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 Morgan Gray, aujourd'hui

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MessageSujet: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:39
Lawrence J. Patterson
Je suis l'unique !


identité
Nom et Prénom : Lawrence Jacques Patterson. Alias : Trust. Âge : 38 ans. Lieu de naissance & nationalité : Je suis né(e) à New York, Good morning USA. Métier : Éditeur, mais que de romances gays Statut civil : Célibataire, mais j'ai un concombre avec lequel je m'entends très bien. Orientation sexuelle : Frutisexuel. Particularités : Figer, figer le non vivant et le suspendre dans le néant. Figer, figer le vivant en le changeant en pierre. Alors je propose des alternatives au botox très intéressantes le samedi de 23h14 à 23h58 si ça vous intéresse. Ah, et si vous êtes assez puissants, votre corps se changera en pierre sans que ça vous tue. Vous serez pétrifié, mais c'est un détail n'est-ce pas ? À moins que vous ne soyez un ami, dans ce cas je peux maintenant changer votre corps en pierre en vous laissant toute mobilité. Par contre, je vous accorde que ce n'est pas pratique pour ls pauses pipi... Affiliation : Shield, bien entendu ! Non, je déconne, Hydra. Et puis quoi encore ? Je suis un indépendant messieurs et mesdames.

interview
ÊTES-VOUS POUR OU CONTRE LA LOI DE RECENSEMENT DES MUTANTS ? POURQUOI ? SI VOUS ÊTES UN MUTANT, AVEZ-VOUS DÉCIDÉ DE VOUS RECENSER ?  Je suis totalement contre, bien évidemment. Mais je n'ai jamais été pour les fichages en général. Légalement, je n'existe pas. Je ne vis que sur des faux documents, et je ne serai pas identifié quand je mourrai. Alors me recenser, ce serait forcément avouer que j'existe. Et puis, mon pouvoir est un outil majeur que je ne veux pas limiter, jamais !  
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Déjà à la base, les héros me blasent alors s'ils sont super, c'est superpire. Mais qu'ils s'occupent des superméchants et laissent les braves gens comme moi faire leur petit business dans leur coin et tout ira pour le mieux. Je ne pourrai jamais me confronter à un Captain America ou un Hulk mais je fais ma petite affaire de faire plier les hommes et les femmes sous les pseudonymes... Après tout, chacun a sa faiblesse n'est-ce pas ?
Qu'est-ce qui vous a poussé à faire le mal ? Bla bla famille horrible, bla bla désir de vengeance. Non je rigole, j'adore tuer des gens. Certains pratiques le golf, moi je pratique le collier de boyaux, surtout s'ils sont humains...
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? Bah j'ai assassiné mes parents, et pourtant ils ne faisaient même pas d'élevages de bébés ! Alors ils l'ont bien pris je pense, ils voulaient que je sois un mutant après tout...
 
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? Je dépends de l'anonymat. Personne ne connaît mon identité et je la cache en la... dissimulant sous divers identités. Je ne suis pas Lawrence, je ne suis pas ce que vous croyez. Je suis le fils unique, selon dont personne ne connaît le nom. Appelez-moi comme vous voulez... et oubliez-moi...
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Bien sur !


biographie
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Je suis unique, je suis le fils unique. Je suis l'unique, je suis la Confiance, je suis le Traître, je suis le Maître. Famille de mutants extrémistes, environnement de violence, d'entraînements acharnés, de coups sur la gueule, je suis le fils unique. À l'heure où vous apprenez à compter, je ne sais pas écrire mon prénom mais je sais parler, oh... comme je parle bien. Mon père me dit parfois qu'il ne me servira à rien d'être un mutant si je ne sais pas utiliser ce que la nature m'a donné. Je n'ai rien demandé pourtant... Remontons aux origines, voulez-vous.

Je suis le fils unique. Dans une famille nombreuse, tassé dans un petit appartement du Bronx. Mon père a été renvoyé depuis qu'il est arrivé bourré au commissariat, ma mère a été renvoyée depuis qu'elle a utilisé son pouvoir pour voler du fric. Je m'appelle Jacques. Je n'ai jamais ouvert le moindre livre à l'âge de sept ans, mes parents ne m'ont pas déclaré, je n'existe pas. Je ne pense pas. Je ne suis pas. Il s'appelle Lucien. Elle s'appelle Marine. Ils m'appellent « toi ». toujours simplement « toi ». Jusqu'à mon adolescence, en fait, les choses allaient plutôt bien. Ils attendaient de voir si je devenais un mutant, me répétant de temps en temps qu'ils ne garderaient pas un homo sapiens vivant sous ce toit. Je ne voyais pas vraiment ça comme une menace, parce que mon père me disait souvent qu'il avait des tas de projets pour moi. Ma mère me repoussait, ne sachant pas encore si elle pouvait me prendre dans ses bras.

