Chapitre 1 — Une enfance solitaire.C'est génial d'être une petite fille. On a plein de rêve, on veut ressembler à une princesse et puis on a une jolie chambre rose, de beau vêtement rose avec des licornes dessus. On joue à la maman avec une petite poupée, on veut se maquiller comme maman et on porte les chaussures de maman trois fois trop grande pour nous. Enfin ça c'est dans le meilleur des mondes, c'est ce que je voyais chez les voisins. Mes parents n'avaient pas une tune, la vie était dur pour eux. Mais laissez moi vous présenter, l'homme que vous voyez sur le canapé, les pieds sur la table avec le journal entourant les petites annonces avec un verre de whisky bon marché c'est Burt mon beau-père, et là dans la cuisine en train d'éplucher des patates c'est ma mère Dorothy et moi c'est Vanessa que tout le monde appelle 'Nessa. On vit dans une vieille maison dans le New Brunswick, près de New York. Ma mère a rencontré Burt avant ma naissance elle couchait avec lui quand elle était marié avec mon père. C'est vrai que je ne vous ai pas parler de mon père... Il est en prison pour viole et violence sur personne, les personnes en l’occurrence s'étaient ma mère et moi. C'est Burt qui a appellé la police, dans le fond il aimait vraiment ma mère et moi et de savoir qu'il levait la main sur ma mère et qu'il avait profiter de son petit bout de choux de 5 ans, ça ne lui avait pas plus, c'est à lui de faire ce genre de chose! Ils n'avaient pas de travail mais notre vie n'était pas non plus précaire, mais ce n'était pas la joie. Les jouets neufs j'en voyais beaucoup mais chez mes camarades de classe. Je ne voulais pas être une princesse, je n'en avais pas les moyens, je le vois bien dans la télévision pour ça il faut avoir un château et la seule chose qui pouvait faire château fort vieux chez moi c'est la grosse fissure dans le mur de la cuisine. Et puis les princesses c'est nul, sa se fait toujours kidnapper et le prince il lui court toujours après, ça a toujours un problème et ça pleure pour rien. Et à l’occurrence je ne voulais pas que mon papa vienne me sauver... bah oui tous les papa sont les princes de leur petite fille bah moi je préférai encore me faire sauver par le dragon!
Depuis ma tendre enfance j'étais un petit garçon manqué. J'étais discrète, on ne m'entendait pas beaucoup que ce soit à l'école ou à la maison. Une petite fille un peu banal en somme, la seule chose qui n'était pas banale s'était l'attachement que je pouvais avoir pour les autres enfants alors qu'eux s'en ficher. J'étais un peu plus mature que les autres grâce à la vie que je menais à la maison. J'allais à l'école toute seule depuis que j'avais 4 ans, mes parents n'avaient jamais le temps de s'occuper de moi car ils courraient après du travail, ils rentraient tard, ils buvaient, je passais forcément après vu qu'ils se démenaient pour qu'on est à manger sur la table chaque jour. Puis ils n'avaient pas du tout la fibre parental. J'ai du apprendre à me débrouiller seul rapidement et donc être plus débrouillarde que les autres ce n'est pas un défaut du moins pas encore. J'arrive a comprendre malgré mon jeune âge les problèmes de mes parents, alors je me contente de poser mon petit cul sur la chaise de la cuisine aidant maman à écraser les patates pour lui faire gagner du temps au lieux de faire mes devoirs. Oh vous savez l'éducation mes parents n'en n'ont pas grand chose à faire, eux même ne sont pas de grand intellectuel... mon beau-père me dit toujours que l'école ça ne serre à rien ça n'aide pas à trouver du travail... il dit ça parce qu'il est con c'est tout dans le fond. J'écoute pas vraiment, je suis souvent distraite parce qui se passe dehors, je n'aime pas rester enfermer dans une salle de classe, j'adore être dehors. Prendre l'air, courir, sortir. L'école ne m'intéresse pas, je n'ai pas la patience, je suis gamine de la rue, dans l'action. Mon moment préférer c'est la récréations. Dans notre maison on a un petit bout de jardin grand comme une villa pour nain et je m'amuse à courir en rond dans ce carré d'herbe entre les canettes de bière de mon beau-père et je sursaute à chaque fois que le gros chien du voisin aboie comme un dératé et essaye de me bouffer au travers du grillage.
