it's a revolution, i suppose Invité  | | | Henry Jonathan PymHow can I remain here? I'm no longer an Avenger. I'm an oversized freak! IdentitéNom et Prénom : Pym, Henry "Hank", Jonathan. Alias : Ant-Man, Giant-Man, Goliath, Yellow Jacket, The Wasp. Âge : 36 ans. Lieu de naissance & nationalité : Elmsford, New-York, Etats-Unis d'Amérique. Citoyen américain. Métier : Scientifique spécialisé dans la robotique, diplômé en biochimie . Statut civil : Normalement marié à Janet Van Dyne. Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Particularités : A créé (découvert) des particules subatomiques qui, une fois en contact avec un champ magnétique, peuvent réduire ou augmenter la taille d'un objet ou d'un organisme vivant : les particules Pym. Affiliation : Les Vengeurs. Interview
Avez-vous peur des Mutants ? Le truc, c’est que l’on vit à une époque où il est extrêmement difficile d’employer certains termes. Le fait est que lorsque l’on parle des mutants, on parle d’une race et, comme beaucoup de personnes, je n’aime pas ce terme. C’est dégradant, intolérant. Pourquoi ? Parce que l’emploi de ce mot amène indéniablement au racisme. De nos jours, les mutants sont victimes de discrimination parce qu’ils sont différents de nous, enfin de vous, de moi. Ils sont différents de la race humaine, de l’homo-sapiens. La différence en se situe pas dans leur apparence, dans leur manière de se comporter en société mais dans leur génome. Le sang qui coule dans leurs veines est le même que le notre, ils sont fais comme vous et moi. Ce qui les rends différents, c’est ce que ce sont des enfants de l’atome. Ils sont nés différents et c’est la raison pour laquelle ils font peur.
Les mutants effraient la population parce qu’ils sont capable de choses qui dépassent l’entendement de l’être humain. Ils volent, phasent avec la matière, contrôlent les éléments, la liste est interminable parce que de nouvelles mutations sont découvertes chaque jour. A une époque, l’être humain avait peur de ses semblables parce que leur couleur de peau différait. Plus tard, parce qu’une autre couleur de peau signifiait qu’un homme pouvait être inférieur à un autre et ainsi de suite. Voyez ? Des siècles se sont écoulés et la nature humaine reste toujours la même. L’Homme a peur de ce qu’il ne connait pas, mais l’Homme est tout aussi effrayé d’apprendre à connaître.
Notre espèce ne se sent pas concerné par la cause mutante, par la souffrance que peuvent engendrer ces mutations. Nous nous contentons purement et simplement de la mettre à l’écart. Nous sommes des êtres infiniment manichéens dans notre manière de réagir face à l’inconnu. Pourtant, les mutants ne sont pas une menace. Ils sont exactement comme nous, certains sont bons, d’autres moins. L’être humain est conçu de la même manière. Voilà pourquoi je ne suis pas effrayé. Parce que l’Histoire nous a prouvé que l’Homme est bien pire que les mutants. Voilà pourquoi je n’aime pas ce terme de mutant. Parce que nous même, en tant qu’homo-sapiens, sommes des mutants de l’homo-erectus, qui lui-même était un mutant de l’homo-abilis, et ainsi de suite. Les mutants ne sont rien de plus que la prochaine évolution de la race humaine, voilà pourquoi certains –et moi-même- les nomment : homo-supérior.
Pensez-vous que les Super-héros soient une bonne chose ? Dois-je dire je ou bien nous ? C’est une question compliquée, ambiguë même. J’ai la sensation de me sentir utile, d’apporter quelque chose à notre société, au monde dans lequel nous vivons même. Je pense que les Super-Héros sont une bonne chose, mais je crois que les choses pourraient être améliorées. Ne me demandez pas comment, je n’en ai pas la moindre idée. C’est une réflexion, rien de plus. Je crois sincèrement que ce monde a besoin de héros. Dans un premier temps, ils sont clairement nécessaire à sa protection. Nous affrontons sans cesse de nouvelles menaces, toutes plus terribles, plus mortelles, les unes que les autres. Qui d’autre pourrait les affronter ? Sans vouloir me montrer dégradant envers nos forces de l’ordre, ou envers l’armée, je pense qu’ils sont dépassés par l’ampleur de l’évolution des menaces. Il fut un temps où la police et l’armée pouvaient nous protéger de tout, mais face à un robot mégalomane et quasi-indestructible, quelles sont leurs solutions ? Leurs chances de succès ?