Finalement, j'ai commencé à sortir surtout pour courir, je courais tout le temps. Mon père me donnait des parcours à effectuer en moins de temps que la veille. Parfois, je me promenais dans le quartier avec des packs d'eau. Quand je rentrais, nous nous battions. Télépathe, il me donnait comme adversaires le mobilier de maison, le tisonnier, la chaise, la lampe, m'envoyait parfois valser dans les escaliers... Jusqu'à ce jour où tout s'est arrêté. J'ai ouvert les yeux, quittant le sommeil protecteur. Tout s'était vraiment arrêté. Les meubles étaient suspendus à peu près partout dans la maison, mon père avait la bouche ouverte, les bras devant le visage. J'ai passé la main sur son visage, il était dur. Entièrement fait de pierre. Comme mon poisson rouge : Bunny Ier. Ma mère était assise dans le canapé, elle ne s'en relèverait pas. J'ai attendu un moment, je n'étais pas certain ce qui s'était vraiment passé... J'ai hésité puis me suis écrit : « J'ai réussi ! » Je ne parlais pas beaucoup, alors j'ai répété cette phrase inlassablement, jusqu'à ne plus avoir assez de salive. J'ai quitté la maison pour aller à la rencontre du reste de ma famille. J'avais des oncles, des tantes, une grand-mère, je devais leur montrer que j'étais vraiment un mutant !

Mon arrivée ne fut pas des plus festives... L'absence de mes parents à mes côtés jeta un froid mais au fil des mois, on m'accepta comme un membre à part entière de la famille. Semant des statues de pierre dans mon sillage, j'appris à contrôler ce pouvoir au pire de douloureux efforts, et de nombreux accidents... Jeune homme, je me mis à suivre des cours du soir pour apprendre à lire et à écrire. J'y rencontrai Noellie. Noellie, c'est le genre de rencontres uniques. Elle me fit battre le cœur, pour la première fois. Elle était belle, mais je ne me sentais pas prêt à vraiment l'aimer. Je devais savoir d'abord... Savoir qui elle était ! Ce qu'elle valait... Je l'ai présentée à ma famille, ils l'ont tout de suite détestée. C'était beau ! Elle est d'une famille huppée, connue pour sa position anti-mutants. Je n'en savais rien, quelle importance. Ma famille a voulu la faire disparaître, en représailles. Mais c'est une mutante, comme nous ! J'ai essayé de la défendre, j'ai essayé de me battre mais ils me l'ont tuée ! Ils me l'ont enlevée...

Elle a baissé le regard sur la blessure béante sur sa poitrine. J'ai fait pareil, j'ai posé la main dessus, pour la soigner. Mais je ne sais pas soigner, je ne sais que détruire. Je l'ai changée en pierre jusqu'au cou, pour la sauver. Ses poumons ont cessé de s'étendre, son cœur a cessé de battre, elle a cessé de me sourire. Ses bras de pierre ont bougé dans ma direction, elle m'a embrassé. Elle m'a embrassé, m'a mordu la lèvre si fort que j'ai cru qu'elle voulait l'arracher. Elle m'a dit de ne pas avoir peur. J'ai eu peur...

2016. J'ouvre les yeux, elle est en train de dormir. Je me lève, vais me faire un café. Une pile de manuscrits à lire sur mon petit bureau. Elle est toujours en train de dormir. Sur le canapé, des statues des anciens propriétaires. Je me sers un petit café que j'accompagne d'un croissant. Parfois, j'ai peur de ce qu'elle me fait faire, elle est extrême. Elle veut toujours plus de pouvoir, elle veut toujours plus de fric, plus d'espace. Elle ne me pardonne pas de l'avoir présenté à ma famille de tarés et elle me le rappelle à chaque fois. Souvent, je me fous dans un coin et j'attends qu'elle parte mais elle ne part jamais, elle reste toujours collée à moi. Elle me dit toujours qu'on mourra ensemble, mais je ne veux pas lier ma vie à la sienne. On n'est pas mariés que je sache ! Elle m'obsède, dès que j'essaie de me sauver, elle me retrouve.