Mes parents ne pouvaient plus rester à New Brunswick, alors quand j'avais dix ans on a déménagé à Boston dans un vieil appartement, la vie continuait comme elle avait commencer. Outre que je n'avais plus mes amis, du mois le peu d'ami d'enfance que je m'étais fais. Vous savez les enfants sont méchants entre eux. Si vous n'aviez pas le dernier jean à la mode ou de superbe basket à la mode vous étiez nul, surtout quand on vient de New York. « Tu es tellement nul qu'on t'a viré de New York » ouais super merci ! Ca me faisait de la peine mais je m'en fichais dans le fond. Bien loin d'une petite fille poupée et tutu je traîne dehors de plus en plus attrapant ce qu'on appelle la fièvre de la rue, je préférais rester dehors que de rester chez moi. Vous savez New York ou Boston rien n'avait changé, s'était toujours autant la galère à la maison. Papa devenait violent avec l'alcool et le stresse, ma mère répondait à mon beau-père en jetant ses vêtements hors de l’armoire. Alors au début je restais enfermé dans ma chambre, caché sous mon lit ou dans mon armoire puis avec le temps et l'habitude j'allais dans mon lit à jouer ou regarder la télévision sur un vieux poste miniature, puis avec le temps encore je sortais par la fenêtre ou même je ne rentrais pas du tout à la maison, ou du moins tard dans la nuit, voir tôt le matin. Les services sociaux sont bien passé quelque fois à la maison parce que je n'allais pas à l'école simplement parce que je n'avais pas envie d'y aller et que mes parents s'en ficher. Je me suis d'ailleurs demander pourquoi j'étais là, enfin je veux dire au milieu de ces deux gugusse... Je suis un enfant non désiré ça ne fait aucun doute et mes parents n'ont rien de personne responsable. Des personnes avaient l'air plus inquiète pour moi que mes parents, les professeurs qui me voyaient un jour sur trois, des psychologues de je ne sais quoi ou encore des femmes dans des centres de service sociaux. Tous me demandaient si je voulais une autre maison ? Des jouets ? De beau vêtement ? Et moi pauvre de moi je les regarde de travers en demandant si ça aller me rendre plus heureuse ? Je suis loin d'être superficiel vu que j'ai jamais rien eux. Je ne vois pas vraiment l’intérêt parce que de toute façon mes parents ne pouvaient rien me payer et que c'est comme ça la vie. Qui est fou ? Les autres ou moi ? Qui a la meilleure façon de vivre ?
Mais avec l'arrivé de l'adolescence, je m'éloignais de cette petite fille naïve et à la fois recluse sur elle même. Je me laissais porter au grès du vent car je n'étais qu'une enfant, sans réflexion mais beaucoup de maturité. J'avais envie de pouvoir être jolie, de faire des choses, tout ce que mes parents ne pouvaient m'offrir et jamais il n'y auraient penser de toute manière. En sortant le soir tard je rencontrais des gens, je me mis à traîner avec des personnes peu recommandables car s'était cool d'être avec des gens plus vieux. Je me mis à apprécier la présence d'adulte avec moi, de faire des choses risquer, des choses dangereuse. L'amour du risque, de vivre l'instant sans penser à demain, sans penser à ce qu'on dira. Puis je n'avais pas d'éducation, pas de réflexion sur le bien, le mal. J'ai pris ma première cuite à 13 ans et mon premier raille de coke dans la foulé ainsi que ma première carte d'identité falsifier. J'ai couché pour la première fois à 14 ans. Et c'est comme ça que j'ai enchaîné les conneries. Alors oui je m'amusais bien, je me suis même éclaté, vraiment. Tout n'était que facilité, pour moi tout avait toujours eut ce goût de facilité. Pas de devoir, pas d'école, je fuyais les disputes de mes parents, j'ignorais la vie et ses règles car je n'en avais pas et je pensais que les règles ne me concerner pas vu que je ne les avais jamais apprise. Je savais ce que j'avais à faire à la maison pour ne pas avoir de souci.
La vie avait un goût différent, je n'avais pas envie de me prendre la tête, vivre au jour le jour. Je me suis éloigner de mes parents considérablement, quand je rentre à la maison j'ai droit à un : Ca va ? Bonne soirée ? Quand je rentre vers 11h du matin complètement déchiré depuis 3 jours. J'en ai marre de penser à tout, penser à regarder quand je traverse, ne pas parler au inconnu, je fais attention comme une adulte depuis presque je suis venu au monde car mes parents avaient la flemme de s'occuper de moi alors j'ai décidé d'emmerder le monde.
