Nom et Prénom : Un prénom qui ne correspond qu'à moitié à ta personnalité et absolument pas à tes capacités, Mildred. Vieux prénom, reprenant celui de ton arrière grand-mère, signifiant tout bonnement la force tranquille. Le nom qui suit est des plus banals, Smith et tu t'en contente bien. Alias : On t'as surnommé à défaut de ne pas avoir de nom à écrire sur le papier, Richter. L'humour n'étant pas ton fort tu n'apprecie pas vraiment ce deuxième nom qu'on t'as attribué et tu préfère ne pas te présenté ou alors te présenté sous le nom POW. Surnom que tes amis t'ont donné suite à la première manifestation de ta mutation. Âge : Tu as 25 années au compteur. Lieu de naissance & nationalité : Ton enfance tu l'as passé dans la campagne de l'Etat de New York, américaine aussi bien par le droit du sang que du sol, tu n'as jamais franchi les frontières du pays que tu répugne. Métier : Tu as trouvé pour emploi un rôle de simple barmaid au Charlie's bar. Statut civil : Ta main gauche te tiens compagnie si tu te sens vraiment délaissé, mais autant dire que le célibat ne te dérange pas même si tu le connais depuis un moment déjà. Orientation sexuelle : Ne sachant pas vraiment, tu préfère ne rien dire plutôt que de dire une bêtise. Tu trouve le corps des femmes bien joli et tu as passé  la nuit avec quelques unes, mais tu n'y a jamais été attaché plus qu'en amitié. À ce niveau c'était plutôt les hommes qui t’intéressaient.  Particularités : Si au combat au corps à corps tu as la force et les capacités d'une fillette de pas moins de quatre ans, tu as l'incroyable talent de provoquer des fissures dans le sol, qui ne vont pas plus loin que deux mètres de profondeur pour l'instant, et des tremblements de terre qui s'étalent dans un rayon d'environ deux kilomètres. Ils ont tout de même l'avantage d'être prévenu par deux ondes de choc qui partent de toi. L'intensité varie tout simplement de tes émotions du moment, tu es dans l'incapacité de contrôler ta mutation et elle n’apparaît que lorsque des émotions primaires et fortes t'envahissent. Les émotions, étant aussi difficiles à contrôler qu'un animal sauvage, sont ton principal handicape en ce qui concerne ta mutation.  Affiliation : Aucune pour le moment, tu n'as pris aucun partie, mais cela ne saurait tarder.  

Êtes-vous pour ou contre la Loi de Recensement des Mutants ? Pourquoi ? Si vous êtes un Mutant, avez-vous décidé de vous recenser ? Tu es totalement contre cette loi, infamie et preuve de la peur que vous évoquez aux humains, pour toi cette loi signifie la prison et le danger. Vous ne serez plus libre d'être ce que vous voulez être. Ça te rappelles vaguement ce qu'on vous appris en cours, sur les nazi et la manière dont ils traitaient les juifs. Et tu considère que l'histoire n'est donc qu'une boucle et les erreurs que font les humains se répètent constamment. Tu as donc fait le choix dangereux de ne pas te recenser, et de vivre comme bon te semble de le faire. Tu as fait le choix dangereux d'être libre.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Tout dépend de quel Superhéros on parle. Bien que tu n'en pense en réalité pas grand chose. Tu sais qu'ils attirent l'admiration ou l’effroi des homos sapiens, qu'ils sont comme toi ou presque, mais qu'ils agissent pour le bien. Enfin, ce qu'ils pensent être bien, eux, non dirigés par un État qui soumet. Tu ne sais pas faire un jugement général et tu préfère juger au cas par cas. Ce qui serait bien trop long vu le nombre de soit-disant superhéros qui existent, alors tu diras juste que tu n'en pense pas moins que rien du tout.
Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? Tu l'as découvert en plein milieu d'un cours de sport au collège. Moment le plus humiliant de ta vie, tu as bien faillit tuer deux ou trois élèves en passant. Tu as d'abord eu très peur de toi même, de tes capacités et tu te demandais comment ça marchait, et tu ne sais toujours pas d'ailleurs. Seul ton oncle, et seul famille, est réellement au courant de tes capacités, étant témoin de pratiquement toutes les fois où ta mutation s'est manifesté et t'aidant à la "contrôler".  
Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Satisfaite de te faire draguer par les poivrots de New York chaque soir et de les resservir en boisson chargées d'alcool sans avoir rien à y redire. D'être payer pas une misère mais pas très loin. De laver les verres et de n'avoir que de rares clients qui osent marmonner un « merci » ou un « s'il vous plait », et qui, une fois la commande passé ne se contentent pas de te jeter le billet à la figure. Satisfaite de pouvoir au moins survivre dans les bas quartier avec cet emploi oui, tu l'es. Mais satisfaite de vivre ici et sans argent, même si tu t'y fais, tu ne l'es pas.  