C'est une obsédée ! Ce matin, j'ai appris que l'UPH a été munis de nouveaux flingues, c'est elle qui me l'a dit. J'ai envie d'aller leur demander de me tirer dessus, j'ai envie de me rendre. Je fais un tas avec mes papiers d'identités, elle s'exclame « T'as cru que je dormais ou quoi ? » Je m'en fous, elle peut bien me voir partir, cette fois je ne reste pas avec elle. Elle se met à me hurler dans la tête, veut m'empêcher de réunir mes affaires. Elle est folle, elle ne s'habitue pas à la vie avec moi et c'est réciproque. Je trébuche sur son sac à main et je mets tout dedans. Je suis toujours en pyjama mais cette fois, j'y vais ! Je vais me rendre ! Je sors en vitesse de l'appartement et dévale les escaliers à pieds nus... Je cours, je cours comme j'ai toujours couru. Je cours sans m'arrêter et je tombe. Elle est là, même sans la voir, je sais qu'elle est là. Nous nous poursuivons presque nus dans la rue, elle est toujours là, elle me crie de ne pas faire ça... J'arrive essouflé au commissariat, ils me regardent tous avec surprise. Je m'exclame : « Je vous en supplie, aidez-moi ! Elle me fait faire des choses ! Elle veut se venger, aidez-moi ! Elle ne me laisse pas dormir, elle est toujours là ! C'est elle, Noellie ! C'est son vrai nom ! Aidez-moi, je vous en supplie ! » À ma droite, une vitrine avec la photo des gens disparus. J'y vois le reflet de Noellie. Je ne figurerai jamais sur ces photos de personnes disparues. Je n'existais pas. « Que vous arrive-t-il madame ? » demande un agent en s'approchant prudemment de moi. Je baisse le regard sur mon pyjama, regarde mes petites mains, ses petites mains. Ma poitrine, mes jambes, mes cheveux qui pendent sur mes épaules. Noellie sourit et me dit, dans un coin de ma tête : « Jusqu'à ce que la mort nous sépare, darling. »

Je vous remercie d'être arrivé jusque là, parce que ce n'est absolument pas ce qui m'est arrivé. Je ne vous ai pas prévenus en fait, mais je suis un peu un escroc, et un peu mythomane sur les bords. Je suis certaine que Noellie aurait été bien sympathique, mais elle n'existe pas... Du moins, cette Noellie n'existe pas et n'existera jamais...



Dernière édition par Morgan Gray le Dim 3 Juil - 17:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:40
Morgan Gray
Si elle joue,
Ce n'est que pour gagner


identité
Nom et Prénom : Morgan Gray, non, pas Grey. Merci de ne pas nous asocier à ce caca littéraire, vous serez bien aimable. Alias : Mon surnom dans la famille est « Trust ». Tout simplement parce que je ne suis pas digne de Confiance. Mes frères, ironiques ? Pas du tout ! Parce que depuis toujours, j'ai une forte tendance à mentir... Et ça ne s'est pas arrangé avec l'âge. Âge : J'ai 27 ans. Mon âge n'est pas tabou mais je change souvent de date de naissance sur mes papiers, histoire qu'on ne remonte pas facilement jusqu'à moi. Ma préférée est le 13 février, il y a des cœurs partout, des amoureux qui courent dans les boutiques à la recherche du cadeau bon marché qui prouvera la force de leurs sentiments... J'en viens parfois à oublier que je suis née durant l'été, je préfère le printemps. Lieu de naissance & nationalité : Je suis née pendant une partie de poker à Las Vegas, mais ma famille est originaire de New-York... Du moins nous sommes implantés là-bas mais mon père est Américain (Ma grand-mère est Allemande de naissance, mon Grand-père anglais) et ma mère vient d'Espagne. Je crois que quelque part, je dois avoir une grande-tante qui a vécu en Argentine après la guerre... Bref, nous sommes partout. Métier : Mon véritable métier ? Escroc, de toute évidence. Ma spécialité, ce sont les faux papiers et les usurpations d'identités. Cela me permet de changer souvent de boulot. J'ai déjà dentiste à Atlanta (on m'a surnommée la bouchère, paraît-il), été avocate à Los Angeles (et j'ai gagné un procès je vous ferais dire!), été psychiatre à New York il y a quelques années, et maintenant, je suis en train de préparer mes papiers pour rejoindre l'UPH. Statut civil : Célibataire. J'ai beaucoup de mal à me mettre en couple, simplement parce que je suis devenue une mythomane compulsive et que mes chéris ne supportent pas ça... Je n'y peux rien, c'est devenu comme une seconde nature. Vous pensez que je devrais aller voir un vrai psy ? Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, j'aime le corps des hommes, c'est tout. Particularités : Depuis que je suis adolescente, je dégage une certaine confiance. Va savoir si c'est un don ou juste mes airs de gamine qui font ça mais... j'ai tendance à mettre en confiance. Je mens avec facilité, une telle facilité que j'arrive parfois à me convaincre moi-même de mes histoires. Ce n'est pas pour autant que je suis un véritable détecteur de mensonges avec les autres mais je pars du principe que tout le monde raconte n'importe quoi. Comme ça, je suis vaccinée.

