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Bambi R. Maxwell
Letting it get to you. You know what that's called? Being alive. Best thing there is. Being alive right now is all that counts.


Identité
Nom et Prénom : Vestige d'un père bien trop souvent absent et irresponsable, Maxwell est le patronyme qui figure sur tous tes papiers d'identité. Tu t'en moques un peu, dans le fond. Un nom est un nom et ce n'est pas cela qui te définit en tant qu'être vivant. Bambi, un prénom que tu ne parviens pas à définir, mais qui est pourtant tien. On te dit souvent que tu le portes plutôt bien. Rosaline, preuve de la forte émotivité de ta mère et dernier souvenir d'une grand-mère que tu n'as jamais connu. Alias : Tu n'en as pas besoin. Tu n'as pas d'identité à protéger. Et à cela s'ajoute le fait que Bambi est un prénom relativement court en soi et qui, en lui-même, pourrait passer pour un surnom un peu ridicule. Âge : Tu as soufflé tes vingt-sept bougies il y a quelques semaines de cela. Lieu de naissance & nationalité : Ta ville natale n'est autre que la capitale anglaise, Londres, dont tu es si fière. Toute ton enfance, tu l'as passée dans le quartier de Tottenham, du district de Haringey. Dans tes veines coule du sang anglais, de toute évidence. Cependant, durant ton adolescence, ta mère a pris la décision que vous iriez habiter aux États-Unis et après maintes heures passées dans les bureaux de l'administration, tu as pu obtenir la nationalité américaine. Métier : Privée en grande partie de la vue, la musique est pour toi une source de réconfort. C'est pourquoi tu as commencé un apprentissage musical dès l'âge de six ans et que tu as voulu en faire ton métier; pianiste. Voilà ce que tu fais. Tu accompagnes souvent des pièces se jouant au théâtre ou des différents évènements culturel peuvent se dérouler autour de toi. Tu fais partie d'un orchestre, même, et tu en tires une grande fierté. Statut civil : Tu es le genre de fille un peu difficile, bien que tu ne te plaignes que très rarement. Tu as eu des aventures, auxquelles tu as rapidement mis fin. Tu as eu des coups de coeur qui n'ont jamais débouché sur rien. C'est pourquoi tu es encore célibataire à ce jour, au plus grand dam de ta mère. Orientation sexuelle : Tu n'as pas vraiment de préférences, physiquement parlant. Tu cherches - sans trop chercher non plus - avant tout quelqu'un avec qui tu seras à l'aise, avec qui tu pourras partager tes doutes et tes craintes, tes rêves et tes cauchemars. Tu aimerais trouver, en ce bas monde, une âme similaire à la tienne, qui te comprenne et qui te soutienne. Qui t'aimerait et que tu aimerais en retour. On t'a un jour dit que tu étais pansexuelle, mais tu t'en contrefiches; tu n'as jamais vraiment prêté attention aux étiquettes créées par la société. Particularités : Tu souffres d'une maladie. Non fatale, elle n'en reste pas moins handicapante. La rétinopatie pigmentaire. C'est ainsi que les médecins appellent ce démon qui t'a doucement, mais sûrement volé la vue. Depuis l'âge de huit ans - âge où les troubles visuel ont commencé à apparaitre - tu t'es faite à l'idée que tu ne vivrais jamais ta vie comme les autres. Aujourd'hui, et même si la cessité n'est pas totale, tu fais de ton mieux pour être indépendante. Ton oeil droit ne voit plus rien depuis que tu as seize ans. Devant ton oeil gauche dansent des ombres floue, aux couleurs ternes, que tu peines grandement à discerner. Au quotidien et entre les quatre murs - si sécurisants, si rassurants - de ton petit chez toi, tu n'as aucun problème, il en est une toute autre histoire lorsque tu t'aventures dans la jungle new-yorkaise. C'est pourquoi, depuis que tu habites seule, tu as constamment à tes côtés un chien guide répondant au doux nom de Summer; ainsi, tu n'as pas besoin d'appeler à l'aide à chaque fois que l'envie de sortir te prend. Affiliation : Tu es bien éloignée de tout cela; tu ne te bats pour personne à part toi-même. Chaque jour est pour toi un nouveau défi à relever.

