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| Luke | No, for the last time, you are not my father. | |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Luke D. SilverwoodIf you quote star wars one more time, i swear i'm gonna kill you! IdentitéNom et Prénom : Luke Dylan Silverwood, second né des Silverwood, héritier de rien du tout sauf si par miracle Liam se décide de mourir Alias : Reaper, le mot anglais signifiant faucheur. On voit la ressemblance quand on sait que tout n'est pas que blanc du côté du jeune Silverwood Âge : 24 ans Lieu de naissance & nationalité :Né en Angleterre et de nationalité londonienne. Il n'est que sur une VISA visiteur en Amérique, mais il semble qu'il compte étirer son voyage sur quelques années. Métier :Sans emploi, sauf si vivre de l'argent de grand-père est comptabilisé en tant qu'un emploi. Il s'en cherche un, croyez-le, mais pour le moment rien ne semble être en approbation avec ses caprices d'hygiène.Statut civil : Célibataire et loin de vouloir une relation avec une bactérie ambulante. Orientation sexuelle : inconnu, il n'a jamais testé avec quiconque, il ne pourrait donc vous dire ses préférences. Sauf si la propreté est sexuelle, il en restera inconnu pour le moment.Particularités :Atteint de Mysophobie avancée, cette maladie étant entièrement psychologique, il ne nécessite que l'aide de sa famille et ses proches pour s'en sortir. Malheureusement, son grand-père le rend encore plus paranoïaque et son grand frère rie de sa situation. On n’est pas sortie du pétrin.
Yeux vairons de naissance. Il a un œil bleu cyan et l'autre mi-bleu mi-brun. Il ne peut rien y changer, mais disons que ce trait le différencie de la population générale. Le saviez-vous? Les yeux vairons sont une sorte de mutation légère. Le simple fait d'avoir des yeux non identiques fait de vous un mutant!
NÉCROMANCIE; Le mutagène le plus stupide que l'on pouvait donner à Luke bien sûr. De tous les pouvoirs fantastiques, ceux qui lui auraient permis de ne même plus mettre un pied au sol, il fallait qu'il se prenne LE truc qui l'obligerait à confronter sa maladie. Ce mutagène de nécromancie offre la possibilité à Luke de contrôler les capacités motrices d'un cadavre. Le problème? Il doit d'abord le toucher pour le ''réveiller'' et par la suite rester à une distance très courte de celui-ci tant et aussi longtemps qu'il en gardera le contrôle. Cela implique d'être constamment dans la même pièce qu'un fichu cadavre. Vous imaginez le cauchemar du petit Silverwood juste un peu? Il ne contrôle pas son pouvoir, ce même après huit-neuf ans de pratique ( dépendant du point de vue, mais c'est plus huit ans que neuf), pour la bonne raison qu'il le déteste. Il déteste être un mutant, il déteste devoir toucher à des morts et il déteste que cela serve autant à Liam l'obligeant de le faire à répétition. Jusqu'à aujourd’hui, Luke a réussi à ranimer des corps et les faire déplacer doucement. Souvent ils sont agressifs, ce que Luke ne contrôle pas nécessairement, mis à part cela aucun n'est revenu avec une conscience propre. Ils étaient tous dans un état quasi végétatif si ce n'est que de grognement qui prouve qu'ils sont ''vivants''. Pour le reste on oubli notre petit blondinet, il ne vous sera d'aucune aide pour votre invasion de morts vivants à Halloween. Ça lui prend déjà plus de vingt heures de méditation juste à l'idée de toucher un corps en décomposition qu'on ne lui demandera pas de trop en faire. Ah oui, j'allais oublier, non Luke ne peut pas ramener un mort à la vie avec ses pleines capacités mentales. Loin de là, donc ne comptez pas sur lui pour vous ramener si jamais il vous vient en tête de mourir pour le plaisir de la chose. Vous avez été prévenus.
Affiliation : indécis pour le moment ou comme le dirait Liam; Ira au plus offrant ou celui qui détient le plus de purell.