Chapitre 2 — La prostitution une facilité.Puis je suis devenu gourmande de plein de chose, de beaucoup trop de chose. Je ne vivais que très rarement chez mes parents pour finir. Je passai le plus clair de mon temps dans les bars, les squats, banlieue, avec des jeunes et des moins jeunes. Mais j'avais besoin de fric pour me payer ma dope, et simplement survivre dans ce monde. Je comprenais enfin la galère de mes parents sauf que je n'avais pas envie de me retrouver dans un de ces métiers pourri, j'ai besoin que sa bouge, j'ai besoin de vivre à pleine vitesse et pas tombé dans le train train de mes parents, boulot métro alcolo point dans ta gueule bobo dodo. Vous voyez ce que je veux dire. C'est pas ça que je voulais ! Alors j'ai commencé par faire deux trois petit casses, voler deux trois personnes, des maisons, pickpocket dans les magasins et dans la rue. Et puis un beau jour, je m'en souviens encore ! J'avais 16 ans à cette époque et je suis rentré dans se bar, une sorte de night club, je cherchai un ami à moi pour prendre ma dope. J'ai rencontré une femme, elle a complètement bouleversé ma vie. Pendant que je l'attendais, elle a discuté avec moi, elle se doutait que je ne devrais pas être là par mon âge et elle fini par me dire en souriant caressant mes cheveux. «
Une si jolie petite poupée comme toi ne devrais pas être dans un endroit comme ça. Rentre chez tes parents. » Je lui souris, et après avoir récupérer ma dope c'est ce que j'ai fais. Je suis rentré chez moi. Je pousse la porte de chez mes parents, mon beau-père est ivre mort dans le fauteuil, il se lève en commençant à m'aboyer dessus et s'écroulent par terre. Je l'enjambe sans broncher et pousse la porte de la chambre de ma mère, mais elle n'est pas là...
Une pomme à la main je sors de chez mes parents et dans le couloir je croise ma mère en peignoir qui sort de l'appartement du voisin. Et presque avec une allure déconcertante et habituel je lui demande si elle s'est fait payer. Non mais quitte a avoir des problèmes d'argent autant les résoudre sans offrir son cul au premier passant. Sa réaction fut instantané, une baffe dans ma gueule. Je l'ai regardé, les larmes aux yeux et je suis parti. C'est la dernière fois que j'ai vu officiellement mes parents. Je suis retourné au Night Club voir la femme à qui j'avais parlé et je lui ai demander où je devais aller, pour travailler.
C'est con non ? C'est comme ça que j'ai vendu mon corps pour la première fois. C'était un vieux de 53 ans. Je m'en souviens encore, et moi j'avais 16 ans. Oui c'est pas légal mais au moins c'est légale plus ça coûte cher alors on en profite. Avec le temps je me suis fais un nom, je me suis fais une réputation. Avec le temps je suis devenu plus forte et j'ai appris à me défendre ainsi que défendre les plus faible. Non je vous vois venir je ne suis pas une héroïne bien au contraire. J'aurais aimé simplement que mes parents aient plus de considération pour moi que ce que j'avais. Alors quand je croise un gamin je ne peux pas m'empêcher de lui sourire, d'être gentille avec lui. Puis vous savez quand on est prostitué on est en quelque sorte la maman de nos clients on joue plusieurs rôle. Confidente, maman, amie. On écoute, on conseil, on console on donne du bon temps. On est tout ce qu'ils ne peuvent avoir dans leur vie de tous les jours. Et donc avec le temps je me suis ouverte aux autres, à écouter, être toujours bienveillante avec mes clients tout en restant une jeune femme avec mes valeurs forte et capable de me débrouiller toutes seules. Je prend des cours de self défense et oui les p'tit loulou on est à Boston ici !
Je suis rapidement devenu une habituer de certain endroit jugé un peu gloque et dangereux. J'ai pour client plus de la moitié des petits malfrats de Boston, des mercenaires et tueur à gage de la ville ou de passage. Pourquoi ? Parce que j'ai LA réputation chéri, je tiens ma langue et je sais la sortir quand il faut. Puis les tatouage ça les excitent comme des pucelles ! De retour de chez un client j'allume la télévision et me traîne en sous-vêtement dans mon canapé un pot de glace à la vanille et je reste scotcher! WHAT THE FUCK! Des putains d'alien qui attaque New York... bordel de merde! J'en fais tombé ma cuillère et je reste bouche bé devant la tv... et bah! Quel bordel... sympa le playboy en armure... je veux bien qu'il me face une p'tite vidange pour quelque millier de dollar.