Dans un second temps, j’ose croire que les Super-Héros sont nécessaires à la société dans laquelle nous vivons parce qu’ils ravivent une flamme que l’Humanité avait perdu depuis bien longtemps : l’espoir. Avec eux, les gens peuvent à nouveau croire en quelque chose de bon et de meilleur. Attention, je ne nous compare pas à des Dieux, nous en sommes bien loin. Je dis juste que par nos actes, nous tirons notre société vers le haut. Nous lui redonnons de l’éclat et comme je vous le disais, nous sommes une source d’espoir.
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? Ma femme ! Lorsque j’ai rencontré Janet, je travaillais encore sur le projet Ant-Man. A l’époque, c’était classé secret, mais à l’heure actuel, tout le monde sait qu’il s’agit de mon alter-égo. Lorsque j’ai rencontré Jan’, j’ai senti qu’il était pour moi de passer autre chose, de voir autre chose, d’être le propre actionnaire de mon destin. Je voulais laisser une trace importante dans ce monde, ne pas juste être un nom donné à des particules, même si c’est une grande réussite. Bien sûr, comme tous, j’avais entendu parlé des histoires fabuleuses de Captain America durant la seconde Guerre, j’avais vu Tony Stark devenir Iron Man et j’avais observé les Vengeurs sauver New-York.
Contrairement à beaucoup d’entre nous, grâce aux particules, j’avais la possibilité de devenir…de devenir autre chose, une sorte de symbole. J’avais déjà endossé le costume d’Ant-Man par le passé, mais j’avais toujours travaillé en solo, dans l’ombre, parce que j’avais peur d’être remarqué, peur que mes actes soient mal interprétés. Janet m’a rejoint quelques années plus tard et Dieu seul sait à quel point j’ai tout tenté pour l’en dissuader ! Je ne voulais pas qu’elle le fasse, je ne voulais pas qu’elle mette un costume. Vous savez pourquoi ? Parce que mettre un costume et combattre le mal, c’est comme mettre un uniforme : c’est comme si vous on vous peignait une énorme cible sur le torse et qu’on y ajoutait une phrase du style : tirez ici. C’est dangereux et je ne voulais pas l’exposer à ce danger.
C’est pourquoi aujourd’hui tout le monde sait qui je suis et qui elle est. Parce qu’aujourd’hui nous ne sommes plus seuls. Nous faisons partie d’un groupe ou nous travaillons avec des collègues, avec des amis. Nous nous protégeons les uns les autres, nous nous soutenons. A l’heure actuelle, je n’ai plus peur d’enfiler ce costume, je n’ai plus peur d’être Ant-Man parce que je sais que les gens m’ont accepté en tant que tel et que je ne risque pas de me prendre une balle dans le dos pendant que je les protégerai.
Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? J’ai créé mon propre pouvoir. Il y a plusieurs années, j’ai découvert des particules en effectuant des expériences pour le compte du SHIELD. A cette époque, l’agence tentait de recréer le sérum du Super-Soldat. Le fameux sérum inventé par le docteur Erskine, le fameux sérum qui avait de Steve Rogers le symbole qu’il avait été et qu’il était toujours. Je n’ai jamais réussi à recréer la formule souhaitée, mais j’ai mit la main sur ces particules qui portent mon nom. Voilà d’où je tire mon pouvoir.
Pour le moment, même si cela fait un certain temps que j’utilise les particules Pym, je ne suis qu’un homme dans un costume. Car les particules sont contenues dans le costume et sont activées par un déclencheur. Ce n’est pas la personne dans le costume qui rétrécit, c’est le costume qui rétrécit ce qu’il contient. Une fois les particules excitées et libérées, cela me permet de devenir presque invisible à l’œil nu. Je fais alors la même taille qu’une fourmi ; d’où le nom d’Ant-Man.