Interview Avez-vous peur des Mutants ? Oui et non. Luke considère le mutagène comme une forme très rare de maladie non contagieuse sauf par l’hérédité. S’il n’a pas peur de ses confrères mutants, il n’apprécie pas pour autant leur existence puisqu’il aurait largement favorisé un monde où tout cela n’existerait pas. Disons qu’il ne compatit pas bien avec les siens, ni n’est très à l’aise en leur présence, c’est juste un niveau relationnel des plus inconfortable. Il n’a pas peur d’eux pour être plus précis, il a peur de lui-même et de ce qu’il pourrait faire. Il a peur qu’à son tour si la vie lui offre d’avoir un enfant (on ne sait pas trop par quel miracle) qu’il le rende malade à son tour de ce même mutagène. Pensez-vous que les Super héros soient une bonne chose ? Non. Que ce soit des mutants, des humains normaux ayant acquis des pouvoirs ou de simples soldats entraînés, ils ne sont aucunement synonymes de bonheur. Le petit Silverwood y va avec une logique très simple, s’il n’y avait aucun héros il n’y aurait aucun vilain, du coup le monde serait parfait. Leur présence indique donc une nécessité dans ce monde, ce qui signifie qu’on a besoin de se défendre, alors pour en résumer le tout Luke pense qu’ils sont un véritable fléau. Qu'est-ce qui vous a poussé à combattre le crime/faire le mal ? (si votre personnage a choisi un camp) Malheureusement Luke ne peut vous répondre sans la présence de son avocat. Il peut vous avouer être complètement neutre pour l'instant, n'ayant aucun camp prédéfini. Quand vous avez découvert que vous étiez un mutant, comment avez-vous réagi ? Et vos proches, sont-ils au courant ? (si votre personnage est un mutant) On n’a pas déjà fait le tour de cette histoire? Luke avait seize ans et Liam a décidé qu’il était temps de réveiller son frère face à sa véritable nature. En bref, Luke a toujours été un mutant, il ignorait simplement ce fait puisque son grand-père s’est arrangé pour rediriger le gamin et lui faire oublier son pouvoir. On se doute donc que les grands-parents Silverwood ne sont vraiment pas en accord avec la mutation des deux jeunes hommes, mais Liam est là pour Luke et c’est tout ce qui compte. Sinon Luke a très mal réagi à la nouvelle, encore aujourd’hui il se déteste pour être différent, mais ça vous aurez la chance de le lire en détail dans son autobiographie. Dans quelles circonstances avez-vous obtenu vos pouvoirs ? (pour les deus ex machina) merci de détailler un maximum votre réponse ! Qui connait votre véritable identité ? Comment faites-vous pour la cacher ? (si votre personnage a une identité secrète) Liam Silverwood est le seul qui connait le véritable nom de Reaper. Reaper se cache constamment, ne sortant que le soir, de toute façon les rues sont trop peuplées de jour. Comme il est souvent de mèches avec son frère quand vient les ennuies, il se met souvent un ''Hoodie'' ou quoi que ce soit pour cacher son visage lorsqu'il part pour une autre connerie de l’aîné. Puis ne pas avoir aucune relation sociale aide beaucoup à ce que personne ne sache qui ont est réellement. Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? Très! Ne rien faire est très satisfaisant, sauf quand il doit bouger pour son frère qui veut plus de fric. Si Luke avait le choix, il ne vivrait que de la carte de crédit de son grand-père, mais le vieux n'est pas millionnaire et sa carte à une limite. Certes il peut vivre amplement de 5 000 dollars par mois (Logement non inclus, bouffe non incluse, électricité non incluse, service non inclus), mais une fois tous les paiements faits il ne reste pas grand-chose à se mettre sous la dent. C'est peut-être pour ça qu'il aide Liam dans la criminalité, même s'il ne le fait pas de bon cœur.
Biographie« Et c'est ainsi que s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Comment ne pas guérir un mysophobe, l’autobiographie de Liam Silverwood, Chapitre 1.
Pourquoi mon histoire se commence en mentionnant Liam? Vous verrez assez tôt, mais disons qu’il est une grande partie de ma vie, ou plutôt de toute ma fichue vie. Je n’ai jamais vraiment eu de choix non plus on me l’a imposé à la naissance. Il était déjà là, malheureusement, je dois me l’endurer depuis toute mon existence. Comment bien débuter ce chapitre? Tiens, déjà je n’ai jamais connu mes parents biologiques, ils sont morts quand j’étais âgé d’environ sept mois du coup je ne me rappelle aucunement d’eux. J’ai été élevé avec mon grand-père et mon grand frère dans un vieux manoir au nord de Londres. Si Liam a eu droit à une éducation plus douce, nos grands-parents se chicanant les droits parentaux, moi j’ai été élevé dans la paranoïa de notre grand-père. Au fond ma maladie viens peut-être de là, ce ne serait pas étonnant, vu comment il m’empêchait de toucher à quoi que ce soit dans la maison. J’étais toujours malade plus jeune, constamment, si ce n’était pas un rhume c’était une autre maladie qui m’affligeait. Pas une journée ne passait sans que j’attrape le nouveau microbe à la mode. C’est ce qui avait poussé mon grand-père à m’enfermer dans la maison, m’assoir devant des livres et m’interdire de toucher à quoi que ce soit pouvant me rendre malade. Il me faisait laver les pièces de la maison jour après jour, s’assurant que je serais propre en tout temps, puis j’ai développé des habitudes dans cette éducation. J’ai fini par être malade d’être malade, la psychologie s’est embarquée et vous connaissez la suite.
