it's a revolution, i suppose Invité | | | Piper Arlingtonthe voices in my mind won't leaveIdentitéNom et Prénom : Harlington, Piper. Son prénom de naissance est Haneul, mais elle ne l'utilise jamais, sachant bien que personne n'arrivera à le prononcer correctement. Elle se présente toujours sous le nom de Piper. Alias : Pip's, Pipette, et tout autre surnom qu'on a pu lui affubler au fil du temps. Il arrive qu'on l'appelle Kea en mission. Kea qui veut dire soin, en japonais.Âge : Dix-neuf ans, et elle fait bien son âge. Lieu de naissance & nationalité : Piper est américaine, née à Chicago. Elle est aussi à moitié-coréenne par sa mère, qui elle-même a vécu la plus grande partie de sa vie au Japon. C'est un peu compliqué. Comprenez simplement que Piper est américaine, et qu'elle se sent aussi proche du Japon que de la Corée au niveau de ses origines. Et qu'elle parle un peu les langues de ces deux pays, accessoirement. Métier : Pensionnaire à l'Institut Xavier. Elle fait partie de ces élèves qui ont rejoint les X-Men.Statut civil : Célibataire. Orientation sexuelle : Bisexuelle, lui semble-t-il. Elle se voit bien aimer une fille ou un garçon, ça lui est égal. Cependant, elle n'a jamais eu l'occasion de prouver cette " théorie ", car elle n'est encore jamais tombée amoureuse de qui que ce soit. Particularités : Piper a le don de guérison. C'est à dire qu'en se concentrant, elle peut soigner les autres. Cependant, une sorte de loi d'équivalence fait que lorsqu'elle soigne quelqu'un, elle donne un peu de son énergie vitale. Donc elle ne peut pas le faire à la suite pendant trop longtemps, au risque de devenir celle qui doit être soignée ensuite. Affiliation : Elle est agente des X-Men depuis maintenant trois ans, et elle compte bien y rester un moment encore. InterviewÊtes-vous pour ou contre la Loi de Recensement des Mutants ? Pourquoi ? Si vous êtes un Mutant, avez-vous décidé de vous recenser ? Non, Piper n'est pas exactement pour un recensement de tous les mutants. On pourrait la dire naïve, mais elle estime que ce n'est pas parce qu'on est mutants qu'on veut forcément du mal aux autres. Elle souhaite une entente entre humains et mutants et se bat pour cette cause. En fait, elle souhaiterait l'entente de tous les êtres humains entre eux, mutants ou pas mutants. Dans le ghetto qu'elle habitait à Chicago, Piper a vu tant de gens issus de minorités ethniques ne supportant pas le racisme discret qu'ils avaient à supporter chaque jour. Pour eux aussi, Piper souhaiterait que les choses changent. Et elle n'a certainement pas envie que ça en arrive à ce point avec les mutants. Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Absolument. Piper estime que si l'on a des capacités hors du commun, on se doit de le faire partager au monde, et d'une manière positive. Pourquoi ne pas aider à rendre un monde meilleur quand on en a l'occasion ? Piper ne comprend pas comment on peut se permettre de rester passif lorsqu'on a un don. Elle estime qu'on se doit de prendre position - pour la confrérie ou pour les x-men, ça, c'est encore autre chose. Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? L'envie de justice l'a fait se tourner chez les X-Men. De plus, elle a vu en les X-Men une famille, chose qu'elle n'avait jamais vraiment eue auparavant. Elle ne dit peut-être pas assez ce qu'elle ressent aux autres, il est vrai que Piper a tendance à parler peu, mais elle tente de le montrer en se donnant toujours à fond pour aider lorsqu'il le faut. Cependant, dans un sens, elle pourrait aussi comprendre qu'on se tourne du côté de Magneto. Elle comprend pourquoi on pourrait détester les humains qui traitent mal les mutants. Après tout, la vie n'a pas été tendre avec elle, elle pourrait comprendre que certains avec qui la vie n'a pas été tendre non plus aient une certaine envie de vengeance. Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ?Piper a découvert son donc de guérison très jeune. Alors qu'elles vivaient dans un squat à Chicago avec sa mère, et que celle-ci abusait de l'alcool, il suffisait que Piper reste proche d'elle pour que les vomissements post-consommation diminuent petit à petit. Evidemment, elle n'avait à l'époque pas conscience de l'étendue de son don, et il a fallu que Charles Xavier le lui fasse réaliser, des années plus tard. Mais elle ne s'en étonna pas plus que ça : elle savait qu'il y avait quelque chose d'étrange chez elle. Heureusement pour elle, son père n'a pas eu envie de lui poser plus de questions, et son frère est un mutant lui aussi. Elle ne connaissait à l'époque personne d'autre que ça aurait pu choquer d'apprendre qu'elle était mutante. À ce niveau-là, les choses se sont donc bien roulées. Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? Piper est née avec ce don. Heureusement pour elle, il n'est pas aussi compliqué à vivre que d'autres. Elle l'utilise d'ailleurs depuis longtemps pour aider les autres comme elle le peut. Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? Etant donné qu'elle vit à l'Institut Xavier, Piper n'a pas exactement besoin de cacher son identité. Quand elle va en ville, elle n'utilise simplement pas son pouvoir, ou alors que très discrètement, et en s'assurant de ne pas être vue. Elle se demande pourtant si elle ne devrait pas commencer à cacher son identité, car il commence à y avoir beaucoup de pensionnaires lui demandant d'utiliser son don même pour leurs petits bobos du quotidien. Certains diraient même qu'il y a de l'abus dans l'air, car non, Piper ne soignera pas d'ongles cassés.. Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Piper est clairement contente de sa situation. Elle se donne à fond pour laisser sa trace chez les X-Men, prenant toutes ses missions très à coeur, et n'acceptant pas la défaite. Elle est quelqu'un de très persévérant, et cherchera toujours un moyen pour arranger les choses. Après tout, c'est ce qu'elle fait de base avec son pouvoir : elle arrange les choses, les gens, quand ils sont cassés. Biographie don't worry about a thing Si elle avait à écrire son histoire... Eh bien c'est simple. Elle ne le ferait pas. Pas par manque d'inspiration, bien évidemment. On ne peut pas ne pas être inspirés quand on écrit notre histoire. Le matériel est comme qui dirait déjà là. Non, ce serait plus par manque pur et simple d'envie : Piper n'a pas envie de laisser son passé empiéter à nouveau sur la personne qu'elle est aujourd'hui. Elle ne veut pas qu'il la submerge. Alors, elle le tait. Ceux qui la connaissent pourront vous le dire : Piper Arlington n'est pas exactement du type bavard quand il s'agit de parler d'elle. Si vous lui posez une question sur sa vie d'avant les X-Men, elle se contentera de répondre de la manière la plus directe - ou sarcastique, dépendant de son humeur - possible.
Et au final, elle fait exactement pareil quand elle est seule et que des souvenirs lui reviennent. Elle se répond d'une manière un peu sarcastique à elle-même vis-à-vis de ce qu'elle ressent. Ou, de manière plus radicale, quand elle n'a pas le temps d'être trop longtemps dans la lune, elle zappe. Comme sur une télévision, elle se force à zapper sur une autre chaîne de son cerveau, pour ne pas avoir à revivre fictivement les souvenirs qui lui déplaisent. Elle n'en parle pas souvent, mais ce genre de moments de zap lui arrivent très souvent.
Il suffit qu'elle soit seule dans sa chambre, par exemple, pour que son esprit tergiverse et qu'elle repense à son enfance. Premièrement, elle pense aux moment où les choses allaient encore bien. Elles vivaient seules, avec sa mère, à Chicago. Celle-ci avait encore du travail. Et elles étaient heureuses, ensemble. Et même si ces souvenirs remonte, Piper se souvient parfaitement des cours de japonais et de coréen que lui donnait sa mère, et comment elle lui expliquait des choses sur ces deux pays. Ceux-là, Piper ne les zappe pas, comme souvenirs. Elle se permet de les laisser traîner dans son esprit quand elle n'a rien d'autre à faire, car ils lui rappellent les bons moments. Ceux dont elle a envie de se souvenir.
Et puis, elle va se balader dans la rue, et croise sur son chemin un drug addict. Ou alors, elle voit une mère crier sur son enfant. Là, c'est les souvenirs dont elle ne veut pas qui reviennent. Ceux d'après, depuis le moment où sa mère a perdu son travail. Piper devait avoir six ou sept ans. On dit qu'on ne se souvient pas de beaucoup de choses de cet âge-là, pourtant Piper se souvient parfaitement du déménagement dans le petit appartement, en banlieue. Elle se souvient des rencontres parfois pas fameuses qu'elle y faisait. Elle se souvient de la tristesse, de la pauvreté qu'elle y a vue. Sa mère et elle n'étaient pas épargnées, d'ailleurs. Piper se souvient de la galère dans laquelle elles vivaient : sa mère cherchant un emploi, elle faisant de son mieux à l'école du coin.. Les années passèrent et sa mère ne trouvait toujours rien.. Plus le temps passait, plus elle hurlait.. Plus elle hurlait, plus elle s'excusait à Piper, qui ne savait pas comment se situer par rapport à tout ça.. Et puis, quelques années plus tard, ce fut la déchéance la plus totale. Sa mère, désespérée, sombrait dans la drogue et l'alcool. Piper, encore jeune, ne savait pas quoi faire pour l'aider à s'en sortir. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'il arrivait que sa mère aille mieux quand Piper était près d'elle pour la soutenir. Instinctivement, elle savait que c'était râce à elle. Le comment du pourquoi, par contre, elle ne le savait pas - pas encore, du moins. Elle se souvient encore de sa mère, qui, après une nuit à boire, s'approchait d'elle pour son aide.... Piper détestait la voir comme ça. Elle détestait sa mère quand elle n'était pas sobre. Elle détestait l'alcool et la drogue. Se revoir sa mère dans cet état-là, à ne pas arriver à marcher droit, à ne pas réussir à prononcer correctement le nom de sa propre fille... Zap.