Sinon, je suis née mutante avec la capacité de me téléporter. M'enfin pas n'importe où. Juste à votre place. Je me suis découverte cette possibilité quand j'étais au collège. Au moment de me bouffer une balle de baseball dans le front, je me suis soudainement retrouvée à la place de mon professeur qui mangeait la balle à ma place. Au début, je ne pouvais pas le faire à moins de dix mètres, maintenant je peux le faire avec n'importe qui à proximité et quand je suis en grande forme, il m'est déjà arrivé de le faire avec mes frères sans les avoir en visu...

Et depuis quelques années, j'ai la possibilité de changer mon état de santé contre celui-ci de quelqu'un d'autre... enfin pas complètement puisque je ne peux pas refiler mes maladies, une gueule de bois ou un coup de soleil. Va savoir, ça ne fonctionne qu'avec la chair. Mais si je me blesse, je peux me soigner et transmettre ma blessure à quelqu'un qui reste dans mon champ de vision. C'est assez pratique mais je ne suis pas à l'abri des balles pour autant, j'évite donc de pratiquer trop souvent. Comme cette surprise n'était pas prévue, je la maitrise assez mal et il m'arrive de laisser des résidus de souvenirs à la personne à qui je lègue mes blessures. C'est gênant, n'est-ce pas ? Affiliation : Elle a aidé son frère dans quelques missions pour Hydra, sans vraiment leur offrir sa loyauté. Et depuis quelques semaines, elle essaie de rentrer en contact avec Braiden Richardson, il paraît qu'il est taré mais qu'il fait des choses intéressantes...