Je n’avais pas le temps de me poser des questions d’enfants normaux comme : Où sont papa et maman? Pourquoi Liam lui peut aller jouer dans la boue? Du brocoli, ça pousse au septième niveau de l’enfer? […] Mes questions à moi étaient plutôt : Est-ce que c’est dangereux? Y a-t-il un risque que j’attrape X maladie en le touchant? Avez-vous désinfecté votre corps avant d’entrer en contact avec moi? Êtes-vous en contact de près ou de loin avec Liam, car si oui il y a le risque que vous soyez comme lui une bactérie ambulante. […] Oui, je ne vous le fais pas dire, mon grand-père m’a très bien éduqué comme vous pouvez le constater. J’étais un enfant parfaitement conscient des dangers hors de la maison, des nombreuses maladies que l’on pouvait contracter si on touchait un être ne s’étant pas lavé les mains en sortant des cabinets ainsi que mon éducation exemplaire faisant de moi un véritable gentleman moderne. Bon pour en revenir à cette histoire, parce que oui je dérivais à vous expliquez ma mysophobie, même s’il est bien d’expliquer ce que je crois en être la cause.
Mon enfance sera essentiellement sans embûche, si on ne compte pas la mort de mes parents ou la paranoïa que me donnera mon grand-père. Comme dit plus haut j’étais toujours malade plus jeune, ce qui eu pour effet de rendre mes grands-parents surprotecteurs de ma personne. Ils ne me laissèrent pas me rendre à l’école, ni avoir des amis, je ne pouvais me tenir qu’avec les invités de mes vieux. Bien que les discussions étaient enrichissantes faites d’aventures les plus farfelus les unes que les autres, dont certains récits de la guerre, je n’en avais aucune satisfaction dans ma jeunesse. Malheureusement, je recevais souvent les foudres de Liam qui me traitait de vieillard avancé. Au fond il n’était pas méchant, non, il était carrément le diable en personne mon frère! Si un jour vous croisez son chemin, courrez en sens inverse, je vous aurai prévenu. Liam n’aimait pas tellement que je me laisse couver, il avait l’habitude d’être plus rebelle, puis il était de trois ans mon aîné. Souvent il revenait à la maison couverte de boue et son premier réflexe serait de mettre sa main dégoulinante de terre et de substance inconnues dans mes cheveux en me frottant la tête. Puis il dirait « Cesse de te plaindre fillette. » avant de disparaitre dans la maison laissant derrière lui une trainée de bactéries que je devais nettoyer avant que grand-père s’aperçoive de cette offense. Ça c’était doux, ça c’était quand on était encore des gamins, le pire arriverait un peu après ma puberté. Quand j’ai vraiment accroché mes seize ans, c’est là que Liam avait décidé de me sortir de ma cage pour m’obliger à voir le monde.
Il serait peut-être essentiel pour le déroulement de l’histoire que je vous apprenne qu’avant mes seize ans je n’étais jamais sortie du manoir de grand-père. Certes je connaissais chaque pièce, chaque recoin des murs, chaque placard pouvant me mener à une bouteille réconfortante antibactérienne…mais je ne connaissais rien du monde entourant la maison outre par mes livres et la télévision. Je n’avais pas cherché à sortir, j’étais encore plus paranoïaque que mon grand-père quand venait ma mysophobie, alors l’idée même de sortir dehors était hors de moi. Si Liam était sortie toute sa vie, était allé à l’école (enfin ça c’était ce que grand-mère croyait), s’il avait été libre de faire ce qu’il voulait, j’en étais certainement, le contraire. Encore là, ne me lisez pas en vous disant ‘’, mais pauvre victime!’’ alors non! Je le voulais! Je voulais être à l’intérieur des murs de la maison, je voulais être au chaud, là où je savais que tout ce qui traînait dehors ne m’atteindrait pas. C’était ce que je désirais au plus profond de moi, vivre dans la maison pour le reste de mes jours, je n’avais aucun intérêt de sortir. L’extérieur c’était pour moi un cauchemar encore plus terrible que l’idée d’être touché par un inconnu.
Donc, vous vous doutez que Liam n’était pas que le diable en personne rendu, où nous en sommes? C’est un peu grâce à lui si nous sommes rendus aux États-Unis, si nous sommes sortis de chez grand-père un jour pour ne jamais revenir. Puis si j’étais resté à l’intérieur je n’aurais jamais su que j’étais un mutant, quoique je me serais bien passé de cette connaissance, j’aurais ignoré qui j’étais. Je m’emballe encore, retournons à cette histoire.
Je m’étais réveillé en sursaut, mon frère au-dessus de ma tête avec un sourire diabolique, les yeux plissés je marmonnais entre mes dents. Pas le temps de comprendre quoi que ce soit que Liam me jetait des vêtements en me disant de sa voix ferme. « Change toi, on sors, t’a seize ans il est temps que tu me suives! » ce à quoi je répondis machinalement un okay. Je n’étais pas pour m’obstiner, encore endormi, j’avais juste le temps de virer ma tête vers le cadran pour voir qu’il était enfaîte deux heures du matin. Je ronchonnais, mais rien à faire, mon frère avait un plan en tête. J’enfilais mes vêtements avant de frotter mon front, les yeux fermés, en attendant le prochain mouvement de Liam. Celui-ci ouvrit la fenêtre de ma chambre, embarquant d’un pas agile sur mon bureau de travail pour être à la hauteur de la fenêtre. « T’es malade? On va quand même pas sortir au couvre-feu…grand-père va nous tuer. » dis-je faiblement, recevant un regard de mort de la part de mon frère. Il n’y a rien à dire quand Liam est décidé, vous le suivez ou il vous tue. J’ai déjà tenté de lui désobéir, croyez-moi, le résultat fut un plâtre sur mon bras pendant trois longs mois. Alors après un soupire de désespoir je le suivais, sautant moi aussi par la fenêtre, mais si lui marchait aussitôt les mains dans les poches, moi je reprenais mon souffle en constatant que j’étais dehors.