Mais comme je l’ai dit, ce n’est qu’un début. Je travaille à l’heure actuelle sur d’autres formules. Rétrécir les objets, les organismes, ça ne m’intéresse plus, ou tout du moins, ça ne m’intéresse plus de le faire via une interface, je veux pouvoir contrôler ce pouvoir à tout moment. J’aimerais aussi parvenir à terminer cette formule qui me permettrait de décupler le potentiel des particules, pour devenir une sorte de géant.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Non, non je ne crois pas être satisfait. J’aime ce que je fais, c’est indéniable, mais ça ne me suffit pas, ça ne me rend pas heureux…enfin, pas totalement. Vous savez, dans mon domaine, je ne dirais pas qu’être scientifique est un métier qui paye. Je ne vais pas me plaindre, parce que j’ai la chance de pouvoir exercer le métier de mes rêves, parce que je fais ce dont j’ai toujours eu envie mais…mais je crois qu’il me manque quelque chose. Je ne sais pas quoi, peut-être une véritable reconnaissance, pas forcément de la part des gens mais…je ne sais pas.
J’ai la sensation qu’il me manque quelque chose, pas que j’ai raté quelque chose mais qu’il manque un truc dans ma vie. Qu’il y a une sorte de case vide et que je ne sais pas comment la remplir. En revanche, je sais que si je rempli cette case, ce sera un véritable aboutissement. Comme le fait d’être devenu un Super-Héros. C’est une sorte d’aboutissement, mais ce n’est pas la fin. Ce n’est qu’une corde de plus à mon arc, un chemin supplémentaire dans lequel je me suis engagé et qui me mènera forcément vers de nouvelles découvertes.
BiographieNo matter how smart I am, or how much I think I know, there's only one thing I can say for certain. Hank Pym is not always right« Sur la table, derrière le…le machin là ! », répondis-je en faisant un geste agacé de la main. Cette-dernière revint très rapidement se positionner sur la vis micrométrique du microscope, alors que mes yeux n’avaient jamais lâché les oculaires. Ma main gauche, quant à elle, tenait fermement la potence afin de me procurer une position stable et confortable. J’étais beaucoup trop concentré pour relâcher ma concentration, pour ne laisser –ne serait-ce qu’une infime partie de mon intellect- se focaliser sur un détail. Je ne pouvais, je ne voulais pas me permettre d’être distrait, de regarder ailleurs, de parler. Rien, rien qui ne soit pas en rapport avec les particules ne pouvait capter mon attention. Pas même Janet. Dieu seul savait à quel point je l’aimais, mais je ne pouvais pas me permettre de perdre du temps à discuter avec elle, pas maintenant.
J’avais sacrifié beaucoup trop de choses pour devenir l’homme que j’étais aujourd’hui. Mon enfance y était passée. Je n’avais pas été malheureux, mais je ne pouvais pas dire que j’avais été heureux. Ce que j’étais, ce dont j’étais capable dépassait l’entendement de mes parents. Aujourd’hui, je comprenais qu’ils avaient fait de leur mieux pour moi, qu’ils avaient sacrifiés leurs vies pour me laisser toutes les chances de devenir ce que j’étais. L’argent n’avait jamais coulé à flot, mais ils avaient fait tout leur possible pour que cela m’aide, au lycée, à la fac. Toujours. Ce n’était pas eux les fautifs, c’était moi. J’avais été forcé d’abandonner mon orgueil pour me fondre dans la masse, pour être comme les autres. Je m’étais toujours senti inférieur aux autres, qu’il s’agisse de mes camarades de classe, de mes collègues de travail ou bien des Vengeurs. Un complexe d’infériorité, complexe de Napoléon, appelez ça comme vous voudrez, je souffrais de cela depuis que j’étais gosse.
Plus jeune, j’avais effectivement essayé d’être comme tout le monde, mais cela n’avait jamais éteint le feu qui me dévorait de l’intérieur. Ce complexe m’avait rendu plusieurs fois fou, déchainé, dangereux. Depuis quelques temps, grâce à Janet, j’avais réussi à l’oublier, à le mettre de côté, voir même le canaliser parfois. Mais je savais pertinemment que cela ne durerait qu’un temps. Aujourd’hui, je portais un masque afin de cacher ce complexe. Jan’ pensait que j’étais guérit, c’était faux, je le savais. Il m’arrivait parfois de ressentir de la colère, mais pas comme n’importe qui. Moi, elle me dévorait de l’intérieur, elle me brûlait, me consumait. Elle me faisait crever d’envie de frapper, de la laisser déferler telle une vague destructrice. Je retenais cette colère depuis trop longtemps et un jour, je ne pourrais plus faire barrage.