Chapitre 3 — Wade Wilson pas n'importe quel connard.J'ai trouvé un spot sympa, le barman et propriétaire est sympa il s'appelle Weasel mais tout le monde le nome la Fouine. Je connais pratiquement tout le monde là-bas, ma réputation n'est plus à redire ou refaire. C'est ce soir là que j'ai rencontré Wade Wilson. Il s’apprête à offrir une tournée général et moi, comme à mon habitude je viens aguiché de futur client. Buck le gros biker passe derrière moi pour m'attraper la fesse, Wade a voulu m'aider en faisant son héros, ce que j'ai apprécié mais je me suis défendu toute seule comme une grande en le chopant par les couilles. J'ai l'air fragile et gentille et c'est vrai dans le fond, avant il y a une couche de mensonge, de tromperie et de garçon manqué à traverser. Je dois dire que je n'étais pas indifférente à ses charmes mais je n'avais pas le droit de craquer, le boulot c'est le boulot. Il me propose 275 $ en échange je lui offre 48 minute de tout ce qu'il veut. Et bien vous serez surpris mais on a pas coucher ensemble ! Il m'a amener à la fête foraine, et on a jouer à un de ses jeux préférés. Sur le coup j'ai pas trop compris, je lui ai simplement demander s'il préférait mettre des balles dans des troues ou les vagins parce que là c'est bien la première fois qu'on me paye pour jouer à la fête foraine ! Et vous savez ce qu'il ma répondu ? Qu'il préférait me connaître moi et pas l'objet sexuel que j'étais ! C'est bien la première fois qu'un homme s’intéresse à moi pour la personne que je suis, impressionné et curieuse je me prête au jeu. J'avais beau le défier et faire ma grande j'ai perdu a son stupide jeu et j'ai gagné une pauvre gomme. Mais les 48 minutes étaient bientôt terminé et je devais reprendre mon travail. S'entame un marchandage, ils nous reste 2 minute 37 on fait quoi de ce temps, je propre simplement un câlin ? Que veux-tu faire avec 2 minute ? Wade avait semblerait-il une idée vu qu'il m'a pris comme une cochonne dans les toilettes de la fête foraine et que j'ai bien pris mon pied et qu'en plus j'ai perdu mon temps mais s'était cool !
On s'est revu une fois, puis deux, puis à l'infini. Au début il me payer, on passait beaucoup de temps, il me payer pour la soirée entière, on baisait comme des bêtes tous les deux. Puis au file du temps notre calendrier de baise c'est transformer en histoire d'amour. Chaque fête national ou international devenait un jeu pour nous, tout était un jeu. Notre histoire à duré deux ans, deux magnifique année ! C'était génial ! Je suis tombé amoureuse de Wade Wilson, il était mon avenir à présent. J'ai arrêté la prostitution pour lui, parce que je l'aimais, pour une fois j'avais trouver quelqu'un qui me faisait vraiment confiance et en qui j'avais également confiance. Je me suis recyclé comme serveuse dans un Nigth Club, et chaque jour avec Wade est un jour nouveau où on s'amuse, on rie, on passe du bon temps. Tout est parfait entre nous. On a emménagé dans un petit appartement de Boston tous les deux. Il faut dire qu'on s'est bien trouvé, je suis loin de la fille model outre que je suis bonne et que je joue au jeu vidéo, j'aime les films de baston, j'aime me battre, je suis une sorte de garçon manquer fan d'un univers masculin et geek. Puis en décembre Wade m'a fait la plus belle surprise non il ne m'a pas offert un godemichet Star Wars au couleur de Noël, il m'a demandé en mariage. Il m'a sorti de nul part une bague acheter dans un magasin de jouet et j'ai dis
OUI ! Je suis tellement amoureuse de lui ! Il est l'homme de ma vie.