« Aller…Avance merdeux! On à du chemin à faire pour se rendre en ville. » dit mon frère sèchement à mon égard sans même se retourner. Il n’avait pas besoin de me voir pour savoir que j’étais hésitant, le regard effrayé, que chacun de mes pas était plus petit les uns que les autres. « Me force pas à te trainer, tu n’aimeras pas ton cadeau si tu m’y obliges! » lançait-il de sa voix la plus froide. J’avançais donc à pas de loup derrière lui, sans savoir que ce serait la toute dernière nuit que je passerais au manoir de grand-père. Il allait me manquer le vieux, mais bon échanger quelqu’un qui à les mêmes intérêts que moi envers la haine des microbes contre Liam ce n’était pas non plus un cadeau. « HEY! Avance! » criait pour la dernière fois mon frère. Je n’avais plus le temps de m’égarer dans ma peur, alors prenant tout mon courage je le suivais vers l’inconnu.
Ma vie a changé, je ne l'ai même pas vu faire, elle s'est juste décidée de prendre du pop corn et de profiter du manège. Chapitre 2.
« Un cimetière?! De tous les endroits au monde où tu pouvais m’emmener, d’ailleurs sympathique pour mon anniversaire Liam, tu devais m’emmener dans un endroit de putréfaction et de morts en décomposition?! » Paniqué, comme si vous ne l’aviez pas deviné, je m’arrêtais net devant le portail figé par la peur. Mon frère me prit par le bras pour m’emmener avec force, je ne pouvais pas mettre un mot de plus sans l’entendre dire « non, chut, la ferme. » alors je ne fis que lui montrer mon désaccord en trainant du pied autant que possible. Il m’enfonçait alors dans une crypte familiale, celle de nos parents de toute évidence, vu les lettres sculptées des SILVERWOOD dans la pierre froide et grisâtre.
« mais… »tentais-je de dire avant de devoir retenir mon souffle une fois entré.
« Tu vas la fermer oui? » me lançait Liam de son regard le plus glacial qu’il puisse afficher. « Bon, tu te doutes sûrement que je ne t’ai pas emmené ici pour te partager mes connaissances de l’occulte. »
« Quoi? DE L’OCCU’ » essayais-je de dire, mais mon frère m’arrêta d’une bonne claque dans la gueule. Liam me foudroyait du regard, il était peut-être temps que je le laisse parler lui et ses goûts douteux de cadeau.
« Je peux? Merci. » dit-il avant de s’installer sur un des deux énormes cercueils de pierre. Assis, il semblait pensif, comme s’il était difficile pour lui de réfléchir à autre chose que la méchanceté et la haine. Enfin, cela ne m’étonnerait pas, je n’avais jamais entendu Liam dire autre chose que des méchancetés, sauf à grand-mère. « Tu n’as jamais connu papa et maman, enfin oui, mais pas longtemps. » débutait-il doucement, mâchant ses mots. « Crois pas que ce sera comme ça tous les jours han! C’est une exception et si tu le dis à quelqu’un, frère ou pas, je te tue…Voilà, Papa et maman t’aimaient beaucoup avant de mourir. Une fois mort, je t’avoue, c’est un peu dur de le prouver, mais tu comprends ce que je veux dire. »
Il prit un instant pour respirer, moi je repris enfin mon souffle, déçu de ne pas avoir tenu plus longtemps sans air. J’étais infecté de mort, j’allais me prendre la lèpre, j’évitais de toucher à quoi que ce soit craignant le pire. « Ce que tu ne sais pas, c’est comment ils sont morts, mon cadeau c’est de te l’apprendre. Maman n’était pas humaine, papa était juste très con et courageux à la fois. » Je levais un sourcil, ne comprenant pas où il voulait en venir. « Maman a été tuée par des idiots qui ne savaient pas qu’un jour on deviendrait grand et qu’on pourrait la venger et papa…Papa s’est fait tirer pour avoir voulu la sauver. Con, je sais. » il ricanait, moi je contemplais pour la première fois une sorte de sourire sur le visage de mon frère. Une nostalgie? Je n’aurais pas pu vous décrire ce que je voyais dans le visage de Liam, mais pour une fois il semblait qu’il tenait véritablement à quelque chose dans sa vie. « Maman était une mutante et elle a été tuée pour ça. Les grands-parents ne le savaient pas, ils étaient les parents de notre père, des Silverwood. Personne n’a pu nous retracer, faut l’avouer les vieux ont toujours été bon pour se cacher, ils m’ont aussi souvent sorti de la merde. Bref, Luke, tout comme moi tu es né mutant. »
Attendez, quoi? On arrête tout! Être mutant c’est contagieux comme notre mère nous l’a donné, du coup j’étais malade sans le savoir? Puis comment Liam le saurait?