interview
ÊTES-VOUS POUR OU CONTRE LA LOI DE RECENSEMENT DES MUTANTS ? POURQUOI ? SI VOUS ÊTES UN MUTANT, AVEZ-VOUS DÉCIDÉ DE VOUS RECENSER ? Je suis totalement contre cette loi si elle est sensée me concerner. Ma survie, c'est mon anonymat alors autant dire que ma mutation doit rester un secret. J'ai déjà eu l'occasion de croiser des flics qui m'ont demandé ma carte de recensement, on n'en a plus entendus parler. Mes frères et moi-même sommes tous des mutants mais notre objectif principal est notre propre survie. Par contre j'avoue que ça m'arrange que d'autres le fassent à vrai dire... L'une de mes belle-soeurs a décidé de se lancer dans le commerce de mutants. En soi, c'est un peu dérangeant quand on sait que son mec et nous tous en sommes, mais il paraît que ça rapporte un paquet de fric alors pourquoi pas ? Vendre un autre mutant, c'est comme un humain qui vend un autre être humain ? On ne va quand même pas pleurer sur toute la misère du monde. Mais je ne suis pas naîve, cette loi implique bien plus de choses qu'un simple bout de papier, c'est un message fort envoyé aux gens comme nous... Mais les Gray ne se laissent pas faire, et ce depuis plusieurs générations. Alors ils peuvent venir nombreux pour venir nous chercher...
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Tant que les superhéros ne s'en prennent qu'aux superméchants, cela ne me dérange pas le moins du monde. Je ne me suis jamais entraînée au combat, jamais vu l'utilité. Alors il est évident que je ne ferais jamais le poids contre un Ironman ou la rousse sadomaso... Mais j'ai d'autres atouts alors ils ne me font pas peur. Et puis nos petits trafics ne les intéressent pas trop. Ils sont occupés à sauver le monde des catastrophes qui viennent de partout ailleurs. Alors ça me va. Et puis le costume de Captain America, on est d'accord que ça lui fait un ptit cul qu'on a envie de croquer, non ?
Qu'est-ce qui vous a poussé à faire le mal ? Je n'ai pas vraiment l'impression que nous fassions le mal. C'est juste que nos activités ne sont pas légales dans ce pays... Mais l'illégalité c'est une affaire de famille. Ce n'est pas que nous sommes trop bêtes pour le bien, ou trop amoral. C'est juste que pour nous, braquer une banque c'est comme être au guichet, c'est un job comme un autre. Ma dévotion ne va qu'à ma famille, et tous les autres ne récoltent que les fruits de mes mensonges. Il faut bien pouvoir compter sur quelqu'un, pas vrai ?
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? J'ai cinq grands frères qui sont tous des mutants, la découverte n'a donc pas été une grosse surprise. Je l'ai su quand j'étais au collège et c'est après que j'ai commencé les cours à la maison. Seule mon père ne fut jamais un mutant, mais c'était un brave homme. Il travaillait dur pendant que ma mère mettait sur pieds une mafia familiale dans le quartier. Ils étaient souvent en désaccord, il souhaita même m'envoyer dans une école de mutants mais elle refusa, la famille ne se sépare jamais... Donc toute ma famille sait. Quant aux autres... quand c'est nécessaire.
Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? Mon second don n'était pas prévu au programme. Nous étions partis chercher un produit dans un laboratoire de Denver, dans le Colorado, quand nous avons été surpris. Dans notre fuite, mon frère s'est retrouvé enfermé dans un sas qui s'était fermé par mesure de sécurité. Comme un gaz commençait déjà à envahir la pièce, j'ai pris sa place. J'ai inhalé quelque chose de malsain, qui m'a presque tuée. Et à mon réveil, je n'ai pas tout de suite compris que j'avais « ça ». Je l'ai su quand l'infirmière a regardé son bras et qu'elle avait la trace du cateter que je venais d'arracher.
Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? J'essaie de dissimuler mon identité au maximum mais j'ai déjà été piquée une fois ou deux, ce qui fait que mes empreintes sont malheureusement fichées, sous des noms différents heureusement. Je dois trouver quelqu'un pour effacer ça d'ailleurs. Mais je ne porte pas de masque, pas envie de ressembler à un mauvais costume d'Halloween... En général j'agis à visage découvert sous une fausse identité, et je ne suis pas soupçonnée. Si vraiment je dois aller comettre un cambriolage, bien entendu... un masque blanc fait l'affaire.
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Oh oui, tout à fait ! Mon entrée dans l'UPH est imminente ! Hydra a été un très mauvais souvenir, parce qu'une fois qu'ils te tiennent, ils ne te lâchent pas. Je sais bien que je ne joue pas dans la même cour qu'eux alors je préfère ne plus jamais bosser pour eux... Mais mon trafic de faux papiers marche super bien. J'ai un train de vie confortable et j'ai envie de faire plus, toujours plus !


biographie
C'est toi le chat !


Acte I. Homo Sapiens, jusqu'à preuve du contraire.
Elle a perdu les eaux, ils lui ont dit trois fois mais elle avait une bonne main. À l'extérieur, c'était Lawrence – 13 ans – qui se trouvait au volant de la voiture de location pour emmener maman à l'hôpital. Mais elle avait une bonne main, la main à laquelle tu ne renonces pour rien au monde ! Elle a donc terminé sa partie avant de monter en voiture. C'est comme ça que j'ai eu la chance de naître à Las Vegas, cadette d'une fraterie de cinq aînés. Laissez-moi vous présenter ma famille... Mon père s'appelle Stephen, il est contremaître dans une société qui fabrique des gilets par-balle. C'est un brave homme, pas franchement porté par le crime. Il a huit frères et sœurs, et on le les connaît pas tous. Son rêve était de devenir flic, mais c'est en cabane qu'il a rencontré Lucia. Il avait 29 ans et entrait pour un petit vol, elle avait 14 ans et sortait avec ses parents qui venaient la chercher après une fugue. Coup de foudre malsain, il l'aida à s'enfuir et lui fit son premier gosse l'année qui suivit. Oh et puis ce n'est pas comme s'il avait déjà deux enfants pas reconnus... Ah si c'était le cas. Il n'était pas mutant, alors qu'elle utilisait son pouvoir de contrôle de l'eau pour lui faire la misère. Ses parents ne virent pas d'un bon œil leur relation – pédophilie je crie ton nom – mais jugèrent qu'il avait une pas si mauvaise influence sur elle vu qu'elle reprit les cours entre ses grossesses... Elle parvint même à monter sa propre affaire en ville : une épicerie qui servait de couverture à un trafic d'armes. Elle eut le deuxième enfant à tout juste 17 ans : Jake. Et l'année qui suivit, Franckie fit sa grande entrée. Toujours à attirer l'attention : prématuré, césarienne, couveuse et quelques arrêts respiratoires. Ce qui fait que maintenant, il est tout maigrichon mais à croire qu'il a une revanche à prendre sur la vie, parce qu'il est de loin le moins sympathique de nous tous...