Chapitre 4 — Le cancer cet en**lé.Et puis comme dans tous les contes de fée, il y a un "mais". Après m'avoir demandé en mariage, j'avais un large sourire, j'étais heureuse, je me sentais bien, pour la première fois de ma vie j'étais épanouie, heureuse. Avec l'homme que j'aime. Et puis il est tombé comme ça, par terre. Prise de peur et de panique je me suis jeter sur lui, je réussi à le réveiller tant bien que mal je l'habille du mieux que je peux en appelant les urgences et direction l’hôpital. Le verdicts me glace le sang, un cancer avancé ? Je prend la main de mon fiancé et je le regarde dans les yeux. Oui j'ai peur, peur de le perdre. Je réfléchis à tout, absolument tout, tout ce qu'on peut faire, tout ce que je peux faire je veux tout faire pour lui, je ferai tout pour lui ! Pour qu'il guérisse, pour qu'il aille bien ! Je parle avec le médecin de toutes les éventualités, de tout ce qu'on peut faire, des traitements, des médicaments, des soins de tout ! Je bosserai comme une acharné s'il le fallait pour qu'il aille bien, pour que je puisse continuer de le serrer dans mes bras chaque jour que Dieu fait ! Il semble dans un autre monde et je le comprend. Apprendre du jour au lendemain qu'on a un cancer du foie, des poumons, de la prostate et du cerveau. Alors je fais tout pour lui.
De retour à la maison et les semaines à venir Wade parle comme s'il allait mourir, il fait des cartons dans notre appartement et me parle au passer, oh si j'avais fais ça, oh j'aimais tellement cette album ! Ca me rend dingue ! J'essaye de le raisonner lui et son fichu ménage de printemps qui est égale à la mort ! Il se fiche de moi en plus. Je lui promet qu'on va se battre lui et moi ! Et qu'à chaque fois qu'il baissera les bras je lui foutrais un coup de pied dans son p'tit cul ! Je lui prépare des boisons super vitaminé, avec ses médicaments je fais tout pour qu'il continue de se batte ! Et puis un soir il a disparu …
J'ai été anéanti, de me retrouver seul dans cet appartement sans lui... J'ai pleuré, pendant des jours, des semaines... Tout dans cet appartement me rappelle Wade mais je suis incapable de jeter le moindre objet, c'est au dessus de mes forces. Je connais Wade, je me doutais qu'il finirait par partir, mais j'espérais, je me suis persuadé en réalité qu'il resterait, qu'il ne m'abandonnerait pas. Le lit porte encore son odeur, ses vêtements sont rester dans la penderie et quand je pleure je prend l'une de ses chemises et je pleure de dans avant de les jeter contre le mur, hurler et de casser ce que j'ai sous la main. Je m'arrête cependant lorsque c'est la bague qu'il m'a offert que j'ai dans la main. Je la regarde et je m'écroule sur mes genoux dans la chambre, il me manque et je ne sais même pas s'il est vivant ou mort. Mais quel connard !
Pendant 1 an je n'ai eu aucune nouvelle de Wade, j'ai continué de travailler, de vivre comme s'il était là en réalité. J'ai gardé ses vêtements, je les porte même assez souvent comme sa veste, son porte monnaie chat et plein d'autre chose, sa bague autour de mon cou comme pendentif. Je ne l'oublierai jamais car il est mon premier amour et le seul que j'aime. Je n'ai pas déménager, et je continue de vivre le cœur lourd. Souvent je me demande où il est, ce qu'il fait... s'il est encore vivant. Je n'ai pas non plus chercher à me trouver quelqu'un d'autre dans ma vie, je n'en n'ai ni le courage ni l'envie. Je retrouverai jamais cette passion et cette fusion que j'avais avec Wade. Mais en même temps je n'arrive pas à me dire que ça y est, c'est terminer Je ne peux y croire. Mais ... il est mort.
Un jour en voiture, dans les nuages, j'avais conduis machinalement jusqu'à mon ancien quartier. J'ai arrêté la voiture devant l'immeuble où j'avais passé mon adolescence. Je regarde au travers de la vitre si je voyais quelque chose sur la façade, une personne derrière la fenêtre... mais rien. La curiosité était trop grande, peut-être que j'avais besoin de retrouver quelque chose de sûr, comme mes parents. Enfin prête je ne sais pas si je l'étais, mais j'avais simplement besoin de voir, de toucher. Je suis entré dans l'immeuble et j'ai monté les escaliers, les planches des escaliers cassé l'était toujours, il y a toujours autant de merde sur le sol. Les enfants joues avec des poubelles dans la cage d'escalier ou dans les couloirs. Ici c'est loin d'être les plus beaux quartier de Boston. J'arrive devant la porte de mon ancien appartement mais je suis resté quelque minute silencieuse, hésitante et j'ai finalement pas toquer, faisant demis tour c'est un voisin qui m'accoste. «
Vanessa c'est toi ? », je me tourne, c'était la vieille voisine, qui n'avait pas vraiment changé finalement. Elle me dit que mes parents ne sont plus ici, ils ont été expulsés ne pouvant plus payer le loyer... Elle avait eut quelque nouvelle, mon beau-père était mort d'une sirose du foie et ma mère ... restait ma mère. Je suis parti, j'ai repris ma voiture et je suis rentré chez moi.