Interview

Avez-vous peur des Mutants ?  Contrairement à ce que tes airs de demoiselle sensible et fragile pourraient laisser croire, tu n'es pas familière avec l'émotion connue sous le nom de "peur". Bien au contraire. Malgré ton handicap, tu ne t'empêches pas de vivre, tu suis tes pulsions et ton instinct. Mais là n'est pas véritablement la question. Non. Ce qui est intéressant, c'est que ton avis sur une certaine catégorie de la population que les médias ont - à l'unanimité - nommé mutants. Tu sais que beaucoup de personnes dites "nomales" craignent l'apparition de cette nouvelle espèce, que beaucoup d'humains s'inquiètent de ces pouvoirs incroyables dont sont dotés certains. Personnellement, tu ne sais trop quoi en penser. Les capacités de certains mutants peuvent être destructrices, de ce que tu as pu entendre, mais tu te doutes bien que tous ne sont pas des psychopathes en puissance. Alors oui, des fois tu peux être inquiète et te sentir bien plus vulnérable qu'à l'accoutumée lorsqu'il est question de mutants. Cependant, cela ne t'empêche pas de cotoyer quelques uns d'entre eux; notamment un certain brun, qui est ton meilleur ami depuis que tu es arrivée à New-York. Donc non. Tu n'as pas véritablement peur. Un brin anxieuse, ça oui. Mais cela ne va pas plus loin. Tu gardes l'esprit ouvert et te montres très tolérante.

Pensez-vous que les Superhéros soient une bonne chose ? Tu n'as pas besoin des Superhéros pour vivre, d'un point de vue tout à fait objectif. Tu ne leurs voues pas non plus une admiration sans bornes, comme s'ils étaient des sortes de Dieux. Ils n'ont pas mauvais fond, tu t'en doutes bien puisqu'ils ont déjà sauvé le monde. Et tu leur en es reconnaissante, c'est indéniable; s'ils n'étaient pas intervenus, tu ne serais probablement plus là pour disserter sur le bienfait potentiel des Superhéros. Cependant, tu ne les considères pas non plus comme de véritables Dieux ou des Stars. Alors oui, ils peuvent aider au bon fonctionnement de la société, ils peuvent se montrer utiles quand la population mondiale est en danger, cependant ce ne sont pas les seuls héros qui existente en ce bas monde; les pompiers, les policiers ... Eux aussi aident au bon fonctionnement du monde en général. Et cela ne fait pourtant pas d'eux des Stars. Alors tu n'as rien contre les Superhéros en général, mais tu ne comprends pas toute cette tempête médiatique autour d'eux.

Êtes-vous satisfait de la profession que vous effectuez actuellement ? En voilà une question idiote ... Il est évident que tu es satisfaite de ta profession ! Tu en es même très fière ! Depuis que tu as commencé ton apprentissage musical, tu as toujours rêvé de faire de la musique ton métier. Et maintenant que tu as atteint ton objectif, tu ne cherches pas à dissimuler ta fierté. Tu es une pianiste avec un certain talent, tu en as bien conscience et tu ne t'en caches pas. Tu es fière de l'orchestre dans lequel tu joues, tu es fière de ta position - même si tu n'as pas encore de véritable réputation dans le milieu, mais tu es encore jeune - et tu es fière d'avoir surmonté les obstacles qui se trouvaient sur ta route pour atteindre ton objectif.