Petite pause après les trois gosses. Mon père l'a rejoignit dans son petit commerce, surtout pour l'aider à ne pas se faire pincer. Ils vivaient dans un petit appartement où mes frères luttaient pour avoir un poil d'intimité. Les services de l'enfance firent d'ailleurs quelques visites sans trouver assez de raisons pour leur retirer la garde des garçons. Six ans après Franckie, Grant vit le jour. Trois ans plus tard... Morgan et l'année suivante : Morgan. Quand je suis née, ma mère a regardé mon frère le plus jeune puis a jugé que ce serait une bonne chose pour moi qu'on me confonde avec mon grand frère, ce serait plus facile pour moi de passer inaperçue. J'héritai donc généreusement du même prénom, avec la même orthographe.

Fort heureusement, je coulai des jours heureux en compagnie de tout ce petit monde. Je n'étais pas une princesse et comme tout le monde, je devais me battre pour avoir droit à la télécommande ou au dernier bout de gâteau. De tous mes frères, Law était mon préféré parce qu'il était l'incarnation pour moi de la beaugossitude, j'adorais le voir ramener des filles, le voir leur raconter n'importe quoi. Elles le croyaient toujours. Il était le charisme incarné et quand il disait que nous étions orphelins et qu'il nous élevait, ça me donnait envie de me joindre à ses mensonges. C'est à cette époque que j'ai commencé à jouer la comédie. Je m'entraînais à l'école souvent, si bien que les pions ne savaient jamais de quelle classe je venais. Quand j'étais renvoyée, je les embrouillais tellement bien que je finissais pas ressortir blanchie de ces odieuses accusations de vol de stylos et de boulettes de papier crachées au plafond.

Ce fut lors de ma seconde année de collège que j'ai dû dire au revoir à l'appartement. Les services sociaux sont revenus mais cette fois ils ont ramené les flics avec eux. J'avais onze ans. Lawrence avait vingt-quatre ans, il ne vivait plus avec nous mais montait des arnaques financières dans le quartier des affaires. Jake avait vingt-deux ans, viré de la faculté, il avait rejoint ma mère dans son trafic de drogues et avait été soupçonné dans une affaire d'homocide involontaire dans un bar. Franckie avait vingt et un ans, on le voyait plus, il parlait souvent d'un poulpe qui le payait bien. J'appris plus tard que ce qu'il appelait le poulple, en ma présence, c'était Hydra. Grant avait quinze ans, et Momo douze. Nous fûmes les trois retirés, et placés dans des foyers différents. Grant utilisa ses pouvoirs sur les flics qui l'emmenèrent, ce qui le conduisit directement en centre de détention pour adolescents. Quant à Momo et moi-même, nous séparer fut déchirant. On se promit de se protéger mutuellement, toujours. Nous n'allions pas au même collège et aucun de nous n'avait manifesté d'aptitude particulière. Momo était un futé, mais je le trouvais fragile. On se laissa faire parce que ça nous semblait le mieux à faire, et chaque week-end, nous pouvions nous retrouver tous les deux. Mes parents étaient connus des forces de l'ordre mais trouvaient toujours un moyen de s'en sortir... J'entendis dire que Lawrence n'allait plus les voir souvent, parce qu'il s'était embrouillé avec Franckie...

Acte II. T'es là, t'es là, t'es plus là !
Le collège devint infernal... Je me sentais tellement vide, tellement vide sans ma famille. Pour passer le temps, je faisais des détours en rentrant, je frappais aux portes des inconnus et demandais plusieurs choses... Soit à utiliser les toilettes et je volais de petites choses, ou je leur vendais des objets piqués dans les trousses de mes camarades, dans les bureaux de l'administration. J'avais même réussi à changer mes notes après un contrôle désastrueux, m'introduisant dans la salle des professeurs. Jusqu'à ce jour béni où je découvris mes pouvoirs, pendant un cours de sport. Mon père essaya de me faire changer d'école mais ses protestations demeurèrent muettes aux oreilles des services sociaux. Ma famille d'accueil me fit l'école à la maison. Outre le manque de vie sociale, c'était quand même pas mal. Le couple chez qui j'étais me traitait comme leur fille, vraiment. J'avais même droit à de l'argent de poche – en plus de celui que je leur prenais. J'allais en soirée, souvent, me faisant passer pour une lycéenne ou une étudiante. Et à seize ans, Lawrence vint me voir pour m'expliquer comment demander mon émancipation aux yeux de la loi. Il avait manifestement travaillé son droit, parce que nous eûmes gain de cause !

