it's a revolution, i suppose Invité | | | QADIR AL MU'TAMID« N'est malheureux que celui qui ne sait pas chanter. » IdentitéNom et Prénom : Qadir, Salah Al Mu'Tamid. Un nom qui ne peut trahir ses origines profondément orientales, plus précisément égyptienne. Alias : Dharr. C'est un surnom qu'on lui avait donné à l'époque où l'on ne comprenait pas encore réellement son pouvoir. Cela signifie Atom en arabe. On lui avait donné celui ci parce qu'on pensait qu'il maîtrisait les atomes. Or, ce n'est pas le cas puisque son pouvoir n'agit que sur l'ADN de ses molécules, lui permettant ainsi de manipuler sa densité comme il le souhaite. Âge : Qadir a trente-huit ans. Lieu de naissance & nationalité : Qadir est né à Londres, en Angleterre, mais possède la nationalité américaine (et britannique. Il aurait pu faire la demande pour obtenir également la nationalité de son père, mais cela ne lui apporterait rien de plus que ne le permet un visa pour aller sur la terre de ces ancêtres). Métier : Actuellement horloger, dans le Queens. Statut civil : Veuf, sa femme est morte durant l'affrontement à Alcatraz. Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Particularités : Qadir possède lui aussi le gène X dans son ADN qui lui permet de modifier à loisir la densité des cellules de son corps. Qadir peut durcir son corps ou une partie de son corps sur un court laps de temps (une trentaine de secondes actuellement), lui permettant ainsi de résister aux chocs, aux balles et aux décharges électriques. Dans cette forme, seules les attaques psychiques peuvent l'atteindre. → Utiliser son pouvoir l'épuise énormément. Il lui faut un entraînement sportif assez intense pour améliorer son endurance - ce qu'il ne fait pas depuis six ans. → Augmenter la densité de son corps le ralentit énormément. Plus la surface de son corps où la densité est améliorée augment, plus il ralentit au point d'en devenir quasiment immobile. Puis, Qadir peut altérer son ADN de sorte à ce que son corps devienne vaporeux lui permettant alors de traverser les murs plus ou moins gros, le bois, la taule, etc. Il n'y a que certains aciers comme l'adamantium qui le bloquent totalement. Pour cela, il lui faut souffler profondément, expirer son air au maximum. Lorsqu'il respire à nouveau, son corps reprend irrémédiablement sa densité normale. → Ce talent là est très sensible à ses émotions, comme la peur, etc. Il ne maîtrise pas totalement cette partie-là lui causant parfois des mauvais tours, comme rester bloquer l'histoire d'une heure ou deux dans cet état l'empêchant alors d’interagir avec son environnement. → De plus, il a une limite rapidement atteinte, puisqu'il lui faut maîtriser sa respiration. Ce qui n'est pas à la portée de tous, ni de lui, bien entendu. Affiliation : Ancien X-Men. Plus ou moins à la retraire, en faites. Il a très mal vécu la mort de sa femme, de ce fait, il a préféré s'éloigner de tout ça, il y a quelques années. InterviewÊtes-vous pour ou contre la Loi de Recensement des Mutants ? Pourquoi ? Si vous êtes un Mutant, avez-vous décidé de vous recenser ? Qadir n'est pas vraiment pour la Loi de Recensement des Mutants. Il trouve ça complètement insultant d'être parquet comme des animaux, sous prétexte qu'ils ont un gène muté. C'est quelque chose qui, il y a quelques années, l'aurait poussé à se taire, et à cacher ses dons, quitte à être dans l'illégalité, bien qu'il soit très fier de ses talents hors-normes. Ses parents ont toujours fait tout pour qu'il ne le vive pas comme un handicape de sorte à ce que le regard des autres ne l'affecte pas ou presque pas. Mais aujourd'hui, et ce depuis six ans, il se fiche bien de tout cela. Il ne se battra pas pour ses droits, et est allé se recenser, histoire d'éviter des problèmes. Il ne souhaite aucun problème, préférant plutôt se faire oublier de la masse, même si pour cela, il faut dévoiler ses dons. Tout ce qu'l demande, c'est qu'on le laisse tranquille dans sa petite boutique dans le Queens, plus précisément dans le quartier d'Astoria.
Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Qadir aurait tendance à dire que oui, puisque la police est régie par des règles et des lois qui les empêchent parfois d'aller au devant de beaucoup de choses. D'après ce qu'il a comprit, des extra-terrestres ont attaqué la Terre à plusieurs reprises, et grâce à des héros, ils ont été battu. Puis, s'il y a des bonnes personnes avec des supers-pouvoirs, forcément, il y a des mauvaises personnes avec des supers-pouvoirs. Des gens comme la Confrérie qui veulent diriger le monde, à cause ou grâce à leur supériorité du fait de l'évolution humaine qui jouent en leur faveur. CE que Qadir condamne. Il a longtemps joué dans l'équipe des X-Men, avant de finalement tout laisser tomber à la suite de l'affrontement à Alcatraz où il perdit sa femme.
Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? (si votre personnage a choisi un camp) Le besoin de justice, mais surtout pour que les gens qui ne sont pas comme eux acceptent plus facilement leurs différences. Puis, vu qu'il était à l'Institut de Charles Xavier, il s'est laissé emporter par l'effervescence qui y régner à vouloir être un X-Men, parce que c'était cool. Après, Qadir est quelqu'un de profondément bon, de juste. L'éducation de ses parents, et plus particulièrement de son père, à cause de sa religion, l'ont toujours poussé à tendre la main vers les autres même si ces personnes-là faisaient des choses qu'il ne tolérait pas personnellement. La tolérance est un maître-mot qu'il respecte tout particulièrement. Comment vouloir la tolérance des non-mutants si lui-même ne l'est pas avec eux ? Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? (si votre personnage est un mutant) Lorsque ses dons sont apparus, Qadir avait quatre ans. Jusqu’à son adolescence, il s’est toujours vu comme une espèce de super-héros en devenir, qu’il allait sauver les gentils et tuer les méchants – ce qui a toujours amusé ses parents. A son adolescence, ça a changé. Qadir s’est demandé à plusieurs reprises, s’il n’était pas un monstre ou quelque chose comme ça. Cette question le perturba énormément au point où il perdit totalement confiance en lui, ne sachant plus trop quoi dire, ni quoi faire sur ce sujet-là. L’envie de partager ce secret était forte, mais jamais il ne le fit. Il s’isola beaucoup, jusqu’à ce que son père le pousse à faire du sport. Azir pensait que cela l’aiderait à prendre confiance en lui, à prendre pleine possession de ses talents, et pourquoi pas, à mieux contrôler ses pouvoirs, chose qu’il a eut beaucoup de mal à contrôler jusqu’à ses vingt ans, environ. Maintenant, ça fait parti de lui et il imagine difficilement vivre sans..
Pour son père, c’était un don d’Allah, Al Khaliq. Azir voyait cela réellement comme une bénédiction du Tout-Puissant, et ne cessa de le remercier de son cadeau. Azir en retirait même une certaine fierté qu’il parvenait difficilement à masquer. Pour sa mère, Joanne, c’était beaucoup plus terre-à-terre, mais pas moins impressionnant. Elle était à la fois effrayée, fascinée et fière que ce soit son fils. Mais elle n’a jamais cessé dès lors de se faire des soucis pour lui vis-à-vis des autres et du monde dans lequel il allait vivre. Sa sœur quant à elle, fut un peu jalouse au début, et même en grandissant, elle a gardé ce petit truc qui l’embêtait. Mais au final, elle l’aime plus que tout. Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? (pour les deus ex machina) /. Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? (si votre personnage a une identité secrète) /. Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Être Horloger, c'est quelque chose qu'il aime faire. Ça lui occupe les mains et l'esprit, et ainsi, il ne pense plus à rien, mais surtout, à sa femme. Son éducation fait qu'il n'ira jamais se saouler, ni-même se droguer pour oublier cette vie qu'il cherche à éviter depuis la mort d'Emma. Qadir a donc voulu faire la seule chose qu'il appréciait faire avec son père lorsqu'il était petit. Inconsciemment, le fait de réparer une horloge l'aide énormément à surmonter ce cap de deuil qu'il ne sait traverser. L'horloge représente le temps, et le temps représente la vie qui passe. Le fait de réparer cette horloge est une manière à lui de vouloir se réparer afin de reprendre le cours de sa vie. C'est quelque chose que Qadir n'a toujours pas compris, mais qu'il continue de faire sans se demander pourquoi.
Biographie « Un feu lointain ne réchauffe point. »La découverte de ses pouvoirs remonte à ses quatre ans. Qadir était un jeune garçon turbulent qui nécessitait une attention de tous les instants tant il pouvait être un danger pour lui-même. La curiosité, la naïveté et l’innocence dont il faisait preuve, même si elles inquiétaient ses parents, étaient belles car elles pures, elles étaient enfantines. Et c’était la seule excuse qui aidait réellement ses parents dans leur vie de tous les jours. Eduquer Qadir n’a jamais été une masse à faire. Mais au jour d’aujourd’hui, ses parents peuvent être fiers d’eux, car il est devenu une personne droite, passionnée, et intelligente.