Chapitre 5 — Un nettoyant pour chiot vraiment collant.Et ce fut le drame sur les réseaux sociaux, dans les info. Le SHIELD une sorte d'organisation secrète je sais pas quoi a disparu par la corruption. Enfin tout un bordel, j'ai suivis l'histoire genre deux heures puis ça ma gonflé. Entre nous je pensais plus a Wade, donc les soucis de gouvernement ça me passe au dessus de la tête a vingt lieux!
Un soir au travail, mon patron vient me voir et me dit qu'un ex est dehors et qu'il m'attend. Je bug un peu quelque seconde, c'est Wade j'en suis sur ! Sans attendre je me jette dans les vestiaires récupérer ma veste (qui est a Wade) et je sors dehors. Il pleut et je ne vois personne... Faisant le tour de la ruelle je vois l'ombre d'un homme, un sourire se forme sur mon visage, je crois voir l'homme de ma vie, j'ai tellement envie que ce soit lui. Je m'avance vers lui en lui parlant «
Je savais que c'était toi. Car on est comme ces pièces de puzzle bizarres. Avec les bords en angles. » Mais mon sourire disparu très rapidement alors que l'homme s'avance vers moi et que je découvre que je ce n'est pas Wade et qu'en plus je ne le connais pas. «
Remercie Wade Wilson pour ça. » Je recule et tente de m'enfuir mais PAF me voilà assommé par une grande brute épaisse. Je tombe au sol et me laisse attraper comme un sac sans pouvoir faire quelque chose pour me défendre.
Ils m’amènent dans un endroit un peu chelou, j'essaye de parler mais ces gros cons m'ont scotcher la bouche. La femme a l'air super balaise, putain c'est elle qui m'a rentré de dans ? Putain ! Ils me ligotent à un endroit et on me retire enfin se satané scotch de la bouche. Alors forcément je me défoule en les insultant tous et en leur disant une fois de plus que Wade est mort bordel de merde et de me laisser tranquille avec ça ! C'est assez douloureux pas la peine de me le rappeler sans cesse !! Mais Monsieur Francis alias Ajax le débouche chiotte me soutient qu'il est vivant et même plus vivant que jamais ! «
Des rôles j'en ai jouer mais Princesse en détresse c'est pas mon genre ! » Et que pour le motiver à sortir de son trou ma tête est mise en jeu. Je le regarde encore sous le choc et la seule chose que je me dis c'est pas putain de merde je vais mourir mais putain de fils de pute de Wade Wilson ! Enfin vous voyez le concept !