« C’est bon, je l’ai. Merci de ton aide. », lança sèchement Janet en s’emparant de son téléphone portable. « Tes particules ne vont pas s’enfuir, tu pourrais sortir avec moi. », ajouta t’elle sur un ton beaucoup plus doux tout en réajustant la bretelle de sa robe.
« Pas le temps. », maugréais-je en guise de réponse sans même prendre la peine de regarder Janet. Non, plutôt que de faire attention à elle, plutôt que de passer du temps avec elle, je m’écartais seulement du microscope afin d’aller régler plusieurs paramètres sur mon ordinateur.
« Tu recommences, Pym. », dit-elle simplement en venant se planter face à moi, m’empêchant de faire rouler ma chaise jusqu’à mon autre bureau.
« Quoi ?! », m’exclamais-je, sur un ton dur et sans appel. Mon visage était fermé et j’aurais pu jurer que Janet venait de ciller, probablement surprise par la lueur de haine dans mon regard. « QUOI ?! », répétais-je dans un hurlement gonflé de rage.
Jan’ ne répondit pas. Elle semblait interdite, totalement paralysée par la peur. Ses yeux brillaient, emplis de larmes provoquées par la terreur et la douleur. Son corps tout entier était crispé, elle était incapable de bouger, incapable de se défendre ou de prononcer le moindre mot. Elle était terrifiée mais pas sans défense. Elle aurait pu me gifler, me repousser ou même me frapper avec une décharge d’énergie bioélectrique. Elle aurait pu s’échapper, réduire sa taille jusqu’à être presque invisible à l’œil nu et prendre la fuite. « Hank…mon bras… ».
Quoi ? Je ne voyais pas de quoi Jan’ voulait parler, j’étais assis, je ne la touchais pas, je…Mon regard se posa instinctivement sur son bras. Ma main l’enserrait. Ma bouche s’entre-ouvrit dans un cri silencieux, mes yeux perdirent leur éclat de haine. Mon Dieu, qu’avais-je fait ? Sans m’en rendre compte, j’avais balancé le fauteuil à l’autre bout de la pièce, je m’étais levé afin de lui faire face. Sans en avoir conscience j’avais perdu le contrôle et la colère, la haine et la rancœur qui me consumaient avaient presque pris le dessus. Je venais de montrer une terrible image à Janet, quelque chose qu’elle n’aurait jamais dû voir : la violence. Ma violence.
Je restais debout face à elle, interdit avant de me rendre compte de la force avec laquelle je ceinturais son bras. Ma mâchoire se crispa alors que je relâchais mon étreinte, finalement conscient de ce que je venais de faire. Je reculais d’un pas, titubant même, tentant de reprendre mon équilibre en prenant appuis contre le bureau. Je fuyais le regard de Jan’, j’avais l’impression d’avoir son sang sur les mains. J’avais la sensation d’avoir été trop loin, de l’avoir poignardé. J’avais été complètement aveuglé par cette rage qui m’habitait et qui avait subitement prit le contrôle. Je n’étais rien de plus qu’un monstre.
« Mon Dieu, Jan’, je…je suis désolé… », murmurais-je péniblement en essayant de comprendre comment une telle chose avait pu arriver. « Pardonnes-moi, pardonnes-moi Jan’ je t’en supplie, je suis désolé…je suis désolé… », continuais-je en secouant la tête, les yeux braqués sur mes mains tremblantes.