Les retrouvailles furent fantastiques. Toute la famille était là, même les cousins qu'on ne connaissait pas ! Il y eut beaucoup d'alcool, un peu de coke et des embrassades de tous les côtés. J'avais tellement d'espoir, tellement envie de vivre ! Je rencontrai un oncle dentiste et décidai que c'est ce que je ferais ! C'est ainsi qu'à seize ans, je partis m'installer à Atlanta où j'ouvris mon propre cabinet sans dépenser le moindre rond. Le plus facile, je le découvrais rapidement, était de prendre l'identité des morts parce qu'ils ne posaient jamais de problème. Madame Cuvellier, cette Française, dentiste pour bourges, n'était pas vraiment douée. J'en ai fait pleurer des enfants, mais en même temps c'est pas facile facile. Je ne suis pas restée longtemps mais on eut le temps de me surnommer « La bouchère ». Franckie était excité quand je lui racontais mes histoires, il disait que ça lui donnait des idées. Je rencontrai Chris cette même année... C'était un gentil garçon mais il ne connaissait que mon nouveau prénom : Jenny. Et Chris et Jenny, ce n'était pas possible. J'ai ramassé ma petite culotte un beau matin et suis partie. Je ne m'étais pas attachée, je le voyais comme un menteur, il disait qu'il aimait bien Jenny, après tout... J'ai appris que ça ne servait à rien d'être amoureux, je lui aurais fait mal, je pense.

La vérité étant quelque chose d'assez flou, j'ai été avocate un petit moment. J'ai commencé à fabriquer mes faux diplômes moi-même à cette époque, parce que c'était trop compliqué d'embrouiller toutes les adminstrations. J'ai été embauchée par un cabinet privé pour lequel j'ai travaillé trois ans. J'ai eu plusieurs aventures, alors même que je n'étais pas majeure. Ma plus grande faiblesse restait d'appeler Momo dès que je le pouvais. Il multipliait des petits boulots, légaux et pas. Il aidait parfois Franckie aussi, qui était clairement devenu un tueur à gages. Cela ne me plaisait pas, parce que Momo n'avait pas cette dureté en lui, il subtilisait, il déformait, il ne détruisait pas. J'ai essayé de prévenir Franckie, de faire attention mais il recevait ses ordres du poulpe... Il ne voulait pas les décevoir. D'ailleurs, outre le fait de travailler pour eux, il s'est mis à vraiment adhérer à leurs idées. Il se montrait intolérant envers quoique ce soit, même nous l'exaspérions à la moindre occasion. Même de loin, je voyais que ça se passait mal. J'avais vingt ans que je quittai Los Angeles. Ce fut une mission pour Hydra qui m'y poussa d'ailleurs.

Franckie avait des instructions, Momo était de la partie, donc j'en faisais partie aussi. Avec des inconnus, nous devions voler un produit, je ne sais plus... C'était présenté comme simple mais les hommes qui nous accompagnaient firent un véritable carnage à peine arrivés. Momo était insensible aux températures et adoptait même celle des objets qu'il touchait. Il devait transporter un tube hors d'un laboratoire mais nous fûmes évidemment découverts. Un système de sécurité fut déclenché et Momo se retrouva prisonnier d'une salle hermétique, des balles ayant d'ailleurs fait des dégâts sur divers produits. Leur rencontre fit naître un gaz clair et j'inversai ma place et celle de Momo avant que l'inimaginable se produisît. Soudain, c'était lui de l'autre côté, moi ici. Franckie se cassa sans se préoccuper de nous et j'ordonnai à Momo de faire pareil. À cet instant, je me dis : Je vais mourir.

Mais le gaz ne me tua pas. Il me laissa en mode brocolis un bon moment mais quand j'ouvrai les yeux, j'étais différente. J'utilisai forcément mon don pour inverser ma place et celle de l'infirmière. Menottée à un lit d'hopital, pas ma daube... J'arrachai les quelques fils qui me parcouraient encore et je notai que l'infirmière en avait soudain toutes les traces d'entrées. Comme je ne savais pas vraiment qui m'avait maintenue en vie – hydra, flics, shield – je préférai partir sans demander mon reste. Je ne revins jamais dans le Colorado, bien évidemment.