« Fait pas cette tête du con! Tu as déjà utilisé tes pouvoirs, tu ne t’en souviens juste pas, dit merci au vieux de t’avoir caché ta vraie nature. » dit Liam dans un ricanement sombre. « Je t’offre de partir avec moi, et avant que tu demandes, non cette offre n’est pas refusable, car je ne prends pas non pour une réponse. Bref, je pars pour l’Amérique, tu suis. J’ai besoin de la carte de crédit du vieux et avec toi à mes côtés il va la passer. Puis, tu auras besoin de moi, on va réveiller ton mutagène. »
« Mon muta’ quoi? » dis-je encore abasourdis. « Ta gueule du con, je parle! Je vais te réapprendre ce que tu sais déjà, profite en c’est une offre unique. » me coupait Liam en sautant en bas du cercueil de pierre avant de se retourner vers celui-ci. Je savais que si je disais non il y avait de grandes chances qu’il m’enferme avec un des morts pendant quelques jours pour me punir, alors dans mon dégoût complet je dis « On pars là? » ce que Liam répondit avec un « Bah, on retournera quand même pas en arrière. »
À ce moment j’aurais aimé vous dire que je m’étais enfui, mais je faisais confiance en mon frère, aussi douteuse soit son hygiène personnelle. Je soupirais donc, juste avant de le suivre vers là où il voulait aller, l’Amérique. Non je n’ai pas appris à contrôler mes pouvoirs comme ça, ohohoh vous êtes drôle, même neuf ans après cette journée je suis encore un débutant en la matière. Disons plutôt que j’ai juste appris à vivre avec ma condition, pas que j’ai eu le choix de l’ignorer, car Liam allait me pousser à bout chaque jour qui suivraient l’anniversaire de mes seize ans.
Revenons-en à cette journée, mon anniversaire, la petite discussion du cimetière presque touchante si on enlève le fait que c’était avec mon frère que je devais être. On allait prendre le bateau à quatorze heures tapant, je crois que mon frère avait dans l’idée que le périple serait facile, mais contrairement à moi lui était un mutant bien affirmé. À cette époque comme dans la nôtre, les mutants n’avaient jamais été aimés, chassés par de nombreux groupes d’humains prêts à tout pour se défendre. On était juste moins connu avant que certains imbéciles décident de se montrer en spectacle devant le monde entier. Bref, Liam était loin d’être la subtilité même, je dirais que celle-ci l’avait abandonné par désespoir de cause. À peu près comme moi, si j’avais eu la chance de pouvoir l’abandonné, faut se le dire ce n’est pas un enfant de choeur. Tout cela pour en revenir à…j’avais tout fait échouer.
Le pire dans les montagnes russes c'est ce petit moment d'adrénaline en hauteur, juste avant de descendre, car on à aucune idée si on va survivre ou pas pourtant l'idée de mourir ne nous dérange pas. On est juste là à profiter du moment, notre vie sur les raille, se disant qu'au pire on sera juste....mort., Chapitre 3;
« Tu l’as tué!? » criait presque mon frère à plein poumon en voyant le corps inerte au sol.
« Pour ma défense je manque quelque peu de tact social, puis elle m’a touché, j’en ai conclu que c’était de la légitime défense. » dis-je en hochant la tête alors que celui-ci me dévisageait de haut en bas, se demandant où au juste était passé son frère.
« Manque…de tact…social? Tu appelles ça un manquement tuer une pute parce qu’elle te proposait un petit moment joyeux pour un bon dix dollars? » dit mon frère abasourdi devant ma stupidité. Il semblait être mélangé entre une certaine admiration soudaine et une envie de me foutre un coup dans la gueule pour avoir tué quelqu’un après avoir été seul pendant moins de cinq minutes.
« Justement, au prix qu’elle me chargeait, je ne voulais vraiment pas qu’elle me touche! Je suis quoi moi? Un gigolo peut-être? » répliquais-je en regardant le corps toujours inerte de celle à qui j’avais tranché la gorge d’un geste net.
« Sérieusement Luke? Elle t’a touché où au juste? Non pas que ça justifie ton meurtre, histoire qu’on soit bien sur la même longueur d’onde. » crachait-il en regardant le sang qui dégoulinait de mon visage.
« Le cou…avec…ses doigts. » dis-je en me reculant d’un dédain hautain. « C’était horrible, je me suis imaginé par où elle pouvait avoir passer depuis notre départ, imagine qu’elle se soit fait la moitié des passagers et qu’elle n’a même pas lavé ses mains entre temps! » continuais-je en crispant mon visage d’horreur.