IRL
Pseudo/âge/sexe (f ou m) ; Anciennement Leo, ça n'a pas changé; heartsamess, 21 ans, fille ! Fréquence de connexion ; Au minimun 2j/7, mais je pense pouvoir faire plus ! En général je pense 4j/7 Que pensez-vous du forum? ; Vous savez déjà tout  BAMBI ✜ say something nice 1689647925   Comment l'avez-vous découvert ? PRD me semble-t-il, je ne sais plus.    Célébrité choisie ; Astrid Bergès-Frisbey Credits (avatar, icon etc.) ; Tumblr



Dernière édition par Bambi R. Maxwell le Dim 11 Oct - 16:21, édité 6 fois
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Biographie
The deep and lonely dark, you would never see the stars without it
Tu es violemment tirée de ton sommeil profond par une sonnerie aussi stridente qu'impitoyable, qui te vrille les tympans. Tu ne bondis pas de ton matelas, préférant rester sous la couverture douce qui est la tienne. Tu presses, d'un mouvement las, tes mains contre tes oreilles dans l'espoir d'étouffer ce bruit désagréable. En vain. Tu l'entends encore, ce cri désagréable provenant de ton réveil. Tu l'entends et il te vrille toujours autant les tympans. C'en est presque douloureux. Tu te retournes sur le matelas, grognant, et tu te mets à chercher l'objet de malheur, le suppot de Satan. Et quand – enfin ! – tu le trouves, ta main s'abat violemment sur l'objet, le réduisant au silence. Tu lâches un soupir de soulagement. L'envie de te rendormir te prend, séduit ton esprit fatigué. Cependant, tu sais que Morphée te rejetera dans le monde réel, ne voudra pas de toi. Surtout pas après la sonnerie stridente qui t'a tiré d'entre ses bras. Un soupir s'échappe encore d'entre tes lèvres. Tu grognes un peu, tu gigotes doucement sous ta couette, avant de repousser celle-ci au pied du lit d'un coup de pied vif. À côté de ton lit, tu entends Summer qui commence à s'agiter lorsqu'il te voit bouger. Avant de te redresser, tu laisses ta main droite passer par dessus le matelas et pendre au dessus du vide. Il n'en faut pas plus pour le chien ; tu sens sa langue chaude et humide contre la paume de ta main, tu sens sa truffe qui chatouille le bout de tes doigts fins. Tu réprimes tant bien que mal un petit rire amusé. Tu ne tardes pas à reprendre possession de ta main, essuyant ta paume un peu visqueuse contre le haut sans forme de ton pyjama. C'est un peu dégoutant, tu le sais. Mais tu t'en fous ; ce n'est qu'un haut de pyjama, tu n'as pas l'intention de passer ta journée dedans. Tu te redresses maladroitement, encore un peu étourdie par les dernières traces de sommeil qui semblent faire fonctionner ton esprit au ralentit et qui a l'air de s'enrouler autour de tes muscles.

Tu titubes un moment. Tu sens Summer qui se tient bien droit à tes côtés, prêt à amortir une potentielle chute. Cette pensée te fait sourire. Oh Summer… Doux et fidèle Summer. Tu ne sais pas ce que tu ferais sans lui. Tu serais probablement perdue et toujours à habiter chez ta mère à l'âge de vingt-sept ans. Ton indépendance actuelle, tu la dois à ton fidèle compagnon. Un léger sourire étirant le coin de tes lèvres, tu sors de ta chambre d'un pas assuré. Tu n'as nullement besoin de l'aide de Summer pour circuler entre les murs de ton appartement ; tu connais l'agencement de l'appartement par coeur, tu sais où tout se trouve et tu ne te cognes jamais – ou presque, il t'arrive de te faire quelques bleus lorsque la fatigue se fait trop grande ou que tu es distraite. Ton handicap semble disparaître quand tu es dans ton petit nid douillet. Enfin. Tu ne t'attardes pas sur ces pensées.  Pieds nus et sans un bruit, tu prends la direction de ta petit cuisine pour y préparer un thé, afin de bien commencer la journée. Tu remplis une casserole d'eau, glissant ton doigt à l'intérieur du récipient dans le but de vérifier la hauteur de l'eau et de ne pas la faire déborder. Tu poses ensuite la casserole sur une plaque. L'eau ne tarde pas à bouillir et tu la verses dans la tasse, faisant bien attention à ne pas en mettre à côté. Une fois cela fait, tu pars dans ton petit salon, tasse en main. Tu poses le récipient en porcelaine sur la petite table basse et tu t'empares du téléphone fixe disposé sur cette même table. Tu tapotes sur quelques boutons, ce qui fait biper l'appareil, et bientôt tu entends les messages que tu as pu recevoir hier soir, alors que tu devais jouer au théâtre pour accompagner une pièce d'un auteur que tu ne connaissais pas jusqu'à ce jour. Tu ne te souviens plus du titre de la pièce ou même de l'auteur de celle-ci ; tu étais bien trop concentrée sur ton instruement pour réellement prêter attention à quoique ce soit d'autre.