De là où je suis je ne peux rien voir, visiblement nous sommes sur une ancienne zone militaire, reconnaissant le symbole du SHIELD que j'avais vu à la télévision. J'entends que c'est la baston du siècle en contre bas. Des coups, des aies et des haaaaa ! Je trépignes des pieds car je peux pas m'empêcher de flipper grave ! Et entre des coups de feu et autre je reconnais la voix de Wade avec ces blagues pourris, je peux retenir un sourire et de me pincer les lèvres heureuses d'entendre sa voix... Mais Francis est en forme il me détache et me traîne par mon manteau jusqu'au bord de l'étage où nous sommes, histoire de me montrer à Wade. Je regarde en bas et vois des corps formant un "Francis" et un homme habillé d'un costume rouge... Wade ? J'essaye de me débattre pour que ce connard me lâche mais rien à faire il me traîne en arrière et me jette contre le mur pour que j'arrête de me débattre et m’enferme dans son caisson. J'essaye de sortir, de frappe contre la vitre mais rien à faire je suis bloqué. Francis met la machine en marche. Je n'arrive plus à respirer, je ne peux plus bouger pour garder de l'air Wade réussi a fissurer la paroi et je retrouve de l'air. Pendant ce temps tous les deux sont en train de se battre à la mort. Mais heureusement que je suis débrouillarde, je me débrouille tant bien que mal pour sortir de cette putain de machine. J'arrive à limer les cordes qui me retienne et à ouvrir le caisson. Je sors tant bien que mal et reprend une bonne dose d'air frais, OH bordel que ça fait du bien ! Je vois le Katana de Wade dans le mur et le récupère en forçant de toute mes forces et je cours comme une dératé sur Francis pour le transpercer comme une brochette avec le katana. J'ai promis a Wade que je ferai tout pour lui ! Et il est hors de question que ce connard le tue ! Je tombe parterre manquant de souffle en face de Wade. Celui-ci me fait des signes bizarres en slow motion pourtant j'essaye de lui dire que Francis va arriver mais il plane complètement il semblerait. Ajax me soulève par les poignets et me jette à plusieurs mètre en arrière, ouaaaa ça fait mal !! Je me suis écrasé sur le sol. Une explosion retenti plus bas faisant effondrer les fondations. J'ai beau essayer de me retenir au sol, celui-ci s'affaisse et j'essaye tant bien que mal d'éviter les conteneurs qui glissent dans ma direction. Proche du bord, Deadpool m'attrape par la main, j'hurle son prénom je suis morte de peur et j'ai besoin de le savoir prêt de moi.
Il me fait monter rapidement dans le caisson en verre pour me protéger mais celui-ci se retrouve coincé entre le vide et le sol. Je regarde Wade sans pouvoir l'aider alors qu'il se tient au caisson dans le vide. «
merde merde merde !!! » Il me dit de pas m'inquiéter et qu'il gère. C'est ça!! La dernière fois t'es parti en pleine nuit connard ! Putain je vais mourir... je pensais pas qu'un jour je mourrai comme ça... Wade balance le caisson en l'air et boum badaboum je me retrouve sous 3 tonnes de terre et de grabuge dans la caisson. C'est une drôle de jeune fille et un homme en … acier qui me sauve... je reste un peu choquer par ce que je vois, j'ose pas vraiment sortir sur le coup je les regarde et fini par les remercier. Je sors du caisson, j'ai mal partout et reste prêt de Collossus qui m'aide à sortir avec beaucoup de bienveillance en me demandant si je vais bien.
D'ailleurs celui-ci essaye de raisonné Wade avec un discours long et chiant et je reste en arrière à regarder la scène près de la jeune gamine. Wade s'en carre l'oignon et tue Ajax. Je m'approche alors enfin de Wade et commence à le frapper de toutes mes forces là où je peux. J'ai envie de l'étriper à ce moment bien précis ! J'ai besoin de réponse et je lui en veux ! Pour tout ! Des larmes montent à mes yeux et j'ai envie de … j'ai envie qu'il m'explique ! «
Parle !!! » il s'excuse, il est désolé... je le regarde très énervé, je recule et je l'écoute en baissant la tête, il me raconte alors une de ses histoires comme il a l'habitude de le faire. «
Alors comme ça … tu vie dans une maison ? » je regarde Wade, toujours aussi amoureuse de lui, je voudrais seulement qu'il le comprenne. On se rapproche l'un de l'autre et je porte mes mains sur son masque mais il recule. Je fini par arriver à m'approcher et retirer son masque mais il s'est agrafer un second masque en papier au cas où... je le regarde en haussant les sourcils... un ptit sourire en coin avant d'essayer de retirer son visage en papier agrafer sur son visage. Il me demande si je suis... vraiment sur, de vouloir, le voir tel qu'il est maintenant. «
Certaine. » ma voix se veut bienveillante et rassurante, il peut me faire confiance.
Je vois alors son visage, son nouveau visage, je recule d'un pas la bouche ouverte... «
Wow. » Je m'attendais à tout mais pas à ça... je suis contente qu'Ajax soit mort, non mais regarder ce qu'il a fait à mon fiancé ! C'est affreux ! Je retire l'agrafe de son menton et je lui dis en souriant «
Après une petite période d'adaptation et pas mal de verres... C'est un visage … Sur lequel je serais ravis de m'asseoir. » Je dépose ma main sur son visage nécrosé, le regardant avec toujours autant d'amour et de passion. Et je ne change pas, je ne changerai jamais je serais toujours Nessa et nos blague pourris seront toujours à nous non de la méchanceté mais de l'amour. Je lui tend alors mon petit doigt en souriant si heureuse d'avoir retrouver mon Wade. Je n'attend plus qu'une chose qu'il enlace mon auriculaire avec le sien. J'accepte ce qu'il est car même derrière cette face de pizza il reste Mon Wade Wilson. Il attrape mon doigt et vend les mérites de son super pénis et j'en souris car il est encore plus débile qu'avant et j'adore déjà ça !