« Qu'est-ce que tu fous là-haut Pow ? » tu étais monté sur le toit d'une maison, dieu sait comment tu t'es débrouillé pour atterrir là. T'avais quelques grammes dans le sang et bordel ce que tu riais. Le cristal de tes éclats de rire se mêlait à celui de tes amis. Ta bouteille de whisky à la main tu criais à qui voulait l'entendre que tu étais maître du monde et que tu pouvais l'admirer tout entier d'ici. Vous étiez dans le vieux patelin de l’État de New York où tu as grandis. « Allez Pow, descend tu vas faire une connerie ! » Te criais l'un des amis au sol, hébété et jovial, tout aussi saoul que toi. Tu as pris une dernière gorgée du liquide brun et tu as balancé la bouteille en lâchant des cris de victoire. Tu ne savais pas ce que tu avais gagné à part avoir brisé une bouteille presque vide de whisky. Non, en fait tu n'avais rien gagné mais tu faisais tout comme. Quand tu as voulu descendre, tu t'es aperçu que c'était plus compliqué que de monter. Incertaine dans tes pas, on aurait dit un faon qui vient de naître tant tu titubais. Tu as tragiquement glissé sur une des ardoises du toit et une chute de trois mètres s'est ouverte à toi. Une fois au sol, quelques secondes après t'être fracassé et avoir entendu ton épaule craquer, tu entendis un bruit sourd et le rire de tes amis qui ont cessé. Tous s'étaient rué vers toi pour être finalement projeté en même temps qu'un second bruit sourd retenti.

Pour toi, tout était flou et tu n'étais qu'aveuglé par la douleur. Tu avais l'impression d'entendre le monde s'écrouler autour de toi, le rire de tes amis avaient été remplacé par des exclamations apeurés et effrayantes à tes oreilles, ils éveillaient ton inquiétude. Tout c'est calmé quand tu t'es endormi fatalement sur le sol. La douleur trop importante comme le taux d'alcool dans ton sang pour réussir à rester éveillé.


Un mâle de crâne atroce t'assaillit dès que tu osa laisser la lumière te montrer un monde. Tu sens comme une enclume sur ton front et tu avais cette impression de salive pâteuse et amer dans la bouche. Quand tu as pris le risque de bouger l'épaule qui a servit la veille de matelas à ton corps quand tu es tombé, tu sentis une douleur plus intense encore te percuter de plein fouet et tu ne pu réprimer un gémissement. Un long soupir qui manifeste le regret d'avoir trop bu et d'être monté sur ce toit. Tu entendis la toux strict de ton père, et tu tourna la tête. Tes deux parents, ils allaient te disputer, tu le savais très bien. Tu t'es contenté de fermer les yeux, attendant les sermons qui ne venaient pas. Tu savais qu'ils allaient dire quelque chose, mais tu avais l'habitude. A chaque fois qu'il se passe un truc avec ta mutation de toute manière ils ont quelque chose à redire. Tu avais l'habitude.


Ils t'ont envoyé un peu plus loin encore dans la campagne. Tu ne vas plus au lycée, non ils ont choisis que tu vivrais chez ton oncle en reclus pour ne plus que les accidents comme la chute du toit se reproduisent. Où s'ils se reproduisent, loin d'eux et du monde. Ils ont décidé que tu prendrais tes cours pas ordinateur pour faire mine d'être au final des bons parents qui ne bloquent pas l'éducation à leur fille. Ils avaient toujours été un peu dur, un peu distant, encore plus quand tu t'es révélée être une mutante. L'illusion d'une famille avait disparu à tes yeux en ce qui les concernait. Tes amis, avaient eux été respectueux, malgré la frayeur que tu leur a fait vivre, ils t'ont dit au revoir en bonne et due forme en t'offrant, même, un bouquet de fleur des champs accompagné d'une carte d'adieu tiré d'un carton de déménagement. Ça vous a tous fait rire et au final, tu es parti en regrettant de ne pas pouvoir emmener ces fous avec toi. De ne sans doute jamais revoir ces imbéciles heureux qui ont fait ton bonheur alors que tout le monde avait peur de tes capacités.

Alors que tu pose tes bagages sur le sol carrelé de noir et de blanc, salit et vieux comme le monde, tu vois ton oncle devant toi. Il avait le sourire d'un homme aimant et même si tu ne te souvenais de lui que dans tes souvenirs d'enfants, tu trouvais qu'il n'avait pas changé. « Bonjour tonton. » Tu t'adressais à lui, un sourire indécrottable sur le visage. Tu te souvenais à peine de cette maison, mais tu avais une impression de sécurité et une illusion de bonheur ici. Tu te revoyais courir en rigolant avec lui à tes trousses sur les sols de la maison.