La voix familière de ta mère (bien que déformée par le grésillement du téléphone) t'arrache un sourire radieux. Ça fait longtemps que tu ne l'as pas vu, mais cela ne vous empêche guère de communiquer autrement. Le téléphone est, pour vous deux, un grand outil qui contribue à votre relation presque fusionnelle. Tu écoutes le message attentivement. ''Bambi, c'est maman, commence-t-elle de sa voix fluette, avec son accent anglais si caractéristique, je sais que tu dois être en train de te préparer pour ce soir. Mais je voulais prendre de tes nouvelles ! Cela fait longtemps que tu ne m'as pas appelée et je me fais du soucis pour toi, chérie. Rappelle-moi quand tu as ce message. Je t'aime.'' Tu attrapes ta tasse de thé et bois une gorgée du breuvage. Ta mère se fait toujours du soucis pour toi, même quand tu l'appelles régulièrement. Elle avait toujours été ainsi, depuis l'annonce de la maladie. Ce démon qui s'est enraciné en toi, dont tu ne peux pas te débarrasser. Le verdict est tombé alors que tu venais de fêter ton huitième anniversaire ; tu t'étais plainte, auprès de ta mère, de troubles de la vision, décrivant ces derniers comme des tâches sombres dansant devant tes yeux. Inquiète, ta génitrice n'avait pas tardé à t'emmener voir un ophtalmologiste. Et la nouvelle était tombée comme la lame d'une guillotine sur le cou d'un condamné. Tu allais perdre la vue, doucement, sûrement. Inexorablement. C'était inévitable. Tu n'avais pas pleuré, bien que l'angoisse nouait ta gorge et que l'appréhension tordait ton ventre. Ta mère avait pleuré pour toi. Pendant des heures, peut-être même des jours, elle avait sangloté. Elle avait eu tellement peur, à l'annonce de cette maladie. Pour toi, pour ton futur. Puis, elle avait fini par se calmer, par réfléchir. Dans un premier temps, elle avait quitté ce père absent et irresponsable avec lequel tu n'avais aucun lien – il rentrait tard, il buvait beaucoup et avait une réputation d'infidèle. Tu n'avais jamais éprouvé de véritable amour pour lui ; il n'était jamais suffisamment présent pour qu'un quelconque lien se forme entre vous. Mais là n'était pas la question. La séparation entre tes parents se fit sans le moindre accro ; ils n'étaient pas mariés et ton père s'était montré plus qu'indifférent à ce sujet. Tu gardas, cependant, le nom de Maxwell. C'était le nom que tu portais depuis ta naissance et, après t'avoir bien entendu demandé ton avis, ta mère avait décidé qu'il n'était pas utile de s'embarrasser de la paperasse nécessaire pour changer de nom. Dans le fond, ça ne te dérangeait pas. Et ça ne te dérange toujours pas ; tu t'en contrefous, tu n'as nullement besoin d'un patronyme quelconque pour savoir que tu es la fille de ta mère.