« Bah là, tu dépasses sérieusement les bornes, il va falloir te guérir de ta paranoïa. Puis pour elle, on doit la cacher, du moins pour le reste du voyage. C’est le temps de te pratiquer un peu! » C’est là qu’il me regardait de nouveau avec son regard de diable. J’en frissonnais, puis me rappelais que je devrais la déplacer et donc la toucher encore plus. Huh. J’en vomissais déjà juste d’y penser.
Puis la suite des choses se passa exactement comme vous pouvez le prévoir. Rien ne se passait, je ne manifestais pas mon mutagène miraculeusement après seize ans d’inactivité complète, il fallait donc déplacer le corps à la main. Une fois dans la cabine, le cadavre disposé sur le lit, je contemplais mes avant-bras imprégnés de sang. J’avais eu le temps de me laver, me sécher, aller chercher de quoi manger pour finalement retomber dans son regard toujours aussi vide. Sa présence ne me dérangeait pas en soi, c’était plus la pensée que dans moins de soixante-douze heures elle serait en état de décomposition avancée vue la chaleur qui régnait dans la cabine. Un soupir capturait mes lèvres tandis que je posais mes fesses sur l’autre lit de cette pièce. La fenêtre ouverte, le vent entrait doucement à l’intérieur de la chambre, je me laissais bercer par les vagues oubliant presque la présence de la morte. Il m’était dur d’expliquer mon sentiment suite à mon acte, avec un peu de recul face à la situation, je n’étais certainement pas fier d’avoir arraché la vie à quelqu’un. Puis dans le regret se mêlait cette boule de folie au fond de ma gorge, je ne savais pas si elle signifiait que j’allais pleurer ou rire aux éclats. Le plus effrayant dans cette histoire était ma réaction presque banale face au fait que je partageais la chambre avec un cadavre. Les mains sur le front, j’ouvrais doucement les yeux en entendant des bruits hors de la cabine, j’y portais alors attention après le second coup sur la porte du voisin. Me levant brusquement tandis que la porte de ma propre cabine ouvrait en trombe, je tombais nez à nez avec mon frère et son regard qui voulait dire ‘’ Tu es mort!’’.
Je me ramassais au sol en une fraction de seconde, un coup m’avait assommé, Liam était au dessus de moi épris de haine. Il me martelait de coup, un après l’autre, que je ne réplique pas le rendait encore plus violent, encore plus en rage. Il hurlait dans la cabine, se foutant du reste, j’entendais maigrement des ‘’Utilise le!’’ entre les coups qui me plongeaient de plus en plus dans l’inconscience. ‘’ FAIS-LE!’’ Je me sentais relevé de force du sol et jeté contre le mur, plaqué par les épaules, la violence de mon frère dans sa panique d’être découvert avec une morte dans la pièce laissait une tension qui aurait pu être coupé au couteau . Mes yeux contournaient son visage, fixant le cadavre, je le sentis me donner un coup dans l’estomac qui coupait mon air sèchement. Je n’arrivais même plus à respirer, mais cela ne l’empêchait pas de me prendre par les cheveux d’une poigne ferme avant de me mettre à deux centimètres du visage de ma victime. « Tu as deux choix, tu la ramènes ou tu la rejoins, t’as trois secondes! » crachait-il avant de me lâcher pour aller se craquer les jointures. Sans réfléchir, je me retournais vers lui, prenant appui sur le cadavre pour me relever, et le dévisageais d’horreur.
« Bonjour messieurs….et madame » dit le matelot en nous voyant d’un ton inquiet, celui-ci étant entré soudainement. « Tout va bien ici? » continuait-il sans sembler trop effrayé. Je ne savais plus où regarder, l’employé, mon frère, les deux semblaient généralement de la même émotion presque calme. Puis je réalisais qu’il y avait quelqu’un avec nous dans la cabine, ce qui me fit retourner ma tête dans une panique que je ne me connaissais pas, mais je ne tombais pas sur le cadavre habituel. Elle était là, s’entourant des couvertures de son propre gré, laissant échapper un sourire presque vide envers l’employé du navire. Elle avait l’air vivante, mais sans l’être, pourtant elle bougeait sans aide. « Depuis quand les employés peuvent débarquer dans une cabine sans prévenir au juste? Ton employeur entendra parler de moi, maintenant dégage. » lançait Liam calmement, en me donnant un regard presque rempli de fierté. Presque. Il quittait avec l’employé pour faire ce que Liam faisait le mieux, traîner ailleurs, me laissant seul avec elle.