Il allait m'embrasser mais Collossus est intervenu pour dire à Wade de ne pas être vulgaire devant la gamine... j'avoue que... Après que les deux x-men soient partis, je regarde Wade, n'attendant qu'une chose... Il s'approche alors de moi et je me jette dans ses bras pour l'embrasser amoureusement. Sans peur de le toucher, de toucher sa peau, son visage. J'entends une musique, j'arrête d'embrasser Wade subjuguer par la musique, puis il me montre son téléphone sur youtube et j'explose de rire avant de l'embrasser une fois de plus pour enfin faire l'amour dans les débris de combat.. bah quoi c'est super existant quand même.
Chapitre 6 — Une nouvelle vie après ça.On s'est remis ensemble, enfin on s'est jamais vraiment séparer finalement. Et je déteste toujours être une princesse en détresse, je continue mon boulot pendant que Wade joue les mercenaires je trouve ça terriblement excitant. Je me met en tenu de soubrette sur lui en l'écoutant avec envie quand il me raconte comment il a traquer un type, ou fait peur à un livreur de pizza. J'adore ça m'excite et après on fait l'amour comme des bêtes. Je dois avouer que ça été compliqué au début avec sa nouvelle apparence mais je m'y suis faite parce que je l'aime. Je sais ce que vous vous dite, c'est un peu la belle et la bête votre truc. On s'en bas les couilles le premier qui dit un truc sur mon mec je lui explose la gueule compris ?! Après je ne suis pas jalouse, loin de là. Serte Wade est l'homme de ma vie et on a quand même changer un peu lui et moi, c'est à la vie à la mort mais... avec plus de plaisir, parti de jambe en l'air à trois, voir quatre. Un peu en mode couple libertin quoi. Quand votre mec a failli mourir et devenir Deadpool faut vivre la vie comme elle vient. Wade n'est pas mon seul mec sexuellement parlant mais il est et sera toujours le seul mec de mon cœur. C'est comme ça c'est pour la vie, puis on est fiancé quand même c'est pas rien. On restait tous les deux quelque temps, puis un beau jour plus de Wade. Alors là je respire et j’attends une semaine, pas de nouvelle, pas de sms, pas de pigeons voyageur, ce mec est un mec mort ! «
WADE WILSON » Je vais le tuer ! J'espère qu'il a la meilleure raison du monde pour être parti genre sauver quelqu'un ou tuer quelqu'un sinon je le tue ! J'ai reçu un mot après quelque jours comme quoi il était en mission dangereuse pour le gouvernement et que je ne devais pas m'inquiéter il me retrouverait.
Mais la pire des nouvelles, et non elle ne concerne pas Wade, elle concerne mon père. Oui vous vous souvenez le con qui est mon vrai père en prison, et bien ça y est il est sorti. J'ai reçu une lettre du tribunal ce matin là. Je suis rester quelque seconde la lettre dans la main un peu tremblante. J'aurais aimer que Wade soit là juste pour qu'il me dise que j'étais une tapette ou qu'il me dise sais pas grave, on va l'enduire de miel et on va le balancer tout nul dans la forêt avec des ours. Mais il est pas là... Je me contentais de me rassurer qu'il aille bien. Puis je connais Wade, s'il veut me retrouver il n'aura aucun mal pour ça. Je dépose la lettre sur la table et je tourne en rond... je sais pas quoi faire, je n'ai certainement pas envie de le voir, envie de lui parler envie simplement de penser à lui. Je revois tous ses moments passé avec lui, c'est comme une boule dans la gorge que j'avais réussi à effacer de ma mémoire depuis des années et des années. Wade reprit contacte avec moi et je lui parlais donc de la dite lettre... réaction? Rejoint moi à New York. J'ai donc quitté notre appartement de Boston, organisant rapidement un déménagement de nos affaires à l'adresse que m'avait donner Wade sur New York.