Puis, elle prit la décision d'émigrer. La destination de son choix ; les États-Unis. Cela s'était déroulé quelques semaines à peine après l'annonce de ta maladie et le déménagement par-delà l'Atlantique n'était – à tes yeux – qu'une grande aventure à laquelle tu avais hâte de prendre part. Certes, tu avais été un peu attristée à l'idée de quitter tes copains et copines d'école, cependant, l'excitation était bien plus grande. Et, d'une certaine manière, cela te faisait oublier un peu le démon – c'était ainsi que tu appelais la maladie, la rétinopatie pigmentaire. Avec ses économies et le soutien de sa famille, ta mère n'eut pas énormément de mal à vous faire bouger aux États-Unis. Elle avait fait de son mieux pour que tu te sentes à l'aise dans cette nouvelle vie ; elle t'avait inscrite à des cours à domicile en fonction de ton handicap nouvellement découvert, elle avait fait tout son possible pour appréhender au mieux cette maladie qui allait – lentement, inexorablement – te rendre aveugle. Désireuse de ne pas chambouler toute ta vie malgré ce déménagement et la découverte de ta maladie, elle insista pour que tu poursuives tes leçons de piano, que tu avais commencé deux ans plutôt. Tu n'avais nullement l'envie d'interrompre, le piano était pour toi une échappatoire que tu n'étais pas prête à sacrifier. Cependant, avec le déménagement par-delà l'Atlantique, tu n'étais pas sûre que ta mère ait le budget pour financer tes leçons et tu n'avais pas osé demander. Mais – bénie soit-elle – elle avait bien entendu réfléchi à tout, elle avait tout prévu et tu avais pu poursuivre ton apprentissage musical, pour ton plus grand bonheur.

Le téléphone – toujours prisonnier entre tes doigts – émet un nouveau bip, signalant un second message sur ta messagerie. Tu tâtonnes un peu sur les touches, puis abats ton pouce sur le bouton pour écouter le second message. ''Bambi ! la voix est chaleureuse et rieuse. Tu la reconnais instantanément. C'est Kenneth ! Bon, tu réponds pas, hein, tu dois être occupée. Logique, hein… En fait, je voulais juste savoir si tu voulais boire un verre, quand tu auras du temps libre ! Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu donc voilà … Tu as une vie de politicienne, hein, ma p'tite ! Enfin, trêve de plaisanteries ! Rappelle-moi quand tu as ce message !'' Tu laisses un petit rire t'échapper. Oh, tu vas rappeler Kenneth dès que tu auras fini ton thé. En même temps, comment peux-tu refuser une soirée en compagnie de ton meilleur ami ? Depuis ton entrée dans le système scolaire américain, Kenneth est toujours resté à tes côtés et tu ne l'as pas quitté d'une semelle non plus.

Votre rencontre avait été un peu étrange. Après deux passés scolarisée à domicile – à apprendre le braille, pour ne pas être prise au dépourvu une fois que l'ombre se serait installée définitivement devant tes yeux – tu avais insisté auprès de ta mère pour retourner à l'école et celle-ci n'avait pas cherché à te faire changer d'avis. Malgré le fait que ta vue se soit faite bien plus trouble que ce qu'elle était à l'origine, malgré le fait que tu sois bien plus maladroite à cause de ce manque constant de visibilité, elle estimait que ta demande était tout à fait légitime ; tu avais, malade ou non, le droit de vivre ta vie de petite fille. Elle avait donc fait toutes les démarches nécessaires pour t'inscrire à l'école du quartier, tout en les avertissant de ton handicap. Kenneth avait été le premier camarade avec qui tu étais entrée en contact. À peine avais-tu passé le seuil de l'établissement que tu avais percuté le jeune homme, ne l'ayant pas vu arriver plus tôt. Il t'avait demandé si tu étais aveugle et, un brin gênée, tu lui avais répondu que tu n'étais pas loin de l'être, à cause d'une maladie. Un silence – aussi lourd que long – s'était installé avant que le garçon ne s'excuse et ne te propose son aide. Tu avais ri un moment devant son embarrassement, puis tu avais accepté. Depuis ce jour-là, vous étiez restés ensemble ; Kenneth avait toujours été là pour toi. Quand tu avais été obligée d'utiliser une canne d'aveugle quand la maladie avait progressé encore, Kenneth avait été là pour te soutenir et te remonter le moral, il avait été présent pour t'aider à surmonter cette preuve, pour t'aider à accepter le fait que le démon était plus fort que toi. Tu avais eu du mal à l'accepter, tu t'étais renfermée sur toi-même. Mais Kenneth avait été là pour te remettre sur pieds, pour t'aider à te concentrer sur ton cursus scolaire. Tu n'avais pas fait de longues études, préférant te plonger dans la musique dès que tu avais un peu de temps libre, mais son aide t'avait permi de terminer le lycée sans trop de problèmes. Après cela, tu avais fait de ton mieux pour atteindre ton but ultime ; travailler dans la musique. Ta mère avait pioché dans ses économies pour te permettre d'entrer au conservatoire de New-York et, bientôt, tu trouvas un emploi au sein de ce conservatoire. Tu commenças en tant que professeur pour les plus jeunes. Tu devais les aider à positionner leurs doigts correctement sur les touches du piano et les corrigeais lorsque les fausses notes se faisaient trop insupportables.