Un jour de marché dans le quartier d’Edgwarge Road, à Londres (où il grandit, d’ailleurs), Azir, son père, l’avait prit avec lui pour faire quelques courses que son épouse, Joanne, l’avait envoyé fare. Il faut savoir que dans ce genre de quartier, tout le monde se connaît. Autant vous dire qu’Azir avait un milliard de chances de se faire distraire et de quitter son fils des yeux quelques instants. Ce qui arriva, manquant alors de perdre son fils pour toujours, fauché par une voiture. Al hamdoulilah, Al Khalif en avait décidé autrement, octroyant un don uniqueà son fils, lui permettant, à la surprise de tous, de survivre à cela. Beaucoup de gens ne surent quoi dire, ni quoi penser, sinon invoquer Allah pour le remercier de les avoir rendu témoin d’un tel miracle. Le corps de Qadir s’était tout simplement rendu vaporeux, laissant la voiture le traversé comme s’il fut un nuage de poussière, ou un hologramme.
A la suite de cela, la surveillance d’Azir sur son fils se fut un peu plus intense, et très rapidement, Qadir eut d’autres occasions de ré-utiliser ce don dont il n’avait aucune prise au cours de son enfance, rendant son éducation difficile, voir impossible, le temps qu’il parvienne à contrôler au moins les apparitions de son pouvoir. Très émotif, Qadir eut beaucoup de soucis pour se faire, tant est si bien que Joanne abandonna provisoirement son travail de professeur d’anthropologie oriental à l’université de Royal Holloway pour lui faire l’école à la maison, ce qui perturba les relations de Qadir avec sa sœur, Nour, qui fut jalouse de toute cette attention qu’on donnait à son grand-frère, malgré toute la bonne volonté de ses parents pour établir une équité entre les deux. Malgré ça, Nour et Qadir se sont toujours aimés à la folie, bien que ce fut compliqué durant leur enfance.
Plus tard, durant l’adolescence de Qadir, et face aux nombreuses questions handicapantes que le jeune garçon se posait, l’empêchant alors d’avancer, Joanne fit jouer de ses relations, et finit par tomber sur l’Institut Xavier à New-York . Après de longues discussions, Qadir finit par s’y rendre, accompagné par sa famille qui vinrent à la rencontre du grand Professeur X. Le fils Al Mu’Tamid avait alors 17 ans (au cours du mois de Mai, 1995). Ils restèrent trois semaines à New-York où les parents cherchèrent un moyen pour s’installer en Amérique, afin de réduire la distance au maximum entre eux et leur fils, au grand damn de Nour, qui, elle, ne voulait surtout pas quitter Londres et toutes ses copines.
De retour à Londres, Qadir attendait avec impatience son intégration au sein de l’Institut. Voir cette école et certains de ses résidents l’avaient beaucoup rassuré. Il n’était pas seul, et rien que de savoir cela, cela l’aida grandement. Cochant presque les jours sur un calendrier jusqu’à son retour à New-York, il finit par arriver à la date fatidique, et décolla pour rejoindre l’Institut de Charles Xavier.
Au sein de l’Institut, Qadir ne pouvait que s’épanouir. Les gens, autour de lui, n’étaient que des mutants, et il était entouré de beaucoup de jeunes de son âge, possédant les mêmes problèmes que lui – ou presque – lui permettant ainsi de relativiser, et d’aller plus facilement de l’avant. Ne pas cacher ses pouvoirs, pouvoir les utiliser pour s’amuser ou pour impressionner la galerie, cela lui permit de mieux s’aimer, de prendre confiance en lui.
La vie de Qadir n’a jamais été très mouvement, même après son entrée à l’Institut Xavier. Il a poursuivi ses études tranquillement avec ses frères mutants, puis, il a prit le chemin de l’université de Columbia, à New-York, afin de se prédestiner pour les sciences physiques avec option biologie cellulaire. Un domaine qu’il a toujours affectionné, tout particulièrement depuis qu’il est en mesure de contrôler ses pouvoirs de mutant. Le choix de cette université ne fut guère anodin, puisqu’entre-temps, ses parents ont pu déménager pour venir vivre à Brooklyn.
