je suis sûr qu'il va dépoter :hé: préviens-nous si ta fiche est terminée (ce qui a l'air d'être le cas :mdr: ) pour qu'on relise tout ça, même si tu n'auras pas un processus de validation normal, comme tu étais déjà parmi nous :cute: en espérant que ton p'tit gars te plaira bien maintenant :keur:
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Merci beaucoup =)

Elle est effectivement terminée.

Ca devrait le faire normalement, il a subit un sacré changement en même temps XD
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ça le fait complètement Dorian Caine - Cold as Ice V2 2258591103
j'adore ce que tu as fait de Dorian :keur: c'est un changement radical, mais super cool, tu vas bien t'amuser avec lui j'espère (et maybe nous faire un scénario avec Anna ? :hé: :hé: ) du coup, je te laisse modifier ce qu'il y a à modifier, dans tes liens avec les autres membres, dans ta fiche de liens/ton profil, et je déplace ta fiche dans les fiches validées I love you ton rang et ton groupe restent les mêmes, et t'as intérêt à t'amuser tout pareil avec nous :onfire:
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Dorian Caine - Cold as Ice V2 Empty
Wouhouuu. Merci =D

Lirais-tu dans les pensées en plus de donner des maux de crâne? :hé:
Anna est en cours de création en effet Dorian Caine - Cold as Ice V2 2258591103
Je vais donc de ce pas voir avec mes liens pour le changement ;)
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