Si ce premier emploi te convenait bien, tu rêvas bientôt de plus. Les enfants n'étaient pas désagréables, mais tu n'avais pas non plus envie de passer toute ta vie en leur compagnie. D'autant plus que ton salaire ne te permettait pas de prendre ton indépendance, toi qui voulais tant avoir ton propre appartement, ta propre petite vie comme tous les jeunes gens de ton âge. À presque vingt-trois ans, tu estimais ce désir tout à fait légitime. Ce fut environ un an plus tard que tu pus évoluer ; on te proposa un poste dans un petit orchestre, pour jouer au théâtre de la ville et intervenir lors de diverses manifestations culturelles. Tu aurais été folle de refuser. Après plusieurs mois à travailler dans cet orchestre, tu pus enfin t'offrir un petit appartement, ton premier chez toi ! Inquiète, ta mère insistait pour que tu n'habites pas seule. Pour la rassurer, tu te renseignas et fis les démarches nécessaires pour obtenir un chien guide. Tu dus attendre pas loin de six mois avant qu'on ne te confie cet être vivant qui allait considérablement simplifier ta vie. Et quand, enfin, Summer te rejoignit … Ô joie, tu pu appréhender la vie sous un nouvel angle. Avoir un chien pour t'aider au quotidien était un véritable privilège. Tu pouvais à présent te balader quand bon te semblait, tu pouvais vivre ta vie comme tu en avais envie. La venue de Summer dans ta vie se révéla être une véritable bénédiction.

À ce jour, tu ne peux imaginer ta vie sans ton fidèle compagnon. Ce dernier s'avance d'ailleurs dans ta direction – tu peux l'entendre – et pose sa tête sur ton genoux. Tu souris et grattes ton ami – car Summer n'est pas seulement à tes yeux – derrière l'oreille, comme il l'aime tant. Tu te relèves et bois d'une traite ta tasse de thé. Puis, d'un pas plus sûr, tu retournes dans ta chambre, t'arrêtant à hauteur de ta table de chevet. Tu cherches un peu maladroitement sur la table et trouves enfin ce que tu cherches ; ton réveil, sur lequel tu appuies. Une voix mécanisée t'annonce qu'il est actuellement 10h07. Ah. Il n'est pas si tard que cela, tant mieux ! Mais cela ne veut pas dire que tu dois trainer. Tu as des choses à faire, après tout. Comme des courses. Il faut donc que tu te prépares. Chose que tu ne tardes pas à faire, en parlant distraitement avec Summer.



Dernière édition par Bambi R. Maxwell le Mer 14 Oct - 15:11, édité 5 fois
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Mais quelle charmante petite biche que voilà :hahaha:

Je te souhaite donc la bienvenue, ton perso a l'air très intéressant en tout cas. Et pour finir un bon courage pour la fin de ta fiche, mais vu comme tu es bien partie, je pense pas que tu en aies vraiment besoin BAMBI ✜ say something nice 2258591103
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JE SUIS TELLEMENT CONTENTE QUE TU RESTES, encore une fois :keur: on a bien de la chance :hug: rebienvenue chez toi, et j'espère de tout mon cœur que ce personnage te donnera un nouveau souffle ici :cutie: en tous cas, déjà, je dis oui à ce choix d'avatar absolument génial :cute: bon courage pour la rédaction de cette fiche mais tu as l'air déjà à fond dedans donc ça me fait trop plaisir :hug: hésite pas encore une fois, hein, si tu as des questions ou autre chose :pregnant:
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SHANE + Merci pour ton accueil mon grand ! :cutie: Je suis contente que tu trouves le début de fiche de Bambi intéressant & j'espère sincèrement que le reste le sera tout autant ! :keur:

RILEY + Roooh, tu vas me faire rougir :keur: Ça me brisait un peu le coeur de partir du forum & ce n'est qu'en y réfléchissant dans la journée que je me suis dit que je pouvais peut-être changer de personnage ... M'enfin ! :cutie: Je reprends une vieille idée de personnage que je compte peaufiner au maximum, donc je pense que ça devrait le faire, cette fois-ci ! (D'autant plus que je compte bien présenter un personnage plus "original" que mon précédent & probablement mieux construit ... Je ne sais pas si tu me comprends, mais je me comprends xD) En tout cas, merci pour ton nouvel accueil, ma belle :keur: & n'aie crainte ... je n'hésiterai pas à harceler le staff en cas de besoin :hé:
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Oh bah y'a pas de raison que cela change. J'aime beaucoup l'idée du perso et surtout celle de la maladie. J'ia même une petite idée de lien pour venir t'embêter une vois que tu seras colorée BAMBI ✜ say something nice 3172871409
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Tu nous prépares encore un personnage génial :hysteric: :hysteric: Et ta plume est toujours aussi belle :bave: J'ai hâte de lire son histoire ! On essayera de se trouver un lien :waw: Bref, c'est cool que tu restes :shon:
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SHANE + Ouuuuh ! Une idée de lien ... :hé: Ce sera avec plaisir une fois que je serai validée comment refuser Simon Pegg en même temps ? :keur:

SHARON + Merci pour tous ces compliments, jolie jeune femme ! & merci pour ton accueil aussi ! :waw: Je suis ravie de voir que l'idée de Bambi plaise :keur:
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Le pseudo + l'avatar + la maladie + le métier. J'AIME J'AIME J'AIME. :hysteric: I love you
Une super idée de personnage, j'ai hâte d'en lire plus ! (re)bienvenue parmi nous ! :leche:
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pseudo génial, avatar génial, franchement je suis trop content que tu aies décidé de rester :onfire: on va vraiment bien s'amuser, et la petite Bambi m'a l'air toute adorable et touchante I love you pense à réserver ton avatar, mais bon tu connais la maison :hé: on va se trouver des liens, elle jouera des sérénades au piano à mon petit Winter pour lui faire découvrir la musique BAMBI ✜ say something nice 2258591103 hésite pas si t'as des questions, et graou graou sur ton petit minois :ému:
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CRYSTALIA + Merci pour ton accueil, sale rousse super seksy ! :keur:

PIETRO + Merci mon grand :onfire: Azy, elle jouera du Chopin à ton Winter, la Bambi ! :haaaa: (Merci de me rappeler de réserver mon avatar ... je vais le faire de ce pas BAMBI ✜ say something nice 2258591103 ) :keur:
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Ce nouveau personnage promet du lourd :whaaat: Superbe, en un seul mot :cute:

Re-bienvenue du coup !
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Matt Smith ! :onfire: viens là que je te fasse tout plein de babies
Merci pour ton accueil ! :hé: :keur:
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LE PSEUDO + L 'AVATAR :bave:

RE-BIENVENUUUUUUUUUUE . :hé: hâte d'en savoir plus sur ton perso et je suis ravi que tu aies décidé de rester c'est vraiment cool :hysteric:
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je n'ai pas encore eu le temps de lire complètement ta fiche, mais de ce que j'ai pu voir, j'adore ! I love you en plus, astrid est vraiment magnifique. :cute: je suis contente de la voir ici. I love you (et contente de savoir que tu restes, même si je t'ai peu croisé :cute: )
rebienvenue donc et bon courage pour ce personnage et ta fiche. I love you
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