Une telle chose, un telle excès de colère ne m’étais pas arrivé depuis plusieurs années, depuis la dernière fois que j’avais porté le costume d’Ant-Man, pour être précis. L’exposition prolongé de mon ADN aux particules Pym avait un rôle à jouer dans cela, mais ce n’était pas tout. Il y avait autre chose et cela venait clairement de moi. J’avais toujours eu ces problèmes de violence, toujours. Mais j’avais réussi à les contenir. Mon entrée au service du SHIELD par exemple, m’avait grandement aidée. Fury avait su se montrer convaincant et grâce à lui, je n’avais jamais manqué de travail, de projets. C’était cela qui avait tenu cette rage éloignée de moi, l’occupation. Tant que j’avais quelque chose à quoi penser, je restais calme…sauf lorsqu’une personne se montrait trop intrusive. Néanmoins, le travail avait un effet bénéfique sur moi.
Puis le SHIELD avait été dissous et je m’étais retrouvé seul. Janet ne comptait pas. Ce qui était le plus important, c’était que je puisse mettre mon talent, mes connaissances à contribution. Il fallait que je fasse quelque chose, que je réfléchisse, que je fasse fonctionner mon cerveau, que je pense, que je me penche sur des problèmes incompréhensibles pour le commun des mortels. Je ne pouvais pas rester inactif et profiter de ma femme. L’inactivité me tuait.
Et puis Tony avait fait son entrée dans ma vie. Alors que je ne savais plus quoi faire, que j’avais l’impression d’être inutile, il m’avait aidé en me proposant de travailler pour lui. A ses yeux, ce n’était peut-être pas grand-chose, mais pour moi c’était un véritable paradoxe. Car dans un sens, il m’aidait à continuer de faire ce pourquoi j’étais doué et dans un autre, c’était un affront. Un affront, parce qu’une fois de plus, je n’étais qu’un simple sous-fifre, un type qui travaillait dans l’ombre alors que seule la lumière m’intéressait. Je voulais être bien plus qu’un collaborateur, je voulais avoir ma propre entreprise, mon laboratoire personnel et être enfin reconnu comme le grand scientifique que j’étais. Je le méritais, j’en étais sûr et j’en avais plus qu’assez d’être sans cesse rabaissé. Malgré cela, j’étais tout de même parvenu à sympathiser avec Stark, à créer une sorte d’amitié forte avec lui et ce, grâce à notre domaine de prédilection : la science.
« Promets-moi de ne jamais recommencer, Hank. », dit enfin Janet, après un long silence. Elle s’approcha de moi, massant son bras endolori et vint poser sa main sur ma joue. « Tu dois te contrôler. Tes amis, les Vengeurs, personne ne doit te voir dans cet état, Hank. Tu comprends ? S’ils venaient à l’apprendre, tout ça, ce serait terminé. », ajouta t’elle avec une douceur infinie, alors qu’elle faisait référence au laboratoire, à mes recherches, à mon nouveau statut de héros. « Cette nouvelle formule ; tu es si près de toucher au but, tu ne peux pas te permettre de tout perdre, pas maintenant. Il faut que tu te canalises, Hank. Je ne suis pas ton ennemie, tu ne peux pas me faire ça, tu n’as pas le droit. », termina Jan’, toujours avec autant de calme et de douceur.
« Je suis désolé… » répétais-je en ravalant un sanglot tout en appuyant mon front contre son épaule. « Je vais m’en sortir, Jan’, je vais m’en sortir et devenir meilleur. Ils vont comprendre qui je suis réellement et ils me respecteront pour ça. ».
 Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Manu/27 ans/M Fréquence de connexion ; Régulière Que pensez-vous du forum? ; Beau design, bel accueil, ça donne vraiment envie de s'y installer Comment l'avez-vous découvert ? Par hasard Célébrité choisie ; Lee Pace Credits (avatar, icon etc.) ; Odistole
Dernière édition par Henry J. Pym le Mar 10 Nov - 19:28, édité 13 fois |
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Lun 2 Nov - 17:32
PYM + LEE PACE 
Sinon, bienvenue 
Bon courage pour ta fiche (que j'ai déjà hâte de lire 
). On se trouvera un petit lien quand tu seras validé, hein ? 
Hâte de lire ta fiche 
N'oublie pas de réserver ton vava afin de l'avoir pour toi pour dix jours ! 
bon, ma collège au-dessus a fait le petit topo administratif, hésite pas à nous mpotter si t'as besoin, et bon courage pour ta fiche, ça va envoyer du pâté, je le sens 