Au lieu de cela, je m'installai à New York, définitivement. Lawrence disparut du jour au lendemain, je pensai qu'il avait été arrêté et peut-être avait-il été assez malin pour se faire intégrer à un programme de protection de témoin parce que quelques membres de notre famille furent arrêtés... Je ne lui en voulais pas, il avait sans doute obtenu d'autres contreparties parce que Momo – qui lui ne se remettait pas de son exposition au gaz – reçut assez d'argent pour être convenablement suivi. J'essayai de prendre son état de santé avec ce maudit nouveau don que je ne contrôlai pas, mais je n'y arrivai pas... Jake, que je voyais peu, menait à bien son trafic de mutants. Je participai occassionnellement, ainsi que Grant. Grant décida de faire bande à part sur ce même commerce et s'allia avec des Coréens me dit-il. Cela ne plut pas à Jake mais il ne s'y opposa pas...

Il y a trois ans, je suis devenue psychiatre. Ça m'a semblé plus reposant. Même si je poursuivais mes tentatives de contrôle du nouveau don, j'avais une identité stable. Pour m'aider dans ce nouveau rôle, je succombai toutefois à l'appel de la bouteille et occassionnellement de la drogue. Mais même quand j'arrivais défoncée au cabinet, ça passait inaperçu. Je me rendis quelques fois à l'hôpital – sobre – et rencontrai du monde, je me tissai un vrai réseau et décidai que je ne quitterai pas cette identité trop brutalement. Je décidai de fermer mon cabinet, tout simplement. Dernièrement, j'ai fabriqué un CV sur mesure pour rejoindre l'UPH. Jake est ravi, il attend que je l'aide dans son trafic. Paraît-il qu'il essaierait même de vendre des mutants dans un but médical, comme si faire une poudre ou une soupe avec du mutant allait guérir le cancer. Je ne m'y suis pas opposée, parce que je sais qu'il fait ça pour Momo qui se bat actuellement avec un cancer du poumon...


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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:47
OUIIIIIIIIIIII :hysteric:
J'ai pas encore lu la fiche mais je sais à quoi m'attendre et rien que pour ça, j'ai hâte. :mdr:

Rebienvenue ma poulette. :keur:
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:55
attends... Y'A DEUX FICHES ? WHAT THE ? :excited:
(rebienvenue à la maison) (plein de love sur toi :keur: )
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:56
Re-bienvenue I love you
Ca c'est de la fiche :mdr: :mdr:
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 17:57
Morgan Gray, aujourd'hui 1853691951 Deux ? Non non, vous vous méprenez...

Marchiiii :keur: :keur:
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeDim 3 Juil - 20:28
Bienvenue, qu'elle est belle cette actrice, heureusement qu'elle ne soit plus avec l'autre !! :keur:
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeLun 4 Juil - 13:40
Mon dieu....on l'a perdu Morgan Gray, aujourd'hui 4090359596
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeLun 4 Juil - 13:48
Qadir : Ouiiiii, en plus je suis en mode nostalgie, ça fait trèèèès longtemps que j'ai pas rp avec elle

Mona : Mais non, mais non, mais n.... okay si :mdr:
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MessageSujet: Re: Morgan Gray, aujourd'hui   Morgan Gray, aujourd'hui Icon_minitimeLun 4 Juil - 14:16
Congratulations !
tu es validé mon brave.


Bienvenue chez les HOMO SUPERIOR.

t'es folle, mais j'aime ça. Morgan Gray, aujourd'hui 2607349237 Morgan Gray, aujourd'hui 2607349237
j'adore ce perso, j'ai bien hâte de la voir en RP, j'sens que ça va être marrant. Morgan Gray, aujourd'hui 2258591103 amuse-toi bieeeen. :keur:


time to have fun. Maintenant que tu es validé, tu peux commencer par aller recenser différentes choses, comme ton métier ou ton pouvoir si tu en as un. Tu peux aussi te chercher des copains sur le forum, c'est à dire poster ta fiche de liens. Si ton personnage est du genre à passer son temps sur son téléphone ou sur le net, tu peux aussi te rendre sur la webosphère.
Nous t'encourageons fortement à te rendre dans la chat box pour y faire la rencontre des autres membres, si tu le souhaites ! Sinon, tu peux aussi aller te créer un scénario. Quoi qu'il arrive, n'hésite pas à te faire ton trou par chez nous, on te souhaite bien des RPs et une belle et longue aventure sur TNA !

ENJOY !
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