Sa relation avec sa sœur s’intensifia beaucoup, s’améliorant énormément ce qui ravit Azir, qui n’aimait pas vraiment cette relation conflictuelle que ses deux enfants entretenaient.
Plus tard, lorsqu’il eut fini ses cours, qu’il obtint ses diplomes, il retourna à l’Institut Xavier pour y enseigner les sciences physiques, renouant ainsi avec ce qu’il appelait être sa vie. Il était tout à fait normal pour lui qu’il vienne y enseigner ce qu’il aimait, afin d’aider les jeunes mutants à mieux se comprendre, à mieux s’apprécier, afin d’avancer dans la même direction que lui lorsque lui-même traversait la période de sa vie où il avait besoin le plus de repère.
Son retour entraîna irrémédiablement une volonté de s’investir un maximum au sein de l’école au point de vouloir faire parti des X-Men. Mais de tout les évènements importants qu’il vécut au sein de l’Institut, celui qui devait le marquer à vie n’était autre que celui de la rencontre avec celle qui allait devenir sa femme : Emma Hawkins. Un écart de six ans les séparait, mais cela ne devait pas le retenir pour lui tourner autours. Qadir était réellement tombé amoureux, comme si la foudre lui était tombée dessus au moment même où ses yeux se sont posés sur cette magnifique tête blond.
Elle ne tarda pas à tomber sous ses charmes. A partir de là, Qadir n’avait jamais été aussi heureux que durant ces quelques années où ils se fréquentèrent, jusqu’à devenir mari et femme. Tout semblait sourire à Qadir. Il avait une vie bien remplie : Un bon travail qu’il aimait tout particulièrement, une femme en or et qu’il aimait par-dessus tout, et de temps à autres, entre deux ou trois entraînements sportifs, on l’appelait pour faire quelques missions au sein des X-Men. Parfois ce n’était rien de bien important comme aller aux contacts de certains nouveaux mutants afin de leur apporter l’aide nécessaire, escorter le professeur ou accompagner Hank faire des conférences (jusqu’à ce qu’il devienne quelqu’un de réellement important au point de prendre part au gouvernement américain).
Puis vint Alcatraz.
On dit souvent que la prison peut vous bousiller une vie. Pour Qadir, ce fut réellement le cas, mais pas de la manière que vous imaginez.
A jamais, il devait voir la silhouette de sa femme souffler par une violente explosion, comme dernière image de celle qu’il aimait par-dessus tout. Ces images se gravèrent dans sa mémoire au point où il ne comprit pas tout de suite que Jean Grey venait d’être tué non loin de lui par Wolverine.
Il resta peut-être six mois à errer dans l’Institut comme une coquille vide. On ne pouvait le remarquer devant tous ces deuils que l’école subissait, et peut-être que si il en avait été autrement, Qadir n’aurait jamais quitté l’Institut. Mais c’était ce qu’il fit, et disparut à New-York, puis autour du monde, le temps d’une année.
Lorsqu’il revint, il se mit à travailler chez un vieil horloger palestinien, Saad, dans le Queens. Saad devait être le seul qui puisse réellement comprendre ce que Qadir subissait. Mais il le laissa tranquille, et c’était probablement la seule chose qu’il fallait faire. Même sa famille l’agaçait tant et si bien, qu’il finit par filtrer leurs appels, jusqu’à ce qu’ils ne finissent par le laisser tranquille.
Aujourd’hui, il travaille toujours là-bas, vivant dans un petit appartement dans le quartier d’Astoria, non loin de son lieu de travail. Qadir n’a plus vraiment donné signe de vie, suivant l’actualité sans réellement la suivre. La loi « Mutant Registration Act » fut probablement la pire connerie qu’il ait entendu à ce jour, et même s’il sentait qu’il lui fallait se révolter, il finit par s’y rendre afin de s’y faire recenser. Avec les évènements de New-York, auquel, même lui crut à la fin du monde, avant d’être sauver in extremis par Iron man, il semblait, selon lui, que ce soit la meilleure chose à faire à l’heure d’aujourd’hui.
IRL Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; C'est Zero, j'ai 26ans, et je suis un bonhomme. Fréquence de connexion ; Assez régulièrement. Que pensez-vous du forum? ; Il a vraiment l'air bien ! Comment l'avez-vous découvert ? Sur PRD ! Célébrité choisie ; Suriya Sivakumar. Credits (avatar, icon etc.) ; Avatar, c'est moi, les gifs, c'est tumblr ! THE NEW AGE
Dernière édition par Qadir Al Mu'Tamid le Ven 20 Mai - 22:52, édité 16 fois |
|