Attendez, là vous vous demander ce que je voulais dire par ‘’j’ai tout fait échouer’’. Je ne signifiais pas le voyage en bateau, généralement à pars avoir tué quelqu’un ça avait été un charme, on avait même débarqué avec le cadavre en toute subtilité avant que je perde complètement le contrôle de son corps. Ce que j’avais échoué c’était mon plan d’évasion, loin de mon frère, car une fois que j’avais prouvé que j’étais encore apte à contrôler mes pouvoirs (enfin partiellement, j’ai réussis cette fois-là, après ce fut une autre histoire) Liam avait un intérêt de me garder proche. Sans mon mutagène je lui aurais été inutile, il m’aurait envoyé chez grand-père ou à la morgue, je n’aurais pas eu à le servir comme un sbire. La vie voulait rire de moi, la vie avait envie de rire d’un gamin de seize ans.
Notre identité se réduit non pas à notre nom, mais à ce que l’on fait de notre peau pour survivre. Si nous sommes tous nés libres, certains choisissent leur prison, d’autres vont se battre toute leur vie pour ne jamais être derrière des barreaux. J’ai choisi ma prison dont je détiens la clé, mais j’ai caché la clé sous l’oreiller et je tente d’oublier qu’elle existe. – Une lettre à cœur ouverte par Luke Silverwood.
Vingt-quatre ans. La plupart des jeunes de mon âge ont déjà des gamins à leur actif, une copine ou un copain avec qui passer leur vie, ils ont un job qu’ils aiment plus ou moins et un cercle social qui les rend heureux. Certains ont déjà des maisons, des appartements, ils vivent seuls ou bien accompagnés, puis il y a moi. Je ne suis pas un petit flocon de neige spécial, il y en a d’autres dans ma situation, mais pas exactement la même. Moi je fais ce que l’on me dicte, car ma vie s’est toujours résumée à la soumission que ce soit par grand-père ou mon grand frère. Je le regrette un peu. J’aurais aimé avoir le courage de certains, de pouvoir défier la vie à pleine dent et me foutre de ce qu’il reste, mais j’ai le malheur de savoir pertinemment que si je quitte Liam il va me tuer. Il n’hésitera même pas, il plongera ses crocs dans ma chaire et s’assurera que je meurs dans d’atroces souffrances.
Nous sommes en Amérique depuis mes seize ans, mon visa de visiteur est largement périmé, je ne compte pas aller dans un bureau du gouvernement et risquer l’exposition de toute façon. Si vous voyez ce qu’ils font aux mutants de nos jours ou ce que les mutants font au monde, tout comme moi vous ne voudriez certainement pas risquer d’être découvert puis capturé. Ils ont commencé à paniquer, les civils, après les attaques de Magneto, puis ils ont découvert les héros avec les attaques isolées sur New York et Washington. Il y a eu la menace d’Ultron, la menace de Loki, la prochaine menace ne sera certainement pas moins menaçante! Un peu après la carte s’est largement agrandie et les attaques sont devenues mondiales, permettant à Liam d’agir avec une aise immense pour ses activités criminelles. Qui s’occupe des vols isolés, des meurtres dans une allée sombre quand le monde se tourne vers les horreurs qui se passe autour d’eux. Moi? Moi je regardais le monde d’un œil distant, j’avoue j’ai pensé aller aider certaines fois, mais une main se posait sur mon épaule et me disait de m’arrêter net. Liam est toujours là, constamment, il s’assure que je reste là où il veut que je sois. Il m’arrive souvent de m’arrêter un moment, regarder la télévision et y voir ces gens qui défendent notre planète avec ardeurs, j’aimerais m’y voir. Tout cela ne n’est que de la folie, Liam à raison, notre place est dans l’ombre.
Les émeutes sont de plus en plus fréquentes dans les rues. Il est devenu difficile de se faufiler sans rencontrer des groupes antimutants, l’ombre que nous occupions devient de plus en plus éclairée par leur présence et tranquillement notre existence devient connue. Je n’apprécie pas du tout d’être vu, je ne pourrais vous dire ce qui en est de mon frère, mais de mon côté cette attention particulière me déplait. Bien sûr, pour le moment ils ne peuvent pas nous identifier à vue, mais je sens que cela ne saura tarder et qu’on manquera d’endroit où se cacher. Encore une autre nuit dans la rue, quelque chose de plus grand que des émeutes se trame dans l’air. J’entends souvent des murmures entre deux conversations, certains parlent d’une troisième guerre mondiale qui se prépare, d’autres d’une guerre civile. On ne sait trop sur qu’elle rumeur se fier, mais les deux options me donnent des frissons, s’il en venait à ce que je choisisse un camp je ne sais même pas si je suivrais mon impulsivité ou mon frère comme je l’ai toujours fait. Encore une autre nuit s’achève, le regard perdu sur cette ville grandiose, j’admire malgré tout le calme qui règne parfois. Je pense à l’avenir, au chemin que j’ai fait jusque ici, aux années qui ont passé si vite. Je m’ennuie encore de la maison de grand-père, même que plus les années passe pire cela est, mais en même temps je me dis que sans Liam je n’aurais jamais rien vu de ce monde. Je n’aurais même pas cherché à sortir, je serais simplement resté prisonnier de moi-même, je me serais condamné à une vie sans vivre. Je n’aurais jamais appris à maîtriser mon mutagène, enfin je suis loin de la maîtrise, soyons honnêtes sur ce coup là. J’arrive à ramener un cadavre à la fois et je dois rester dans la même pièce que lui pour le faire agir. Ils ne peuvent pas parler, agir de façon autonome et à pars grogner et mordre ils ne servent à rien. Peut-être que le manque de motivation aide clairement ou juste que je refuse encore de toucher un cadavre en putréfaction (même frais, qui sait ce que cette personne à bien put faire de sa journée). Puis il y a mon frère qui se maîtrise parfaitement, monsieur perfection, je sais que je ne serai jamais à sa hauteur. Notre mère serait fière de lui, là où je ne serais que déception, mais malgré tout il m’encourage à continuer. Il n’est pas qu’un cauchemar, même s’il est le mien, ça lui arrive d’être une bonne personne.