Un beau matin, loin de tout dans ta campagne, ton oncle allume la télévision. Il est scotché autant que tu l'es, tu stoppe net toute activité et viens t'asseoir sur le canapé regarder ce qu'il s'est passé. Une attaque d'extraterrestre à New York, tu regardais les images de bâtiments détruits défiler sur l'écran, le bilan des morts et des blessés n'étant que présumé. Il y avait beaucoup trop de perte pour qu'ils puissent vous dévoiler maintenant le nombre exacte. Les pertes humaines s'élevaient de plus en plus dans la journée et ton oncle et toi étiez paniqué d'apprendre que tant de choses ce sont passé si près de chez vous. Qu'il y a eu tant de mort à cause d'un homme et d'un cube.
Le soir, le téléphone sonna et ton oncle s'est rué dessus, espérant ne pas apprendre de mauvaises nouvelles. Tu n'entendais pas la conversation et te contentait d'éplucher les patates pour le repas qui allait suivre. Quand il raccrocha, tu n'entendis que le bip du téléphone et les pas lent de ton oncle revenant vers la cuisine. Tu le regardais, attendant quelque chose. Un signe que tout allait bien, que ce n'était que Madame FitzGerald qui voulait que tu passe lui apporter des œufs. Mais c'était trop bien pour qu'il tire une tête pareil, et les nouvelles ne venant pas, tu décida toi même de lui demander, trop impatiente. « Alors ? » Tu paraissais trop neutre dans ta manière de parler, ce qui surpris un peu ton oncle. Il t'annonça alors la mort de tes parents qui vivaient à New York depuis un an maintenant. Ils ne te l'avaient même pas dit.


L'odeur ambiante du bar déteignait sur toi. A force d'y travailler, tu commençais à sentir l'alcool et la sueur des gens qui viennent. Certains viennent boire un coup entre amis, d'autres débitent leurs vies de pauvre malheureux et toi tu dois écouter. Tu te sens obliger de ne pas les délaisser, de faire mine d'écouter. « J'peux en avoir un autre ? » disait un de ces autres, il avait une vie banale et s'en plaignait quand même. Tu vis dans une caravane et tu ne t'en plains pas, alors pourquoi lui il a le droit ? Parce qu'il est saoul. « Tu crois pas que t'as déjà assez bu ? » c'était une fin d'après-midi et il était déjà rond comme une pelle. Tu disais ça en prenant machinalement le verre vide et en le posant près de toi. Tu savais le client roi, et tu savais qu'il voudrait encore de la bière. Tu étais employé au Charlie's depuis assez longtemps pour savoir que les clients à qui tu dis ça ne s'arrêtent pas de toute manière. T'es arrivé à New York en laissant derrière toi la campagne et ton oncle depuis assez longtemps pour savoir que les gens ici ne sont que des crétins. Mais tu reste, habitant ta petite caravane et envoyant régulièrement des nouvelles à ton oncle. Il veut venir te rejoindre à New York.


Énervé au possible, tu éteins violemment la télévision du bar. Les infos avaient annoncé l'application du recensement des mutants. Vous voilà devenu des bêtes, bientôt vous serez enfermés et entassé comme des cochons pour ne pas que les homo sapiens vous touchent dans le but de vous répertorier. Ils pourraient se blesser les pauvres. Tu tremblais d’énervement et de peur, tu ne veux pas être contrôlé par cet État, tu refuse de devenir un chiffre sur une feuille, un potentiel ennemi. Tu as peur qu'ils te mettent bientôt une puce, qu'ils puissent suivre les pas de tes semblables et les tiens avec. Tu sens que ça va dégénéré, alors tu cherche dans ton sac la seringue avec le calmant. Rien, tu as beau retourner le bar, tu ne la retrouve pas. Le peu de client qu'il y a fait que tu peux te permettre de laisser le bar à ton collègue. Tu trace vers ta caravane et un bruit sourd retenti avant que tu ne puisse l'atteindre, tu lâche un franc « putain ! » et les jurons envahissent ta tête. Tu te mets à courir et alors que le second bruit se manifeste ainsi qu'une levé de poussière, tu aperçois ton oncle qui courait vers toi. Il était arrivé la veille et tu le remerciais intérieurement d'être là. Il n'avait pas de seringue à la main, mais une fois arrivé à toi, il ne retint pas son coup. Tout était devenu noir et les voix devenu des échos disparaissaient.

Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Antithèse/17 ans/Tu veux venir voir ?     Fréquence de connexion ; Je dirais 4/7 mais pas moins.     Que pensez-vous du forum? ; ajhkjdzdfkej Comment l'avez-vous découvert ? Alors là, moment de vérité. GOOGLE. Oui je sais c'est surprenant. En fait j'dois vous dire que je suis une ancienne membre qui a eu une longue absence et qui tête de linotte qu'elle est à totalement oublié de revenir. (En fait je suis Pearl) Je reviens parce que j'vous aime quand même mais si vous voulez pas de moi...     Célébrité choisie ; Emma Watson Credits (avatar, icon etc.) ; Ecstatic Ruby (avatar) ; Tumblr (gif)