Piper préfère se dire que c'est plus simple de ne plus y penser. Ce genre de souvenirs la retiennent pour aller de l'avant. Pour les oublier, elle va s'occuper l'esprit avec autre chose. Elle se force à penser à quelque chose qu'elle doit faire, des papiers à rendre, ou quelque chose du style, et elle se met au travail pour ne pas y penser. Si elle est en conversation, elle change simplement de sujet, le plus rapidement possible. La plupart du temps, ce stratagème fonctionne.
La plupart du temps. Parfois, elle se retrouve comme dans un tourbillon de souvenirs dont elle ne peut pas sortir. Et elle est comme forcée de repenser de nouveau à tout ça. À la mort de sa mère, à cause d'une overdose. Zap. Ah non, cette fois ça ne marche pas. La télécommande est comme bloquée. Piper est forcée de se revoir, à treize ans, ouvrir la porte de l'appartement pour voir sa mère écroulée par terre. Elle se revoit, les larmes aux yeux, tenter de s'approcher d'elle comme elle le fait d'habitude, et voir si sa mère reprenait ses esprits. Mais elle avait senti que c'était trop tard. Après, forcément, elle est obligée de se souvenir de l'arrivée chez son père. C'était lui qui avait sa garde, désormais. Mais jamais les deux n'eurent de relation très proche. Zap. Pour aider avec ces souvenirs durs, elle se souvient du moment où elle se mit à " remonter la pente ". Le jour où Charles Xavier arriva chez son père et lui expliqua pourquoi elle arrivait à faire ce genre de choses sur sa mère. Elle se souvint aussi de son père refusant totalement de la laisser aller à cet Institut. Pourtant, Piper déjà à l'époque avait envie de pouvoir utiliser son don de manière à faire le bien.. Pour ne pas à avoir à revivre ce qu'elle avait vécu avec sa mère. Elle s'était toujours dit qu'elle pourrait aider les autres. La fillette en avait absolument voulu à son père. Pourquoi tenait-il tant à ce qu'elle n'y aille pas ? Elle ne comprenait pas.
Zap. Lui vient ensuite un souvenir de son frère, Julian, qui n'habitait pas à la maison mais qui était là, le jour de cet incident, et qui avait réussi à convaincre leur père de la laisser aller à cet Institut Xavier. Souvenir mitigé pour Piper : elle se souvint du regard qu'ils s'étaient échangés. Elle s'était toujours demandée les raisons qui avaient poussé son frère à faire ce qu'il avait fait. Elle se souvient que sur le moment, elle n'avait réussi qu'à lui dire " Merci ", mais qu'elle aurait voulu lui dire plus que ça. Ce souvenir-là ne la gênait pas plus que ça.
Généralement, après ce moment, le tourbillon s'arrêtait. Personne, à part un télépathe, ne pourrait dire ce qu'il se passe dans la tête de Piper quand ces souvenirs lui reviennent. Ils reviennent comme des flash, et elle fait tout en sorte pour qu'ils ne l'influencent pas aujourd'hui. Car il faut dire qu'elle a mieux à faire que de remuer cette marmite de souvenirs. Et que les choses vont clairement mieux : qu'aujourd'hui, elle a des beaucoup plus beaux souvenirs que ceux-ci, et que ça lui va très bien. Elle maîtrise aujourd'hui bien son pouvoir, fait partie des X-Men, elle n'a pas à se plaindre. En honneur à ce que lui a appris sa mère, elle se fait appeler Kea, qui veut dire soin en japonais. Pour montrer qu'elle ne l'a pas oubliée, et qu'elle vit malgré tout ce qui a pu se passer. Qu'elle a pu trouver un équilibre. Et elle fera tout en sorte pour que cet équilibre qu'elle a réussi à mettre en place soit maintenu, malgré ces lois de recensement ou ces autres choses qui font obstacle à ses amis et à elle. IRL Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Agent swagman ( oui ) / 18 / f. Fréquence de connexion ; À peu près tous les jours. Que pensez-vous du forum? ; Il a l'air vraiment cool Comment l'avez-vous découvert ? I blame Erin. Célébrité choisie ; Kiko Mizuhara. Credits (avatar, icon etc.) ; kush coma de bazzart, pour l'avatar. Tumblr pour les gifs. THE NEW AGE
Dernière édition par Piper Arlington le Mar 10 Mai - 21:23, édité 5 fois |
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