Oui, huit années ont passé, je regarde encore le monde d’un œil de spectateur. J’admire sa perfection comme sa destruction, assis au dernier rang, dans l’ombre du stade qu’est notre monde. Je ne sais pas où est ma place, ne le saurai probablement jamais, mais je sais être attentif à ce qui m’entoure. Dans le calme de l’aube qui se débute, je vois de nouveau des citoyens en colère sortir de leur foyer pour manifester contre notre existence. Faux prophètes, faux héros, faux espoir, qu’ils crient dans la rue. Je lève mon regard vers le soleil, admirant cette journée qui débute encore dans la haine, sachant que les murmures deviennent une vérité troublante. « On s’en va…ça ira à demain. » Liam cassait ainsi le silence qui s’était installé, brisant mes songes, me faisant relever la tête vers son regard que j’aurais presque pu vous décrire comme inquiet.
« …s’il y a un lendemain… » murmurais-je en quittant mon poste d’observation.
IRL Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Emi, féminin, 20 ans Fréquence de connexion ; Dépendant du boulot, mais le plus possible. Que pensez-vous du forum? ;Avec une amie on hésitait entre plusieurs forum et au final le vôtre à gagné un long débat. Du coup je l'aime bien, le design est vraiment soigné, j'ai adoré (voir bouffé) vos annexes comme un biscuit au chocolat fondant. J'aime bien quoi! Comment l'avez-vous découvert ? par PRD si je me souviens bien. Célébrité choisie ; Dominic Sherwood, mon obsession du moment Credits (avatar, icon etc.) ; L'avatar est par Blondie, pour ce qui est du reste je dirais tumblr comme je ne connais pas l'auteur originel des gif.
Dernière édition par Luke Silverwood le Jeu 11 Fév - 20:38, édité 23 fois |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Ce personnage promet d'envoyer du lourd J'ai hâte de lire la suite Du coup, bon courage pour la fin de la rédaction ! J'espère que tu te plaîras parmi nous |
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it's a revolution, i suppose not affiliated • leave me alone | | | Bienvenue |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue Un choix d'avatar peu commun, dis donc |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Merci Sharon! Ouais je tente mon possible pour rendre Luke intéressant et amusant à jouer. Merci Evie Heeeeey Skylar, j'ai déjà vu ta tête quelque pars toi! Je te respecte déjà, faut l'admettre elle est belle cette rousse! |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | |
it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue mon frere *rire diabolique* |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Tiens, je connaissais pas ce monsieur, il a une tête qui fait peur quand même Bienvenue en tout cas et bon courage pour ta fiche |
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it's a revolution, i suppose thunderbolts • fry those bitches | | | Bienvenue ! Pouvoir très intéressant, je pense qu'il y a moyen que tu aies un lien avec Victor...sait-on jamais...ça pourrait peut-être coller :P
Bon courage pour la suite ^^ |
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it's a revolution, i suppose secret avengers + not. okay. | | | ce pouvoir de dingue et j'adore le pseudo + le choix d'avatar franchement, trop la classe ton personnage promet beaucoup!! bienvenue parmi nous en tous cas, et bon courage pour la fin de ta fiche j'espère que tu te plairas ici n'hésite pas si tu as des questions |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Bienvenue toi ! Bonne chance pour ta fiche. |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Un anglais? Bouh! Bouh! *lui lance de la gelée verte dégueulasse*
'fin bref, bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche! |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | continue de citer star wars, c'est bien bienvenue à toi en tout cas. |
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it's a revolution, i suppose Invité | | | Merci tout le monde J'apprécie fortement cet accueil! Du coup j'espère que mon personnage vous plaira, trois longues journées d'écriture et de consultation entre moi et Liam pour vous délivrez mon petit Bibou. Il ne me manque que la relecture du texte (car admettons le, même si je me suis améliorée en orthographe une relecture ne me fera aucun tord) puis j'aurai fini cette fiche! *essuie la sueur de son front* |
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it's a revolution, i suppose | | | | | Luke | No, for the last time, you are not my father. | |
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